Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Auteur/autrice : Vivre le Marais

  • St paul rue camions livraisonsRue Saint Paul : camions de livraison

     

    De l'avis unanime d'habitués du quartier, les riverains de la rue Saint-Paul souffrent d’une circulation trop intense.

    Entre le passage de camions, de bus déviés et d'automobiles, les embouteillages sont fréquents, en particulier le dimanche après midi, plus encore quand il y a des brocantes. Le bruit et la pollution règnent en maîtres. Pourtant une simple analyse de la configuration des rues voisines fait ressortir deux points d'attention.
     
    D'un côté la circulation est mal répartie entre les rues du secteur. La rue Beautreillis, par exemple, est très peu empruntée alors que la rue Saint-Paul est la seule voie qui aille dans le sens quai- rue saint Antoine sur une assez longue distance du quai. Les automobilistes  sont donc conduits à l'emprunter en priorité.
     
    De l'autre côté,  vu les sens de circulation des rues adjacentes, il n’y a pas de moyen pour qu’une voiture qui s'engage rue Saint Paul à son début puisse  en sortir autrement qu'en l'empruntant jusqu’au bout!
     
    Aussi  s’il y a embouteillage, les voitures sont coincées sur la quasi totalité de la rue et doivent attendre – à l’arrêt – l’écoulement lent du feu. Outre le bruit des moteurs, les klaxons et l'énervement de certains conducteurs et chauffeurs, les moteurs des véhicules émettent du CO2, des particules nocives alors qu'écoles; collèges, lycées et même une crèche (rue Eginhard) sont tout proches.
     

    La Mairie du IVe, a été alertée de cette situation par des riverains dès décembre 2014.  Un des adjoints a même été mandaté pour reconsidérer la circulation dans ce secteur de l'arrondissement. Face, disons le, à une  inertie patente,  les mêmes riverains ont fait part en mai dernier, des propositions de modification de la circulation aux élus du IVe, mais celles-ci sont restées lettre morte. Tout juste a t-il été dit très récemment au hasard d'une nouvelle demande que ce problème ne pouvait pas être réglé en quelques semaines 

    Dont acte mais alors pourquoi un tel mutisme aussi longtemps ? Pourquoi laisser la situation empirer alors que des améliorations sont possibles ?

    Sur nombre de dossiers hélas, la mairie du IVe montre une certaine impéritie qui est bien dommageable pour les habitants de ce secteur du Marais. Le calvaire des riverains  de la place du Marché Sainte-Catherine, la situation dégradée de la rue du Trésor, les atermoiement concernant la rue Saint-Merri  ou le nourrisseur de pigeons du Centre Beaubourg en sont l’illustration.

    Mais finalement un maire d'arrondissement a t-il de réels  pouvoirs ?

    Dominique Feutry

     

  •   IMG_3224Le seul trottoir praticable de la rue Michel Le Comte (IIIe) coupé par un échafaudage au matin du 3 décembre (Photo FR)

     

    Nous savons combien les rues étroites du Marais rendent la circulation difficile, ce qui occasionne davantage de pollution de l’air de bruit et autres désagréments.

    Nous comprenons aussi que chacun puisse être pressé. Pressé de se rendre son travail, pressé de faire son travail, pressé de pouvoir honorer un rendez-vous ou bien pressé par principe.

    Nous  constatons  de plus en plus fréquemment des pratiques qui commencent à incommoder les plus patients. En effet, dans certaines artères, à l’heure où il est essentiel que chacun puisse se rendre à son bureau, son commerce ou son atelier ou faire en sorte d’arriver à l’heure en classe,  des camions de livraison de marchandises, ou bien de matériaux (consécutivement à des travaux)  voire de simples automobilistes ne recherchent même plus d’emplacement où pouvoir stationner. Ils s’arrêtent  en plein milieu de la chaussée pour effectuer leur déchargement qui peut être long et empêchent pendant ce temps tout véhicule de passer, y compris les transports en commun.

