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« Street Art ? » : quand des songe-creux se prennent pour Nietzsche et couvrent les murs de pensées existentielles !

V du t 3636 rue Vieille du Temple (IVe)

 

Comment faire comprendre à l'auteur de cette dégradation, qu'une phrase connue, même vaguement spirituelle, n'est pas un aphorisme digne de Nietzsche et que, en tout état de cause, les murs et les devantures de commerces ne sont pas là pour lui servir de support ?

Qu'il ne se plaigne pas : nous lui faisons de la publicité. L'espace d'un moment, car nous avons demandé à la Mairie de Paris l'enlèvement immédiat de cette souillure.

Nous en profitons pour rappeler le lien qui permet l'accès direct aux services d'enlèvement gratuit des graffiti et affiches sauvages par la Mairie de Paris. A user sans modération.

Nous rappelons par ailleurs aux barbouilleurs que "les dispositions en vigueur du code général des collectivités territoriales (CGCT), du code pénal et du code de procédure pénale prévoient un ensemble de mécanismes permettant de lutter contre le phénomène des tags et des graffiti du point de vue de la répression pénale, de la réparation des dommages causés et de la prévention.

En premier lieu, l'apposition de graffiti, tags, inscriptions, signes et dessins sur des façades, des véhicules, du mobilier urbain ou des voies publiques est réprimée par la législation en vigueur. L'article 322-1 du code pénal dispose que le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins, sans autorisation préalable, sur les façades, les véhicules, les voies publiques ou le mobilier urbain est un délit puni de 3.750 euros d'amende et d'une peine de travail d'intérêt général. Par ailleurs, l'article L.322-3 du code pénal réprime ce délit de 15.000 euros d'amende et d'une peine de travail d'intérêt général en fonction de certaines circonstances aggravantes  …."

Assemblée Nationale : réponse publiée au JO le : 20/03/2012 page : 2419

 

Autre contrevenant :

 Blancs-manteaux 1919 rue des Blancs-Manteaux (IVe)

 

Quand on libère les murs, voilà le résulat, à chacun de décider si c'est le "plus "bel endroit du monde" :

 Quatre-fils vieille du temple pignon 03 05 14Mur pignon du 95 rue Vieille du Temple (IIIe) (Photo VlM)

 

 


Commentaires

Une réponse à “« Street Art ? » : quand des songe-creux se prennent pour Nietzsche et couvrent les murs de pensées existentielles !”
  1. On est satisfaits de savoir qu’une sanction existe. Il faudrait s’assurer qu’elle est appliquée. Ce que vous décrivez est un véritable fléau des villes. Parler de street art est une manière de pousser au crime.

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