Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Auteur/autrice : Vivre le Marais

  •   VintageAffiches sauvages  "Vintage Summer" qui ont envahi nos quartiers ces derniers jours (photo VlM)

     

    La 20ème édition du Salon du vintage  se déroulera les 3, 4 et 5 juin de 11h00 à19h00, à l’espace des Blancs Manteaux , 48 rue Vieille du Temple (IVe).

    Elle offrira dit la publicité le «meilleur du vintage » aux amateurs tout ce qui touche à la mode (de grandes griffes seront représentées), aux bijoux mais aussi aux vinyls collectors…

    Quelques « pépites rétro » sont annoncées. De jeunes créateurs participeront à cet événement. 70 exposants seront présents et pour la première fois, il sera possible de déguster des spécialités scandinaves.

    Les accrocs de cette époque des années 60-70 seront, à n'en pas douter, à la fête.

    Mais pour annoncer cet événement, à l'heure d'internet,  fallait-il  inonder le quartier d'affiches sauvages inutiles qui enlaidissent nos immeubles? Ne va  t-il pas avoir un effet contraire à celui rechercher et dissuader certains de se rendre à l'espace des Blancs-Manteaux ? Tout cela est déplorable et nous espérons  que la mairie du IVe et les services de la propreté de Paris  ne resteront pas sans réaction ? 

     

  • ItalieLe "Corriere della sera", titre : "contro degrado e rumore in città, il nuovo fronte europeo dei comitati anti-movida" (contre le vandalisme et le tapage nocturne dans les villes, un nouveau front européen des associations pour la défense de la qualité de vie)

     

    Malgré une pluie battante, 150 participants ont assisté ce  31 mai à la salle Jean Dame, rue Léopold Bellan (IIe), aux deuxièmes assises des associations de riverains mobilisés pour la qualité de la vie dans les métropoles d’Europe organisée par la réseau "Vivre la Ville !" Europe dont est membre "Vivre le Marais !". Le thème retenu pour cette réunion était « Nuisances nocturnes : les citoyens européens se mobilisent.»

    Toutes les interventions ont mis en exergue l’hyper alcoolisation, le bruit, la saleté, la dérégulation sociale, les atteintes à la santé et les menaces qui pèsent sur les centres historiques des villes concernées.

    Nous retiendrons que l’alcoolisation a un coût annuel en France de 120 Milliards d’€ (autant que celui du tabac), les chiffres sont tirés du rapport du professeur Kopp, et que parallèlement  malheureusement les conflits d’intérêts étaient nombreux dans l’organisation institutionnelle d‘une  prétendue dérégulation des dérives de la nuit avec des lobbies puissants à l’action.

    Après avoir dressé, devant son responsable à l'Hôtel de Ville Frédéric Hocquart, un bilan du conseil de la nuit de Paris qui agit plutôt au détriment des riverains, un représentant de Bruit Parif a montré que des avancées significatives étaient en cours pour mesurer sans contestation possible le bruit dans les endroits les plus festifs de Paris, ce qui permettra des expériences devant débuter de pointer les lieux et les établissements qui ne respectent pas les normes en la matière.

    Les ambassadeurs des riverains soumis au diktat des noctambules des villes de Strasbourg et de Nantes ont montré combien les chartes proposées par les élus ici ou là  n’étaient faites que pour gagner du temps et ne réglent rien du tout. Les intervenants des villes de Montpellier, d’Aix en Provence-Marseille et de Barcelone ont montré de leur côté que face à l’inertie des élus et  à la confusion entretenue entre les services municipaux, seule la technique de «  l’affrontement » était payante. Par affrontement il fait entendre des actions en justice à l’encontre de maires (ou des préfets) pour ne pas avoir fait respecter la législation en matière de bruit. Plusieurs condamnations ont été prononcées et ont servi d’exemples lors des exposés, le modus operandi décrit pouvant être dupliqué sans problème.

