Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Année : 2018

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    Quincampoix 101 résid; hôtelière 25 04 18Rue Quincampoix au n° 101 (IIIe) : un local commercial qui se destine désormais à l'hébergement hôtelier

     

     

    Le propriétaire de ce local commercial qui comprend un rez-de-chaussée et un entresol sur rue se dispose, comme beaucoup d'autres, à le transformer en "résidence hôtelière". On va devoir s'habituer à ce concept qui s'inscrit aux côtés de la location saisonnière de la résidence principale. Celle dont on a beaucoup débattu à propos des 120 jours…

    En réalité, tandis que ce sujet occupait la scène, de nombreux propriétaires de locaux commerciaux dans nos quartiers, ceux-là dont on s'est beaucoup plaint dans les années 2000 car ils géraient des entrepôts d'articles inflammables et alimentaient un trafic de camions de livraisons préjudiciable à la tranquillité des résidents, se retrouvent aujourd'hui avec de larges espaces disponibles.

    Ils ont réalisé, avec l'explosion du tourisme de masse et la demande d'hébergement qui en résulte, qu'ils disposaient là d'une nouvelle source potentielle de revenus, pourvu qu'ils fassent les transformations nécessaires. A leur égard les contraintes municipales qui visent les propriétaires de leur résidence principale ou les investisseurs de logements locatifs meublés dont le statut "commercial" est quasiment impossible à obtenir, ne les concernent tout simplement pas.

    Car ils ont déjà le statut commercial.  Il n'est donc pas nécessaire pour eux de l'obtenir de la mairie de Paris, avec à la clé des compensations qui sont une course d'obstacles digne d'un steeple chase. Il n'y pas lieu non plus d'affronter le syndicat des copropriétaires qui peut s'opposer à l'exercice d'une activité de nature commerciale dans des logements dont la destination originelle est l'habitation.

    En clair pour eux la voie est libre, pour autant qu'ils respectent les dispositions nouvelles qui obligent le loueur à se déclarer en mairie et cela va de soi à déclarer ses revenus et payer ses impôts.

    Faut-il s'en alarmer ? A priori pas nécessairement. Les activités du passé, la vente en gros essentiellement, n'étaient pas propices à la qualité de vie et à l'environnement. Elles se sont largement déplacées vers des territoires qui, comme Aubervilliers, offrent un cadre beaucoup plus favorable à leur épanouissement qu'il s'agisse de la place disponible ou des facilités d'accès. L'accueil de touristes ne comporte pas que des avantages mais c'en est fini au moins de ces nuisances-là et on peut penser que d'autres destinations, la restauration par exemple, auraient aussi leurs inconvénients.

    Il faut rappeler que les résidents ont toujours leur mot à dire contre un comportement de nouveaux venus non respectueux de leur tranquillité. Ils peuvent le faire sur la base du règlement de copropriété qui généralement inclut des dispositions qui protègent les résidents et par référence au code de la santé publique avec intervention de la Préfecture de police si les niveaux de bruit constatés sont passibles de procès-verbaux.

     

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    Thibault couleur 2Thibault de Damas

     

    La deuxième édition des "Moments Lyriques du Marais" qui propose un concert-récital chant-piano le 3 mai à l'église des Blancs-Manteaux, aura pour thème "Airs et Duos Célèbres d'Opéra". Pour la voix d'homme, nous avons sélectionné Thibault de Damas, baryton-basse, dont nous avons fait la connaissance au concours international de Canari où il a été en 2017 finaliste. Il se produira aux côtés de la soprano Pauline Feracci et sera accompagné par Magali Albertini.

    Thibault de Damas est entré en musique par la pratique de la flute traversière mais c'est au studio de l'Opéra national de Lyon dont il est membre entre 2013 et 2016 qu'il travaille et perfectionne le chant auprès de Jean-Paul Fouchécourt. Durant cette période, il participe à de nombreuses productions de l'Opéra.

    Parallèlement, le Festival des Escales Lyriques lui confie, à l'été 2014, le rôle de Figaro dans les "Noces" de Mozart, un rôle qu'il reprendra l'année suivante au Ticino Musica Festival (festival musical du Tessin – Suisse).