    Ainsi les chauffeurs de bus de la ligne 29 savent qu’à partir de 8h00, arrivés rue Rambuteau et sur son prolongement la rue des Francs Bourgeois, ils vont devoir attendre chaque matin que ceux qui pensent être les seuls à devoir travailler aient bien fini leur besogne pour « autoriser » les autres, comme bon leur semble, à se rendre sur leur lieu de travail. La situation est tellement installée que dès que le bus s’arrête, la plupart des occupants, tel un réflexe, continuent leur chemin à pied… Est–ce ainsi que l’on va développer davantage l’usage des transports en commun ? Doit- on laisser perdurer ces pratiques favorisant les klaxons, les émissions de CO2 et diverses particules nocives à la santé tout en pénalisant ceux  pour qui aussi les horaires sont importants ? Sans oublier les deux roues motorisés qui passent alors sur les trottoirs mettant en danger les piétons. Ne peut-on pas fixer selon les lieux des heures de déchargement qui ne gêneraient pas ou peu ceux qui sont contraints par le temps, tout en rappelant que le stationnement au milieu de la  chaussée doit être l’exception. 

    Il faudrait d’ailleurs aussi  éviter que les véhicules de nettoyage des services de la propreté  interviennent à ces heures sensibles de déplacement vers les bureaux, écoles…

    Un autre problème caractérise les petites rues de nos deux arrondissements. Si des travaux de ravalement y sont entrepris, alors il faut pouvoir disposer les échafaudages  sur des trottoirs étroits. Soit ils débordent sur la chaussée, ce qui est très dangereux, soit l’installation prend toute la largeur du trottoir, obligeant les passants à traverser là où la circulation peut être dense, là où les cyclistes (qui ne devraient pas) roulent à contresens et là où le trottoir opposé est très étriqué voire inexistant. Cette situation qui s'est révélée temporaire a touché la rue Michel Le Comte aux n° 22 et 24, et des riverains se sont montrés circonspects face à un échafaudage qu’il aurait peut-être fallu disposer autrement sans qu’il touche le sol par exemple, comme cela arrive de temps à autres. Mais alors est-ce bien sécuritaire pour les piétons qui passent dessous ? Ce n’est pas certain et d’un autre côté il faut que les travaux se fassent. Des élus ont néanmoins été alertés sur ce cas précis.

    Dominique Feutry

     

  • Francs-bourgeois bhp 04 12 15Bibliothèque Historique de la Ville de Paris (BHVP), Hôtel de Lamoignon, angle Francs-Bourgeois / rue Pavée (IVe) (photo VlM)

     

    Ce mur d'enceinte qui court le long de la rue des Francs-Bourgeois était recouvert depuis des mois d'affiches aussi indésirables que sauvages, avec la passivité surprenante de la direction de la BHVP, des services de la propreté de Paris, et du Maire du IVe Christophe Girard qui donnait ainsi l'impression qu'il ne quitte jamais son bureau ou que les questions d'esthétique et de propreté le concernent guère. Le mur en tout cas vient d'être débarrassé de ses oripeaux.

    Francs-bourgeois lamoignon tagué 04 11 15État du mur avant l'intervention. En haut à droite la tourelle qui tient lieu d'échauguette (Photo VlM)

     

    Nous avons dénoncé cette situation dans un article du 4 novembre 2015, il y a juste un mois. Nous ignorons s'il a déclenché la réaction salutaire que nous constatons aujourd'hui mais en tout état de cause nous nous en réjouissons.

    En constatant cependant que l'état du mur de ce monument historique qu'est l'Hôtel de Lamoignon, après ce qu'il a subi, est lépreux, grêlé, scrofuleux… et qu'il va nécessiter, aux frais naturellement de la Ville de Paris, un traitement adéquat – enduit ou peinture – pour le rendre présentable.

