Commentaires

5 réponses à “Le bruit généré par la fête dénoncé par le blog de l’Obs”

1. 

   Julie

   29 octobre 2017

   J’habite juste à côté du bar Dr. Feelgood et j’avoue que la vie est devenue impossible, il y a des concerts presque tous les soirs et il devient impossible de marcher dans la rue car plein de gens qui boivent et fument dehors. J’espère qu’il va fermer bientôt !

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2. 

   Emilie

   1 novembre 2017

   L’article explique bien les difficultés rencontrées afin de faire valoir un droit simple: droit au sommeil!
   Il existe plusieurs administrations, chacune responsable d’une partie spécifique et la police n’a pas de pouvoir pour faire cesser les nuisances.
   Il est important de signaler les gènes dès qu’elles sont présentes même si cela est le cas tous les jours et cela même si vous êtes en lien avec une administration. Il n’y a pas de lien ( ou très peu comme pour les autorisations de nuit) entre les différentes administrations il ne faut donc pas arrêter d’appeler la police pour qu’elle vienne constater les nuisances sonores par exemple ( a l’oreille) même si un dossier est ouvert avec la mairie ou la préfecture ( bureau des nuisances).
   De plus les administrations sont différentes que les nuisances proviennent de l’extieur du bâtiment
   ou de l’interieur du bâtiment ( insonorisation inexistante ou insuffisante).
   Pensez bien à vérifier les éléments qui ne concernent pas la préfecture et la mairie, notamment le règlement de copropriété et l’objet social de la société exploitante sur ce point il ne faut pas hésiter à prendre rendez-vous avec un professionnel tel qu’un avocat.
   Les établissements recevant du public doivent être conscients des nuisances et une affiche où il est demandé de respecter les voisins ne suffit pas notamment lorsque la clientèle est nombreuse et alcoolisée.

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3. 

   Catherine

   2 novembre 2017

   http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/11/02/le-pire-c-est-le-vomi-dans-les-jardinieres-amsterdam-en-a-assez-des-touristes_5209090_4832693.html
   Toutes les villes européennes sont concernées par ce « changement de destination »de l’espace partagé, et par les nuisances qui découlent du tourisme de masse, il serait temps de réglementer avant que les habitants n’aient plus comme solution que de déserter!
   Quand le culte du profit immédiat détruit le développement économique à long terme…

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4. 

   Adrien

   3 novembre 2017

   @Catherine. Le buit de la rue Quincampoix n’est certainement pas le fait du tourisme de masse : ce sont les jeunes et les étudiants, voire les jeunes actifs qui fréquentent le Dr. Feelgood et autres bars du quartier. Allez vous promener Canal Saint Martin le vendredi et le samedi soir, c’est un flux constant de jeunes entre 18 et 30 ans.

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5. 

   germon

   6 novembre 2017

   Pour se consoler, j’ai vu des reportages sur Londres : une véritable catastrophe qui n’a plus rien en commun sur ce qu’était cette capitale il y a 5 ans, New York c’est guignol tous les jours et en Espagne, n’en parlons pas, les mêmes enlaidissements, l’irrespect total au nom du « djeunisme ». Alcool, drogue, bruits sonores qu’on ose dénommer MUSIQUE ?

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