Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Auteur/autrice : Vivre le Marais

  • IMG_0384Une des sections de la façade maculée de tags et d'affiches sauvages, 69-71 rue Beaubourg, le 19 mars 2017 (photo VlM)

     

    L’immeuble de bureaux situé aux 69-71 rue Beaubourg (IIIe) est depuis des mois inoccupé, abandonné. De facture assez banale et d’une architecture en décalage avec les constructions voisines anciennes, la façade basse du bâtiment, ainsi qu’un mur de refend sont couverts de tags et  d’affiches qui accentuent  son  état d’abandon. 

    Les riverains soucieux d’une ville et d’une  rue plus propres ont alerté les services compétents de la  propreté au travers notamment de l’application « DansMaRue », Vivre le Marais !  a effectué un signalement de son côté et curieusement aucune réaction n’est venue.  Affiches et tags continuent donc de s’accumuler, faute d’être enlevés immédiatement.

    Alors que la Maire de Paris vient de lancer son 3ème plan propreté (voir notre article du 14 mars 2017), ce cas criant d’une action insuffisante,  comme le sont d’autres  points noirs du Marais, tels  la vitrine du  52 rue Beaubourg (article du 4 mars 2017), l’angle des rues de Turenne et du Parc Royal  IIIe (article du 3 septembre 2016), l’angle Temple Rambuteau (article du 21 décembre 2016) et autres  lieux, rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, rue des  Francs Bourgeois (IIIe et  IVe), pour ne citer que les plus patents !

    La tâche est immense, les moyens doivent être à la hauteur des besoins et des actions doivent être menées  par l’administration auprès des propriétaires passifs et négligents.

    Nous le répéterons jamais assez, les élus doivent aller sur le terrain  pour mesurer l’état de mécontentement réel des parisiens sur le sujet de la propreté . Au-delà des effets d’annonce,  ils  attendent en effet des actes forts.

    Dominique Feutry

     

  • AA00ALe Duo Pepite en concert a donné au image différente du musée de la Chasse et de la Nature et du Marais historique

     

    Du 16 au 19 mars s'est déroulé le festival Paris Music durant lequel de nombreux concerts ont été organisés à Paris. Ce rendez-vous annuel dans la capitale créé par les organisateurs du « Disquaire Day » en association avec la Mairie de Paris a acquis au fil des années une certaine renommée en matière de création musicale.

    C'est ainsi que le duo Pépite a donné un concert au musée de la Chasse devant une assistance nombreuse toutes les places ayant été réservés à l'avance. Pepite « groupe français est précieux, mais plus océanique que terrien, jouant le genre de musique qu’on croit entendre en collant un coquillage à son oreille … chantée dans un beau français sensuel qui sent les années 1970... » 

    Une récente critique à propos d'un concert donné par ce jeune duo était ainsi rédigée, "le concert de ce jeune duo Pépite a ravi nos tympans de leurs chansons françaises expérimentales et psychédéliques, un hybride qui renouvelle le genre… de l’éclectisme !"

    La musique d'un groupe Pop, Rock, Electro est plutôt inhabituelle et inattendue… dans ce lieu conservateur chargé d'histoire, pourtant elle a remporté un beau succès salué par tous ceux qui ont pu participer au concert.

     

  • Valises roulettes barcelone 2016Touristes-usagers des locations saisonnières à Barcelone (Boursorama)

     

    Dans la Mairie du IVe arrondissement, organisé par l’association « Aux Quatre Coins du Quatre », a eu lieu samedi 18 mars, de 9 à 13 heures, un passionnant et intense colloque concernant l’impact des locations saisonnières sur la vie du Marais.

    La salle des mariages était bondée. Les cinquante participants étaient des habitants du Marais, hôteliers, loueurs de chambres ou d’appartements, agents immobiliers, mais aussi démographes, cartographes, ingénieurs, urbanistes, architectes, chercheurs, élus et membres d’associations. Seuls manquaient les représentants des plate-formes numériques de location, pourtant invités.

