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Ils ont su mettre le « street art » à sa place : c’est à Colombo, pas à Paris !

IMG_2601

IMG_2611Peintures murales à Colombo, auteur Marko93 (Photos MT)

 

A Colombo, Sri Lanka, les emplacements des peintures murales sont négociés et celles-ci 
sont inaugurées avec le concours
d'un orchestre français de jazz qui n'abuse pas des
décibels : le "Gala Swing Quartet". Dans un environnement
culinaire concocté par le
restaurant de Jacques et Laurent Pourcel.

Financement assuré à 90 % par la mobilisation de fonds privés.

"Haiku" (*) pour la première : "Ballet de couleurs "Et danse calligraphique "Insuffler la vie"

"Haiku" (*) pour la deuxième :

"Paris pendentifs
"Regard d'avant le sourire  
"Capter l'être humain"

* Haiku = F
orme poétique d inspiration japonaise
Michel T.

La mairie de Paris devrait s'inspirer de cette politique au lieu de laisser les crypto artistes s'approprier des murs sans l'autorisation des propriétaires et infliger aux habitants une vision de l'art qui n'est pas forcément la leur, généralement peu conforme au cadre ambiant. Le Marais, dont les monuments historiques sont régulièrement maltraités par des barbouilleurs ou des afficheurs publicitaires, pourrait ainsi bénéficier du jugement de gens avisés, dont l'esthétique est le métier.

 


Commentaires

2 réponses à “Ils ont su mettre le « street art » à sa place : c’est à Colombo, pas à Paris !”
  1. Avatar de Jules

    Colombo plus fort en matière d’autorité et de sens civique que Paris?

  2. Je viens de découvrir que le Maire du 4 ème arrondissement, dans le cadre de sa politique culturelle, donne des autorisations à des « artistes street art » de son choix « d’utiliser » les murs publics et privés du Marais. J’aimerais bien avoir des informations sur ces accords, leur légalité et les coûts de nettoyage supplémentaires pour les contribuables (subventions?). Un Maire peut-il contrevenir à la loi concernant un secteur protégé? Je constate que l’auteur de graffitis « Sobr » est de retour dans le Marais où il a collé ces dernières années une bonne centaine de personnages à l’aide d’une colle polluante qui arrachent les crépis … Il y a déjà trois de ses « oeuvres » sur les murs (notamment sur l’encorbellement) du Passage des Arbalétriers. La Mairie de Paris demande, bien entendu, aux propriétaires du lieu de nettoyer ces murs à leurs frais. Une politique irresponsable qui ouvre la porte à tous les vandalismes … en plein jour.
    La police ne se donne même pas la peine de verbaliser, à quoi bon ?

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