    Nous avons rendez-vous très prochainement avec l'état major des services de la propreté de Paris. Nous demanderons qu'ils nous expliquent, alors qu'ils ont l'arme absolue contre les afficheurs sauvages à savoir le prélèvement administratif d'office dont les amendes sont lourdes, pourquoi ils s'interdisent apparemment de l'utiliser. Nous disons : "apparemment" car nous doutons que les donneurs d'ordre aux afficheurs s'en donneraient à cœur-joie comme ils le font un peu partout dans nos quartiers, si on les frappait au portefeuille. Nous attendons avec intérêt d'en savoir plus.

    Gérard Simonet

     

    In memoriam

    Une photo prise autour de 1900 montre au lieu d'un mur largement aveugle, l'existence d'un commerce avec sa devanture

     

    Pavée 24 rue vers 1900 Hôtel Lamoignon vers 1900Photo aimablement communiquée par l'Association de Sauvegarde du Paris Historique

     

     

  • P1080611Hôtel des Ambassadeurs de Hollande, (Amelot de Bisseuil), 47 rue Vieille du Temple (IVe), entouré de barricades de protection contre les travaux sur porche et façade (photo VlM)

     

    L'autorisation préalable donnée par le Préfet de Paris Île-de-France (monument national oblige !) prévoyait le commencement des travaux au début de 2015, sous la direction architecturale de Jean-François Lagneau, architecte en chef des monuments historiques avec maitrise d'ouvrage du propriétaire, Acanthe Développement, filiale du groupe Duménil Leblé.

    Il y a eu on le voit quelque retard mais les amoureux du Marais retiennent que la restauration du monument, probablement le plus prestigieux du secteur, dont on craignait une forme d'abandon, est désormais en marche.

    Vieille du temple amelot de bisseuil frontonCes "fameuses trompettes", célébrées aussi par Georges Brassens (Photo VlM)

     

    Le traitement des façades est lancé dorénavant, et avec les façades les deux magnifiques bas-reliefs au-dessus du portail monumental, trompettes de la renommée côte rue et Romulus et Remus coté cour. Le portail en bois le plus ouvragé du Marais, est parti pour restauration chez un artisan spécialisé. Les cadrans solaires existants sont restaurés également et réglés en fonction de la configuration cosmique actuelle. Leur heure n’était plus la bonne !

    Les travaux représentent une dépense de 4 Millions d'€. Ce ne sera pas la dernière car à l'intérieur il faut traiter aussi les injures du temps. Il y a là de tels trésors que le coût de leur remise en valeur est difficile à estimer.

    PsychéeLa galerie de Psyché (Photo VlM)

     

    Quel sera le sort de ce monument quand sa rénovation sera achevée ? Des bruits avaient circulé sur son acquéreur potentiel en 2011, membre d'un clan étranger déchu. Ils pourraient n'avoir été qu'une rumeur sans fondement. Aujourd'hui, le propriétaire Acanthe Développement affirme vouloir le conserver dans son patrimoine immobilier et se déclare prêt à le louer. Qui chez nous est en mesure de s'installer dans des locaux qui rappellent Versailles ? Une entreprise privée très vraisemblablement avec un chef au cœur de mécène ?

    Il faudra attendre décembre 2016 et la fin des travaux pour le savoir.

    Gérard Simonet

     

  • P1080616Entrée de l'impasse de l'Hôtel d'Argenson (IVe), à hauteur du 18 rue Vieille du Temple (Photo VlM)

     

    Nous l'annoncions dans notre article du 1er janvier 2013, les riverains du passage étaient parvenus à un accord qui prévoyait l'installation d'une grille à l'entrée de l'impasse, dans le but d'éviter les dégradations et incivilités qu'elle subit depuis des années.

