Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Année : 2015

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    Samedi et dimanche 26 et 27 septembre prochains les jardins seront une nouvelle fois en fête. Le Marais y participe bien entendu.

    Nous listons ci-dessous les visites, découvertes et expositions proposées.

    Des visites guidées seront organisées dans les jardins du Marais avec un départ  Square Louis XIII, le square de la Place des Vosges (IVe) :

    La visite mènera le promeneur aux squares Saint-Gilles, du  Grand Veneur, au jardin des Rosiers-Joseph Migneret, puis aux squares Léopold-AchilleetGeorges-Cainet aujardin Lazare Rachline(le jardin de l’Hôtel Donon). La fin du parcours aura lieu dans le jardin du Musée Carnavalet. Durée environ 2 h. Départ des visites à 11h00 (dimanche uniquement), 14h00 et 15h30.

    Il sera possible de découvrir avec un paysagiste le jardin des Rosiers-Joseph Migneret (IVe) qui a malheureusement beaucoup souffert cet été, faute d’entretien suffisant (voir notre article du 17 juillet 2015). Samedi de 10h00 à 12h00. Rendez-vous dans la cour de la Maison de l’Europe. 

    Le Square du Temple devant la Mairie du IIIe organise durant ces deux jours des ateliers pour enfants. Il en sera ainsi dans le Jardin Anne-Frank, Impasse Berthaud (IIIe) ainsi que pour les adultes avec la découverte des « plantes aromatiques et médicinales » samedi de 15h00 à 18h00. Une exposition « Les plantes et leurs vertus », est annoncée dimanche de 15h00 à 18h00. 

    Le jardin des oiseaux tout proche du marché des Enfants Rouges sera le centre de deux ateliers. L’un sur les thématiques « climats », samedi de 15h00 à 17h00, et l’autre  "Le jardin peint dans toutes les couleurs..." consacré à l’aquarelle, dimanche de 15h00 à 17h00.

     

    ViewmultimediadocumentLe jardin des Combattants de la Nueve , ex jardin de l'Hôtel de Ville (IVe) (Photo Paris.fr)

     

    L’ex jardin de l’Hôtel de Ville baptisé Jardin des Combattants de la Nueve depuis qu’il est ouvert au public axera ses activités sur les poules d’une part en faisant découvrir le « poulailler pédagogique éco conçu » et donnant d’autre part  des Informations sur la gestion, l’entretien d’un poulailler et  le cycle de vie des poules de 14h00 à 18h00.

    Il est à noter que ce même dimanche sera aussi une journée sans voiture et comme l’écrit sur son site la Mairie de Paris, en référence au « collectif citoyen Paris sans voiture » à l’origine de l’opération, il sera possible «sur les espaces interdits à la circulation de  mettre en place une animation sur les trottoirs et la chaussée et… au sein d’une zone à 20km/h, il est autorisé de s’installer sur les trottoirs mais il est interdit de prendre place sur la chaussée pour les raisons de sécurité.…choisir un trottoir aussi large que pour une installation prévue lors de la Fête de la Musique…». En fait, chacun pourra s’installer où il veut pour s’adonner à  tout ou presque ce qu’il veut…

    Attention que ces manifestations ne se bousculent pas l’une l’autre.

     

  •   8242530990_cdfffcf9f3L'Arc de Triomphe du Carrousel  aux Tuileries

     

     

    En partenariat avec "Vivre le Marais !"

    CULTURE ET PATRIMOINE PARIS – MARAIS

    Vous invite à une nouvelle visite

    Napoléon 1er bâtisseur : le Paris impérial

    Jeudi 22 octobre (durée au moins 2 heures)

    Rendez-vous à 14h15 à la sortie du métro Tuileries 

     

    Notre guide, Sylvain Solustri, nous rappellera que les grands travaux d’Haussmann, un demi-siècle après le 1er Empire, ont fait oublier que Napoléon Consul puis Empereur, s’intéressa de très près à notre capitale et la dota d’un grand nombre de créations techniques et monumentales : réseau des égouts, approvisionnement en eau, nouveaux cimetières mais surtout de nombreux édifices, lieux de pouvoir et de prestige.

