Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Année : 2017

  • Quincampoix 59 propre 16 04 17

    AUJOURD'HUI

     

    Une peinture non sollicitée vante maintenant les mérites de Saint-Nazaire qui se dit à juste titre "fière de ses navires". Elle s'est substituée aux tags hideux qui défiguraient ce renfoncement du 59 rue Quincampoix dans le IVe, dont on se réjouit que les services de la mairie de Paris aient décidé d'en assurer plus régulièrement l'entretien.

    Les riverains se soucient à juste titre du retour de ce genre de "street art" car il peut être le signal d'une invasion de graffiti dont le mur a déjà connu les tristes effets sur le paysage de la rue.

    Ils ont eu raison cependant de se mobiliser pour leur cadre de vie. La photo du dessous montre l'état des lieux avant leur intervention, relayée par "Vivre le Marais !" et son blog. Il s'agit désormais d'assurer la préservation de l'état du  site…. Les barbouilleurs en tout genre et ceux que la vanité pousse à inscrire leur signature partout sont priés de passer leur chemin ! S'ils voulaient bien laisser tranquille cette publicité pour Saint-Nazaire, ne serait-ce que par solidarité artisanale, beaucoup d'entre nous seraient prêts à s'en satisfaire et à les remercier.


    Quincampoix 59 le 05 11 16

    AUPARAVANT (Photos VlM/PC)

     

  • Sans-titre 1Une rue arborée à Paris (photo Paris.fr) 

     

    L’Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique, organisme français créé en 2001 dans le but d'aider à prendre en compte les problèmes liés à une aggravation du réchauffement climatique) indique dans une récente communication qu’en France, plus de trois personnes sur quatre résident dans les villes… Il ajoute que «  celles-ci sont particulièrement  vulnérables au réchauffement climatique du fait du grand nombre de personnes qui y vivent et de la concentration des établissements et des infrastructures… Ce microclimat se traduit par une élévation locale  des températures par rapport aux zones rurales voisines de 2 °C pour une ville de 1 000 habitants et jusqu’à 12 °C pour une ville de plusieurs millions d’habitants. » 

    L’Onerc précise que la manière la plus efficace de faire baisser la température de l’air urbain consiste à « augmenter la quantité de végétation en plantant des arbres et en créant des espaces verts. Une stratégie qui permettrait de réduire la température, jusqu’à -4 °C ! » 

    Planter davantage d’arbres à Paris que ce qui est prévu jusqu‘en 2020 (voir infra) dans des zones où la verdure est rare, tel le Marais, ne serait pas une action superflue bien au contraire puisqu’ils contribueraient  avec les espaces verts à réduire la température. On nous rétorque souvent quel'espace public ne sy prête pas toujours, que le sous-sol parisien est un véritable gruyère  avec ses égouts, ses tunnels pour le Métro et le RER, ses multiples conduites et câbles… et qu’en conséquence il n’est pas facile de trouver des emplacements  pour planter des arbres.  Ce genre d’argument n’a plus cure. Il s’agit d’un problème de santé publique qui nécessite l’engagement fort, actif et urgent  des politiques vis-à-vis de leurs administrés.

    Sur le site Paris.fr de la Mairie il est écrit « …Paris est l'une des capitales les plus boisées d'Europe… d’ici 2020, la Mairie de Paris plantera 20 000 arbres supplémentaires. Le patrimoine arboré géré par la Ville de Paris représente environ 100 000 arbres d'alignement (soit un linéaire d’environ 700 km planté sur les 1650 voies publiques parisiennes), 40 000 arbres dans les 490 parcs, jardins et squares municipaux, 30 000 arbres dans les 6 cimetières extra-muros et les 14 cimetières intra-muros gérés par la Ville de Paris, 6000 arbres sur les talus du boulevard périphérique, 7000 arbres dans les établissements municipaux scolaires et de la petite enfance et 4000 dans les établissements sportifs

    Les bois de Boulogne et de Vincennes comptent à eux seuls 300 000 arbres. Tout cet ensemble est géré par le service de l'Arbre et des Bois de la Mairie.

