Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Année : 2017

  • ImageUn taxi SeaBubble filant sur la Seine

      

     

    Annoncé à grands renforts de publicité, après un essai en mai dernier, les fameux SeaBubbles (voir nos articles des 27 octobre et 18 janvier 2017), ces bateaux volants électriques qui allaient  révolutionner la navigation sur la Seine et que la mairie de Paris avait adoubés pour une exploitation dès cette année Paris, ne vogueront pas sur les eaux de la capitale.

    Pour des questions financières, les constructeurs n’ont pas pu aboutir à un accord avec le Port autonome de Paris. Par ailleurs la limitation de la vitesse arrêtée par le Préfet ne permettrait pas aux bateaux d’exprimer toute leur puissance. Enfin, autre point et non des moindres, les détritus flottant sur la Seine peuvent endommager les bateaux.

    C’est finalement le Lac Léman qui a été retenu pour une première exploitation de ces taxis d’un nouveau genre et des marques d’intérêt ont été montrées par Dubaï !

    Faut-il regretter que Paris soit écartée par les constructeurs de ces bateaux ? Non car nous étions dans l’anecdotique avec cette expérimentation, mais une nouvelle fois le dossier n’avait pas été suffisamment travaillé puisque l’on découvre des points de désaccord et des difficultés qui auraient pu être davantage anticipés.

    Dominique Feutry

     

  •  18luuo8xjl042pngVers la suppression des feux tricolores

     

     

     

    La question de la suppression des feux tricolores n’est pas nouvelle.  Le très célèbre MIT (Massachusetts Institute of Technology) en a fait un sujet d’études.  Plusieurs grandes villes (Philadelphie, Bordeaux, Lyon) ou des villes moins importantes (Abbeville…) l’ont expérimentée avec de résultats probants et le Conseil de Paris a adopté le pirncipe dans la foulée, en février dernier, dans le cadre du grand plan piéton. 

    Une expérimentation de 6 mois vient d‘être annoncée, elle débutera en novembre dans le XIVe arrondissement où 7 carrefours, non loin de la gare Montparnasse, seront dépourvus de feux.  

    Pourquoi  supprimer les feux tricolores ?

    Une telle décision en effet  peut apparaitre  a priori saugrenue. Mais à regarder de près, les raisons qui président ce choix montrent que l’arrêt des feux entraine moins de pollution, moins de bruit et paradoxalement moins d’accidents. 

    Moins de pollution car les véhicules qui s’arrêtent et redémarrent fréquemment consomment davantage de carburant et polluent donc plus. Moins d’arrêt, c’est aussi moins de bruit. Quant à la sécurité des piétons,  les tests démontrent  qu’avec des « cédez-le-passage », les conducteurs sont plus vigilants alors que lorsque le feu passe à l’orange, les conducteurs ont souvent tendance à accélérer… Enfin dernier avantage, le trafic est plus fluide.  

    10 000 accidents en moyenne sont recensés en France chaque année aux feux tricolores ! 

    L’adjoint en charge des Transports à la Maire de Paris, Christophe Najdovski, a annoncé qu’une évaluation serait faite (la Ville de Paris a prévu aussi de mesurer la pollution et les niveaux de bruits, de jour et de nuit) dans le XIVe. A l’issue de celle-ci, précise-t-il,  si ce pilote s’avère concluant, l’extension des suppressions de feux concernerait les carrefours à faible trafic.  Le Centre d’Etudes et d’Expertise sur les Risques, l’Environnement, la Mobilité et l’Aménagement (CEREMA) recommande la mise en fonction de feux dès qu’une « rue à 50 km/h voit passer 800 véhicules par heure ».  

    Ce sont surtout les rues à Zone 30 sur lesquelles porte la réflexion de suppression des feux.  Il y a bien longtemps des villes, Nancy par exemple, avaient déjà tenté de limiter la vitesse en réglant les feux de sorte qu’en roulant à 30 km/h si le trafic restait fluide,  l’automobiliste ne rencontrait plus que des feux tricolores verts.

