Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Année : 2024

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    Sur le récent compte-rendu du conseil de quartier Marais Archives, toutes les anomalies et nuisances dont nous nous plaignons sont rappelées avec, s'il y a lieu, des indications sur leur traitement. Tout est répertorié. Notre regret est qu'il n'y ait pas suffisamment de situations décrites comme "réglées"

    Nous nous sentons très proches de ses animateurs et sommes heureux de transmettre leur message.

    Compte rendu du conseil de quartier Marais-Archives du 16 septembre 2024

     

  • Capture d'écran 2024-09-26 183347Illustration du quotidien "Les Echos"

     

     

    Notre site se révèle un moyen d'échanges sur toutes sortes de sujets y compris les plus sérieux. J'ai envie de vous faire partager mes interrogations sur la stratégie des pays européens en particulier, de l'OCDE plus largement, à l'égard du réchauffement climatique et de savoir ce que vous en pensez.

    Sur le phénomène il n'y a aucun doute. Le réchauffement constaté, au-delà de la perception que nous en avons, est attesté depuis une centaine d'années par la fonte des glaciers et de la banquise. 

    En revanche, j'ai beau me culpabiliser sur ma réticence à croire ce qui est évident pour tous, à savoir la responsabilité de l'homme dans cette évolution, il persiste en moi un scepticisme qui n'est pas une conviction mais quelque chose qui ressemble à un doute.

    Ma crainte est que nous adhérions tous à une nouvelle religion qui pousse les nations vers des remises en cause, des investissements et des dépenses qui les mettent sur la paille avec le risque au bout d'une décennie de constater qu'on a fait fausse route.

    Les apôtres de cette démarche s'appellent "le GIEC". En français "groupe int'l d'experts…..", ce qui leur vaut estime et crédibilité. En anglais et dans toutes les langues que j'ai consultées, c'est l'IPCC (international panel for climate change). En réalité, un aréopage de gens, pas nécessairement des experts, qui travaille pour l'ONU à laquelle il est rattaché. Cette remarque n'exprime pas forcément une mise en cause de leur compétence mais le besoin de rappeler qu'on n'a pas affaire à des savants.

    Justement, les savants donnons leur la parole à l'instar de Jean-Philippe Delsol, président de l'IREF-Europe.

    Dans une récente édition de la revue Science, un article de E. J. Judd et al, 2024) décrit une nouvelle présentation de la température de la Terre au cours des 485 derniers millions d’années en combinant des modèles climatiques avec des données géologiques. Au cours de cette très longue période, la planète a traversé différents cycles, certains avec de vastes calottes glaciaires polaires et d’autres complètement libres de glace.

    Alors que les études antérieures concluaient à  une baisse à long terme de la température au cours des 500 derniers millions d’années, en combinant de nombreux modèles et données, cette nouvelle étude, note la revue Science, « suggère que la Terre possède un système global de régulation du climat qui fait que la température reste dans une plage particulière. Une hypothèse largement acceptée est que la réaction des roches ignées (*) avec l’eau et le dioxyde de carbone atmosphérique (CO2) aide à limiter l’ampleur du changement climatique à long terme. Ce processus élimine lentement le CO2 de l’atmosphère et est amplifié lorsque le climat se réchauffe ».

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    Cette étude aide à comprendre les évolutions du climat, mais elle souligne qu’il reste encore bien des inconnues qui devraient obliger à plus de modestie et de prudence dans les politiques contre le réchauffement climatique. Le principe de précaution invite à ne pas tuer l’économie et appauvrir les habitants de la Terre au nom de prédictions douteuses. Il ne s’agit pas de ne rien faire, mais de le faire avec précaution.

    (*) roches métamorphiques ayant subi une forte chaleur

  • Trilib

    Trilib’  de quartiers des 1er et IIe, rues du Bouloi, Dalayrac, Notre-Dame des Victoires et Rameau. (Photo VlM/HdB)

     

    Le Trilib' n'est pas un Vélib' à trois roues ! C'est le nom donné par la mairie de Paris à cette batterie de gros containers destinés à la collecte et au tri des déchets domestiques. 