    Durant les trois premières heures ont été exposés le succès de la location saisonnière, la modification très rapide du Marais, le besoin d’équilibre entre résidents et touristes pour vivre ensemble, l’impact des habitants éphémères sur la vie des Copropriétés et sur les commerces, la notion de « tourisme de proximité», l’évolution depuis 2015 du modèle hôtelier, les pourcentages dans chaque arrondissement des locations saisonnières Airbnb de résidences secondaires ou principales, leur très forte rentabilité, le signalement des infractions (délation ou résistance ?) la difficulté du contrôle, la faiblesse des amendes, le laxisme de l’État, mais aussi la volonté de la Mairie de Paris de réguler cette activité, devenue indispensable au tourisme parisien, et sa comparaison avec les régulations à Berlin, Amsterdam, Barcelone ou Milan.

    La quatrième heure a été consacrée à des tables rondes entre participants, pour formuler les questions et constatations à faire remonter aux élus.

    Les actes de ce colloque conséquent sont espérés prochainement.

    En attendant, il est temps de questionner sur les locations saisonnières les candidats aux prochaines élections.

    Patrice Roy

     

  •   Golem-miroslav-dvorakTableau de l’exposition : « Golem et Rabi Loev près de Prague » de Miroslav Dvorak  (1951) huile sur toile

     

     

    « Golem ! Avatars d’une légende d’argile  »  tel est le thème d’une importante exposition qui se déroule actuellement et jusqu'au 16 juillet 2017, au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme 71, rue du Temple (IIIe)

    Cette exposition selon la présentation faite par le musée lui-même «  explore le riche devenir de la figure du golem dans les arts visuels, à travers un parcours mêlant peinture, dessin, photographie, théâtre, cinéma, littérature, bande dessinée et jeu vidéo. » 

    Le golem issu de la tradition juive est une créature légendaire miraculeuse mais aussi effrayante dont on trouve les traces dans la Bible ou le Talmud. C’est, dit le dictionnaire, « un être artificiel, généralement humanoïde fait avec de l’argile (né de la glaise), incapable de parole et dépourvu de libre-arbitre, façonné afin d’assister ou de défendre son créateur." Il a inspiré nombre d’artistes, des troupes de théâtre juives, le folklore yiddish, des peintres, des séries télévisées…..

    Certains prétendent que les œuvres fantastiques ont emprunté Golem tels « le personnage de Voldemort, incarné par Ralph Fiennes dans la série des Harry Potter, ressemble de manière frappante à Golem… » et le personnage de Terminator !

    A découvrir

     

  • Haudriettes 5 livraison twingo 08 03 17Livraison des pièces de l'exposition (8 mars 2017)

     

    Eva Meyer tient une galerie d'art au 5 rue des Haudriettes (IIIe). Elle était il y a 18 mois rue Michel le Comte et dans le Ve auparavant. Elle accueille en ce moment un artiste qui interpelle : Stéphane Bérard, qui présente ici une "sculpture d'intérieur" qui n'est rien d'autre qu'une carcasse de voiture, certes "re-travaillée", mais qui diffère peu de ce qu'on peut trouver dans une décharge.

    La galerie et lui n'ont pas hésité à acheminer cette marchandise de grande taille dans une rue qui n'est pourtant pas très large et à l'installer dans un local qui voit généralement passer des objets moins encombrants. La manœuvre complexe a pris du temps. Personne ne s'étonnera d'apprendre qu'elle a déclenché un concert de klaxons nourri.

     Haud 5 twingo arrièreL'oeuvre installée : "Dream Machine, lampe d'ambiance dont l’orientation de ses oscillations sont indexées sur les ondes cérébrales à des fins de relaxation (Mobilier fantaisie 2017)"

     

    Faites comme nous, entrez dans cette galerie et dialoguez avec ceux qui la tiennent car il faut essayer de comprendre ce qui sous-tend ce mode de création. Un indice, qui n'est pas visible sur la photo, la voiture renversée est un véhicule de police dont le gyrophare continue à clignoter sur le toit. Le thème de l'exposition nous éclaire un peu plus : "give violence a chance" (donnez une chance à la violence).