    Reste à montrer que les automobilistes seront disciplinés, que les incivilés seront en baisse et que le nombre d'accidents sera significtivement réduit. Le changement de paradigme devra s'accompagner de comportenements  aux antipodes de ceux que nous constatons chaque jour. 

    Quant au choix des carrefours du Marais qui pourraient être concernés à l'avenir par cette mesure, nous espérons que les habitants seront consultés préalablement ?  

    Dominique Feutry

     

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    A2Les installations extérieures du musée Picasso, sources de nuisances sonores pour les riverains 

     

     

    Le musée Picasso renoue avec les incivilités. Durant tout le week-end, il a gâché la vie des habitants des immeubles aux alentours de son jardin où une tente a été installée pour accueillir des invités. 

    Une musique de "piano bastringue"en boucle, le brouhaha des invités et un générateur tournant à plein régime ont eu raison de tranquillité du quartier. Les riverains, bien qu’équipés de double vitrage qui s’avère insuffisant face à l'intensité des décibels, craignent que cette installation soit pérenne et ont demandé au Président du musée Laurent Lebon de cesser ces manifestations.

    A4La tente installée dans le jardin du musée vue de la rue des Coutures Saint-Gervais

     

    Il est inadmissible en effet de faire subir aux riverains les conséquences collatérales des besoins de financement du musée dont l'essentiel des ressources est assuré par des subventions. A ce titre tous les voisins perturbés paient donc deux fois, via leurs impôts d'une part et en subissant les nuisances qui leur sont imposées d'autre part comme le ferait un suzerain donnant des fêtes en son château au mépris de la plèbe des alentours.

    Passé le cocktail, le brouhaha des invités sortant de la tente pour entrer dans le musée est insupportable comme l'est ensuite le bruit de rangement du traiteur…

    On peut aussi se poser la question de la légalité de cette installation qui défigure la façade d'un monument historique. Celle-ci n'est pas plus acceptable que ne l'était l'hideuse pergola qui a été démantelée.

     

    A1Le soir la fête continue 

     

    Il est surprenant que les importants travaux de rénovation qui ont coûté plus de 60 millions d'€ aux contribuables avec achat à prix d'or d'un immeuble rue des Quatre Fils pour y installer les services administratifs n'aient pas prévu la création d'une salle pour organiser manifestations et soirées?

    La presse a été alertée, une plainte va être déposée et "Vivre le Marais !" a informé les autorités compétentes de cette privatisation de fait de tout un quartier, sur la simple instigation d'un musée et de sa direction pour le bon plaisir de quelques "happy few" qui ne résident pas sur place et s'insurgeraient très certainement face à de tels agissements prés de leur lieu de résidence !

    Il serait intéressant que le Maire du IIIe en tant que membre du conseil d’administration du musée se préoccupe de faire cesser ces nuisances sonores qui indisposent de plus en plus ses administrés habitant aux alentours. Nous savons que la préfecture de police de son côté a été pressante à l'égard du président Laurent le Bon qui s'est efforcé d'apporter des apaisements, dont nous attendons avec attention les effets.

     

     

  • A5La boulangerie 34 rue de Montmorency IIIe (photo VlM) 

     

     

    Restée "dans son jus" depuis fort longtemps, la boulangerie du 34 rue de Montmorency a subi peu de transformations, ce qui lui donne cette allure un peu désuète et bien plaisante des années 50 qui redevient tendance. 

    Elle vient de fermer subitement ses portes. Tous les habitants du quartier sont surpris et dépités de perdre ainsi cette véritable institution, d'autant que ce côté ouest de la limite du Marais a vu disparaître nombre de ses boulangeries.

    Celle qui jouxtait l'Hôtel de Montmort rue du Temple (IIIe) est devenue un magasin de gros de souvenirs, Puis une autre, 13 rue des Gravilliers (IIIe), après une succession d'activités de gros, est désormais un salon de thé-restaurant, " Café Ineko" (voir notre article du 20 juillet 2017). Il y a peu enfin au n° 29 de la même rue, la boulangerie-pâtisserie du n° 29 a été transformée en laverie automatique (voir notre article du 22 février 2017).