    AssisesVue de la scène et des intervenants

     

    L’Italie dont la représentante a réussi à fédérer la plupart des associations du pays, ce qui constitue un exemple à suivre, a montré que  le poids des adhérents qu’elle  représente qui atteint le million, fait que son réseau est devenu une force incontournable pour les politiques qui doivent désormais composer. Certains projets de loi portant sur la vie nocturne ayant dû être modifiés.

    La situation dramatique de Lisbonne dont le développement de la fête est sans limite, met en péril le centre historique avec l’aval des autorités.  Dans une moindre mesure celle de Bruxelles qui devient petit à petit un haut lieu de la fête est très préoccupante.

    La courte intervention de Frédéric Hocquard, Conseiller Délégué auprès du Premier Adjoint de la Maire de Paris, chargé des questions relatives à la "Nuit" n’a pas apporté d’éléments nouveaux. Des  questions lui ont été posées sur l’ouverture des parcs et jardins la nuit, sa réponse est entre  autres motifs qu’il faut donner « plus d’espaces de respiration aux parisiens…» !

    Sur le fond, et les questions furent nombreuses, les participants ont retenu que l’alcoolisation effrénée coûtait excessivement cher à la collectivité et qu’il ne fallait pas baisser la garde bien au contraire car des moyens existent même si cela est parfois long avant d’obtenir des résultats. Ils ont aussi constaté que les problèmes étaient les mêmes dans toutes les grandes villes d’Europe mais qu’à force d’opiniâtreté, d’obstination et en utilisant tous les leviers à notre disposition, les autorités sont dans l’obligation de faire respecter les lois et règlements.

    Une minorité sous prétexte de s’amuser ne peut pas, et elle est n’en a pas le droit, s’arroger l’espace public et prendre ainsi en otage une majorité d’habitants qui devraient subir et ne rien dire. Ce temps est bel et bien révolu ce qu’a bien démontré la réunion où la solidarité entre riverains de pays différents est une grande avancée dans la lutte qui est menée.

    Dominique Feutry

     

  • Vagenende
    De gauche à droite : Gilles Pourbaix (ACCOMPLIR), Rafaële Rivais (SOS-Conso
    Le Monde), Gérard Simonet (Vivre le Marais !), Eric Le Mitouard (le Parisien), Christophe Mietlicki (Bruit-Parif), Dominique Feutry (Vivre le Marais !). De dos : Anne Penneau (Riverains de la Butte aux Cailles)

     

    En prélude aux assises des associations européennes membres de "Vivre la Ville !" qui se tiennent ce 31 mai 2016 dans le IIe arrondissement, un groupe de dirigeants d'associations de province (Strasbourg, Marseille, Nantes, Toulouse, Biarritz, Tours, Montpellier …),  et de plusieurs pays d'Europe (Italie, Portugal, Espagne, Belgique, Suisse …) se sont retrouvés pour un  déjeuner avec des journalistes de la presse parisienne.

    Présente parmi nos invités étrangers, Simonetta Chierici, présidente de la coordination nationale en Italie : "No Degrado e Mala Movida " * et Caterina Rodino de la ville de Naples ainsi que l'avocat catalan de Barcelone Me Lluis Gallardo.

    Il est important que les médias s'intéressent de près à la détresse de ceux qui souffrent des méfaits de l'agitation et du tapage nocturne dans les centres-villes. Des dérives qui sont directement liées au développement d'un tourisme de masse mal maitrisé. Les grandes villes, celles notamment qui exercent une forte attractivité, en font les frais. Il faut une prise de conscience générale des acteurs du tourisme et des pouvoirs publics pour que nous trouvions chez nous les solutions qui assurent une promotion raisonnée de la fête, soucieuse du respect des besoins vitaux des citoyens, notamment leur droit au sommeil. De ce point de vue, la contribution des médias au débat sera capitale. C'est pourquoi nous avons tenu à les rencontrer.