    On comprend que Stéphane Bérard est à sa manière un révolté, qui a participé assidument à l'épisode de "Nuit debout" l'an dernier. Il revendique la recherche "d'une esthétique et d'une élégance qui contrastent avec la brutalité des matériaux utilisés". Soulignons qu'il est éclectique, ce que l'exposition ne dit pas, et qu'il est actif dans plusieurs disciplines qui incluent la poésie, la littérature, le cinéma et la musique.

    Le moment est venu à l'évidence de reconnaitre que l'art d'aujourd'hui a cessé d'être à la recherche du "beau" pour devenir un moyen d'exprimer ce qu'on éprouve, et de chercher un écho, quitte à faire preuve d’arrogance et de présomption. Stéphane Bérard plaide qu'il développe "une pratique protéiforme et processuelle" dans toutes les disciplines qu'il a investies.

    Nous voilà prévenus. Il reste à chacun à se prononcer sur la façon dont le message est reçu.

    GS

     

  •   A2La population de rats à Paris est estimée à 4 millions

     

    Alors que Paris a engagé une guerre contre l'invasion des rats, plusieurs squares de notre quartier sont d’ailleurs fermés pour cette raison, les agents en charge de la dératisation de la ville viennent d'observer une journée de grève malgré une enveloppe supplémentaire d'1,5 million d'euros allouée à la dératisation comme l'a annoncé récemment la Maire de Paris (voir notre article du 14 mars 2017).

    Les 50 agents du service « Faune et actions de salubrité » qui ont manifesté devant la mairie ont fait notamment état d'un manque de moyens en rappelant que seulement 1,8 agent par arrondissement était affecté à la dératisation. Or comme la population des rats est estimée à 4 millions dans la capitale, chaque agent est chargé en théorie d'éradiquer 111 000 de ces nuisibles…! Le rapport s'il se confirme étonne effectivement et la lutte contre les rongeurs est loin d'être gagnée dans ces conditions.

    Si les comportements doivent évoluer afin que les détritus soient mis dans les conteneurs adéquats et deviennent moins accessibles pour les rats, la  mairie de Paris ne peut plus se contenter de son côté de mesurettes inopérantes, mais employer les grands moyens. 

    Dominique Feutry

     

  • 8e578e58a1Exemple de gyrophare combinée à une sirène

     

    Dans un article du 23 novembre 2014 intitulé « les parisiens en ont assez des hurlements de sirènes » qui faisait suite à deux précédents articles des 19 juillet 2012 et 18 février 2014, nous écrivions «  la recrudescence des sirènes hurlantes sur des voitures banalisées fonçant à vive allure, de jour comme de nuit, aussi bien dans les grandes artères que dans les petites, devient de plus en plus problématique. »

    Les années passant le phénomène revêt la même acuité et nous nous demandons si ceux qui mettent en branle ces bruits stridents quasi insupportables ont conscience qu’ils agressent leurs concitoyens qui pour bon nombre d’ailleurs n’ont aucun problème de surdité.

    Il est normal que les véhicules de pompiers ou du SAMU équipés de gyrophares et de sirènes puissent se rendre rapidement sur les lieux d’intervention. Nous en convenons, surtout aux feux tricolores, aux carrefours ou lorsque la voie est encombrée car alors la sirène vient en appui du gyrophare. Mais en pleine nuit lorsque la circulation est facile, y-a-t-il lieu d’actionner la sirène tout le long du parcours en sus du gyrophare déjà bien voyant ?

    Nos tympans agressés, nous sommes réveillés en sursaut alors que dans de nombreux quartiers la nuit est déjà bien perturbée par les fêtards bruyants. Dans ce contexte notre santé est bien mise à mal !  

