Série d'affiches sauvages 40 rue des Archives (IVe) – 04/04/14
Autre série à hauteur du 57 bis rue des Archives (IIIe)
"Cheap Monday Store" ne pouvait pas faire plus maladroitement son entrée dans le Marais en annonçant l'ouverture d'un magasion au 121 rue Vielle du Temple (IIIe). Son affiche, apposée sauvagement sur plusieurs sites des IIIe et IVe arrondissements, n'est pas artistique au point qu'il faille nous matraquer à chaque détour de rue en multipliant les exemplaires. Cinq, six, ci-dessus. A peu près une douzaine au carrefour Quatre-Fils/Vieille du Temple. Comme si nous étions obtus au point qu'il faille asséner plusieurs fois le même message pour qu'on réussisse enfin à comprendre !
Il ont pris un risque par la même occasion. Celui de laisser sur les riverains que nous sommes une mauvaise impression qui nous tiendra éloignés de leur commerce. Celui aussi de payer une forte amende pour affichage sauvage. Le tarif est de 250 € par site, avec recouvrement d'office. Au vu du nombre délirant d'affiches collées ces jours-ci, il devront s'ils sont verbalisés, ce que nous demandons, casser leur tire-lire.
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Commentaires
4 réponses à “Mauvais débuts dans le Marais pour « Cheap Monday Store »”
Pourquoi, particulièrement dans ce quartier, s’exprimer en anglais ? serait ce la manifestation d’une pseudo « branchitude » telle que les non initiés ne sont pas invités à la table des consommations ? En français, nous croyons pourtant que ce qui se conçoit bien s’énonce clairement…
Et en plus, sans vouloir être trop conservateur, cette affiche laide à effigie de tête de mort est presque intégralement en anglais.
Dès lors que les auteurs sont parfaitement identifiables, qu’attend exactement la Préfecture de Police de Paris pour sévir ?
Ce sont les contribuables parisiens qui payent, via des taxes déjà très élevées, le nettoyage des rues et des murs.
Ou bien est-ce à dire qu’il y a impunité?
Nous aurions donc, chacun de nous, le droit de souiller les murs, comme cela nous chante, avec nos affiches ?
Précision pour Pierre :
C’est la mairie de Paris qui a la charge de sévir et elle dispose d’un outil efficient avec le « recouvrement d’office » dont nous parlons, et que nous lui avons demandé de mettre en oeuvre dans cette affaire.