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20 avril 2015

La malpropreté s’installe rue Rambuteau

Saletés déposées devant l'entrée d'un immeuble rue Rambuteau (20/4/2015) (Photo VlM)

Il n'aura fallu que quelques mois après sa réouverture fin novembre dernier pour que la rue Rambuteau perde son aspect neuf et propret. Elle est devenue sale et nous ne comptons pas le nombre de nos adhérents et de riverains scandalisés par cette état de malpropreté entre les papiers, les flyers, les cartons, les mégots, les taches de graisse et autres déjections.

Papiers gras devant une pâtisserie (20/04/2015) (Photo VlM)

Quel gâchis ! Quel dommage et quel irrespect!

"Vivre le Marais !" vient d'alerter les services de la propreté en charge de ce secteur. Le balayage ou l’eau sous pression ne suffisent pas, il va falloir envisager et organiser un nettoyage périodique en profondeur de façon régulière et aussi insister auprès des commerçants et des habitants afin que tous sans exception nettoient devant leur boutique ou leur entrée d'immeuble …

Caniveau et détritus divers rue Rambuteau (20/04/2015) (Photo VlM)

Un axe aussi touristique ne doit pas devenir un mauvais exemple de malpropreté. Il entache notamment le classement de Paris comparé aux autres villes européennes et désole les parisiens face à l'accroissement de telles incivilités.

Dominique Feutry

—

par

Vivre le Marais

dans Actualité, Cadre de Vie, Environnement, Propreté

rue Rambuteau (IIIe et IVe) saleté

Commentaires

5 réponses à “La malpropreté s’installe rue Rambuteau”

Lui

20 avril 2015

Serai curieux de savoir combien la rénovation de la rue Rambuteau a coûté??? Il ne fallait pas s’attendre à autre chose. En plus de la saleté, quelques limonadiers s’accaparrent le trottoir au-delà de ce qui est permis, peut-être avec l’accord de la Mairie du IVème.?
Où est le « Retour sur Investissement » de l’argent du contribuable que nous sommes tous???????????????????????????????????????

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Baillon

20 avril 2015

La saleté dans Paris est, hélas, générale. Pour y remédier, et c’est urgent, deux solutions successives : d’abord, alerter, sensibiliser, et multiplier les réceptacles ; manquent, notamment, des cendriers , et rappeler les sanctions, quand elles existent. Ensuite, sanctionner et, pour cela, ne pas compter sur la force publique, qui a d’autres chats à fouetter, mais y habiliter, si c’est possible, les contractuelles.
MB

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Olivier

20 avril 2015

Les touristes ne sont pas les derniers à salir, ceux qui déjeunent sur les bancs par exemple.

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Pierrot

20 avril 2015

C’est la nouvelle tendance à Paris, je le constate : laisser ses détritus à même le sol devant les entrées d’immeuble. Apparemment cela n’est jamais puni.
La saleté dans Paris (et la multiplication des pigeons) devient préocuppante.
Il faut dire que les sanctions son quasi-inexistantes.
Ainsi les taggers ne sont jamais inquiétés.
Ainsi ceux qui nourrissent les pigeons (à Beaubourg ou rue du Grenier Saint-Lazare – Tout le monde les connait) ne sonnt jamais inquiétés.
etc.
Tans que les pouvoirs publics, et la force publique, ne prendront pas ce phénomène à bras le corps, la situation continuera d’empirer…

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germon

21 avril 2015

Descendant du bus 38 jusqu’à son terminus la Gare du Nord hier à midi, une odeur fétide a envahi l’atmosphère, elle provenait d’une « nouveauté » à savoir une « pissotière » DANS l’enceinte de la gare et nous avons vu un individu en sortir à peine vêtu !! La forme de ce nouveau mobilier urbain ne protège ni de la vue sur les prétendants ni des effluves. Qui a concocté cet écoeurant édifice ?

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