Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Année : 2016

  • A0Les moteurs des climatiseurs du magasin Nature et Découvertes inondant de bruit le jardin du Clos des Blancs Manteaux (IVe) au 21 de la rue éponyme  (Photo JGM)

     

    Le jardin du Clos des Blancs Manteaux est d’après la note de présentation officielle qui en est faite "…inspiré du Moyen Age, il présente 250 espèces plantées organisées en petits parterres qui encadrent une belle vasque de pierre. On y trouve aussi un olivier, qui apporte au lieu un peu de la langueur du Sud. Pendant la semaine, son entrée est réservée aux écoles et aux groupes d’enfants, qui viennent y découvrir la flore mais aussi apprendre quelques "écogestes" à travers une exposition située dans le bâtiment voisin.
    Le public ne peut y pénétrer que le week-end.

    Ce jardin est pour moitié entretenu par les jardiniers de la Ville de Paris. L’autre moitié, d’une superficie de 100 m², est un jardin partagé géré par l’association "Les Jardiniers du 4e" qui y cultive collectivement sur plusieurs parcelles. On y trouve notamment des pois, tomates, herbes aromatiques, pommes de terre, maïs,… Une parcelle est réservée à l’école de la rue des Archives, et une autre, au pôle d’animation Simon Lefranc qui y anime des ateliers de jardinage et d’arts plastiques pour enfants."

    Malheureusement depuis l'ouverture du magasin "Nature et Découvertes Marais"  20 bis Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie (IVe),  notre article du 24 novembre 2015, ce havre de paix et de quiétude  est soumis au bruit fréquent des 3 moteurs de la climatisation du magasin qui débouchent à la frontière arrière du jardin.

    C'est assez agaçant et perturbant pour le voisinage, pour les personnes qui s'y promènent, pour ceux qui entretiennent le jardin et même pour les élèves qui viennent pour apprendre donc écouter si possible sans de bruit de fond.
     
    Des riverains sont allés à la rencontre des représentants du magasin afin de trouver une solution. Tout juste leur a t-il été répondu qu'une plaque pourrait éventuellement être disposée pour cacher les trois bouches en question visibles du jardin, mais qu'en tout état de cause l’installation avait été autorisée par la Ville de Paris.
     
    "Vivre le Marais !" va donc interroger la Direction de l'Urbanisme à ce sujet car il est navrant, sous prétexte qu'il s'agit d'un jardin, de laisser prospérer des installations de cette importante qui provoquent pas mal de bruit et incommodent le voisinage.  Ce cas n'est d'ailleurs pas unique,  il nous a été signalé que les moteurs de climatisation installés à l’arrière de l'immeuble abritant  l'Hôtel D'win, 20 rue du Temple (IVe), provoquaient eux aussi  des désagréments non négligeables aux occupants de plusieurs appartements d'un immeuble mitoyen situé 39 rue Sainte  Croix de la Bretonnerie.
     
    Mêmes causes mêmes effets, il est difficile de croire que pour ce deux cas, ainsi que d'autres très certainement, il ne soit pas possible d'aménager autrement les installations, ce qui éviterait ces situations qui peuvent devenir conflictuelles !
     
    Dominique Feutry
     
     
  • Bourg tibourg 35 thé français 01 03 1635 rue du Bourg Tibourg (IVe) 

     

    Harmonie des formes et des couleurs entre cette porte laquée bleue et la devanture du petit commerce de "thé français", annexe de Mariage Frères.

    Bourg tibourg alpinistes Courage, intrépidité pour ces hommes-araignées qui entretiennent l'immeuble du 23 de la rue.

     

    Bourg tibourg 23 coatzl 06 03 16Bourg tibourg 23 coatzl 06 03 16Devantures. A gauche, n° 21, magasin de prêt à  porter "Coatze" : un classicisme qui convient bien au Marais. A droite opticien "Parici" : un contraste de couleurs agréable mais la grande baie vitrée interpelle, aux côtés  de l'architecture bavarde de la porte.