    La saison dernière, on l'a entendu à l'Opéra national de Lorraine à Nancy dans le rôle de Iñigo de L'Heure Espagnole de Ravel et à l'Opéra national de Lyon dans le rôle du Chêne et du Fauteuil dans l'Enfant et les Sortilèges du même Ravel et dans le rôle d'Hercule dans Alceste de Gluck.

    Cette saison, il s'est produit à l'Opéra de Lille dans Le Roi Carotte d'Offenbach, et en tournée avec le Centre Français de Promotion Lyrique, dans Bartolo du Barbier de Séville, et avec l'ensemble Contraste dans la partie de basse solo du Requiem de Mozart.

    Pour notre plaisir, il sera tour à tour Don Giovanni, Leporello, et Papageno personnages de Mozart, Don Pasquale de Donizetti, Don Basilio dans l'air de la calunnia du "Barbier" de Rossini, Ralph de La jolie fille de Perth de Bizet et enfin rien de moins que Jupiter et son duo dit "de la mouche" avec Eurydice dans Orphée aux Enfers d'Offenbach.

     

    Église des Blancs-Manteaux,  12 rue des Blancs-Manteaux (IVe) le 3 mai  à 20h30.

    Entrée : 20,00 € par personne, placement dans l'ordre des réservations au 06 80 88 87 10

    Réservez aussi vos places sans tarder : 

    • par chèque à l'ordre de "Vivre le Marais !"  6 rue des Haudriettes – 75 003 – PARIS
    • par virement bancaire compte IBAN
      FR05 2004 1000 0127 8174 2N02 013
    • par Paypal (cliquer gauche sur le bouton "faire un don" et entrer le montant total du paiement)

     

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    Scoot libéScooters sur trottoirs (Photo "Libération")

     

     

    L'association nationale "Droit du piéton" dont nous sommes membre depuis des années, présente et active comme nous dans "Vivre Paris !", vient de changer de nom. Elle s'appelle désormais "60 Millions de piétons" pour rappeler sa cible, comme d'autres organismes de défense de consommateurs l'ont fait. A défaut d'être originale, cette appellation est sans doute plus porteuse du message que ses dirigeants cherchent à véhiculer : l'espace public doit être préservé contre ceux qui se l'accaparent ou s'y comporte avec incivisme. C'est le cas des trottoirs dans nos villes, envahis par les terrasses de bars-restaurants et les deux-roues en mouvement et en stationnement.

    Nous devons à "60 Millions de piétons" aujourd'hui une nouvelle que la presse parisienne a reprise : la création de "Ras le Scoot…", un collectif parisien d'associations qui s'élèvent précisément contre le comportement des scooters. Le quotidien "Le Parisien" du 22 avril lui consacre un long article et "Libération" lui emboite le pas.

     

    LoufLaurent Louf, porte-parole du collectif "Ras le Scoot" (Photo "Le Parisien"/G.P.)

     

    Le nom est un peu "trash" de notre point de vue car il exprime un fort sentiment de rejet, alors que le sujet mérite une analyse simplement objective. Nous en parlons régulièrement, en énumérant nos griefs : la gratuité du stationnement qui crée une distorsion très forte en faveur de ce mode de déplacement au détriment d'autres plus écologiques ; le refus de se plier au contrôle technique, qui laisse circuler des engins polluants et bruyants ; une tolérance coupable du stationnement sur les trottoirs et de l'utilisation de ces trottoirs, des sens interdits et des couloirs de bus. Les abus qui en découlent rassemblent dans un rejet sans discernement tout ce qui roule dans nos villes sur deux ou trois roues.

    La Maire de Paris et ses Adjoints ainsi que la Préfecture de police en ont conscience mais la "Fédération Française des Motards en Colère les font régulièrement plier car ils possèdent l'arme redoutable de créer des embouteillages monstres et extrêmement dérangeants.

    Les deux-roues motorisés sont près de 4 millions en France, dont un tiers seulement de scooters. Les autres sont des cyclomoteurs ou des motos. En stigmatisants le scooter, ne jette-t-on pas l'opprobre sur une classe d'utilisateurs dont tous ne méritent pas des reproches, en ignorant le comportement trop souvent discourtois, irrespectueux et toujours dangereux de ceux qui pilotent des gros cubes ?

    "Ras le Scoot" a le mérite toutefois de créer un choc médiatique salutaire à la cause des citadins. A ce titre, nous sommes prêts à nous y associer en considérant que le sobriquet s'applique à l'ensemble du parc, du cyclomoteur à la grosse cylindrée.