    La grille est désormais en place. Les dégradations sont toujours là mais la restauration des murs aura lieu dès que possible. Les habitués de la rue Vieille du Temple, une des plus attachantes du Marais, leur en sont reconnaissants. Le décor anxiogène que créait l'impasse dans l'environnement particulièrement accueillant de la rue, avait quelque chose de détestable.

    P1080613Impasse de l'Hôtel d'Argenson : état du passage (Photo VlM)

     

    Nous donnons rendez-vous aux riverains pour inaugurer la phase finale qui verra la restauration complète des lieux.

     

  • Hidalgo anne ph girard et gs 06 02 14Christophe Girard (Maire du IVe), Gérard Simonet (Vivre le Marais !) et Anne Hidalgo à une présentation de son programme à la veille des élections municipales de 2014 (Photo VlM)

     

    L'enfer on le sait est pavé de bonnes intentions. Affecter plusieurs dizaines de millions d'€ (18 millions en 2014, 75 millions en 2015) à des projets proposés et choisis par les parisiens directement parait être au premier abord la quintessence de la démocratie.

    Dans la réalité il en est autrement. Dans chaque arrondissement où s'élaborent les projets, des groupes de personnes s'activent. Elles sont très minoritaires, ne représentent qu'elles-mêmes et sont généralement des proches du pouvoir local.

    En décidant de l'attribution de sommes non négligeables alors qu'elles ne disposent d'aucun mandat, elles privent la représentation démocratique, celle qui est sortie des urnes, d'exercer le pouvoir qui lui revient. Ajoutons que contrairement à la structure politique de la mairie de Paris et à sa technostructure, elle ne dispose a priori d'aucune de ces compétences techniques qu'on trouve dans les directions de l'urbanisme, de la voirie, des espaces verts ou de la propreté.

    Le résultat n'est certes pas "l'enfer" mais un cafouillage et des contestations qui ne sont pas dignes d'une grande ville comme Paris. Et une forme d'infantilisation mystifiante qui donne de l'urticaire. Nous tenions à nous en expliquer.

     

  • HambourgHambourg, 2ème ville après Berlin en République Fédérale d'Allemagne, capitale de la Ligue Hanséatique

     

    Tandis que la Maire Anne Hidalgo offrait des hochets aux habitants de Paris avec son "budget participatif", le Maire de Hambourg, pourtant partisan de la candidature de sa ville aux Jeux Olympiques de 2024, demandait à ses habitants de se prononcer par référendum.

    A 51,7 % ils viennent de dire NON.

    JO

    Hambourg suit donc l'exemple de Boston qui a annoncé son renoncement en juillet.     

    Il ne reste plus à Paris que trois concurrents : Budapest, Los Angeles et Rome. Le combat va-t-il cesser faute de combattants ? Anne Hidalgo va-t-elle nous rétorquer à l'instar de Victor Hugo "Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là" ?

    Plus que jamais, nous exprimons notre opposition à cette aventure financière que les politiques soutiennent par souci de leur image et d'autres par intérêt, et nous demandons qu'un référendum soit organisé auprès des parisiens, comme vient de le faire Hambourg en offrant ainsi un exemple de démocratie sincère, telle qu'on la voudrait aussi chez nous.

     

  •   5_10Radiateur chauffant la terrasse d'un bar restaurant

     

     

    Nous avions a plusieurs reprises éclairé nos lecteurs sur le débat relatif au chauffage des terrasses des bars et restaurants.

    Rappelons (voir article du 13 02 2013) que par un arrêté de 2011 la Ville de Paris avait interdit l’installation de ces chauffages lorsqu'ils étaient au gaz et préconisé l'usage de chauffages électriques Mais cette décision décriée par les professionnels a été annulée par le tribunal administratif en janvier 2013 à la suite de la plainte déposée par le Comité Français du Butane et du Propane (CFBP). La Mairie de Paris avait annoncé qu'elle ferait appel, mais il semble bien qu'il n'en a rien été, ce sujet n'ayant plus été évoqué.

