La troupe au complet pour le salut final. De g à d : Erminie Blondel, Brenda Poupard, Pauline Feracci, Eléonore Pancrazi (Carmen), Kaëlig Boché, Nicolas Poli, Antoine Foulon, Benoît-Joseph Meier, Laurent Deleuil et Flore Merlin (piano)
Laissons parler un spectateur qui nous a envoyé ce message - GS Crédit photos Maciej Kotlarsky
"Je ne vous ai pas félicité hier soir car j’avais entendu que vous étiez très sollicité. Je tenais absolument à vous complimenter pour cet extraordinaire « Moment Lyrique » que, grâce à vous, nous avons vécu hier. Je me félicite de vous avoir rencontré, et je remercie l'association "Culture et Patrimoine" et sa présidente de m'avoir si intelligemment conseillé. Je ne sais pas comment vous faites pour arriver à monter de tels événements, rassembler les artistes, programmer une œuvre, louer une salle, un piano de concert, attirer des sponsors et équilibrer un budget. C’est extraordinaire ! Mais là, vous avez franchi un palier ! un opéra ! De poche certes mais quand même le sommet de l’opéra français. Quelle performance réussie et quels artistes ! La pianiste : une heure et demie a jouer une partition qui vise à remplacer tout un orchestre, le récitant, bondissant acteur à part entière, et colonne vertébrale de l’œuvre, les chanteuses et chanteurs : quelles voix et quels acteurs ! On ne peut que s’extasier tant ils furent tous excellents. La troupe, à la "générale"
Ils furent très applaudis, mais merci de les complimenter encore pour nous. Ils sont tous très doués, et ont déjà beaucoup travaillé pour arriver à ce niveau. Nous ne pouvons que leur souhaiter une grande réussite dans leur carrière. Avec tous nos compliments et nos remerciements renouvelés Gérard Cancelier"
L'Agence des Enfants Rouges, 44 rue de Bretagne (IIIe)
Partenariat de L'Association "VIVRE LE MARAIS !" avec L'AGENCE DES ENFANTS ROUGES : un engagement culturel au cœur de nos quartiers !
L’association « Vivre le Marais ! » est heureuse d’annoncer son partenariat avec L’Agence des Enfants Rouges, agence immobilière à Paris, à l’occasion du concert exceptionnel qui se tient le 20 juin 2025 à la Cathédrale Ste Croix des Arméniens.
Organisé dans le cadre des Moments Lyriques du Marais, cet événement met à l’honneur une version revisitée de CARMEN de Bizet, en plein cœur de Paris. Ce partenariat s’inscrit dans la volonté de L’Agence des Enfants Rouges de soutenir des initiatives culturelles locales et de participer activement à la vie de nos quartiers.
« Préserver, animer et faire rayonner le patrimoine ! »
L’association "Vivre le Marais !" œuvre depuis plus de vingt ans pour la préservation du patrimoine architectural et urbain des quartiers historiques du Marais. Elle défend aussi une vie de quartier équilibrée, animée par des propositions culturelles de qualité, accessibles à tous. Par ses actions, l’association joue un rôle essentiel dans la valorisation du centre de Paris et dans le renforcement du lien social.
Un partenariat initié par le président de l'association "Vivre le Marais !"
Engagé et actif dans le Marais depuis plus de 25 ans, Gérard Simonet préside "Vivre le Marais !" Sous son impulsion, l’association a su concilier défense du cadre de vie, culture et rayonnement du quartier. Le Marais, cœur historique de Paris, allie patrimoine architectural, vie locale dynamique et ouverture sur le monde.