    GS

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    Bd crime

    Fleurissement du pied des arbres boulevard du Temple (IIIe) ex "boulevard du Crime". Une initiative Évelyne Dress, membre de l'association

     

    Petite place

    Place de Thorigny : les exploitants du café "La Petite Place" en prennent à leur aise avec l'occupation de l'espace public. Les consommateurs apprécient, les piétons un peu moins….

     

    Temple 24 enene 21 04 18

    Un nouveau commerce rue du Temple (IVe). Il remplace "Mr B Paris – (Leather & Rubber) qui a fermé. On ne regrette pas trop sa devanture agressive. A la place : ENENE. Pourquoi ce nom ? Il s'agit de N et N comme "nouveaux navigateurs" prononcé à la portugaise. Un "concept store" spécialisé dans les produits de ce pays qu'on aime : le Portugal. Un peu caverne d'Ali Baba avec des choses à se mettre sur le dos, d'autres sous la dent…. Un franc succès en nombre de visiteurs ce samedi d'avril. Nous n'y avons pas résisté nous-mêmes, avec l'achat d'une paire de baskets cuir à 150 € et une remontrance amicale au gérant qui distribuait des tracts tandis que les services de la propreté s'acharnaient à les extraire du caniveau…

     

  • Justice-balanceDura lex, sed lex…

     

     

    <Service-public.fr>, le site site officiel de l'administration française, a publié le 13 avril une information qui intéresse ceux qui, locataires, souffrent de troubles de jouissance du bien dont ils ont la disposition. Le propriétaire est responsable envers le locataire des troubles de voisinage causés par les autres locataires ou occupants de l'immeuble.

    C'est ce que rappelle la Cour de Cassation dans une décision du 8 mars 2018.

    La décision concerne, si nous comprenons bien, un bailleur social qui a la charge d'un immeuble dont un locataire se plaint de nuisances sonores causées par un autre locataire. Le cas ne doit pas être rare mais la jurisprudence ainsi créée devrait être applicable aux nuisances causées par un immeuble adjacent ou voisin dont le propriétaire est différent.

    La question n'est pas innocente car elle concerne la rue Pierre au Lard (IVe). Les nuisances proviennent d'une extension du bar-restaurant le Who's, 14 rue St Merri et elles affectent des résidents du 16 de la rue, dont l'immeuble est propriété du bailleur social Paris-Habitat, et des résidents du 12 rue St Merri et du 24 rue du Renard. Il y a dans ces adresses un immeuble adjacent et deux immeubles voisins mais séparés par le boyau que constitue la rue Pierre au Lard.

    Si l'on se fie à la décision de la Cour, Paris-Habitat peut être mis en demeure de conduire de son côté une procédure à l'encontre de l'exploitant visé par la plainte des riverains, pour autant que l'affaire entre dans le champ de l'affaire jugée.

    Le collectif  Pierre au Lard

     

     

  • Magali 16 11 17Magali fonquernie 16 11 17

     

     

     

     

     

     

     

      

    Magali Albertini (Photo PARISMARAIS.COM)

     

    Elle est un orchestre à elle seule quand elle accompagne des airs d'opéra. Tous les pupitres sont rassemblés dans  ses dix doigts qui ont la charge sur le clavier de restituer non seulement les mélodies mais aussi l'harmonie, la couleur, le rythme et la dynamique de l'ensemble orchestral qui est le complément instrumental de la voix dans le chant lyrique.

    On la voit attentive dans un même regard au contenu de sa partition et à la respiration de l'interprète, soucieuse de ne jamais précéder la voix mais de la soutenir dès l'instant où le chanteur pose sa note.

    Magali est née à Nice et y a fait ses premières études de musique avec un premier prix de piano et un premier prix de musique de chambre. Après un DEUG de musicologie, elle est admise à Paris au conservatoire national supérieur dans la classe de piano d'où elle sort avec un premier prix en 2007.

    Passionnée par le chant (opéra, mélodies, lied…) elle obtient en 2009 un premier prix d'accompagnement vocal et se donne à plusieurs activités de musique de chambre.

    C'est dans ce contexte qu'on fait sa rencontre au célèbre "concours international de chant lyrique" de Canari où elle est au piano. Elle s'y est produite sans discontinuer depuis la création de l'évènement. Elle accompagne en 2017 la soprano Pauline Feracci qui obtient le deuxième prix du concours et le prix "Paris-Marais".

