Commentaires

5 réponses à “Descente de polices, nationale et municipale, piazza Beaubourg, en présence du Maire de Paris-centre, pour évacuer les vendeurs à la sauvette….”

1. 

   CDT

   31 janvier 2024

   Cet après-midi, les vendeurs étaient revenus

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2. 

   Marie T

   1 février 2024

   « Installés là depuis des mois ». Tout est dit. Ces situations devraient générer une réaction immédiate des pouvoirs publics, or systématiquement, nos autorités les laissent s’enkyster; ainsi, les « bonnes habitudes » sont prises et il devient beaucoup plus difficile de déloger les squatteurs de façon efficace. Et riverains et commerçants sont livrés à eux mêmes, victimes de ces pratiques qui n’existaient pas dans Paris jusqu’à il y a peu. Il est navrant de constater que nous sommes face à une certaine quart-mondisation de notre ville, entre campements de tentes jusque sur les quais de Seine, qui là encore s’enkystent, vendeurs à la sauvette, traffic et consommation de drogue en pleine rue, etc.. Il faudrait que notre municipalité, en accord avec la préfecture, reprenne ça en main très efficacement sous peine de faire de Paris un coupe-gorge insalubre et anarchique. Mais on peut toujours rêver… Il semble plus important de faire des « votations » pour taxer les voitures familiales et des « skate parcs » sur le Concorde…

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3. 

   Betelgeuse

   2 février 2024

   Renseignez-vous.
   Ses marchands ambulants ont toujours existé, depuis l’ouverture de Beaubourg. Il est honteux et scandaleux de s’en prendre à eux, la plupart vivant en-dessous du seuil de la pauvreté.
   Ariel Weil, « maire de terrain », n’a-t-il rien de mieux à faire que se rendre ridicule à jouer les Zorro défenseur des INJUSTICES sociales sur son scooter quand, par ailleurs, le Marais comme Paris tout entier est livré aux intérêts privés et Zorro le sait bien- qui travaille pour eux, en faisant semblant de travailler pour le bien public !?
   J’ai parlé à une vieille dame (65 ans) sur le parvis de Beaubourg qui vend des bagues acquises à crédit. Elle a été verbalisée 3 fois (150€ d’amende qui passent à 350 puis à 700 en cas de non-paiement). « La prochaine fois on vous saisit ! » lui a dit l’agent. « Vous allez me prendre quoi ? a-t-elle répondu, Je n’ai rien, que mon chien ! Vous allez me saisir mon chien !? »

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4. 

   Marie A.

   2 février 2024

   Pour habiter là depuis plus de 40 ans, je peux vous affirmer que ces marchands n’ont pas du tout toujours été là et que depuis deux ou trois ans, le problème, car c’en est un, s’aggrave. Les relations avec les riverains sont détestables, ces vendeurs étant majoritairement très agressifs et s’en prenant systématiquement aux touristes qui tentent de les prendre en photo – c’est tellement typical, ce mode de vente en plein air à Paris. Quant à la « vieille  » (sic) dame de 65 ans et ses verbalisations… difficile d’y croire. En tout cas, elle serait bien la seule à être tombé sur un policier zélé et n’aurait vraiment pas de chance.

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5. 

   Marie T

   9 février 2024

   Il n’y a pas du tout toujours eu des vendeurs à la sauvette à Beaubourg, c’est absolument erroné. En revanche, ce genre de pratique pullule depuis quelques années et c’est un énorme problème pour le voisinage et pour les commerçants . Les commerçants subissent une concurrence déloyale de gens qui ne paient ni charges ni impôts, en plus de subir l’impression de désordre et de saleté qui fait fuir leurs clients. Ca n’est pas tolérable et même si ça avait toujours existé ça ne le serait pas plus. Faire de Paris une cour des miracles n’est bon pour personne et n’est pas le choix des habitants. L’ambiance devient inquiétante, ces gens sont dans une lutte de territoire qui est malsaine, défendre riverains et commerçants n’est ni honteux ni scandaleux, c’est le rôle des pouvoirs publics.

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