    C’est un parcours qui nous conduira, dans les reflets de la gloire impériale, au travers de la « première capitale de l’univers » (ce sont ses propres mots), de la rue de Rivoli à la Madeleine en passant par quelques beaux hôtels particuliers.

    Merci de prévenir de votre venue et du nombre de personnes qui vous accompagneront Marie-Françoise Masféty-Klein par mail mfmk@free.fr ou par téléphone 01 42 72 61 41 et de prévoir une participation de 10 euros par personne pour les adhérents de Culture et Patrimoine et de 12 euros pour les non adhérents.  Si vous ne recevez pas de réponse, venez directement, vous serez néanmoins les bienvenus.

     

  •   Sans-titreLa galerie de Psychée (Michel 1er Corneille, 1660), un des joyaux de l'Hôtel Amelot de Bisseul, dit des Ambassadeurs de Hollande (Photo VlM)

     

    Dimanche 20 septembre deuxième Journée européenne du patrimoine, "La Cinq" a diffusé en début de soirée un documentaire intitulé « Le Marais, un trésor à découvrir ».

    Si l’accent a pu être mis sur les merveilles de notre quartier et son évolution au cours des dernières décennies avec des références historiques intéressantes et un "zoom" sur l’Hôtel des Ambassadeurs de Hollande enfin en cours de restauration (voir nos différents articles dont celui du 18 mars 2015),  les journalistes ont à notre sens trop insisté sur certains aspects du Marais qui en occultaient d’autres tout aussi importants et touchant plus particulièrement les riverains.

    Ainsi rien n’a été dit sur la malpropreté récurrente liée à une sur fréquentation, sur les nuisances nocturnes, la montée de l’alcoolisation notamment, avec les questions de santé liées qui sont un réel problème.

    En voulant montrer un aspect par trop festif du quartier, les journalistes souvent soucieux pourtant de ne relater que la vérité sont tombés dans le piège du reportage « vendeur », donnant ainsi aux téléspectateurs une vision parcellaire et tronquée de nos deux arrondissements. Dommage et regrettable pourrait-on dire, alors que ce genre d’émission  pourrait alerter davantage sur les difficultés quotidiennes et réelles rencontrées par nombre d’habitants. Heureusement que notre association, comme d’autres y pallient, mais nos journalistes du dimanche ont préféré nous ignorer, car il ne s’agit pas d’un oubli…Nous n’aurions pourtant pas entaché leur émission mais au contraire elle s'en serait trouvée enrichie et donc plus complète et plus objective…

    Fort de nos nombreux adhérents, sommes-nous craints à ce point ?

    Dominique Feutry

     

  •  A2Un premier calicot vient d'être installé rue Vieille du Temple (IIIe) face au jardin du Musée Picasso (Photo VlM)

     

    Comme nous l'annoncions (voir notre article du 11 août 2015), la tension monte chez les riverains face aux excès et aux abus du musée Picasso.

    Ils dénoncent la montée des nuisances notamment sonores et lumineuses qu'ils subissent de jour comme de nuit et qui n'ont pas cessé ces derniers temps.

    Face à l’indifférence des commanditaires de toutes ces fêtes, un premier calicot vient de fleurir à la fenêtre d'un immeuble faisant face au jardin du musée. Il fait d'ailleurs pendant avec une banderole dénonçant l'autorisation donnée par la Mairie de Paris,contre l'avis du Maire d' arrondissement,  pour l'installation d'un bar restaurant sur le toit d'un bâtiment voisin (nos articles des 14 avril et 22 mai 2015) ajoutant au désarroi des habitants et de tout un quartier.

