Commentaires

16 réponses à “En croisade contre le coronavirus, Anne Hidalgo adresse une lettre aux « forces vives » de Paris”

1. 

   Jean Étienne

   1 mai 2020

   Je partage totalement votre avis constructif et non partisan !
   Luttons d’abord ensemble il sera toujours temps de critiquer ensuite.

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2. 

   dominique.sabourdin-perrin

   1 mai 2020

   Entièrement d’accord avec votre commentaire. Stop aux critiques. Que les énergies soient positives se portent au secours des autres, en participant d’une manière quelconque ou en respectant le confinement.
   D. Sabourdin-Perrin

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3. 

   Olivier

   1 mai 2020

   Les gens passent leur temps sur Facebook et autres. Or faire confiance à ce qui est écrit dans les réseaux sociaux revient à donner du crédit à la presse à sensation comme France Dimanche, le Nouveau Détective et Voici.

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4. 

   Dominique

   1 mai 2020

   Alors le nettoyage des rues le 11eme ne doit pas exister depuis le confinement
   Bravo aux éboueurs qui ramassent tous les jours les ordures et ceux qui ramassent de nouveau les encombrants mais nos trottoirs ont été lavés qu’avec la pluie . Les caniveaux sont pleins d’ordure
   Beaucoup d’incivilités : des crachats , de l’urine et autres
   Partout on nettoie dans les autres pays ou même ville et le cœur de Paris fait partie des oubliés

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5. 

   daniel Sée

   1 mai 2020

   En effet il est facile de critiquer et difficile de construire. Merci gérard!
   Le texte Hidalgo couvre bien les problèmes principaux du moment.
   Concernant l’usage du vélo dans Paris, pourquoi pas mais pensons aux personnes agées-dont je fais partie- qui ne montent plus à vélo.
   Si on veut éviter de cotoyer trop de personnes, la seule solution pour se déplacer reste le taxi-cher- ou sa voiture personnelle.
   Serait-il possible d’autoriser les personnes de plus de 70 ans à prendre leur voiture en toutes circonstances?
   Cordialement
   Daniel Sée

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6. 

   Marie

   1 mai 2020

   Je suis un peu étonnée de votre développement sur la critique de l’action publique en période de crise. D’abord vous semblez confondre critique et « bashing » (quel mot affreux ). La critique n’est pas un acharnement c’est l’expression d’un désaccord. Une crise n’est pas sensée nous rendre aveugles, nous conservons notre lucidité et il est légitime de s’inquiéter et donc de critiquer certaines actions ou inactions de nos dirigeants, dans la mesure où il ne s’agit pas de critique gratuite ou partisane.
   De fait une critique constructive est souvent une façon de participer: je prendrais pour exemple le réseau de labos départementaux sur lequel le gouvernement ne s’appuyait pas, dont les autorités administratives refusaient l’aide, et dont l’opposition a réclamé qu’ils soient utilisés. Si l’opposition avait attendu la fin de la crise pour dénoncer ce fait, on lui aurait dit, et à juste titre, qu’il aurait mieux valu le dire lorsque c’était faisable et utile plutôt qu’une fois la crise passée. Les dirigeants n’ont pas la science infuse, on ne peut au nom de « la dignité » se taire et les regarder se planter au nom de tous.
   Car contrairement à ce que vous affirmez, se taire et se planquer pendant et pousser des cris d’orfraie après, ce n’est pas très constructif.
   Quant au plan de Mme Hidalgo, c’est la même chose que partout ailleurs, rien de nouveau sous le soleil ( masques, tests, gel, on attend toujours, comme partout ailleurs). j’observe simplement en tant que commerçante que la ville a été inexistante pendant cette crise et qu’utiliser ce qui nous arrive pour intensifier sa politique anti voiture est écœurant – c’est vraiment ce qu’on appelle faire feu de tout bois- et plus qu’inquiétant pour le petit commerce ( après 1 an de gilets jaune, les grèves et le confinements, on n’avait pas besoin de ça). J’observe aussi qu’elle veut « garder » les rues propres alors que même en plein confinement, paris est infect.
   Pardon pour ce bashing….

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7. 

   Genevière Roquemaurel

   1 mai 2020

   C’est bien de ne pas commenter ! trop d’avis inutiles, restons responsables et solidaires

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8. 

   Michel Courbis

   1 mai 2020

   Je n’ai pas encore lu le document mais admire la façon dont vous l’accueillez et partage votre avis sur les détracteurs professionnels

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9. 

   Elisabeth

   1 mai 2020

   Ce qui est regrettable est que Madame Hidalgo se positionne encore (et comme toujours) comme une super Chef d’Administration et non comme une élue de citoyens. Et le lien entre les deux fait défaut. Elle n’est pas la seule et dans presque tous les domaines la relation administration/administrés, Public/Privé est absente ou ignorée comme s’il suffisait de concocter un plan d’action ou même de mettre en place un outil pour qu’il fonctionne et/ou soit efficace et/ou soit suffisant en lui-même. Comme si le territoire de l’Administration n’avait pour frontière qu’elle même (voir APHP et secteur privé de la Santé). Un exemple tout bête pour revenir à la lettre de Madame Hidalgo. Sur le site de la Mairie, il a été mis en place effectivement une application Commerçants/livraisons. L’idée est bonne et aurait été utile sauf qu’aucun commerçant n’y figure (Pour le IVe il y a juste Eataly!) Personne semble-t-il est au courant que ce soit les commerçants.. et personne visiblement n’est chargé de la faire vivre. Donc ca ne sert à rien si ce n’est pouvoir dire : « regardez ce que l’on a mis en place ». Après ??. C’est bête.