    Il convient à ce propos de tordre le cou à une rumeur qui prétend que les déchets collectés sélectivement par la ville sont déchargés dans une benne commune pour traitement indifférencié ! Le tri sélectif est un principe sérieux. Sa mise en œuvre à Paris date de 2002.  Il faut rappeler qu'un habitant sur cinq à Paris ne bénéficie pas du dispositif de tri dans son immeuble. C'est à lui que ces équipements sont destinés.

    L'idée semble raisonnable. Elle soulève pourtant des résistances.

    Outre le caractère inesthétique et encombrant de ces énormes poubelles, elles deviennent rapidement un point de décharge des déchets des commerces environnants. 

    Voici ce qu'en dit Hélène de Barmon, Présidente du Conseil de Quartier Louvre Opéra : "Le Conseil de Quartier dispose d’un bon recul sur ces dispositifs car ils ont fait l’objet d’une expérimentation dans le IIe arrondissement. On observe concrètement que les Trilib', qui sont présentés comme des outils vertueux d'accroissement du volume des déchets recyclables, sont en réalité la source de réelles nuisances en matière de propreté.

    Ce résultat vient largement du fait que les utilisateurs des Trilib' sont principalement les commerçants. Or, le règlement de collecte, de prévention et de réduction des déchets ménagers parisiens stipule que les entreprises peuvent utiliser le service public de collecte, dont les Trilib' font partie, si et seulement si, elles produisent des déchets assimilables en nature et en quantité à ceux des ménages".

    Le conseil de quartier constate que les signalements à l'application DansMaRue n’ont pas donné de résultats satisfaisants puisque bien souvent les services adressent comme preuve de leurs interventions des photos où figurent toujours des déchets, certes différents de ceux signalés mais aussi importants en quantité. Le conseil n’est pas certain que la Mairie ait réellement conscience des nuisances et de la saleté engendrées par ces Trilib’.

    Elle rappelle qu’ils sont principalement utilisés par les restaurateurs au mépris du droit. C’est la raison pour laquelle depuis plus de deux ans, le conseil de quartier Louvre Opéra insiste auprès de la mairie de Paris centre pour lui dire qu’au-delà des services de la propreté, c’est bien la Police Municipale qu’il faut mobiliser sur le sujet, dans la mesure où une part non négligeable des déchets que l’on trouve aux abords des Trilib' porte l’adresse des commerçants qui les ont déposés.

     

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    Tente Une des tentes installées boulevard Bourdon, au bord du bassin de l'Arsenal, dans le IVe

     

     

    Depuis quelques jours, les riverains du boulevard Bourdon se plaignent de la présence sur la rive IVe du bassin de l'Arsenal des nuisances d'une vingtaine de tentes qui abritent des personnes sans domicile, probablement des étrangers en attente de traitement de leur statut en France.

    Nous apprenons ce matin des services de police qu'un jeune homme a été retrouvé mort dans une de ces tentes.

    La situation n'est pas nouvelle : déjà l'an passé la rive du XIIe connaissait le même sort. La police nationale intervenait pour déloger les occupants en s'assurant de leur relogement. Il faut dire que les JO arrivaient et qu'il convenait de faire table rase de tout ce qui dénotait…

    Le drame qui vient de se produire et qui s'ajoute à d'autres, repose le problème de la responsabilité. Si comme tout porte à le croire il s'agit de migrants, on ne peut pas continuer à accepter que des malheureux prennent des risques insensés pour échapper à leur sort. En clair, il faut que la communauté internationale s'intéresse aux causes de leur fuite, les dénonce et fasse tout pour les juguler.

     
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    Polygone archivesVue du ciel du quadrilatère des Archives Nationales

     

     

    Paris-centre et le Marais regorgent de merveilles. On le dit sans hésiter, les berges de la Seine, du pont de Sully aux Tuileries, sont le plus beau paysage urbain du monde. Il y a d'autres hauts lieux : le Louvre, l'Île de la Cité avec Notre-Dame et la Sainte Chapelle, la place des Vosges, Carnavalet, l'Hôtel de Sully… Et le quadrilatère des Archives Nationales, pour ne citer que les plus prestigieux.