    Toutes deux acceptent alors de nous retrouver à Paris autour des "Moments Lyriques du Marais". Le 3 mai c'est elle encore qui accompagnera les chanteurs, Pauline Feracci et le baryton Thibault de Damas, dans des "airs et duos célèbres d'opéra". Elle fera la démonstration du large éventail de son talent en interprétant en intermède des pièces de Chopin et Tchaïkovsky pour piano seul .

     

    Église des Blancs-Manteaux,  12 rue des Blancs-Manteaux (IVe) le 3 mai  à 20h30,  pour un programme lyrique autour de Mozart, Donizetti, Rossini, Puccini, Bizet, Gounod et Offenbach.

    Entrée : 20,00 € par personne, placement dans l'ordre des réservations au 06 80 88 87 10

    Réservez aussi vos places sans tarder : 

    • par chèque à l'ordre de "Vivre le Marais !"  6 rue des Haudriettes – 75 003 – PARIS
    • par virement bancaire compte IBAN
      FR05 2004 1000 0127 8174 2N02 013
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  • BarresCarrefour rue des Barres/rue François Miron (IVe)

     

     

    Plainte d'un riverain de la rue François Miron au Maire du IVe, le 15 avril :

    "Actuellement il y a 3 personnes imbibées d'alcool sur un matelas positionné sur la voie publique depuis 2 mois. Il y a une famille qui vit au RdC du bâtiment avec 2 enfants. Cette famille vit avec les volets extérieurs fermés et les fenêtres fermées 24h/24. Des affaires sont posées sur le rebord de ses fenêtres. Entre le bruit des injures régulières (souvent entre eux) et les odeurs, cette famille est confinée. Accepteriez-vous de vivre vous même dans ces conditions ?"

     
     Qui fait suite à cette mise au point du cabinet du Maire, le 12 avril :

    "Cela faisaient des semaines que les policiers essayaient de convaincre les deux jeunes propriétaires des tentes de rentrer chez eux (apparemment ils ont des logements) pour éviter de recourir à l’éviction (dont l’ordre préfectoral se faisait attendre).
    Nous avons fait nettoyer la rue et jeter les affaires abandonnées à l’exception d’un matelas appartenant à un SDF de la rue des Barres. Concernant ceux-ci, j’ai demandé à la police une extrême vigilance car en effet ils peuvent parfois se montrer agressifs mais ils ne peuvent faire l’objet d’une procédure. Les policiers et les maraudes passeront régulièrement pour éviter tout débordement.

     

    Et à cette intervention du riverain le 11 avril :

    Il a été signalé deux sites à la mairie. Le premier rue du Grenier sur l'Eau où effectivement les trois tentes sont parties et où la Ville nettoyait la rue ce matin.

    Le 2ème site qui se trouve devant la bouche d’aération en RdC à l’angle rues François Miron/des Barres est toujours d’actualité. Il s’agit d’un campement sauvage où les affaires sont déposées sur les rebords d’une fenêtre du RdC d’un appartement où réside une famille avec deux enfants. Ce matin, je suis moi-même passé avec mes 2 enfants et j’ai essuyé des invectives de personnes complètement alcoolisées à 8h00 du matin. Ce deuxième site ne présente donc aucune évolution favorable.

     

    Auparavant,  le 10 avril, la mairie expliquait :

    Les tentes de la rue du Grenier sur l'Eau ont disparu dans la matinée même si quelques affaires du campement perdurent sur les bancs (j’ai d’ailleurs demandé à les faire enlever).

    Restons toutefois vigilants afin de pouvoir réagir, en cas de réinstallation, dans les 48h imparties.

     

    Et le riverain de la rue des Barres, le 10 avril, répondait :

     
    Il est exact que les trois tentes ont disparu ce matin. Par contre l'autre bande de SDF d'Europe de l'est est toujours là. À 19h00 ce soir ils étaient 7 tous bien imbibés. Voilà la situation pour aujourd'hui.

     
    Ces échanges mis bout à bout peuvent paraitre confus. Mais la situation l'est tout autant. D'un côté des habitants qui exigent légitimement un minimum d'ordre et de salubrité. De l'autre, des membres du cabinet du Maire et le Maire lui-même qui ont la volonté sincère de donner satisfaction à leurs administrés mais sont attachés à la pensée humaniste qui interdit toute brutalité, dans le cadre d'un État de droit qui leur mesure les moyens d'agir notamment à travers sa police.
     