     

    Bourg tibourg 12 coude fou peinture 06 03 16Bourg tibourg 12 coude fou peinture 06 03 16Restaurant "Le Coude Fou", au n° 12, et ses peintures naïves

     

    Bourg-tibourg place 21 01 16

    La rue du Bourg Tibourg rejoint la rue de Rivoli en s'élargissant par ce qu'on a coutume d'appeler une place. L'endroit est délicieux mais les terrasses des cafés-restaurants en prennent à leur aise en faisant fi des limites qui leur ont été attribuées.

    Avec un clic gauche dans les photos on obtient des images agrandies de haute qualité.

    Morale : il y a toujours quelque chose à voir et à faire rue du Bourg Tibourg !

     

  • Montmorency 4 façade 03 03 16P10807234 rue de Montmorency (IIIe). Les échafaudages ont disparu, les travaux vont bon train malgré les constatations effectuées sur place par les inspecteurs de la Ville. (Photo VlM).

     

    C'est le 28 février que nous avons signalé ce chantier qui a interpelé les riverains par l'absence de tout panneau d'affichage de travaux. Depuis, la Mairie du IIIe et la direction de l'urbanisme de la Ville sont intervenues pour signifier aux responsables du chantier que leurs travaux n'étaient pas autorisés.

    De toute évidence, cette notification leur a fait l'effet d'un emplâtre sur une jambe de bois : ils ont continué de plus belle et ce matin encore il y avait une agitation intense autour et à l'intérieur des bâtiments. La façade est quasiment achevée, à l'enseigne de "Le Loft du Marais" côté Montmorency de même que la devanture du 109 rue du Temple. Il s'agirait d'une supérette ; on peut dire une de plus dans le secteur, avec déjà un Monop' à cent mètres.

    P1080721"Le Loft du Marais", accès 109 rue du Temple (IIIe) (Photo VlM)

     

    Les dirigeants du chantier ont conté des balivernes au journaliste Philippe Baverel, qui n'a pas été dupe et publie un article sur le quotidien "Le Parisien" aujourd'hui, en lui indiquant qu'ils n'avaient pas eu l'autorisation de la mairie, certes, mais que la préfecture de police avait donné son accord. Cet accord), qui peut concerner les questions de sécurité pour des établissements recevant du public (ERP), est un des éléments du dossier sur lequel la mairie se prononce en bloc, tout comme le visa conforme de l'Architecte des bâtiments de France ; il n'est naturellement pas suffisant en soi.

    "Le Parisien" nous apprend qu'un procès-verbal va être dressé et envoyé au Procureur de la République. Il cite cette réaction de Gauthier Caron-Thibault, Premier Adjoint du Maire du IIIe : "Il arrive qu'un chantier soit entrepris sans attendre la décision de la Ville. Mais que des travaux commencent malgré le refus explicite … je n'ai pas souvent vu ce cas". Au nom du Maire de Paris, un arrêté interruptif de travaux devrait être pris, avec intervention des forces de l'ordre si nécessaire. On est attentifs à ce que ses effets se manifestent.

    Nous l'avons rappelé plusieurs fois, les infractions aux règles d'urbanisme sont du ressort du pénal et donc passibles de la correctionnelle avec inscription des condamnations sur le casier judiciaire. Dans le cas présent, les manquements sont si lourds que notre association n'hésitera pas à se constituer partie civile si le Parquet décide de poursuites judiciaires à l'encontre des responsables.

    Il faut rappeler de surcroît que nous sommes ici en secteur sauvegardé au titre du PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur) du Marais. Il n'est pas convenable d'intégrer le mot "Marais" dans son enseigne afin de la valoriser ; il faut aussi accepter les obligations qui en découlent.