     

    Hôtel de soubise 22 03 14Hôtel de Soubise, façade, cour d’honneur avec ses colonnes doubles et les tourelles de l'Hôtel de Clisson (à gauche, Photos VlM, cliquer pour agrandir)

     

    On trouve là, sur quatre hectares environ,  une foison d'Hôtels monumentaux construits sur des espaces aménagés en cours d'honneur et jardins à la française ou à l'anglaise : les Hôtels de Soubise et de Clisson, l'Hôtel de Rohan, les Hôtels d'Assy, de Breteuil, de Fontenay et de Jaucourt. Il faut mentionner aussi le CARAN (centre d'accueil et de recherches des archives nationales), un bâtiment récent qui se fond assez bien dans l'architecture XVIIIème siècle de l'ensemble. 

     

    Chancellerie d'orleansChancellerie

    Décors de la Chancellerie d'Orléans

     

    Au printemps 2011, le ministère de la Culture faisait un beau cadeau aux parisiens,  l'ouverture des jardins au public. Cette faveur dura ce que durent les roses. L'Hôtel de Rohan est entré dans une longue phase de rénovation (5 ans au moins) pour aboutir au réaménagement de l'Hôtel avec un double programme, l'installation au rez-de-chaussée des décors de la Chancellerie d'Orléans qui attendaient un sort meilleur dans des caves de la Banque de France depuis 1923 (*) et l'aménagement des Hôtels voisins et bâtiments annexes pour étendre la capacité d'accueil du personnel du ministère de la Culture. A cette occasion l'accès 87 rue Vieille du Temple sera rétabli.

    Hôtel_de_Rohan_2017Hôtel de Rohan, façade sur jardin. Construit de 1705 à 1708 pour le cardinal Armand-Gaston de Rohan par Pierre Alexis Delamair. Trois étages, surmontés d'un fronton sur un avant-corps à colonnes ioniques. (Photo VlM)

     

    Les travaux ont pris du retard. L'Hôtel de Rohan devait rouvrir en 2018. Une inauguration a eu lieu en décembre 2021 seulement, avec tout le Gotha. On ne nous y a pas conviés et nous savons de source proche d'Ariel Weil que le Maire de Paris-centre ne l'a pas été non plus… Nous espérons y être conviés en visite privée début novembre en compagnie du Maire. Nous nous ferons un plaisir de rapporter nos impressions.

    Il va sans dire que les parisiens de Paris-centre et du Marais s'attendent à retrouver un libre accès aux jardins, comme en 2018. Il ne faudrait pas que l'affectation de surfaces au Ministère de la Culture se fasse au détriment de son usage public.   

    Gérard Simonet

                                                         

    (*) Après l’échec de plusieurs projets et plus quatre-vingts ans d’attente, l’organisation
    américaine World Monuments Fund a pris l’initiative, au début des années 2000,
    de proposer à la Banque de France et au ministère de la Culture le remontage de ces
    décors à l’hôtel de Rohan, dans le quadrilatère des Archives nationales. L’hôtel de
    Rohan, contemporain de la Chancellerie d’Orléans, offre une distribution similaire
    de l’espace, et a perdu depuis le XIXème siècle le décor d’origine de son rez-de-chaussée.
    Les quatre pièces remontées – antichambre, chambre, salle à manger, grand salon –, en partie meublées par le Mobilier national, offrent un magnifique échantillon de la splendeur des arts
    décoratifs parisiens à la charnière des styles Louis XV et Louis XVI.

    Ministère de la Culture

     

  • Capture d'écran 2024-09-12 101132Zeus, le cheval métallique de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques Paris 2024

     

     

    Les JO de Paris sont déjà derrière nous. Ils nous en ont mis plein les yeux. Ce cheval artificiel galopant sur la Seine avec sa cavalière de chair et d'os restera à jamais dans nos mémoires. Gloire à ceux qui ont réalisé cette prouesse !

    Nous avions des préventions : sécurité, rentabilité, perturbations…. Il y a eu trois tentatives d'attentats, déjoués par les services de sécurité (de la routine….) et les recettes ont compensé les dépenses si l'on en croit les analystes. Les habitants, dans la mesure où ils ont massivement fui la capitale n'ont pas vraiment souffert des travaux d'aménagement des sites pour l'inauguration et le déroulement des épreuves.