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10. 

    Gustave

    1 mai 2020

    La critique est constructive!
    Madame se réveille après 40 jours de confinement pendant lesquels on ne l’a pas entendue.
    Et cela pour relancer sa campagne électorale en remettant à jour ses thèmes de prédilection.

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11. 

    Elisabeth

    1 mai 2020

    Voyant les commentaires, je relis la lettre de Madame Hidalgo et elle me semble encore plus creuse que lors de la première lecture. Jean Etienne a raison. Luttons ensemble, trouvons tout seuls des masques, du gel (même non signalés par un logotype!??on croit rêver) lavons-nous les mains sans attendre les fontaines spéciales jardins d’enfants etc etc et nous allons nous en sortir .

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12. 

    Paule M.

    1 mai 2020

    A propos du lavage des trottoirs je veux répondre à la personne qui dit que nous attendons la pluie pour nettoyer. Un problème a été soulevé à propos de l’eau non potable qui sert à nettoyer nos rues et arroser les parcs. Elle serait polluée à faible dose par le virus. Prudence donc dans son utilisation. Paule

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13. 

    Adrien

    1 mai 2020

    Le paragraphe « garder une ville propre » a de quoi laisser perplexe… Oh pardon si cette remarque sceptique constitue un bashing…

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14. 

    ThierryA

    2 mai 2020

    Entièrement d’accord avec 0Adrien, le paragraphe « garder une ville propre  » a de quoi laisser perplexe.
    Cette crise sanitaire permettra, je l’espère, de changer les mentalités et les comportements des parisiens , afin de plus voir :
    – Des mégots jetés au sol (avec la salive qui va avec ) des chewing-gum bien imprégnés de salive ou encore mieux des crachats; sans oublier les épanchements d’urine.
    D’autre part, les transports en commun doivent être propres 24h/24h, avec des conditions d’hygiènes irréprochables: des actions concrètes doivent donc être sérieusement menées dans ce sens.
    Enfin , nos rues, nos trottoirs, nos espaces publics doivent être davantage entretenus, nettoyés, désinfectés…. et être d’une propreté irréprochable.

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15. 

    H-P Lemaigre

    2 mai 2020

    En accord avec le commentaire de Marie. Il semblerait que la Ville de Paris va aider tout le monde à l’exception des petits commerçants moribonds. J’ai entendu dire que le Maire de Tours va remettre des bonds de 50 euros aux citoyens pour les utiliser dans les petits commerce de la ville.
    Quant au reste, comme le chapitre sur la propreté de Paris, j’ai du mal à ne pas sourire.
    Par rapport à la place du vélo dans la ville, cette dame si fervente du participatif, ne devrait-elle pas, pour le coup, envisager un référendum local ?

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16. 

    Poulbot

    4 mai 2020

    Madame Hidalgo aurait très bien pu s’épargner cette lettre totalement creuse .
    Pour la propreté des rues on repassera, certes les balayeuses passent sur la chaussée mais point de balayeur pour pousser ce qui traine sur les trottoirs ou entre le véhicules en stationnement sur le chemin de la machine, ne parlons pas des poubelles de rues qui pour certaines attendent longtemps qu’on les vide.
    Vouloir une ville aussi propre qu’un sous neuf 24/24, 365 jours dans l’année est une belle utopie, même si beaucoup de citoyens, citoyennes font ce qu’ils, elles peuvent pour que cela se fasse, il restera toujours des cochons pour tout salir, casser, dégrader .
    Quant à vouloir interdire les véhicules particuliers sur Rivoli et Lafayette, cela relève de la plus belle inconscience pour être poli ; il existe déjà sur Rivoli une voie aussi large qu’un semi-remorque réservé aux vélos qui n’est pas à saturation. Visiblement elle et son conseil n’ont pas pensé aux personnes a mobilité réduite qui habitent le long de ces voies, aux commerces qu’il faut approvisionner, quid des quartiers dont les rues débouchent sur ces deux grands axes, font ils subir des embouteillages permanents du fait que les véhicules qui y entrent ne pourront en sortir rapidement avec en corollaire pollution supplémentaire, bruits, ne parlons pas de l’incivisme des cyclistes qui pour beaucoup ont rangé leur code de la route au grenier ; Lafayette permet aux véhicules qui sont dans le centre de Paris de sortir rapidement vers le nord de Paris, les automobilistes, camions vont-ils devoir faire le tour par l’ouest , augmentant de ce fait la pollution des quartiers traversés, ainsi que l’inconfort des habitants de ces quartiers ?
    Pour ce qui est de l’épidémie actuelle, beaucoup d’habitants de cette ville n’ont pas attendu la mairie pour faire ce qu’il faut pour se protéger, sinon beaucoup auraient sans doute eu le déplaisir de subir ce virus.
    A vouloir faire plaisir coute que coute a une minorité, c’est la majorité qui doit en subir les désagréments .
    Une ville comme Paris , capitale de la France, ne se dirige pas a coup de diktats, d’approximations, de clientélismes, de copinages .

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