    Lorsque l’on se rend à Berlin ou à Londres par exemple, on repart avec cette impression tenace que ces 2 capitales sont plus vertes que la nôtre est que l’effort affiché à Paris bien que louable devrait être davantage ambitieux à la lumière des explications apportées plus haut par l’Onerc. Il doit prendre le pas sur bien d’autres dossiers qui n’ont pas la même acuité et dont on nous rebat mes oreilles comme cette volonté persistante de vouloir développer à tout prix le festif nocturne.

    Dominique Feutry

     

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    IMG_3156Vente sauvage de produits de la marque "Supreme" 97 rue du Temple (IIIe) 
     
     
     
     
    Les articles vendus par "Supreme",  le magasin de la rue Barbette (IIIe) qui occasionne des queues invraisemblables sur les trottoirs avec force vigiles qui règlent de fait nos déplacements jusque dans la rue des Quatre Fils IIIe (voir nos articles des 8 & 17 décembre 2016) connaissent un succès qui n'est pas sans conséquence.
     
    En effet des riverains de la rue Vieille du Temple toute proche de ce magasin ont observé un trafic de vente à la sauvette de produits de cette marque. La photographie que nous publions montre que cette vente se déroule sur le trottoir où sont stationnés des véhicules dans lesquels se trouvent  les produits et un vendeur auquel s'adressent les acheteurs occasionnels
     
    Une forme de deal qui peut aussi se dérouler square Leonor Fini, le petit jardin public qui se trouve derrière le musée Picasso.
     
    Ceci est un mauvais signe pour le quartier car ces petits trafics qui ont lieu au vu et au su de tout le monde pourraient déboucher  si aucune action n'était entreprise, sur des trafics plus importants faisant de cette section de la rue Vielle du Temple une zone de non droit…
     
    La police a été alertée.
     
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    Les-velos-smoove-n-ont-pas-fini-de-vous-faire-pedaler_1766845_667x333            Un exemple de vélo "Smoove" (photo Midi Libre)
     
      
      
    Nous avions écrit le  24 mars dernier que le marché des Vélib' pourrait échoir à un nouvel exploitant, la société Smoove en lieu et place de JCDecaux qui s'était associé pour l'occasion à la SNCF et à la RATP.
     
    C'est désormais acquis la municipalité a préféré Smoove  à JCDecaux qui n'acceptant pas la décision vient d'intenter une action à ce sujet. Les salariés de l'exploitant actuel des Vélib' ont craint pour leur emploi mais Smoove leur a assuré qu' ils seraient repris !
     
     
    Sans-titrePhoto montage de taxi "Sea Bubble" sur la Seine
     
     
    Il faut sans doute s'attendre à quelques passes d'armes encore, un recours en référé a été formulé, mais a priori les parisiens et les habitants des communes limitrophes découvriront des le début 2018 de nouvelles bicyclettes plus légères et maniables, à 30% électriques et davantage sécurisées, sachant que les dégradations des Vélib' sont le pont noir du contrat en cours. Seule inconnue encore le tarif qui sera appliqué ?
     
    Nous espérons surtout  qu'il s'agira d'un contrat gagnant gagnant entre la collectivité, le nouvel exploitant et les utilisateurs !
     
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    Autre moyen de locomotion qui va devenir réalité, les bateaux taxi "Sea Bubble" dont nous avons parlé en tant que prototypes (voir nos articles des 27 octobre 2016 et 18 janvier 2017). Cette fois l'expérimentation pratique est plus que probable puisque certains sites proposent une annonce pour recruter les futurs chauffeurs…
     
    En principe les premiers exemplaires seront mis en service dès l'été prochain.
     