    Nous qui avons combattu l'engagement de la France et de Paris dans cette aventure, nous devons  aujourd'hui nous battre la coulpe en guise de pénitence !

    Dans le fond nous sommes ravis de nous être trompés car il semble que notre pays et Paris sortent grandis d'un pari à haut risque que des gens compétents ont affronté et maitrisé. 

    Nous n'étions pas les seuls à douter. Anne Hidalgo elle-même y était opposée jusqu'à ce que François Hollande, alors président de la République, en 2014, lui intime l'ordre de changer d'attitude avec en compensation un décret pour améliorer la présentation des comptes de la ville de Paris.

    Personne d'ailleurs n'a voulu de ces JO de 2024. Boston, Hambourg, Rome et Budapest ont renoncé. Los Angelès aurait dit oui mais s'est résignée à accepter d'être la ville-hôte en 2028 contre l'engagement du CIO de lui verser 1,4 Milliards de $ !

    Au-delà, en 2032, on peut légitimement se demander s'il y aura un seul candidat. A moins que le souvenir de la magnificence des jeux de Paris n'incite d'autres villes à faire encore mieux en matière d'organisation et de créativité. Sinon, la communauté internationale aura comme ressource la suggestion que nous faisions il y a quelques mois que désormais la Grèce avec l'aide financière des pays participants organise de façon permanente les jeux olympiques à Olympie…

    Gérard Simonet

     

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    Picsou

     

    Comme chaque année, c'est dans l'Eldorado qu'Oncle Picsou, notre trésorier, a passé ses vacances. Il en est revenu déterminé à revitaliser nos finances, émoussées quelque peu par la contribution de "Vivre le Marais !" à la restauration du portail de l'Hôtel Raoul (IVe).

    Si le cœur vous en dit, soutenez l'association et son réseau social de Paris-centre/le Marais, en adressant votre contribution (20,00 €… ou plus) :

    • par chèque à Vivre le Marais -  6 rue des Haudriettes – 75003 – Paris,
    • par virement bancaire compte IBAN : FR05 2004 1000 0127 8174 2N02 013 
    • par PAYPAL, de manière sécurisée ou par carte bancaire, en cliquant dans le bouton :

     

    Je vous rappelle notre engagement à trois dimensions : la défense du patrimoine, la qualité de vie des habitants et les manifestations culturelles.

    Gérard Simonet

     

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    Lappe
    Rue de Lappe dans le XIe, symbole de toutes les dérégulations, généralement bondée et agitée le samedi soir….
     
     
     
    Nous ne sommes pas dans le Marais mais à la frontière. Le XIe est bordé par le boulevard Beaumarchais jusqu'à la Bastille. Il est l'arrondissement le plus dense de Paris, ville la plus dense d'Europe, et il se distingue par un nombre record de bars par habitant. Des bars qui se soucient peu de la tranquillité des riverains.
     
    L'été olympique ne leur a pas été faste : beaucoup de parisiens ont fui la capitale et les étrangers ont privilégié d'autres quartiers plus proches des sites de compétition ou moins chers en location saisonnière.
     
    Certains exploitants ont demandé la permission de privatiser des rues en installant des terrasses permanentes sur la chaussée et les pistes cyclables pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques. La Préfecture de police de Paris et la mairie du XIe le leur ont refusé, conscients des nuisances qu'on pouvait en attendre pour les riverains. 
     
    Quand on contrarie leurs exigences, ces commerçants ont la dent dure. Est-ce pour cette raison, l'un d'eux s'est précipité vendredi 30 août rue St Maur sur un de nos amis, responsable associatif du quartier, qui circulait à pied sur le trottoir d'en face. Il a reçu un coup violent à la tête et a dû son salut à la présence de gaillards témoins de la scène qui sont intervenus pour le protéger.
     
    Une plainte a été déposée. Le cabinet du Préfet de police, le Commissaire Central et le Maire du XIe suivent l'affaire de près. Nous leur en sommes reconnaissants.
     