     

    * Les italiens ont emprunté aux espagnols le mot "movida" (mouvement) en l'affublant du péjoratif "mala" qui le transforme en vacarme détestable. "Degrado" évoque ce qui l'accompagne, à savoir les dégradations de l'environnement : déchets et urine sur la voie publique, vomis, tags, affiches sauvages et incivilités diverses à l'égard du mobilier urbain.

     

  • 000091920_5Rayon de magasin déserté

     

    Le commerce parisien souffre et les magasins du Marais ne font pas exception. Les rues sont moins fréquentées, les rabais fleurissent sur les devantures quand malheureusement ce n’est pas une liquidation qui est annoncée, dernière étape souvent avant la fermeture du magasin. Si des actions conjointes Mairie de Paris et Région ont été entreprises concernant le tourisme, la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile de France lance une vaste campagne de communication intitulée « Paris est une fête ». Elle souhaite endiguer la baisse du chiffre d’affaires.

    Incontestablement les attentats de novembre dernier sont responsables de cette désertion des clients. Mais sont-ils la seule cause de ce constat ? N’avons-nous pas ici, avec un fort effet retard, les effets d’une crise qui perdure malgré l’embellie annoncée. Si les restaurants enregistrent une baisse d’activité de 8,5% au premier trimestre comparé à la même période de l’an et les hôtels un taux de remplissage de 70% contre 81 % il y a un an, peu s’avancent à affirmer que c’est peut-être aussi l’effet des officines de type AirBnB qui ont dérégulé le secteur.

    Dans le prêt-à-porter, la multiplication effrénée des enseignes et des commerces tend à tuer la poule aux œufs d’or du fait même de la surabondance de l’offre. Plus simplement aussi, les français ont changé leurs habitudes de consommation. D’une part les consommateurs achètent « malin » en privilégiant en priorité les loisirs, le bricolage, le jardinage ce qui n’est pas non plus sans conséquence. D’autre part le commerce en ligne connait au fil des années un engouement qui ne se dément pas et la progression son chiffre d’affaires explose. Il n’est pas certains que les commerces traditionnels se soient adaptés à cette évolution, l' ouverture le dimanche n'étant que facette du problème. .

    Nous vivons en réalité une transformatioon très significative, à la fois rapide avec l'arrivée de nouveaux acteurs, et plus lente pour ceux établis et traditionnels qui n’ont d’autre choix que de devoir se moderniser avec tous les changements induits que cela nécessite, sinon tôt ou tard ils disparaitront.

    Dominique Feutry

     

  • Mode  m-âLa mode au fil du temps …

     

    L’exposition qui vient de s’ouvrir Tour Jean-sans-Peur, , intitulée « La mode au Moyen-Âge » montre combien « les artisans des princes… » qui sont à l’origine «… d’un renouvellement et d’une diversité des vêtements et des accessoires… rivalisent d’inventivité, aussi bien dans la forme des vêtements que dans leur ornementation…, du bout des poulaines à la pointe du chaperon… à cette époque… une véritable révolution débute à l’aube du XIVe siècle… ».

    « Pour les hommes, la mode est aux carrures larges, aux torses longs et aux tailles abaissées. Au contraire, la silhouette féminine dessine un buste court et étroit, et une taille haute. »

    « Pour les moralistes, le vêtement est le reflet de l’âme. Dès le XIIIe siècle, des lois somptuaires sont promulguées, obligeant chacun à être vêtu d’une façon qui reflète son rang dans la société. Le vêtement est l’expression de la dignité, mais aussi de l’exclusion. »

    Tout est expliqué que ce soit les couvre-chefs, les sous-vêtements, les chaussures, les robes et habits, les fourrures, les nombreux accessoires et décorations.

    Jusqu’au 15 janvier 2017. Tour Jean-sans-Peur, 20 rue Étienne Marcel (IIe)

    Du mercredi au dimanche 13h30 – 18h00

     

    Expo_mode_Tour_JSPAffiche de l'exposition sur la mode au Moyen-Âge

     

  • Fête en italie 01 02 16"Fêtards" (mala movida) en Italie

     

    RAPPEL

     

    Ce sont les "Deuxièmes Rencontres des Associations de Riverains" mobilisés pour la qualité de vie dans les métropoles d'Europe contre l'agitation, le bruit et la dérégulation sociale dans les centres historiques de nos villes.