    Cela fait beaucoup dans un secteur peu étendu. Si la boulangerie de la rue de Montmorency ne conserve pas à l'avenir son activité alors tous les clients seront bien malheureux de devoir changer leurs habitudes. 

    Dominique Feutry

     

  •   A1Plaques anti incivilités apposées dans les rues d'une commune italienne (photo GDV) 

     

     

    Au détour d'un voyage en Italie un membre de notre association a relevé une initiative intéressante de la part d'une municipalité. Des plaques en faïence sont apposées dans différents endroits de la cité afin de rappeler aux habitants et aux visiteurs leurs droits et leurs devoirs à l'égard des autres. 

    Il est inscrit en toutes lettres comme le montre la photo ci-dessus :  

     

    "La propreté et le calme sont des signes de civilité. Respectons-les"

     

    Il s'agit en réalité du simple rappel des règles normales du bien vivre en société. Nos édiles qui prônent la prévention, les méthodes douces et la pédagogie seraient bien inspirés de copier cette idée qui là où elle a été expérimentée produit ses effets dans le sens recherché… Pourquoi ne pas tenter la même chose en procédant à des tests dans le Marais dans un cadre à définir avec des riverains ?  

    Vivre le Marais ! est prêt à promouvoir ce type d'action.

    Dominique Feutry

     

  •    A1Un magasin éphémère 28 rue des Rosiers (IVe) (photo SM) 

     

     

    Nous voyons fleurir régulièrement des magasins éphémères ou "pop up stores". Un tendance qui s’accélère vu le nombre de points de vente de ce type que l'on rencontre à Paris et plus particulièrement dans le Marais où les touristes abondent (rue Saint-Martin, rue des Rosiers, rue de Turenne, rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, rue Beaubourg…).  

    Pour certaines marques il s'agit d’un mode de communication pour lancer de nouveaux produits, un moyen d'écouler des fins de saison. Il arrive aussi que ce soit des officines qui ne vendent que sous cette forme comme nous l'avons souvent dénoncé à propos des marchands de tapis et de leur lot d’affiches sauvages qui peuvent inonder tout un quartier. Quant aux propriétaires des locaux c'est une façon des les rentabiliser dans l'attente par exemple de travaux ou de l'arrivée d'un nouveau locataire. Certains commerces ayant pignon sur rue utilisent les mêmes méthodes permettant d'attirer le chaland via les réseaux sociaux.  

    Ces installations de quelques jours perturbent la plupart du temps l’environnement immédiat par la distribution de flyers et prospectus, l'apposition de pancartes/affiches ou tout simplement par les "décorations" des vitrines qui jurent avec celles des autres commerces tout proches.  

     

     

    A1File de clients alertés par une vente privée via les réseaux sociaux 79 rue  Vieille du Temple (IIIe) le 21 octobre (photo JFLB)

     

    La réglementation existe en matière de sécurité, de vitrines, de PSMV, de droit du travail, d'occupation de l'espace public lorsque des files de clients se forment sur le trottoir empêchant les piétons de circuler et les obligeant à marcher sur la chaussée (voir photo ci-dessus)…

    Est-on sûr qu'à chaque fois toutes ces règles soient respectées et les autorisations nécessaires obtenues ?

    La DPSP la nouvelle brigade contre les incivilités a fort à faire en la matière et nous ne manquons pas de lui signaler, ainsi qu'à la police si besoin, les dérives que nous constatons ou qui nous sont rapportées par nos membres.