Son implication permanente, la qualité de son dialogue avec les institutions et les acteurs du quartier, ont permis la constitution d’un partenariat fructueux avec l’Agence des Enfants Rouges
L’Agence des Enfants Rouges : un ancrage local et des valeurs humaines
Implantée au cœur du Marais, L’Agence des Enfants Rouges, accompagne depuis plusieurs années habitants, futurs résidents français et porteurs de projets immobiliers, du quartier et de tous horizons, avec une approche fondée sur l’écoute, la transparence et la connaissance fine de son territoire. Son nom fait référence à l'orphelinat des Enfants Rouges, installé à l'emplacement du plus ancien marché couvert de Paris, le Marché des Enfants Rouges. Il porte ainsi le souvenir de ces orphelins, et il est le symbole d’un quartier vivant, historique et en perpétuel mouvement.
Soutenir la culture locale : un engagement évident
En soutenant ce concert, L’Agence des Enfants Rouges souligne son attachement au patrimoine vivant du Marais et à la richesse des initiatives locales. Ce partenariat est l’expression de nos valeurs respectives avec l'association "Vivre le Marais" : proximité, engagement, et transmission. Nous croyons en une culture accessible à tous, qui crée du lien et qui donne à chacun l’occasion de (re) découvrir les lieux qu’il habite ou fréquente.
Un rendez-vous à ne pas manquer le 20 juin 2025 !
Nous invitons tous les amoureux de musique, d’histoire et de convivialité à venir assister à cette représentation unique. Le 20 juin, c’est tout un quartier qui vibrera au rythme de l'opéra de Georges Bizet, CARMEN, dans un esprit de partage et d’ouverture. Une belle occasion de célébrer ensemble l’art et la culture, à vivre et à partager avec toute la troupe des Moments Lyriques du Marais : Eléonore Pancrazi, Kaëlig Boché, Erminie Blondel, Antoine Foulon, Pauline Feracci, Brenda Poupard, Benoit-Joseph Meier, Laurent Deleuil, Flore Merlin et Nicolas Poli.
Philippe Gaudry
Co-fondateur associé de l'Agence Immobilière des Enfants Rouges
Des associations parisiennes, réunies sous la bannière de "Droit au Sommeil", représentant des micro territoires mis à mal par les nuisances des terrasses (une rue autrefois calme, un carrefour paisible avant l'installation d'une terrasse, etc.) , sont remontées par l'annonce par la mairie de Paris du report à 23h00 de l'heure d'ouverture des "terrasses estivales".
Que penser aujourd'hui, cinq ans après l'arrivée du COVID, de ces structures en bois style ranch ou hacienda que la mairie de Paris a autorisées ça et là pour satisfaire des intérêts marchands ?
La réponse est – partiellement – dans la question. Partiellement car il existe avec la réduction significative du nombre de voitures une justification objective de la création d'un nombre maitrisé de nouvelles terrasses.
Le Maire de Paris-centre Ariel Weil s'est exprimé sur le sujet en réclamant à son niveau une plus large autonomie en matière d'attribution des autorisations. Il connait mieux que ses collègues de l'Hôtel de Ville, trop sensibles aux sirènes des débitants de boissons alcooliques, la gène potentielle d'une terrasse vis à vis des résidents. Il a démontré qu'il savait aller au bout de sa volonté en n'hésitant pas à se rendre devant la justice.
Si la réponse est tout de même dans la question c'est que nous avons conscience d'être victimes du syndrome de la roue à rochet. C'est une roue crantée qu'un cliquet ne permet de tourner que dans un seul sens. Appliquée aux bars-restaurants, on se rappelle qu'en 2020 à l'apparition du COVID la mairie a laissé toute licence aux exploitants d'installer des terrasses ad libitum. Le COVID a disparu, on aurait dû revenir au point de départ. Le cliquet insidieux s'est manifesté sous la forme de terrasses estivales, ouvertes l'été de juin à septembre et jusqu'à 22h00.
Un an plus tard le fameux cliquet se manifeste derechef en empêchant le retour à l'horaire de 22h00 et en reportant l'heure de fermeture à 23h00.