    Vous êtes invités à venir nombreux, en famille, avec des amis, à la réunion publique organisée par le réseau "Vivre Paris !", avec la participation active de "Vivre le Marais !", le mardi 31 mai de 18h30 à 20h30, salle Jean Dame, 17 rue Léopold Mellan 75 002  PARIS. L'entrée est libre.

    Vous y entendrez des exposés de représentants d'associations de villes françaises et étrangères (Italie, Espagne, Portugal, Belgique, Suisse ….) et la présentation d'un manifeste du réseau "Vivre Paris !" pour juguler les dérives de la vie nocturne, avec des propositions issues d'expériences croisées avec les associations qui composent l'organisation "Vivre la Ville !".

    Les médias ont été invités pour donner à cette manifestation le retentissement qui convient.

    Gérard Simonet

     

  •    Batiment_musees_cognacq-jay_karine_maucotel_roger_viollet_2Une salle du Musée Cognacq-Jay (8 rue Elzévir IIIe)

     

    En accompagnement de la plateforme numérique Kawaa, le musée Cognacq-Jay propose désormais des visites partagées.  Ce  concept consiste par petits groupes de 6 personnes maximum à échanger et partager ses impressions de visite du musée. Via l’application web et mobile Kawaa chacun pourra initier ou participer à une visite partagée. Une façon d’apprendre davantage sur le musée et ses richesses du XVIIème siècle.

    Le fonctionnement est simple, il suffit d’enregistrer une création ou une visite avec l’application en ligne Kawaa.  L’organisateur fixe rendez-vous dans la cour du musée (8 rue Elzévir IIIe).  Les échanges entre les participants sont possibles avant et après la visite. Le parcours peut être personnalisé en se rendant sur le site du musée :  www.museecognacqjay.paris.fr.

    L’exposition en cours dédiée à Jean-Baptiste Huet (voir notre article du 19 février 2016) constitue un bon entrainement de cette nouvelle façon de visiter un musée.

     

  • Dessin bis"HK Central"

     

    Exposition « Pas perdus », au "Six Elzévir",

    du jeudi 2 juin au dimanche 5 juin 2016.

     

    Au "Six Elzévir" (6 rue Elzévir – IIIe), sur les murs d'une ancienne imprimerie du Marais contigüe au Musée Cognacq Jay,

    Cynthia Walsh, Hélène Fandeur et Luc Guinguet exposeront le temps d'un long week-end des dessins choisis dans leurs carnets de croquis. Ces pages rendent compte de déambulations le long des rues parisiennes, lorsque le regard s'arrête sur un paysage du quotidien, un site banal ou singulier et rencontre des personnages dans leur décor. Elles illustrent des haltes lors de voyages plus lointains et là, l'ordinaire côtoie l'imprévu ou l'exceptionnel. Mais ces extraits de carnets accumulent aussi les images captées dans les livres, les journaux, sur les cimaises  d'une exposition et dans la brillance des écrans.

    Leur facture prolonge le temps de la réalisation, entre la saisie rapide, l'exécution liée à l'observation attentive et  la persévérance du travail graphique après coup. Les feutres,  le stylo, les crayons et le papier sont les outils et le support du dessinateur qui marche ou qui texture ses lignes.

    Cette exposition est une invitation à lire ces pages comme le "story-board" (carnet de route) de leurs parcours.        

    Elles expriment la perception du monde de chacun, réceptive, éphémère, émotive, qui  transforme la réalité dans l'imaginaire des écritures graphiques personnelles.

     

    AFFICHE

    A ne pas manquer afin de dire à ces jeunes artistes qui ont choisi le Marais pour se faire connaitre toute l'admiration et l'estime que nous ressentons devant leurs talents.