    Depuis nous avons vu fleurir davantage de chauffages électriques et même des tables chauffantes (notre article du 17 juin 2013).

      IMG_2131Terrasse rue Rambuteau (IVe) offrant des couvertures aux clients (Photo VlM)

     

    Pourtant en pleine COP21, alors que nous sommes toujours dans une volonté marquée de réduction de notre consommation d'énergie, il est assez paradoxal d’utiliser ces chauffages extérieurs dont la chaleur se dissipe dans l'atmosphère.
    Certains commerçants proposent en plus à leurs clients des couvertures pour se protéger davantage du froid.

    Ne pourraient-ils pas prendre comme décision, en se fondant sur les pratiques de nos voisins étrangers, de ne plus utiliser que des couvertures en oubliant ces chauffages divers qui pour beaucoup polluent inutilement et occasionnent des dépenses énergétiques y compris pour être produits.
    Ce serait là un beau geste de la part de la profession qui montrerait ainsi son engagement dans la réduction des gaz à effet de serre et contribuerait à la réduction du déficit commercial de notre pays.

    Dominique Feutry

     

  •   3000725333_1_3_JpSRB4kbUn exemple de vélo électrique

     

    Le parvis de l’Hôtel de Ville où se déroulent tout au long de l’année moult expositions manifestations et se dressent souvent des installations éphémères, a été retenu volontairement durant la COP21 pour exposer mais aussi faire essayer aux cyclistes attirés par les évolutions technologiques des prototypes de Vélib’ à assistance électrique proposés par Decaux.

    Comme cela existe déjà puisque des commerces spécialisés proposent déjà de vélos à assistance électrique à la vente comme à la location.

    le principe est simple le vélo est équipé d'un moteur et d'une batterie, ce moteur aide le cycliste dans les efforts. Il peut produire jusqu'à 90% de l'énergie qui fera avancer le vélo, dès lors le conducteur ne fait qu'accompagner le mouvement de pédalage. Bien qu'il existe une dynamo, la plupart du temps la batterie est amovible et peut être rechargée chez soi. 

    Les téméraires pourront donc s’essayer à ces nouveaux cycles jusqu’au 11 décembre de 10h00 à 19h00, avant que le parvis ne retrouve la patinoire et le manège, tradition oblige, durant les fêtes de fin d’année.

    Dominique Feutry

     

  •  IMG_2125Graffiti indésirable sur la façade refaite à neuf de l'immeuble situé 8 rue Aubriot (IVe) (Photo VlM 29 novembre 2015)

     

    En ces temps difficiles pour la France et le monde. En cette période où la sérénité est réclamée à cor et à cri, ce qui tombe sous les sens. En ces jours où nous devons nous unir plutôt que  nous désunir, où sans rien oublier nous devons tout faire pour que les événements du 13 novembre ne se reproduisent plus et nous rapprochent les uns les autres dans un grand élan de sursaut national souhaité par nombre d’entre nous, il est affligeant que des inscriptions du type de celle qui figure sur la photo ci-dessus aient encore cours. Si on ne respecte pas les autres, alors peu de choses seront possibles.

    Honte à ceux qui l’ont écrit… même dans une rue peu passante ce qui en réduit la portée.

    Au demeurant, alors que l'enduit de cet immeuble est neuf, pourquoi saccager et gâcher le travail des personnes qui ont mis tout leur savoir à sa réalisation et ne pas respecter les commanditaires de ces aménagements qu’ils ont financés à grands frais afin que notre quartier conserve son bel aspect ? 

    Respect de l'homme ! Respect de l'homme ! Là est la pierre de touche ! écrivait Antoine de Saint-Exupéry dans Lettre à un otage en 1944.
     
    Ces façons de faire sont aujourd’hui dépassées et il appartient à la Marie de Paris, comme à nous aussi, de veiller à prévenir ces abus et à faire enlever ces graffiti déplacés.

    Dominique Feutry