    Que dire enfin de la multiplication des véhicules banalisés munis de sirènes hurlantes filant à vive allure à l'heure justement où nombre d'entre nous se rendent au travail. Sont-ce tous des officiels, des hauts fonctionnaires qui ne veulent pas perdre de temps pour rejoindre leur bureau ? Beaucoup se posent la question alors que de tels privilèges ne devraient plus avoir cours. Ou bien sont-ce tout simplement des personnes qui n’en ont pas le droit mais qui se l’arrosent afin de pouvoir circuler plus facilement ?

    Nous comprenons que la vigilance accrue depuis les attentats  occasionne davantage de circulation de véhicules de police pour notre sécurité. Il est en effet difficile de faire abstraction du risque latent qui nous guette. Mais faut-il, malgré cela et à toute heure de la journée, actionner les sirènes dont le bruit s’ajoute à celui des sirènes du SAMU, des ambulances, des pompiers… aux klaxons pourtant interdits, aux alarmes des commerces ou de certains véhicules en stationnement qui se déclenchent souvent de façon anormale.

    Soulignons enfin l’effet caisse de résonance qui amplifie le bruit lorsqu’il se produit dans des rues étroites comme celles du Marais.

    Indéniablement ni la Préfecture de Police, ni nos élus ne se sont saisis de ce dossier de pollution par le bruit qui empoisonne jour et nuit les parisiens et les habitants des grandes villes.

    Dominique Feutry

     

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    L'angle des rues des Blancs Manteaux et des Archives (IVe) le 13 mars 2017, fréquemment encombré de dépôts sauvages de  détritus (photo VlM)

     

    Dans le JJD daté du 12 mars, la Maire de Paris a annoncé dix mesures pour lutter contre la saleté de Paris.

    Il s’agit du troisième plan lancé sur le sujet depuis que l’équipe municipale en place a été élue. Autant dire que la tâche est immense et que les mesures doivent être à la hauteur de l’enjeu.

    Nous avons à de nombreuses reprises souligné cette situation tant dans nos articles que lors de nos rencontres périodiques avec  les services de la propreté et notamment avec Mao Péninou, adjoint à la Maire de Paris en charge du sujet (notre article du 15 novembre 2016).

     

    IMG_0358 État des piliers du gymnase de la rue Michel Le Comte à l'angle de la rue du Temple (IIIe) (photo VlM)

     

    Dans les classements internationaux établis à partir des constats faits pas les touristes, Paris fait mauvaise figure sur les questions de propreté, sujet devenu ces dernières années le point noir de la capitale. Bien entendu les habitants eux-mêmes déplorent cet état de fait et l’invasion de rats dont nous souffrons actuellement n’est pas sans lien avec  ce contexte spécifique.

     

    IMG_5057Photo prise samedi 11mars vers 16h00 sur le haut de la piazza du Centre Georges Pompidou (photo VlM/RM)

     

    Le projet « Objectif Paris propre » vise donc à renforcer le nettoyage, la prévention et la verbalisation, notamment dans les zones les plus fréquentées.  C’est ainsi que 100 agents supplémentaires vont être recrutés portant les effectifs des services de la propreté à  7.000 personnes. Comme nous l’avait indiqué Mao Péninou lors de notre échange de novembre dernier les équipes seront réparties par secteur et encadrées par un responsable de quartier. Certaines équipes nettoieront jusqu'à 23h00 dans des lieux ciblés. De nouveaux engins de nettoyage vont être achetés soit un investissement de 22 millions d’€. 1,5 millions d’€ seront consacrés  à la dératisation.  La surveillance et la verbalisation quant à elles seront assurées par la DPSP la nouvelle équipe d’agents assermentés issus de la préfecture de police et rattachés à la mairie de Paris, chargés de la lutte contre les incivilités.