Il faut se débarrasser de la roue à rochet. On peut admettre que la surface totale des terrasses à Paris soit revue une fois pour toutes dans des proportions raisonnables pour la raison et dans les conditions évoquées mais le concept de terrasse estivale avec ses plateformes et barrières en bois qui ne respecte d'aucune manière le style propre à Paris et encore moins le règlement d'urbanisme de secteurs patrimoniaux protégés comme le Marais, doit être envoyé aux oubliettes.
Qu'en dit l'ABF, garant de la sauvegarde de l'esthétique de notre cadre de vie ?
Nous sommes nombreux à avoir un préjugé réservé pour ne pas dire défavorable à l'égard du street art. Il faut dire que ses adeptes donnent le sentiment d'avoir un goût prononcé pour la provocation avec des thèmes agressifs qui créent autour des sites décorés un sentiment de violence et d'insécurité.
Celui que nous publions échappe à cette critique. Il est esthétique, en harmonie avec le paysage urbain et apaisant.
Hélas, nous ne sommes pas à Paris mais à Blois, sur les bords de la Loire, à proximité du célèbre château….
Elle était concernée par l'interdiction en 2028 des véhicules "Critair 2", comme de nombreux autres dans Paris et l'Île-de-France, soucieuse aussi de l'interdiction de tous véhicules autres qu'électriques à partir de 2030.
Le vote du 28 mai de l'assemblée nationale en faveur de la suppression des ZFE en soulage plus d'une et plus d'un. Une habitante du IVe nous confie sa réaction :
"Je veux d’abord souligner l’absurdité de mettre à la casse des millions de voitures en parfait état de fonctionnement, ayant satisfait aux test anti-pollution des contrôles techniques. Ne s’agirait-il pas plutôt de faire vendre des voitures neuves ? au risque de détruire notre industrie automobile traditionnelle, pour favoriser les voitures électriques chinoises ?
En effet, le classement Critair se fonde sur l’année de fabrication du véhicule, c’est-à-dire son âge, non sur son émission effective de polluants. Evidemment, une grosse cylindrée même récente produit plus de pollution qu’une petite voiture, même âgée de quelques années.
De plus, Critair ne prend en compte que la pollution des carburants. Or celle-ci est très inférieure aux autres sources de pollution d’un véhicule : usure des freins, particules fines, batteries électriques…
Je déplore l'absence de pensée globale de nos décideurs : quel réseau de bornes de recharges sera-t-il nécessaire ? Quel réseau de transports publics ?
Ensuite, la circulation routière n’est maintenant qu’une cause mineure de pollution atmosphérique. Souvenons-nous qu’en 2020, en plein confinement, quand aucun véhicule ne roulait, Paris a connu l’un de ses pires épisodes de pollution, provenant des industries des pays voisins, dont les nuages n’avaient pas été arrêtés à nos frontières.
Donc les ZFE utilisaient l’écologie comme un déguisement, elles n’ont quasiment aucun impact sur l’environnement ni la santé. Mais elles ont des effets dévastateurs sur les habitants et les travailleurs. C’était une violence d’interdire à des gens de circuler ou de travailler. Quel Français « ordinaire », quel artisan peut aujourd’hui se payer une voiture électrique ? De combien aurait chuté la clientèle des commerces ?
Certes, les décideurs dans leur grande condescendance, proposaient de solliciter un pass de 24 heures, 24 fois dans l’année. Pour obtenir cette autorisation exceptionnelle, il fallait créer un compte, s’identifier, indiquer la date prévue du déplacement, ses motifs. De qui se moque-t-on ? Au fond, les ZFE ne seraient-ils qu’un outil de contrôle social, imposé d’abord aux citoyens les plus modestes, puis étendu à tous progressivement ?
Laissons le parc automobile se renouveler naturellement, les voitures les plus anciennes étant progressivement retirées. Et ne brutalisons pas les ménages par une mesure inutile, discriminatoire et purement idéologique."
Il nous a quittés ce lundi 26 mai à l’âge de 87 ans au terme d’une maladie qui ne lui a laissé aucune chance, en exprimant sa gratitude au personnel médical qui le suivait à l’hôpital St Antoine.
Nous nous sommes rencontrés en 2000 au moment de la création de l’association. Il en a été l’un des administrateurs, compétent sur les questions d’environnement avec des connaissances géopolitiques étonnantes qu’il devait à une vie professionnelle en détachement dans toutes les parties du monde, toujours disponible pour des actions de terrain avec ce bon sens déroutant qu’on aimerait rencontrer plus souvent chez nos compatriotes.
Cher Jean-Claude, nous te souhaitons de reposer en paix dans le village des Landes d’où tu viens. Nous sommes présents aux côtés de ton fils et de tes proches dont nous partageons le chagrin.
…. car nous sommes respectueux de la loi qui interdit l'affichage non autorisé….
Nous vous attendons nombreux le vendredi 20 juin à 20 heures dans la cathédrale Ste Croix des Arméniens pour assister au spectacle des Moments Lyriques du Marais :
CARMEN
opéra-comique en quatre actes de Georges Bizet
Version scénique à huit voix, piano et comédien récitant
L'opéra chez nous, à portée de tous !
Avec Eléonore Pancrazi, mezzo-soprano dans le rôle-titre qu'elle a tenu à quatre reprises au théâtre royal de Versailles en janvier 2025 et la troupe des Moments Lyriques du Marais. Réservez vos places à 25 € (10 € pour les moins de 20 ans) sur
Le portail de l'Hôtel Raoul restauré, 6 rue Beautreillis – Paris IVe
Message de Michel Cribier, l'artisan de cette magnifique restauration, à "Vivre le Marais !" : "Avec la repose hier des vantaux, la restauration du portail de l’Hôtel Raoul touche à sa fin. Encore quelques petites finitions de peinture, un nettoyage et il sera tout beau pour la cérémonie du
Dimanche 15 juin 2025 à 14h00 devant le portail
pendant laquelle nous célèbrerons cet achèvement et transmettrons à la Ville de Paris le Portail restauré.
A ce moment je n’oublie pas comment vous nous avez soutenu"
Cette finale s'adresse à "Vivre le Marais !" qui a financé sur ses propres deniers une partie du coût total de la rénovation, à hauteur de 15.000 €. Il n'est pas inutile de rappeler que notre association ne reçoit aucune subvention, car elle s'est toujours refusé, par souci d'indépendance, à faire appel à la générosité des élus de la mairie ou de l'assemblée nationale. Ce sont nos adhérents par voie de conséquence qui lui ont apporté les fonds nécessaires à travers leurs dons et cotisations.
Il peut paraitre injuste qu'ayant financé la restauration du portail, ses auteurs en transmettent la propriété pour une somme symbolique à la mairie de Paris. Il convient de préciser que la mairie en devient responsable et doit de ce fait l'entretenir et l'assurer, ce que personne ne pouvait et ne souhaitait faire.
CARMEN – Georges Bizet comme vous ne l’avez jamais entendu,
Plongez au cœur de l’opéra le plus célèbre du répertoire, dans une version intime et saisissante. Un piano pour toute orchestration, des voix lyriques d’une grande intensité, et un comédien narrateur pour vous guider au fil de l’histoire.
Cette Carmen épurée révèle toute la force dramatique, la sensualité et la tension de l’œuvre de Bizet. Une expérience rare, accessible, profondément humaine, où chaque mot, chaque note, nous touche en plein cœur - Magali Albertini.
Opéra-comique en quatre actes de Georges Bizet
Version scénique avec huit voix, piano et récitant
Vendredi 20 juin 2025 à 20h00
Cathédrale Ste Croix des Arméniens
13 rue du Perche – 75 003 Paris – (Marais)
Participation aux frais : 25,00 € par personne, et pour attirer les jeunes de moins de 20 ans vers l'opéra : 10,00 €