     

    Les riverains n'ont pas à subir les conséquences indirectes de la course aux recettes destinées à équilibrer le budget de fonctionnement du musée.

    Dominique Feutry

     

  •    A0Bancs et pots de bois d'un nouveau type au pied de la Poste rue Pastourelle (IIIe) (Photo VlM)

     

    Voilà une réalisation intéressante et réussie presque surprenante…

    De jolis bancs et pots en bois dans lesquels des plantes ont été repiquées décorent l'angle formé par les bâtiments de la Poste de la rue des Archives, côté rue Pastourelle (IIIe).

    Une belle réalisation qui nous l'espérons sera pérenne et respectée et ne donnera pas lieu à des rassemblements nocturnes de fêtards qui viendraient perturber le sommeil des résidents !

    Dominique Feutry

     

  • Carnavalet 18 09 15Musée Carnavalet. Façade principale sur jardin, 16 rue des Francs-Bourgeois (Photo VlM)

     

     Nous l'attendions depuis longtemps, la restauration de la cour d'honneur du musée Carnavalet. C'est chose faite et accomplie ; la direction du musée l'annonce dans un communiqué de presse que nous avons le plaisir de vous transmettre. Consultez le à loisir en répondant d'abord à ce quizz : d'où vient ce nom de "Carnavalet". Si vous l'ignorez, ce qui n'a rien de honteux, vous trouverez la réponse dans la description qui est faite de ce haut lieu du Marais, qui tout comme la place des Vosges, porte l'empreinte de la marquise de Sévigné.

    Gérard Simonet

     

    Carnavalet cour d'honneur 18 09 15La cour d'honneur restaurée. En contrejour, la statue de Louis XIV (Photo  VlM)

     

    Consultez le dossier de la restauration de la cour d'honneur de l'Hôtel Carnavalet

     

  • IMG_1979L'échelle de pompier déployée à la nuit tombante pour enlever les restes du corbeau en pierre fragilisé (Photo BC)  

     

    Hier, policiers et pompiers s’activaient au niveau du 8 rue du Grenier Saint-Lazare (IIIe), à la suite de la chute spectaculaire d’une très grosse pierre qui s’est désolidarisée du corbeau où elle se trouvait.

    Délimitation d'une zone de sécurité, échelle… les moyens nécessaires ont été déployés rapidement.

     

    IMG_1976La pierre de plusieurs kilos tombée du corbeau après sa chute (Photo BC)

     

    Heureusement aucun passant ne se trouvait à cet endroit. 

      IMG_1975Périmètre de sécurité délimité par les policiers avant l'arrivée des pompiers (Photo BC) 

      

    Un riverain que nous remercions, adhérent à notre association, nous a fait parvenir quelques photos que nous publions.

    Dominique Feutry

     

  • BostonLa ville de Boston a gagné : elle s'est sagement désistée de sa candidature aux Jeux Olympiques de 2024 !

     

    Dans un article intitulé « Euro, JO, Expo universelle: la très ruineuse course des villes aux grands événements », Le Monde daté du 15 septembre commente à sa manière le lancement officiel de la compétition qui aboutira à la  désignation de la ville gagnante pour organiser les Jeux de 2024. Alors que Boston et Toronto ont retiré leur candidature, le journal cite les  exemples de Los Angeles, Barcelone, Pékin et Londres pour pointer du doigt les dépassements considérables constatés in fine par rapport aux budgets prévisionnels estimés à l’origine. Sotchi détenant la palme avec un coût initial multiplié par près de 5 à l’arrivée !

    Comme nous l’avons déjà expliqué dans plusieurs articles de notre blog (7 novembre 2014, 13 et 23 février 2015, 28 juillet 2015), une ville comme Paris ne peut se permettre d’accueillir de grands événements compte tenu de sa configuration, la concentration de ses habitations, la densité déjà très élevée des touristes en temps ordinaire et des nuisances multiples que l’afflux de visiteurs va engendrer. Quant aux infrastructures, aux rénovations et aux équipements qui auront été réalisés, leur utilisation post jeux n’est pas évidente. Certains prétendent que réalisés pour l’essentiel en banlieue, ces investissements vont obliger les plus modestes à devoir se déplacer plus loin encore en périphérie de la capitale.