  • Renée vivien photo
    Lieu de deal, cible des tagueurs, rendez-vous des nourrisseurs maniaques de pigeons, carrefour des assoiffés du petit matin et asile des pauvres hères qui n'ont pas d'autre havre pour dormir, telle est cette place qui n'en est pas une, qui n'a pas le statut de square et que pourtant nous aimons tant car elle est porteuse de "l'esprit des lieux" avec sa fresque monumentale…  (Photo VlM. Les tags ont été nettoyés depuis)

     

    Depuis qu'un Maire-adjoint du IIIe, Yves Contassot, Vert et entreprenant, décidait qu'on ferait de ce lieu historique (*) une sorte de placette qui reçut même un nom quelques années plus tard, cet espace a fait couler encre et salive.

    On a demandé leur avis aux riverains des conseils de quartiers. Ils se sont sentis obligés de triturer leurs méninges pour remercier les détenteurs du pouvoir de leur donner la parole. Il s'en est suivi un déluge de propositions, toutes respectables mais passablement irréalistes.

    Utopiques même, quant on sait que la mairie n'a guère plus de 100.000 € à leur consacrer !

    Nous saisissons cette occasion pour renouveler notre recommandation : "Laissez cette placette en l'état mais réparez ce qui doit l'être, clôtures, bancs, fontaine, corbeilles… et entretenez la végétation !".

    Dans la restitution des réflexions du groupe de travail. il est indiqué par la mairie qu'elle pourrait en fin de compte retirer la clôture et refaire du carrefour, comme il y a 25 ans, un simple espace de transit. Difficile de se prononcer sur le sujet. N'hésitez pas pour nous aider à publier vos commentaires. Ils seront utiles au débat.

    GS

     

    (*) Voir article du 22 mars 2022

     

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    Concours canari 2023
    Annonce du palmarès par la présidente du jury Renée Auphan, Concours 2023
     
     
     
     
    Il est l'inspirateur des Moments Lyriques du Marais qui lui doivent plusieurs membres de sa troupe, Magali Albertini, chef de chant et accompagnatrice au piano, Pauline Feracci soprano, lauréate de 2017, la mezzo Lorrie Garcia et les barytons Dmytro Voronov et Thibault de Damas ainsi que de brillants instrumentistes comme le pianiste Olivier Cangelosi et le groupe de guitaristes classiques COPLA. Le concours international de chant lyrique de Canari (Hte Corse) se tiendra toute la semaine du 2 au 6 septembre 2024 avec une trentaine de candidats.
     
    Le jury est présidé par Renée Auphan ex directrice des opéras de Lausanne, Genève et Marseille. A ses côtés Laurent Campellone directeur de l'opéra de Tours, François-Robert Girolami chef d'orchestre, Dominique Riber agent artistique, Christophe Ghristi directeur du théâtre du Capitole de Toulouse, Maurice Xiberras directeur général de l'Opéra de Marseille et Jacques Scaglia directeur artistique du festival de Canari dont il a été le créateur en 2003.
     
    Nous retrouverons à cette occasion Magali Albertini. Elle accompagne au piano depuis 2017, pour notre ravissement, tous les spectacles avec chant des Moments Lyriques du Marais au cœur du Paris historique et culturel qui rayonne de nouveaux feux depuis les JO. On se réjouira aussi d'accueillir Olivier Cangelosi qui clôture son cycle de 32 sonates pour piano de Beethoven. Il donnera la prestigieuse "sonate pathétique" en ut mineur et trois autres sonates dont la dernière n° 32 le lundi 2 septembre dans l'église principale  de Canari dédiée à Saint François d'Assises.
     
    Ces événements nous rappellent que les activités des Moments Lyriques du Marais reprendront à l'automne avec un spectacle d'exception consacré aux grands airs d'opéras. Nos artistes Magali Albertini, Pauline Feracci, Kaëlig Boché, Erminie Blondel, Antoine Foulon et Brenda Poupard ont répondu présent. Ils vous enchanteront. Notez la date : le 18 novembre 2024 à 20h00, cathédrale Ste Croix des Arméniens, 13 rue du Perche – IIIe – L'annonce complète avec ouverture des réservations en sera faite en temps utile.
     
    Gérard Simonet