     

     

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    Au premier plan, "Peinture-Monde, Blanc de titane" 2015. Série "Le cœur fait ce qu’il veut". Acrylique sur toile. Collection Leïla Voight

     

    Les spécialistes de l’art n’hésitent pas à parler d’événement,  les visiteurs sont conquis,  l’exposition du Centre Pompidou consacrée à l’œuvre de Gérard Fromanger couvrant la production de l’artiste sur les 60 dernières années est une vraie réussite. Des peintures, des sculptures,  des dessins et même des films sont à l’honneur pour cette rétrospective qui durera jusqu’au 16 mai prochain.

    On peut lire dans les commentaires qui sont formulés à cette occasion concernant ce peintre né en 1939 qu’il « … s’impose comme une figure de la scène artistique dès le milieu des années 1960. Par sa peinture figurative aux aplats contrastés, il s’inscrit dans l’esthétique de la Nouvelle Figuration, aventure à laquelle il participe, et à l’irruption de la Nouvelle Histoire…Il est l’un des fondateurs de l’Atelier populaire des Beaux-Arts en 1968, d’où sortiront tant d’affiches politiques, en soutien aux "justes luttes des camarades ouvriers qui occupent leurs usines". Par la suite, et dans le même esprit, il tournera avec Jean-Luc Godard des "films tracts", dont, il fut fameux, Le Film-Tract n°1968…Tel un journaliste, mais avec sa palette d’outils d’artiste plasticien (il aime aussi se dire artisan), il représente et commente à chaud l’actualité comme les mutations sociétales, avec une gamme de couleurs qui simplifient en aplats, pédagogiquement…On remarquera à quel point les images que propose Gérard Fromanger sont heureusement révélées par l’intervention de la couleur, et sont de ce fait en train d’attirer votre attention avec une sorte de brutalité… ».

    650from2-70fcc"Quel est le fond de votre pensée ?", 1973. Série "Annoncez la couleur". Huile sur toile, Centre national des arts plastiques, en dépôt au Musée des Beaux-Arts de Dôle

     

    Acteur d’une période récente de notre histoire Gérard Fromanger nous plonge (ou replonge) souvent, disons-le, dans un univers coloré qui a néanmoins pris quelques rides.

    Dominique Feutry

     

  • SénatLe sénat en session parlementaire

     

    Le "projet de loi relatif à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine" a été adopté en première lecture par l'Assemblée Nationale le 6 octobre 2015. Patrick Bloche notre Député du IVe, Président de la "commission des affaires culturelles et de l'éducation" avait remis son rapport le 17 septembre (notre rencontre du 18 février avec Seybah Dagoma et Patrick Bloche).

    Une disposition de ce projet de loi a soulevé la protestation unanime des associations, des élus et des professionnels du patrimoine : l'assujettissement du droit du patrimoine culturel au droit de l'urbanisme. En clair la liberté donnée sans mesure aux communes de décider du sort du patrimoine au même titre que la gestion des permis de construire.

    Avec sagesse, Patrick Bloche nous l'avait d'ailleurs laissé entendre, le gouvernement a décidé de suivre la voie tracée par le Sénat qui s'est prononcé pour une protection régalienne du patrimoine. Les sites remarquables, par exemple les centres historiques, devront faire l'objet d'un PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur) ou d'un PMVAP (plan de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine). Dans les deux cas, l'architecte des bâtiments de France conservera tout son rôle, en partenariat avec les maires.

    La loi a été votée par le Sénat le 1er mars 2016. Elle va revenir vers l'Assemblée Nationale pour deuxième lecture. C'est cette chambre qui a le dernier mot mais le texte du Sénat, selon nos informations, a eu l'accord du gouvernement ce qui laisse espérer qu'il soit voté sans changement significatif.

    Nous saisissons cette occasion pour redire à nos Députés, qui ont la responsabilité de protéger le centre historique de Paris, la confiance que nous mettons en eux pour qu'ils conservent sur le patrimoine de Paris le contrôle éclairé et désintéressé des architectes des bâtiments de France et des architectes en chef des monuments historiques dont la compétence est une garantie de préservation du patrimoine exceptionnel dont la France et Paris sont dépositaires.