    Dominique Feutry

     

  • A1Statues des 2 architectes Renzo Piano, l'homme assis et Richard Rogers par Xavier Veilhan (photo VlM) 

     

     

    Inaugurées par Christophe Girard, le maire du IVe pour quelques jours encore et par Serge Lasvignes, le président du Centre Pompidou, les statues des 2 architectes Renzo Piano, l'homme assis et Richard Rogers, l'homme debout (debout) qui ont réalisé Beaubourg voilà 40 ans, sont définitivement installées place Edmond Michelet (IVe)

    Cette réalisation très moderne en acier inoxydable peint a été exposée à la galerie Perrotin qui a participé à son financement avec le groupe  Costes propriétaire notamment du Café Beaubourg (IVe). Elle est l’œuvre du sculpteur  Xavier Veilhan. 

    Propriété du Musée national d’art moderne, l'ensemble mesure 2,60 m de haut sur un socle à plus de 5 m de hauteur. La mairie du IVe a profité de cette installation pour réaménager la place qui améliore ainsi son allure. 

    Interrogé, le sculpteur estime que ces statues de couleurs vertes différentes face au Centre Pompidou " viennent s’inscrire dans la perspective de la vue extérieure du musée…"

      

    IMG_0981La placette à l'angle des rues Saint-Martin et du Cloître Saint-Merri (photo P)

     

    Si la Mairie a mis quelque argent pour réaménager a minima cette placette, elle ferait bien de prendre en main, à quelques dizaines de mètres de là,  une autre placette devenue une sorte de terrain vague qui sert à peu près  à tout, dépose fréquente d’ordures, stationnement de 2 roues,de camping-car, installation de SDF, des bancs maculés de tags et autocollants, mur lépreux etc… Le contraste est saisissant. 

    Nous sommes à l’angle des rues Saint-Martin et du Cloître Saint-Merri (IVe)  sur le côté  de l’église Saint-Merri. Il est intolérable que l'on puisse laisser cet endroit dans un tel état de saleté et d'abandon à la vue des habitants et des touristes si nombreux. Il  y a là une question de salubrité publique !

    Dominique Feutry

     

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    Jean_benet_dtppJean Benet Directeur de la DTPP (photo RVP)

      

     

    Pour sa 8ème édition du Comité Local des Usagers, le Directeur de la Direction des Transports et de la Protection du Public (DTPP) de la Préfecture de Police,  Jean Benet, entouré de ses principaux collaborateurs avait convié nombre de représentants d'organisations professionnelles et d'associations d'usagers. Plusieurs membres  du réseau Vivre Paris ! étaient présents dont Vivre le Marais ! Assistaient aussi à la réunion des responsables de la Préfecture et de la Mairie de Paris. 

    Les sujets les plus importants ont porté sur la nouvelle répartition des compétences avec la Mairie de Paris et la communication de statistiques intéressantes relatives à la DTPP. 

    Il a été ainsi confirmé que la Mairie de Paris avait désormais compétence sur les périls en immeuble d'habitation et la salubrité des bâtiments à usage d'hébergement. Il en est de même pour les fourrières et d'une partie des attributions de l'ex BACN regroupées au sein du BANP (Bureau d'Action Contre les nuisances Professionnelles) de la Ville de Paris qui a autorité dorénavant sur les nuisances sonores et olfactives émanant d'une activité professionnelle. 

    Aucun changement de rattachement n’est intervenu pour les objets trouvés, le traitement des signalements de nuisances dues à la diffusion de musique (il est recommandé d'utiliser l'adresse mail : musiqueamplifiee@interieur.gouv.fr),  le contrôle des établissements et locaux recevant du public et diffusant de la musique

     

    Mairie-de-Paris

     

    Des statistiques intéressantes relatives à l’année 2016 ont été commentées. Il a été noté une baisse du nombre de mesures administratives (-4,40 %) à l’encontre des débits de boissons en raison semble-t-il de davantage de contrôles opérés. Les demandes d’autorisations d’ouverture de nuit (445) sont en nette diminution (- 15,40%). 

    6 000 déplacements ont été recensés dans le cadre de la lutte contre les nuisances avec 2 500 établissements contrôlés. 202 0000 enlèvements fourrières  (221 000 en 2015) ont eu lieu et dans le même temps, 60 000 usagers se sont rendus au Bureau des objets trouvés et fourrières. 