    Dominique Feutry
     
  • IMG_0544Chaque week-end un dépôt d'ordures sauvage jalonne le trottoir de la rue du Grenier Saint-Lazare (IIIe) face à l'accès du quartier de l'Horloge, photo prise le 9 avril (photo VlM)

     

     

    Il nous arrive de dénoncer les dépôts d'ordures sauvages de notre quartier, reflet souvent d'un fort égoïsme et d'incivilités.

    Alors que la Maire de Paris vient juste de lancer son 3ème plan propreté (voir notre article du 14 mars 2017), ce type de d'agissement  ne doit plus trouver sa place et la DPSP (direction de la prévention, de la sécurité et de la protection) récemment renforcée de nouveaux effectifs, doit mettre tout en œuvre pour mettre de l'ordre et pénaliser les contrevenants.

    Les emplacements de dépôts sauvages doivent être identifiés et surveillés tout particulièrement sachant que le plus souvent ils sont utilisés le soir et/ou le week-end.

    Dans le Marais, sans être exhaustifs, deux points noirs ont été repérés, l'un, de loin le plus important qui empiète largement sur le trottoir, est au débouché du Quartier de l'Horloge, rue du Grenier Saint-Lazare (IIIe) (voir photo récente ci-dessus), l'autre se trouve à l'angle des rues des Blancs Manteaux et des Archives (IVe), il y a là presque en permanence un tas de saletés, le long de la bande de verdure à l'arrière des nombreuses motos stationnées devant.

    On se plaint des rats, de la saleté, on oublie souvent le comportement impardonnable d'habitants indélicats ! Vigilance et surveillance doivent permettre de les sanctionner…

    Dominique Feutry

     

  • IMG_0528 (2)Prunus et lilas en fleurs sur fond de ciel bleu dans le Jardin Anne Franck (IIIe) (photo VlM)

    Le printemps est vraiment arrivé, le jour se lève plus tôt et malgré des matins encore bien frais,  les journées sont plus agréables et plus clémentes.

    La végétation explose en ce début d'avril, les fleurs et les jeunes feuilles des arbres donnent de belles couleurs aux espaces verts où se pressent non seulement parents et enfants mais aussi oiseaux et insectes qui naissent ou sortent de leur hibernation.

    Ainsi les prunus et les lilas en fleurs du Jardin Anne Franck au fond de l'impasse Berthaud, à l'arrière de l'Hôtel de Saint-Aignan (IIIe), semblent équipés de moteurs, tant les abeilles butinent en nombre les milliers de fleurs roses et blanches qui emplissent nos yeux.

    Un moment du cycle de vie de la nature à ne pas manquer ! 

    Rappelons nous cette citation anonyme si vraie : 

     

    "L'automne est une mutation, l'hiver une lutte, le printemps un épanouissement.

     

    Note à nos lecteurs

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  •   20160425_104850[1]Stationnement illégal rue du Trésor (IVe) (photo VlM/FR)

     

    Dans plusieurs articles  (20 janvier 2014, 16 septembre et 15 octobre 2015)  nous avions déploré le mauvais état de la rue du Trésor (IVe) qui faisait la fierté de ses habitants. Ces derniers avaient signé alors une pétition pour protester contre les dégradations et abus en demandant à la mairie d’agir.  

    Les mois sont passés et aujourd’hui une amélioration est perceptible mais nous sommes loin de retrouver le niveau de qualité d’embellissement qu’a connue la rue.

    Les massifs de fleurs mieux entretenus sont néanmoins plus maigres à certains endroits, notamment au fond de la rue. Ils sont tous désormais entourés d’une  grille sauf un  par manque de budget selon la mairie. Aussi des véhicules de livraison  empruntant la rue pour stationner, ce qui est interdit (les potelets à l’entrée de la voie son alors enlevés), font-ils  demi-tour en bout de voie  car ils peuvent empiéter aisément sur le massif non protégé. La végétation est alors écrasée et doit être remplacée fréquemment. 