     

  • FêteModèle pour Paris ? Munich, la plus grande beuverie du monde (Photo Eurojournalist)

     

    « Paris est une fête », tel est le titre figurant en page de garde du dernier numéro du magazine  trimestriel «àParis » édité par l’équipe municipale.

    Le site de la Ville en fait la promotion en ces termes « En ces beaux jours de printemps, votre magazine « àParis » revient avec un numéro qui donne le ton : Paris est une fête ! Au programme, un dossier culture qui vous propose un tour d’horizon de l’offre culturelle et festive parisienne…La Ville met tout en place afin de renforcer ce dynamisme culturel ambiant…» tout en précisant que cette offre est tous publics.

     

    79026Page de garde du numéro 57 (printemps 2016) du magazine municipal de la Ville de Paris 

     

    Preuve est faite s’il en était encore besoin que le principal objectif de la municipalité est la fête, encore la fête et toujours la fête !

    Or nous le savons bien s’il faut pouvoir s’amuser de temps à autre, amuser les habitants qui le souhaitent, en 3 mots « FAIRE LA FÊTE » (une expression qui en devient d’ailleurs galvaudée  tant elle est utilisée à mauvais escient), le quotidien de la majorité des parisiens ne se résume pas à « FAIRE LA FÊTE ».  Paris  n’est pas une fête n’en déplaise à ceux qui le pensent, le croient ou veulent le faire accroire !

    Jusqu’à preuve du contraire, une équipe municipale, quelle qu’elle soit, n’est pas élue sur des promesses de fêtes mais plutôt sur la nécessité d'une gestion rigoureuse des budgets dont elle a la charge sans alourdir la pression fiscale, sur la recherche d’un mieux vivre de ses habitants, sur la réduction de la saleté et de la pollution, sur des services qui fonctionnent correctement, sur des investissements nécessaires et utiles pour une vie facilitée. En somme une ville qui marche bien avec une équipe au service de tous et pas seulement de tel ou tel lobby.

    Alors de la fête, oui cela est nécessaire, mais la fête et seulement la fête nous disons non.

    Dominique Feutry

     

  • P1080711

     

    L’exposition est ouverte jusqu'au dimanche 6 mars et l'entrée est gratuite.

    Nous nous sommes entretenus avec la présidente de l'association "Les Peintres du Marais" Graciela Grimaldi qui a eu la gentillesse de nous piloter à travers les stands. Nos deux associations ne s'étaient jamais rencontrées encore. C'est chose faite. Nous en profitons pour dire à nos lecteurs que l'association "Les Peintres du Marais" existe depuis 1965 et rassemble 166 peintres sélectionnés.

    Son but : favoriser la création artistique et promouvoir ses artistes par l'organisation de trois manifestations : un salon annuel de prestige à l'espace des Blancs-Manteaux, des expositions permanentes à "l'atelier" 72 rue François Miron (IVe) qui accueille l'exposition de deux artistes par quinzaine, et des "Journées de la Peinture" en plein air de mai à septembre dans le Marais.

    Plusieurs toiles ont attiré notre attention, dont celles-ci :

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    A gauche : Catherine Delcan ; à droite Eric Javiol (photos VlM)

     

  • Beaubourg tuyauxLe Centre Georges Pompidou (IVe) (Photo VlM)
     

    Une fois n’est pas coutume, le Président du Centre Pompidou, Serge Lasvignes, vient d’adresser aux riverains du musée une missive par laquelle il fait état « …d’essais de désenfumage du bâtiment, pour vérifier et valider le fonctionnement du nouveau système de sécurité incendie. »

    Il ajoute qu’il s’agit « …de faire fonctionner à haut régime les extracteurs… et de vérifier  la puissance du débit d’air… ». Tout cela étant réalisé sous l’égide du bureau Veritas. Sont données aussi les dates et heures des essais (10 mars de 22h00 à 6h00, 12 et 29 avril de 7h00 à 11h00, et de 22h00 à 6h00 les 21 juin, 8 et 9 novembre).

