On en conservera le souvenir amer. Trace d'une idéologie aberrante et dévastatrice comme le mur de Berlin (Photo VlM)
Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris
Liens que j’ai trouvés utiles et que je voulais partager.
On en conservera le souvenir amer. Trace d'une idéologie aberrante et dévastatrice comme le mur de Berlin (Photo VlM)
ll faudrait les retirer au plus vite de la Place de l’Hôtel de Ville. Elle est dans un état lamentable…dalles du sol détruites, carrés en friche, bancs pourrissant sur place et les merveilleux réverbères non entretenus (il y en a même un ou deux qui ont été retirés).😢😡🤬
Formidable ! Bravo pour tant de détermination pour réussir à rendre à Paris son âme enfin ! L’espoir est permis !
Excellente nouvelle!! Merci et bravo pour l’engagement.
Enfin une bonne nouvelle !!
Oui ! Bonne nouvelle !
Une demande : lorsqu’on demande via DansMaRue de repeindre un de ces merveilleux bancs lorsqu’ils sont tagués, est-il possible d’utiliser la peinture ad hoc et non une lavasse mate vaguement verte comme au coin de Montorgueuil et Tiquetonne ???!!!!
Bravo pour ce blog et merci,
FB
Bravo ! et on continue le combat.
Bravo !
Enfin un éclair de bon sens de la part de la mairie !
Merci pour toutes les actions de Vivre le Marais en faveur de notre cadre de vie.
Bravo.
Il faut continuer à lutter contre le saccage du patrimoine architectural historique de Paris sous les fallacieux prétextes de modernité et d’écologie.
NAC
Il y a en ailleurs dans Paris et c’est horrible dans tous les contextes. Cela dit, les cubes en granit ne sont pas plus heureux et ils se multiplient partout. Lamentable.
Bravo ! Attaquons nous maintenant à la place du Panthéon. L’espace étant plus réduit qu’à la République l’effet est encore plus désastreux. NL
Les bancs en bois n’avaient-ils pas été installés après les attentats et surtout celui du camion fou à Nice ?
Les dalles du parvis de l’Hôtel de Ville sont détruites, car la mairie y fait monter souvent des engins motorisés lourd pour l’installation d’animations. Les motorisés en général détruisent rapidement les revêtements, comme les ornières laissées dans le bitume par les bus aux arrêts, ce sont aussi eux qui ont détruit le pavage de la rue des Rosiers ou encore celui de la rue Rambuteau au niveau des Halles. De surcroît parce que les voitures personnelles sont de plus en plus grosses (SUV), le tout promu par la publipollucité.
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