    Le Marais de son côté a-t-il intérêt à ce que de telles grandes manifestations soient organisées ? Nous répondons « non », car sa sur fréquentation va empirer et les retombées économiques annoncées souvent sur des fondements insuffisamment étayés ne sont pas réellement prouvées. Des études « académiques » très fouillées fondées sur la mesure des retombées réelles pour les villes qui ont connu ces événements montrent en revanche que l’impact économique est très modeste quand il n’est pas négatif ! En regard, l’État, la Région et la Ville ont-ils les moyens de leurs ambitions et le contribuable déjà pas mal ponctionné ne va-t-il pas être mis à nouveau à contribution pour un bénéfice à démontrer, sinon tout relatif, nonobstant les coûts induits par les questions de sécurité, de pollution et bien d'autres ?   

    En d’autres termes, est-il alors raisonnable de vouloir organiser à Paris les JO, l’Exposition Universelle ou d’autres manifestations de même  ampleur. Cela  ne fait-il pas trop ?

    Dans ces conditions, les opinions évoluant,  nos élus ne devraient-ils pas prendre le pouls populaire et organiser en premier lieu un référendum, à l’image d’autres villes candidates aux JO ?    

     

  • Paris Marais rue du trésor 2 © Nicolas JacquetLa rue du Trésor (IVe) alors encore intacte (Photo Marais secret et insolite)

     

    La rue du Trésor (IVe) qui faisait la fierté de ses habitants, de la Maire d’arrondissement à l’origine de son aménagement actuel et de tout un quartier, subit peu à peu les dégradations constatées malheureusement  dans bien des endroits du Marais et de la capitale. 

    Non seulement l’entretien n’est plus à la hauteur du lieu et de son agencement si particuliers avec une végétation luxuriante qui demande quelques soins, mais les terrasses de la plupart des bars et restaurants qui la longent sont en débordement constant sur le périmètre alloué. Certaines allant jusqu'à empiéter sur les parties plantées. Le trottoir a été annexé purement et simplement. N’oublions pas non plus les nuisances sonores de jour comme de nuit accentuées  par les musiques de groupes non autorisés qui s’installent pour  distraire consommateurs et passants dans un brouhaha insupportable.

    Est-ce là la rançon d’avoir laissé croître une  mono activité au détriment d’activités diversifiées et plus équilibrées… ?

    Et que dire de la saleté qui s’installe. Une photographie que nous reproduisons ci-dessous illustre à elle seule le phénomène.

      20150913_182842L'entrée de la rue du Trésor aujourd'hui : un mini dépôt d'ordures, une partie de la végétation ayant disparu (Photo LM)

     

    N’ayons pas peur des mots, nos rues sont de plus en plus outragées et la passivité dont font preuve ceux dont la fonction est pourtant d’empêcher cette dérive est consternante. La rue Rambuteau, autre exemple, refaite à grands frais l’an passé est devenue « dégoûtante », certaines parties des trottoirs sont encrassées et « graisseuses »,  des pots non autorisés et inadaptés installés par des commerçants fleurissent ici ou là, des branches d’arbres sont cassées et plusieurs grilles en métal à leur pied défoncées quand certains potelets sont sectionnés … 

    N’y a-t-il pas lieu à concentrer une partie des dépenses de la ville à corriger ces évolutions  inquiétantes  qui vont crescendo plutôt que de les consacrer à l’opération dite « budget participatif » (notre article du 4 septembre), les  projets retenus risquant de subir le même sort que les aménagements mentionnés ci-dessus ? 