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    Grand lit installé depuis plusieurs semaines au 66 rue Beaubourg (IIIe) devant une école, utilisé uniquement le jour par son occupant (photo VlM)

     

    Nous sommes bien entendu favorables à ce plan d'autant que le Marais très fréquenté par les touristes est en première ligne. Nous espérons que cette fois sera la bonne malgré, il faut le reconnaitre, la montée récurrente des "incivilités" en ce domaine…

    Dominique Feutry

     

  • IMG_0377 Photo de la rue des Blancs Manteaux dans sa section proche de la rue Vieille du Temple (IVe), le 13 mars 2017 à 08h00 (photo VlM)

     

    En ce matin ensoleillé, quasi printanier, une grande effervescence régnait rue des Blancs Manteaux à la hauteur du square malheureusement fermé depuis un moment pour infestation de rats.

    Camions, table sur tréteaux occupée par des machines à café à l'usage des nombreux techniciens présents, appareils de tournage de films, câbles et autres installations donnaient un air inhabituel à la rue.

    Le Marais nous le savons est très prisé pour des tournages de films. Nous sommes demandeurs d'information sur la nature du film en préparation. Ceux qui savent seront les bienvenus s'ils nous mettent dans la confidence…

     

    Postscriptum du 15 mars

    Le Directeur de la DPSP, dont nous saluons l'intérêt qu'il prend à la vie de nos quartiers, répond à notre interrogation en nous précisant qu'il s’agit d’une série TV italienne qui s’appelle « Maggie e Bianca Fashion Friends », dont un épisode  s’appellera « DE PARIS AVEC AMOUR » (avec donc 3 jours de tournage à Paris).

     

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    Détail d'une fresque XVIIe peinte par Georges Lallemant dans l'une des chapelles rayonnantes de l'église Saint-Nicolas-des-Champs (IIIe)  

     

    C'est à la mairie du IIIe arrondissement qu'à eu lieu cette année le lancement de la 20ème semaine du "Marais chrétien" en présence du Maire du IIIe, de Seybah Dagoma, Députée de la 5ème circonscription, et de Mgr Jérôme Beau, vicaire général de l'archidiocèse de Paris.

    Une cinquantaine de personnes assistaient à la présentation. Après les interventions des officiels, le fils du sculpteur Jean Touret, à qui l'on doit l'autel du chœur de Notre-Dame, a présenté plusieurs œuvres de son père car une rétrospective lui est consacrée à l'église Saint-Denis du Saint-Sacrement, 68 bis rue de Turenne (IIIe).

    Parmi les nombreux spectacles concerts, rallye, visites guidées, projections de films, expositions et conférences qui vont émailler la semaine du 10 au 19 mars citons le rallye pédestre "Beauté et vérité" (rendez-vous  devant le square des Blancs-Manteaux rue éponyme dimanche 12 mars à 14h00), la visite des chapelles rayonnantes restaurées de Saint-Nicolas-des-Champs (mercredi 15 mars à 10h30  254, rue Saint-Martin IIIe), la "Messe brève" de Mozart qui sera donnée à l'église Saint-Merri par l'Ensemble vocal de Paris (vendredi 17 mars à 20h30, 76 rue de la Verrerie IVe).

    La visite conférence des 100 panneaux de bois sculptés provenant de l'abbaye de Saint-Vaast installés dans l'église Sainte-Élisabeth est organisée samedi 18 mars à 15h00 (195 rue du Temple IIIe),  la conférence sur les vitraux de Braque sera donnée à la mairie du IIIe arrondissement (mercredi 15 mars à 14h30, 2 rue Eugène Spüller), le concert du 19 mars sur des extraits de la passion selon Saint-Jean de J-S Bach aura lieu  à 19h30 à l'église des Billettes, 24 rue des Archives (IVe). Une très intéressante visite de la synagogue de Nazareth (15 rue éponyme) est prévue à 10h30 le mardi 14 mars…

    Pour davantage d'informations, se rendre sur le site dédié à l'adresse suivante : maraischretien.com