    La DTPP a souligné combien elle attachait de l’importance aux vecteurs d’informations à destination des usagers et aux efforts qu’elle menait pour améliorer la qualité de ses services (site Internet, réseaux sociaux, blog, applications mobile…).  

    Au fil des questions posées, nous avons compris qu’il était difficile de trouver des solutions face à la mendicité, que le n° d’appel 34 30  mis en fonction à la demande du Préfet le 18 janvier 2017 pour les objets trouvés était plus efficace  (14 500  appels recensés au 30 septembre depuis mi-janvier). 

    Des restitutions d’enquêtes de satisfaction plutôt favorables par service ont clôturé ce comité annuel dont le principe est apprécié des participants.

    Dominique Feutry

     

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    IMG_1227"Clearing" de Sébastien Black (photo VlM)

     

     

    Comme toute exposition d'art contemporain, le visiteur trouve ce qui lui plait et ce qui peut le choquer,  ce qui l'interpelle et ce qu'il ne comprend pas. Il admire le travail de recherche fourni par certains artistes ou bien leur créativité et s'étonne de voir exposés telle ou telle construction, tel ou tel symbole qui rappellent un événement, un épisode de vie ou un moment fixé sur la toile.

    A la FIAC  qui se tient une nouvelle fois cette année dans le site grandiose du Grand Palais du 19 au 22 octobre, parmi les milliers d'accrochages, se trouvent des œuvres qui en leur temps ont créé polémique et sont devenues avec les années de grands classiques. C'est ainsi que plusieurs galeries exposent des Picasso, Derain, Delaunay, Léger, Miro et Le Corbusier…

     

    IMG_1287Le déjeuner sur l'herbe de Manet revisité par Yan Pei-Ming  (photo VlM)

     

    Et comme cela est souligné, "fraîcheur, diversité et pertinence" dominent la 44ème édition de cette foire très internationale qui est aussi hors les murs, au Jardin des Tuileries, au Musée national Eugène Delacroix et sur la place Vendôme.

    Des copies réalisées à l'aune des courants actuels donnent une touche bien sympathique,  comme le "Déjeuner sur l'herbe de Manet" revisité en noir, gris et blanc par Yan Pei-Ming et présenté par la galerie Thaddaeus Ropac.  Des bottes en bois sculptées dans la masse et en relief dont l'auteur n'était pas indiqué attirent l'attention par leur côté décalé mais d'une belle qualité d'exécution.

    Au détour des différentes galeries, un foisonnement de couleurs chatoyantes animent les pièces présentées.

    Le design est aussi mis à l'honneur grâce à 5 galeries reconnues internationalement. 

    Un exposition à visiter

    Dominique Feutry

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    A1La boucherie du 37 rue des Archives au soleil couchant (IVe) (photo VlM)

      

     

    Le 31 juillet dernier notre blog titrait "Fin de partie pour la boucherie de la rue des Archives". Depuis quelques jours par un miracle inattendu, ce commerce très apprécié des habitants a ouvert à nouveau ses portes pour la plus grande joie de ceux qui pensaient comme nous qu'il en était fini de cette boucherie.

    En fait ce sont des Oléronais, David Taillet et Christel, qui depuis 10 jours accueillent les clients de cette enseigne bien connue dans le quartier.

    Exerçant sur l'Ile d'Oléron, les nouveaux exploitants ont souhaité équilibrer leur activité qui est surtout importante à la belle saison mais connait un creux en automne et en hiver, en reprenant cette boucherie en plus qui sera donc fermée durant les vacances d'été. A ceux qui ont pour habitude de passer leurs vacances estivales en Charentes Maritimes, ils pourront retrouver leur boucher parisien sur les marchés de La Bree les Bains et de Saint-Denis d'Oléron.

    Les viandes, la charcuterie, des produits traiteurs appétissants viennent tous de cette belle région. 

    Alors avis aux amateurs de produits régionaux de qualité.

    Dominique Feutry