    Les habitants sont  inquiets, ils n’acceptent plus de subir cette montée des nuisances, une régression rampante. Ils  ne resteront certainement pas muets et inactifs.   

    Dominique Feutry  

     

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    Pdf_cmjn_a5-7427fAffiche des Journées européennes du patrimoine 2015

     

    Cette année, comme nous l’indiquions dans notre article du 26 août 2015, les journées européennes du patrimoine auront lieu les 19 et 20 septembre prochains. Une occasion de découvrir des lieux qui habituellement sont fermés au public.

    Nous recommandons pour cette édition quelques sites d’exception du Marais ou tout proches.

    Le premier site où il faut se rendre est la Galerie dorée de l’Hôtel de Toulouse, siège de la Banque de France (notre article du 31 janvier 2013), une pure merveille dont une lourde restauration vient juste de s’achever (réservation au 01 42 92 26 33 ou 01 42 92 21 71).

    Les Archives Nationales, 60 rue des Francs Bourgeois IIIe, exposent des exemplaires des décors préservés de l'Hôtel  Voyer d'Argenson en cours de réinstallation dans leur nouveau cadre, l'Hôtel de Rohan. Intitulée «Renaissance d'un chef d’œuvre »", cette courte exposition (jusqu’au  20 septembre) est à voir absolument, elle révèle au public une partie des décors qui se trouvaient en caisses jusqu'à peu.

    Très différente est la Bibliothèque des Amis de l’Instruction Publique, 54 rue de Turenne (IIIe) avec son ambiance XIXe si particulière (voir notre article du 9 juin 2014). Ouverte seulement le 19 septembre de 14h00 à 18h00, une inscription préalable est nécessaire au 01 42 71 03 43.

     

    L'échauguette de l'Hôtel de Lamoignon 24 rue Pavée (IVe) (Photo VlM) 

     

    De son côté la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris installée dans l’Hôtel de Lamoignon 24, rue Pavée (IIIe) (notre article du 6 mars 2013) permettra à cet occasion de faire découvrir ses poutres peintes, le plan peint de  Fédor Hoffbauer, l'intérieur de l'échauguette et le pavillon d’Angoulême où se trouvent les gisants de Diane de France et de Charles d’Angoulême.

    La caserne des pompiers du 9 rue Sévigné (IVe) ouvre ses portes et offre aux visiteurs les belles perspectives de l’Hôtel Bouthillier de Chavigny (voir article du 9 juillet 2015).

    Nous en saurions trop insister aussi sur la visite de la Cour administrative d’appel de Paris abritée dans l’Hôtel de Beauvais 68 rue François Miron (IVe) construit par Antoine le Pautre,  inauguré par Louis XIV en 1660 et dans lequel a séjourné Mozart. L’inscription se faiten appelant le 01 58 28 90 00.

      

    Intérieur de l'Hôtel de Beauvais 68 rue François Miron (IVe) (Photo LBM)

     

    Originale aussi est la Maison du Pastel 20 rue Rambuteau (IIIe) qui organise des visites commentées sur l’histoire d’une « institution » qui a pignon sur rue depuis 1720. Un film est même prévu pour expliquer la fabrication des pastels. Réservation au 06 22 92 06 16.

    Notez que le Crédit Municipal innove à cette occasion en proposant  un jeu de piste avec de nombreux lots,  un stand de l'association "Le Rucher de Ma Tante" (voir notre article du 8 novembre 2012) autour d'ateliers et la dégustation de miel des ruches du toit de l’établissement, ainsi qu'une  exposition sur les grandes étapes de la construction de l'institution avec projection d'un film  dans la salle des ventes. Il sera possible aussi de faire expertiser gratuitement vos bijoux par des commissaires-priseurs.

    La Bibliothèque Forney située dans l'Hôtel de Sens, 1 rue du Figueir (IVe) profite de ces journées pour organiser une grande braderie de livres.  

     

    Dominique Feutry