    Nous saluons cette initiative qui n’est pas si courante en ces temps où les incivilités vont grandissantes. Une attitude courtoise et respectueuse qui à l’avenir, souhaitons le, fera des émules.

    Dominique Feutry

     

  • Ste croix 23 spyce 02 03 16Le soir derrière la vitrine un grand écran pixélisé s'éclairait, annonciateur de vacarme (Photo VlM)

     

    Tous les riverains qui depuis tant d’années ont souffert des désagréments nocturnes engendrés par le Spyce ne cachent pas leur satisfaction de voir cet établissement définitivement fermé.

    Situé 23 rue Sainte Croix de La Bretonnerie (IVe), ce bar dont la publicité indiquait qu’il « … fait danser le Marais » avait bien du mal à respecter le sommeil des habitants voisins qui n’en pouvaient plus, certains ayant quitté les lieux tant ils étaient perturbés par les nuisances sonores et lumineuses.

    Verra-t-on, à la découverte de son successeur (on parle d'un restaurant), un tournant quant à l’évolution du quartier que les marques de prêt à porter et de la mode ont largement investi ? A suivre.

    Dominique Feutry

     

  • Oies zoom"Les parisiens" tels que les conçoit Anne Hidalgo

     

    Les parisiens sont invités à se réunir la nuit du 2 avril où bon leur semble pour discuter de n'importe quoi. A un jour près, on aurait pu croire à une plaisanterie de 1er avril, mais non, voici l'invitation que la Maire de Paris lance aujourd'hui aux parisiens. Une façon nouvelle de nous infantiliser :

     


    Anne Hidalgo a souhaité l’organisation d’une « Nuit des débats » le 2 avril 2016 à partir de 18h, au cours de laquelle « les Parisiens seront invités à discuter toute la nuit pour partager leurs visions du monde, échanger, refaire le monde ».

    Paris a plus que jamais besoin d’échanges et de réflexions partagées. Par cette initiative la Maire de Paris propose aux Parisiens d’organiser ou de se retrouver dans différents lieux de la capitale facilement accessibles pour débattre.

    En tant qu’association, je vous invite à participer à cette première « Nuit des débats » en étant vous-même organisateur d’un débat le temps d’un soir, ou pourquoi pas le temps d’une nuit entière, dans vos locaux, dans un café ou dans tout autre lieu de vie.

    Si effectivement vous êtes intéressé par cette initiative, je vous invite à vous rendre à l’adresse paris.fr/nuitdesdebats où vous trouverez un « kit d’organisation des débats » qui vous aidera à penser et à organiser votre événement. Vous pourrez ensuite y faire référencer votre débat afin de le faire connaître aux Parisiens. Une cartographie de tous les débats organisés cette nuit-là est prévue.

    Pour nous faire savoir que vous souhaitez organiser un débat ou pour être mis en relation avec des lieux disponibles pour l’accueillir, ou pour nous poser toute autre question au sujet de la « Nuit des débats », vous pouvez écrire à nuitdesdebats@paris.fr.

    Je vous souhaite à toutes et à tous une première « Nuit des débats » passionnante et enrichissante tant d’un point de vue intellectuel qu’humain.
     

    Pauline VÉRON,
    Adjointe à la Maire de Paris chargée de la démocratie locale,
    de la participation citoyenne, de la vie associative,

     

     

    A noter qu'il n'est pas question que ces débats aient lieu de jour. On a le droit de discuter mais seulement la nuit …. Cette initiative ne s'adresse visiblement pas aux gens qui travaillent le jour et aspirent à se reposer la nuit.

    Nous proposons à nos lecteurs de débattre de cette invitation en déposant leur commentaire au moment qui leur convient et pas forcément le 2 avril, pas nécessairement la nuit, sur le thème : quelles sont les actions que la Maire de Paris devraient conduire en priorité ?