     20170405_103319[1]Bicyclettes accrochées aux grilles de protection des massifs de fleurs de la rue du Trésor IVe (photo VlM/FR)

     

    L’empiétement des terrasses (aucune n’affiche son autorisation pourtant obligatoire), les lumières vives de certains établissements longeant les stores extérieurs, les chauffages des terrasses fonctionnant avec des bonbonnes de gaz, le stationnement intempestif et fréquent, les vélos attachés aux grilles de protection des massifs de fleurs, les locations saisonnières et le linge pendu aux fenêtres, les livraisons fréquentes in situ, les dépôts d’ordures, les pancartes/ chaises empiétant sur le trottoir et le bruit sont les nuisances que dénoncent les riverains.

    Ils soulignent d’ailleurs une affluence de clients quasiment hors norme les week-ends et estiment que la rue appartient davantage aux exploitants qu’aux riverains, malgré l’existence d’une charte mais qu’aucun ne respecte véritablement. En un mot la rue est devenue un rue mercantile, elle a perdu le cachet qui faisait la fierté des riverains et voisins, il y a quelques années encore.

     

    20170325_110457[1]Linge mis à sécher aux fenêtres d'un immeuble de la rue du Trésor IVe (photo VlM/FR)

     

    Même la fenêtre percée n’a pas été bien rebouchée et enlaidit le mur qui ferme le fond de la voie.

    Dans ces conditions il est plus que jamais nécessaire que la mairie d’arrondissement, la mairie centrale avec la Direction de l’urbanisme, les Espaces verts et la DPSP assurent une surveillance constante de lieux que les riverains impliqués ne peuvent et ne doivent pas assurer seuls.

    Dominique Feutry

     

  •  CAM04136 La nouvelle enseigne d'escape games, 32 rue des Gravilliers (IIIe) (photo VlM)

     

     

    Nous parlions dans un article du 14 novembre 2016 de la multiplication des implantations d’espaces de co working auquel n’échappe pas le Marais. Nous n’avons en revanche jamais abordé  les installations de jeux dits « Escape games »,  c’est-à-dire des jeux d’évasion. Ils consistent pour les joueurs qui interviennent le plus souvent en équipe à être enfermés dans une pièce et à devoir résoudre en 60 minutes maximum, une série d’énigmes plus ou moins difficiles, afin de retrouver la liberté.  

    Né en Asie des jeux électroniques transposés dans le réel, ce passe-temps est très prisé des jeunes mais aussi des entreprises qui ont ainsi à leur disposition un moyen ludique pour favoriser la cohésion d’équipes (team building). 

    La France s’est très vite engouffrée dans cette activité qu’elle a haussée vers des prestations plus haut de gamme, souvent en utilisant des thèmes (cinéma, histoire …).

    Le Marais compte plusieurs adresses appréciées des joueurs. La plus ancienne est « Hinthunt Live Espace Game » (62 rue Beaubourg – IIIe) qui est une franchise très connue. Les autres sont « Hinthunt-Submarine »,  68 rue des Archives (IIIe) et « Escape Game Paris Prizoners », 15 rue Quincampoix (IVe).  Très récemment c’est  rue des Gravilliers (IIIe) où les commerces changent rapidement ces derniers  temps que vient d’ouvrir au n° 32, en remplacement d’un ancien grossiste, une nouvelle enseigne, « Escape Game Cub » dont la publicité indique qu’il s’agit du plan grand « escape game » de France !

    Notons au passage qu'il s'agit de jeux d'intérieur qui peuvent se pratiquer à toute heure, sans risque de perturber tout un quartier ou une rue sous prétexte de fête.  

    Alors avis aux amateurs d’énigmes qui ne sont pas claustrophobes.

    Dominique Feutry

     

  • ImageLe Centre Pompidou et la piazza inhabituellement désertés en raison de la gréve

     

     

    Après 10 jours de fermeture déjà, le Centre Pompidou connait une grève particulièrement dure et longue au moment même où il fête ses 40 ans.

