Commentaires

5 réponses à “Terrasses de bars : histoire sans paroles”

1. 

   Martine Roger-Machart

   19 juin 2011

   On aurait pu montrer aussi, face à la même brasserie, les vélos accrochés aux réverbères qui bloquent l’étroit passage laissé disponible pour les piétons…

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2. 

   Marie-Anne Stoeber

   19 juin 2011

   Ce genre de photo pourrait être pris tout du long de la rue Rambuteau, et en particulier entre le Bd Sébastopol et la rue St Martin, du Côté impair: on ne peut simplement pas passer!

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3. 

   Catherine

   20 juin 2011

   Voilà une situation que je dois affronter chaque jour en passant rue Rambuteau près du musée Pompidou, en allant vers Sébastopol. Les terrasses occupent toute la place. Résultat, les riverains doivent purement et simplement cheminer sur la chaussée, avec les voitures qui arrivent par derrière. C’est à cet endroit le paroxysme.

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4. 

   Catherine

   20 juin 2011

   A vrai dire, j’aimerais préciser mon commentaire ci-dessus…
   Je réalise que l’hérésie rue Rambuteau, ce ne sont non point les terrasses, que j’apprécie beaucoup, mais le fait qu’on laisse encore et toujours circuler les voitures sur cette courte portion de la rue Saint-Martin/Rambuteau et qu’on laisse également autant de places de stationnement rue Rambuteau (alors qu’il y a le parking Vinci Beaubourg à 10 mètres). Résultat, des trottoirs qui mesurent peine 1 mètre de large de chaque côté.
   Le piéton est vraiment la dernière des préoccupations de la municipalité à cet endroit. C’est un non sens.
   Et je plains les mamans qui ont des poussettes, obligées de marcher en pleine voie.
   Quand va-t-on enfin pacifier la rue Saint-Martin et cette portion de la rue Rambuteau ?

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5. 

   bingo

   5 octobre 2011

   J’aime l’atmosphère de cette institution. Il ya toujours un plaisir d’être. Et le choix de la bière n’est pas pire que de Munich:))

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