    C'est donc l'impasse. Quand bien même Ariel Weil, qui a fait beaucoup jusqu'à présent pour loger les sans-abris, trouvait d'autres hébergements en quantité il se heurterait d'abord à ceux qui n'en veulent pas ensuite à un afflux de demandeurs renseignés par le bouche à oreilles.
     
    Comme pour l'affichage sauvage dont on a parlé précédemment, nous sommes face à un problème de société qui s'étend à la planète entière et qui n'a pas aujourd'hui de solution radicale. On va donc continuer à s'invectiver, se justifier, se plaindre, s'accuser, râler, et voter en conséquence pour ceux qui auront su capitaliser le mécontentement. Avec trop souvent le choix facile de pousser la poussière sous le tapis ou de passer à d'autres les mistigris qui nous encombrent.
     
    GS
     
     

     

  • Camionnette archives

     

    Elle est là depuis plusieurs jours à hauteur du 34 de la rue des Archives, sur un espace de stationnement pour handicapés. Nous venons de la signaler à la DPSP et au commissariat central du IVe dont on s'étonne qu'ils n'aient pas réagi plus vite. L'infraction nous parait justifier de la fourrière et les engins existent pour ce type d'enlèvement comme en témoigne la photo ci-dessous :

     

    Haudriettes engin enlèvement lourd

     

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    Barts

    Ateliers Beaux-Arts de Paris 48 rue de Sévigné (IIIe)

     

     

    En juillet dernier nous avions publié la lettre ouverte des professeurs des Ateliers Beaux-Arts de la rue de Sévigné contre la fermeture de ces ateliers par la mairie de Paris dans cadre du projet « Réinventons Paris 2 »

    Les différentes actions entreprises n’ont malheureusement pas porté leurs fruits et la mairie avance dans son projet de cession du bâtiment. Des visites sont actuellement en cours dans le cadre de l’appel à projets.

    Professeurs, modèles et élèves poursuivent néanmoins la mobilisation et organisent le mardi 8 mai à 13 heures place des Vosges un grand atelier de modèle vivant ouvert à tous.

    Un petit clip burlesque (1’48) a été tourné récemment pour dénoncer la situation et annoncer cette manifestation.

    Anne, élève des beaux-arts

     

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    Marne
     

     

    En association avec "Vivre le Marais !"

     

    Culture & Patrimoine

     

    Vous invite à une superbe croisière commentée

    d’une journée sur la Marne, avec déjeuner "chez Gégène"

     

    Au Pays des guinguettes sur les bords de Marne

    Dimanche 17 juin

     

    Rendez-vous à 8h30 au port de l’Arsenal, bateau Canauxrama

     

    Après avoir passé l’écluse de la Bastille, nous aurons un superbe point de vue sur Notre-Dame, puis nous découvrirons les quartiers est avec Bercy, la Grande Bibliothèque, Chinagora… Nous remonterons la rivière en passant l’écluse Saint Maurice, lieu d’enfance de Delacroix, l’île du Moulin Brûlé, l’île aux Corbeaux.

    Nous entrerons au pays des guinguettes : Chez Gégène, le P’tit Robinson, l’ancien bal Convert et le Verger à Nogent. Après avoir longé les îles des Loups et d’Amour, nous ferons demi-tour à Bry-sur-Marne et accosterons pour un excellent déjeuner Chez Gégène, la mythique guinguette à Joinville-le-Pont.

    L’après-midi, nous redescendrons vers Paris dans une ambiance « musette » en découvrant de superbes demeures et des paysages protégés.

    Exceptionnellement dans la mesure où il faut réserver en payant d’avance, nous vous remercions d’envoyer au plus vite un chèque de 80 euros pour les adhérents de Culture et Patrimoine et de 90 euros pour les non adhérents à l’ordre de Culture et Patrimoine adressé à Marie-Françoise Masféty-Klein 41, rue des Francs Bourgeois 75 004 Paris.

    Merci de bien préciser le nom des personnes qui vous accompagneront. Nous vous attendons nombreux à cette belle croisière et nous vous adressons nos fidèles amitiés.