    Une partie du  personnel, sur les 1.200 que compte l’établissement, refuse le statut de fonctionnaire entrant en vigueur à partir du 1er avril suite à la publication du décret d’application d’une loi proposée par le ministère de la fonction publique et votée  l’an dernier (statut qui ne s’appliquera pas au corps des conservateurs).  Ce changement qui remplacera  le statut plus avantageux de contractuel concerne en fait les nouveaux embauchés à compter de cette même date.  

    Le refus de cette modification serait justifié d’après les grévistes par le fait que le salaire serait de 20 à 30 % moindre que celui d’un contractuel outre, est-il avancé, une progression de carrière qui se trouverait aussi freinée.

    Certains prônent un report de la loi pour déboucler la situation qui est aux mains des pouvoirs publics (en particulier le ministère de la culture) et non plus dans celles des responsables du musée.

    Il est certain que cette situation inhabituelle perturbe les habitués de la bibliothèque mais aussi les touristes et les visiteurs dont beaucoup avaient réservé leur billet. Les manifestations prévues ont dû être annulées, y compris, au dernier moment, le dîner de gala réservé aux donateurs, bienfaiteurs et sponsors à l'occasion des 40 ans du Centre.

    Cet anniversaire se trouve en conséquence attristé et la fête est gâchée. Cette situation inédite crée une ambiance qui contraste fortement avec l’animation habituelle caractérisant les lieux, fort de ses 15.000 visiteurs quotidiens.

    Dominique Feutry  

     

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    Sans-titre"Le lapin agile", le cabaret emblématique de Montmartre
      

     

    En partenariat avec "Vivre le Marais !"

     

    CULTURE ET PATRIMOINE
    PARIS – MARAIS

    Vous propose la visite du Montmartre insolite : Jeudi 27 avril

     

    Rendez-vous à 14h15 à l’arrêt du funiculaire en haut de la Butte (durée environ 2h)
    Métro Anvers puis suivre les indications jusqu’au funiculaire

    Le "Lapin Agile", en contrebas des vignes de la butte. Sylvain Solustri, notre guide, vous fera découvrir une Butte que vous ne connaissez pas. On croit tout savoir de Montmartre et pourtant la butte, annexée à Paris en 1860, a une Histoire bien méconnue avec petits et grands évènements : les Dames Chanoinesses troublées par les exploits du Vert Galant, la Commune, l'occupation russe de 1814, l'évasion en ballon de Gambetta, la construction du Sacré-Cœur, le temps des grands cabarets qui faisaient accourir tout Paris…

    La butte recèle aussi de nombreux secrets et des lieux ignorés tels que le Passe-muraille, les vestiges de la forêt qui recouvrait la butte, le Lapin Agile, l'épicerie d'Amélie Poulain… De nombreux artistes ont résidé ou résident toujours en ce lieu magique tels Dalida dont nous pourrons voir la maison devenue aujourd'hui un véritable lieu de pèlerinage. Et l'église Saint Pierre, l'une des plus anciennes de Paris et ses splendides vitraux contemporains. Et le charmant musée de Montmartre qui a failli fermer et qui doit sa survie à la mobilisation des habitants. Vous pourrez aller le visiter à l'issue de notre promenade guidée. 

    Et que sont donc devenus les nombreux moulins qui jalonnaient la butte ? ….

    A l'écart de la place du Tertre et des quelques rues envahies par les visiteurs, c'est un quartier de Paris plus calme et plein d'Histoire et d'histoires que vous allez découvrir. Mettez de bonnes chaussures car les pavés sont parfois traitres … 

    Merci de prévenir de votre venue et du nombre de personnes qui vous accompagneront Marie-Françoise Masféty-Klein par mail mfmk@free.fr <http://> ou par téléphone 01 42 72 61 41 et de prévoir une participation de 15 euros pour les adhérents de Culture et Patrimoine et de 20 euros pour les non adhérents à remettre en début de visite.