     

  •   Haudriettes mégotsL'agent chargé du nettoyage de surface : irremplaçable ! (photo VlM)

     

    Nous annoncions au printemps 2015  (article du 20 mai)  que  la Mairie de Paris au travers des mairies d’arrondissement  lançait une opération coup de balai appelée « Paris fais toi belle ! ».  L'édition 2016 est prévue le 4 juin pour le IIIe arrondissement (se renseigner à la mairie) , l'information ne nous est pas parvenue pour le IVe.

    C'est une bonne chose que de sensibiliser les habitants à la propreté quand certains d'entre eux font preuve de civisme en ramassant ce qu'ont laissé les autres, par égoïsme, manque d'éducation ou volonté de salir, sur les trottoirs, les murs, les façades, les rues, les  bords de Seine, autour des arbres, dans les jardins publics,  sur les gouttières, le mobilier urbain et autres endroits   

    L'expérience 2015 a été aux dires de la mairie une réussite mais dans certains lieux les bénévoles ne se sont pas précipités…. Ce rendez-vous annuel est  une autre façon de saluer le travail des agents de la ville chargés de la propreté, de les mettre en valeur y compris sur ses facettes les moins agréables lorsqu'il faut ramasser les déchets des autres.   

    Sans-titreAffiche officielle annonçant l'opération du 4 juin 2016

     

    Être à l'extérieur par tous les temps pour notre confort est louable, mais c'est aussi à cause de ceux qui salissent, qui oublient que l'on vit en société et que pour cette raison  nous avons tous le devoir de respecter le règles de ne pas jeter ses papiers, ses mégots, des flyers dans la rue, de ne pas déposer sa poubelle dans les corbeilles extérieures qui alors débordent rapidement accentuant l'effet de malpropreté que perçoivent de plus en plus mal les parisiens excédés par les tags, l'affichage sauvage et la saleté ambiante. De plus en plus de rats attirés par la saleté sont remarqués de jour comme de nuit, traduisant une situation qui classe Paris en mauvais rang des grandes métropoles dans le domaine de la propreté.

    Il est juste regrettable que les habitants, alors que la taxe de balayage augmentée il n'y a pas si longtemps sert justement à rendre la capitale propre, soient, avec l'aide anticipée des japonais qui sont venus nettoyer, il n'y a pas si longtemps, le quartier de Chaillot,  mis à contribution parce que d'autre salissent, ne cessent de salir  face à l'impunité plus accrochés au  culot et à la bêtise qu'au civisme.

    Dominique Feutry

     

  •  CUISINE-JAPONAISE-KAMAASAUstensiles de la marque KAMA-AZA exposés 38 rue des Blancs Manteaux (IVe) (Photo KA) 

     

    Au 38 rue des Blancs Manteaux (IVe) est ouvert depuis peu « l’Atelier des Blancs Manteaux » où sont accueillies diverses expositions accompagnées  d’ateliers,  ainsi que le laisse présager le nom de l’établissement.

    Une sélection de 150 ustensiles de cuisine sont actuellement à l’affiche de « l’Art culinaire et ses outils »,  jusqu’au 11 juin prochain.

    Tous les instruments retenus sont produits par la célèbre  maison japonaise KAMA-ASA une vieille " institution" installée  à Tokyo. La marque est devenue au fil du temps  une référence dans son domaine. Les  autochtones comme les étrangers,  les professionnels et les amateurs  s’y fournissent.

     

    IMG_2493Devanture de l'Atelier des Blancs Manteaux au 38 de la rue éponyme (Photo VlM)

     

    Quel est le secret de cette entreprise?

    Il repose en fait sur une simple phrase appliquée depuis toujours comme un principe intengible ,  « les bons ustensiles et leur juste forme prennent du temps à façonner leur objectif final et à rendre les mets meilleurs ».

    Il est possible de s’inscrire aux différents ateliers proposés qui sont très variés puisqu’il s’en trouve même un consacré à l’aiguisage  des couteaux.

    Le lieu joliment aménagé est à voir.