Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Archives



Liens utiles

Liens que j’ai trouvés utiles et que je voulais partager.


Rechercher sur ce site

Avatars d’un « street art » dévoyé : la crèche Rambuteau défigurée par des vandales !

 

Crèche généCrèche municipale, 6 rue Rambuteau (IIIe) (Photos VlM)

 

 

Par moment, on aimerait revenir en ces temps obscurs de la loi du Talion pour aligner les auteurs de ces méfaits contre le mur et leur faire subir avec leurs propres bombes de peinture le traitement qu'ils ont eux-mêmes infligé à un édifice public comme celui-là, à vocation éminemment sociale puisqu'il s'agit d'accueillir des tout-petits.

Savez-vous ce qu'il se passe si on les prend en flagrant délit ? Nos agents leur font des remontrances ! Au pire, ils les ramènent au poste de police pour un rappel à la loi… L'événement figure chez eux ensuite dans leur palmarès, leur CV, leur press-book.

Nous allons sans tarder saisir les services compétents pour qu'ils remettent cette devanture en état. Mais nous en appelons aussi au législateur pour qu'il durcisse les sanctions applicables. On ne peut pas éternellement nettoyer à grands frais l'inconséquence d'individus qui s'attaquent au bien public comme privé en toute impunité, et pour le seul plaisir de nuire.

 

Crèche détDétail de l’œuvre…

 

Il faut qu'on cesse aussi de faire l'éloge inconditionnel d'un "art de la rue" non encadré qui s'en prend et défigure notre cadre de vie.

 


Commentaires

9 réponses à “Avatars d’un « street art » dévoyé : la crèche Rambuteau défigurée par des vandales !”
  1. Il serait juste que ces pollueurs soient condamnés à passer quelques dimanches à nettoyer les murs de Paris.

  2. Avatar de geneviève Dupoux Verneuil
    geneviève Dupoux Verneuil

    Il faut cesser de parler de street art. Ces jets de peintures sont des actes de vandalisme. Il faut donc les nommer comme tels. j’imagine que le code de la police doit comporter une rubrique sur les sanctions à appliquer aux  » actes de vandalisme ».

  3. Bonjour
    Allez donc voir ce qu’ils ont fait à l’angle de la rue du temple et de la rue saint croix juste avant le tata burger
    Une devanture jaune affreusement taguee !
    Et en dépit d’une déclaration aux services de la ville de Paris qui date d’au moins 3 semaines, ces tags ne sont toujours pas enlevés !

  4. Le street art est encouragé par la mairie de Paris… Je pense aux hideux portraits sur les boitiers électriques, les multiples fresques, les panneaux de street art installés sur le pont des arts (qui se souvient de ces hideux gribouillages roses ?), à l’angle des rues, etc. Qui d’ailleurs s’accordent assez avec l’esthétique palette-table d’autoroute-bouts de bois par terre qui jonchent la ville… comment s’en plaindre alors ?

  5. Nous avons signalé également des tags sur la Fontaine des Haudriettes monument historique. L’Adjointe au patrimoine auprès de Anne Hidalgo, Karen Taïeb, en a accusé réception ce qui sous-entend, nous l’espérons, qu’elle va intervenir auprès de ses services pour la remise en état.

  6. Il s’agit là davantage de tags que de « street art ». L’art embellit nos rues, les tags les enlaidissent véritablement.
    Au lieu d’un rappel à la loi, il est nécessaire de remplir leurs week-ends à réparer leurs méfaits. Une association de réinsertion de la ville de paris doit être crée à cet effet, si pas déjà fait + Un cours sur « l’art et le vandalisme ».

  7. Au mois de février dernier, un matin vers 8h30, M. Weil et son équipe distribuaient des tracts devant cette crèche. Je l’ai interpelé sur l’état de saleté des rues du quartier. M. Weil m’a répondu: regardez, c’est propre, c’est balayé une fois par jour. Je lui ai dit: mais et ces tags, même sur un bâtiment municipal, sur une crèche? Il a répondu: ah ça on ne peut pas effacer tous ces tags…
    Ce n’est même pas un sujet pour M. Weil. Non seulement il ne voit pas les tags, mais en plus il ne trouve même pas ça anormal.
    Cqfd

  8. Ici il s agit de tag autrement dit de gribouillages de voyous. A différencier des graffs. Ceux ci son de vraies peinrures murales, souvent belles, pas toujours, exécutées sans ou avec autorisation.Celles des pilliers de la place Henri Frenay 12eme sont très criardes, ecécutées sans grande concertation apparemment couvrent les seules parties en pierre d un immeuble en béton

  9. Avatar de Thierry

    Cette pollution visuelle est insupportable, illégale et totalement hideuse.
    Que les amateurs décorent leurs intérieurs avec leurs œuvres, pour bien en profiter!
    Et,surtout que la Mairie fasse immédiatement le nettoyage.
    Comme rien n’est fait, on est obligé de le demander, c’est incroyable !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *