Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Auteur/autrice : Vivre le Marais

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    CapturefestivalecjL'affiche du festival

     

    Du 7 au 23 juin se tient à Paris le festival des cultures juives. Nos deux arrondissements sont très impliqués dans ces festivités qui ont pour thème cette année « Liberté, Liberté chérie ».

    Il faut rappeler aussi que le 1er festival est né dans le IIIe, un creuset de l’histoire de la communauté juive en France, il y a 11 ans.

    Parmi les nombreuses manifestations émaillées de concerts, d’expositions, de conférences, de pièces de théâtres et de films, nous retiendrons quatre spectacles. 

    Des chorales qui se produiront et se succéderont le dimanche 14 juin de 13h30 à 18h00 place Baudoyer (IVe), une soirée humour consacrée à « Pierre Dac : un français libre à Radio-Londres » le jeudi 18 juin à 20h30 10, rue  Saint Claude (IIIe), la projection du film « Dada à Paris »  qui retrace la genèse du mouvement au cinéma MK2 50 rue Rambuteau (IIIe) et le concert de clôture intitulé « Bodino » (chant, basse, percussions, guitare électrique …) le 23 juin au théâtre Déjazet qui réunira des musiciens originaires de Berlin et Tel Aviv.    

     

    Pour s’informer, réserver ou retirer ses places, s’adresser au bureau du festival 35-37, rue des Francs Bourgeois (IVe). Tel 01 42 17 10 70

     

  • C2323253ce32547c68306a8921a04fb2b8b77b45

     

    Voilà une décision qui ravit ceux qui ont en assez d'être incommodés dans les aires de jeux publiques, là où s'ébattent les enfants. Fumer dans ces lieux devrait être bientôt interdit alors qu'une expérience est en cours dans trois d'entre eux. La publication du décret a été annoncé par la Ministre de la santé pour fin juin. 

    Ainsi les mégots qui souillent le sol  et dont on sait la difficulté d'élimination (voir notre article du 11 mai 2015) devraient avoir totalement disparu dans ces endroits.

     La Maire de Paris lors de lancement de l'expérimentation avait spécifié que des cendriers et des éteignoirs seront mis à disposition des fumeurs, tout en ajoutant que des agents de la Ville seraient  invités à expliquer cette mesure, plutôt que de sanctionner. 

    Parallèlement à cette décision une campagne  sera lancée dès lundi 1er juin avec le slogan "Profitez de l'été pour arrêter de fumer".

    Nous adhérons bien entendu à cette décision et à la prochaine campagne anti tabac, nous demandons  à nos élus, à nos gouvernants et au législateur d'aller plus loin encore  car nous sommes au cœur d'une question de santé publique qui nous concerne tous et pas seulement les enfants.

    Dominique Feutry 

     

  • Document

    L’édition 2015 de Nomades aura lieu le week-end des 13 et 14 juin dans le IIIe arrondissement.

    Comme chaque année des ateliers, des bibliothèques, des galeries d’art et des boutiques seront spécialement ouvertes à l’occasion de cet événement. Sculptures, sérigraphies, plaques gravées, créations plastiques et taxidermie en direct ainsi que des autres démonstrations seront proposées aux visiteurs. 

    Des  animations sont prévues,  qu’il s’agisse de vernissages, de concerts de musiques diverses (jazz, chorales, harpe, contemporaine, chant lyrique…). Des déclamations, des lectures de textes et  de poésies, de la danse, du théâtre, des projections de films, des expositions originales et aussi inattendues sont à l’affiche.   

    Plusieurs visites guidées sont au programme dont la chapelle de l’Humanité 5, rue Payenne (notre article du 13 juillet 2012) rarement ouverte à la visite, elle  sera exceptionnellement accessible dès 15h00 durant ces deux jours.   

    Plusieurs centres culturels ont de leur côté prévu des animations, alors que les parcs et jardins participeront eux aussi au festival.   

    Nous émettons néanmoins une réserve sur cette manifestation, en ce qui concerne le "street-art". Vouloir, dans le cadre d'ateliers, initier les plus jeunes à cette « technique » ne risque-t-il pas, non pas comme le dit la promotion qui lui est associée dans le prospectus du festival de constituer « un tremplin  à l’imaginaire et à la création », mais plutôt de les conduire à imiter ceux qui depuis des années barbouillent et saccagent les murs du quartier à grand renfort de dépenses supportées par les habitants pour essayer de les effacer ensuite.

    Il importe que des règles de prévention et de conduite « citoyenne » soient inculquées aux jeunes impétrants à cette occasion… Mais cela est-il prévu ?

    Pour plus d’information, contacter la mairie du IIIe

     

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    Las-vegas-casino

     

    Après la trouvaille des bars sur les toits, un cinéma flottant sur la Seine, voilà maintenant que ressurgit l’idée d’ouvrir des casinos à Paris, une manière d’attirer encore plus de noctambules dans la capitale qui n’en compte sans soute pas assez. Une façon aussi de garnir les caisses de la ville qui manque de recettes même si nos édiles se défendent de vouloir « transformer Paris en Las Vegas ».

    En effet si la Maire de Paris affiche un certaine réserve sur cette idée, elle se trouve néanmoins face à un dilemme, ne pas pouvoir augmenter les impôts des parisiens suite à sa promesse de campagne tout en souhaitant engager de gros chantiers comme la piétonisation de la Rive Droite,  la création de logements sociaux, la construction de grandes tours ou l’édification d’immeubles sur les ponts.

    A la suite de la demande du gouvernement, le préfet Jean-Pierre Duport a été chargé d’un rapport sur la fermeture des derniers cercles de jeux parisiens et leur remplacement éventuel par des casinos. Le résultat de ses travaux sera rendu début juin.

    Si des casinos sont implantés à Paris, les parisiens auront bien du souci à se faire, une mauvaise nouvelle et un  mauvais signe qui leur seraient adressés. Car la conséquence est évidente, ces créations amèneront encore plus de touristes, plus de bruit la nuit avec tous les désagréments associés bien connus que nous avions maintes fois décrits sur notre blog.

    Espérons que les élus de Paris sauront raison garder, nos quartiers n’ont pas besoin de nouveaux afflux de visiteurs attirés par le jeu, la fête et la vie nocturne.

    Soyons au moins une fois davantage écoutés face à des intérêts purement mercantiles car la qualité de vie des habitants n’a pas de prix.  

     

  • AccidentAccident de la circulation à Paris (photo Le Parisien)

     

    Réduire à 30 km/h la vitesse des voitures dans les arrondissements du centre de Paris est une bonne mesure. Il en est de même de l'abaissement à 80 km/h de la vitesse sur les routes nationales et d'une nouvelle baisse sur le périphérique parisien. Pourquoi ?

    Parce que tout simplement le nombre et la gravité des accidents de la route sont une fonction croissante de la vitesse. A l'arrêt, il n'y pas d'accident. A 300 km/h, hors circuits conçus pour cela, l'accident et la mort sont garantis. Le risque croit à l'évidence de zéro à l'infini avec la vitesse. Comme croissent la pollution de l'air et le bruit.

    Certains nous disent, parce qu'ils défendent des intérêts marchands, que les accidents ont d'autres causes. Certes, nous ne le nions pas. Agissons aussi sur ces causes mais n'oublions pas pour autant la vitesse ! On n'a pas le droit, humainement et pour quelque motif que ce soit, de renoncer à sauver des vies et épargner des souffrances. D'autres font remarquer que la vitesse moyenne dans Paris étant de 16 km/h, il n'est pas utile de la limiter. Comble de l'ânerie car c'est la vitesse de pointe qui est visée ; c'est elle qui pollue et qui est dangereuse.

    A Paris, le Maire-Adjoint chargé des déplacements et de la voirie, Christophe Najdovski lançait le un message radical : "On n'a pas besoin de voiture pour se déplacer dans Paris" (Le Parisien du 18 mai 2015). Dans la foulée on lui répondait qu'on est parfaitement d'accord ; tellement d'accord qu'on lui rétorquait par mail le même jour que la Mairie de Paris devrait à ce titre supprimer toutes les voitures de fonction.

     

    NajChristophe Najdovski (photo Huffington Post)

     

    On a plutôt de la sympathie pour M. Najdovski qui a souvent de bonnes idées avec ses amis EELV (Les Verts). On ne lui a pas proposé cette mesure pour lui tendre un piège mais tout simplement parce qu'elle nous parait découler tout naturellement de sa propre analyse frappée au sceau du bon sens.

    A ce jour, nous n'avons pas reçu de réponse, à croire que notre élu en est très embarrassé. A-t-il peur de s'attirer les foudres de ses collègues ?

    S'agissant de la vitesse dans les quatre arrondissements centraux, nous répétons que nous  sommes d'accord et nous ne voulons pas ergoter sur les chiffres pourvu qu'on aille dans le bon sens. On a un doute cependant : qui va s'assurer que la mesure est respectée et sévir si elle ne l'est pas ? Avec quels moyens techniques ? Humains ? Autant que la mesure en elle-même, c'est cette réponse qui compte.

    Gérard Simonet

     

     

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    La musique de nos jours adoucit tellement les mœurs qu'elle se présente à nous comme un affrontement à gérer. On est bien loin de la vision angélique qu'en a eue Jack Lang lorsqu'il l'a créée.

    Voici ce qu'on en dit sur Internet : La fête de la musique est née en 1982 à l'initiative du ministère de la culture dirigé par Jack Lang. L'idée lui a été soufflée en 1981 par Maurice Fleuret, directeur de la Musique et de la Danse : il fit le constat que cinq millions de personnes (dont un jeune sur deux) jouaient d'un instrument de musique, mais qu'aucune manifestation ne célébrait cet art en France. Il proposa donc de faire jouer les musiciens amateurs dans la rue afin de promouvoir la musique et ainsi la démocratiser.

    Depuis, les industriels de la boisson et les fabricants de matériel de diffusion du son s'en sont accaparé et l'évènement célèbre désormais beaucoup plus Bacchus qu'Euterpe. La mélodie et l'harmonie, fondements de la musique, s'effacent sous le tonnerre de Zeus des sonos.

    Eric Moyse avait déjà pris son poste à cette date l'an passé mais c'est cette année véritablement qu'il en vit la genèse et qu'il en assumera pleinement la charge le dimanche 21 juin au soir. Son baptême du feu en quelque sorte, quand on se remémore certaines années où la folie a battu son plein.

    Fête nuit 2011On cherche vainement sur cette photo de la rue des Archives en 2011, le musicien amateur et son instrument !

                 

    Il s'y est donc préparé en recevant les établissements réputés bruyants pour leur signifier (1) que la fête se termine à 00h30 (minuit et demi), (2) que les animations doivent rester internes aux locaux (pas d'enceintes aux fenêtres ou sur le trottoir et (3) que la modération dans le bruit est la règle. La rue des Archives, dans sa partie sud, sera fermée à la circulation (sauf véhicules de secours).

    Alea jacta est ! Ceux qui ne peuvent pas fuir Paris nous diront comment la "fête" s'est passée.

     

  • En-attendant-rosa-c2a9drFête la nuit près du Pont Alexandre III (VIIe)

     

    De récentes informations révélées dans  la presse et relatives à un problème de santé publique dénoncent le rejet par les bateaux et les péniches, directement dans la Seine, « des matières fécales, de l’urine de leurs toilettes ainsi que leurs eaux usées (cuisine, lave-vaisselle…) ? ».

    Saisis par l’association « Accomplir »  du réseau "Vivre Paris !" dont fait partie "Vivre le Marais !" plusieurs maires  d’arrondissement  profiteront du Conseil de Paris de ce 26 mai pour interpeler la Maire et le Préfet de police sur ce sujet.

    Ce que ne disent pas les journalistes, c’est  qu’au-delà du problème de santé publique particulièrement grave qui se pose si ces pratiques de rejet étaient avérées, nous avons là l’illustration des dérives du système tout festif que la municipalité de Paris développe depuis de nombreuses années.  Ainsi les barges installées sur les quais de Seine pour abriter des bars et lieux de fête ne peuvent qu’entrainer ce type de conséquences et d’abus.  Chacun agit à sa guise, consommateurs et exploitants réunis. Au diable si l’on souille la Seine,  si l’on souille nos rues, du moment que le tiroir-caisse se remplit. 

    Ces constats valent aussi pour le tourisme de masse que la mairie n’a de cesse d’encourager, la  dernière nouveauté étant de  faire de Paris la première destination du tourisme de nuit. Toujours plus sans aucune considération pour les habitants qui rappelons le sont juste bons à acquitter les impôts qui financent les conséquences des dérives du tout festif !

    1700981_3_1ded_un-homme-en-maillot-de-bain-prend-le-soleil-sur_f91387bb968324aacbb92bde94a77649La Seine serait polluée par divers rejets provenant de bateaux qui y circulent

     

    Dérives en  matière de propreté,  de santé publique, de bruit, de sécurité, d’alcoolisation massive notamment des jeunes. Nous ne  cesserons jamais de répéter ces constats que la Mairie ignore tout en laissant imaginer qu’elle s’en préoccupe. Le conseil de la nuit, la multiplication des terrasses y compris sur les toits, pour ne citer que ces deux exemples, en sont la parfaite illustration.

    Pourtant des lois et des règlements existent, il suffit de les faire appliquer, mais à l’évidence on ne veut pas freiner un business lucratif.

    Et tant pis pour les parisiens taxés de grincheux  dès qu’ils osent  aller à l’encontre de ce qui est présenté comme un eldorado…On sait hélas ce qu’il en est !

    Dominique Feutry  

     

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    AParapharmacie nouvellement ouverte à l’emplacement d'un grossiste en maroquinerie 81 rue Beaubourg (IIIe) (Photo VlM)

     

    Alors que les agences immobilières avaient fleuri jusqu'à la crise de 2008, l’engouement s'est porté ensuite sur les magasins d'optique  qui se sont ouverts tous azimuts aux cours de ces dernières années. Et le Marais n'y a pas échappé. (Le Marais, quartier de miros, 29/03/12). Aujourd'hui cette vague semble terminée mais nous assistons à la multiplication des parapharmacies. Des grossistes disparaissent à la faveur de ces commerces sans doute lucratifs.

    Ces effets de mode sont curieux et étonnent car pour pouvoir s'installer, il faut des financements ou tout le moins disposer de fonds suffisants et établir un business plan convaincant pour étayer le dossier de l’établissement financier sollicité et emporter sa décision d'accorder un prêt.

    En ce qui concerne les parapharmacies, deux phénomènes président à leur multiplication un peu partout. 

    D'une part les parapharmacies vendent des produits sans ordonnance. La majorité des substances fournies sont naturelles comme les compléments alimentaires, les cosmétiques ou les vitamines…

    D'autre part, selon UFC Que Choisir, "l'automédication, c'est-à-dire l'ensemble des médicaments vendus sans ordonnance, représente, un tiers des dépenses de médicaments des consommateurs…et 80% de cette dépense est consacrée aux médicaments dont les prix sont libres." Ajoutons que les pouvoirs publics prônent davantage d'automédication, écornant au passage  le monopole des pharmaciens.

    Nous le voyons bien si malgré l’ouverture récentes d'épiceries bio (nos articles des 15 août et 10 septembre 2014), les commerces de proximité et de bouche se raréfient au profit de magasins de prêt à porter, il y a aussi les activités en vogue qui essaient de surfer sur l'engouement du moment.

    Les parapharmacies semblent actuellement être en tête de liste en ce domaine.

    Dominique Feutry

     

  • Nouvelle image 2Affiches agrafées sur les potelets de la rue des Francs Bourgeois le 23 mai 2015 (IVe) (Photo VlM)

     

    Une pluie d'affiches a inondé le quartier ce samedi 23 mai 2015. Potelets, poteaux, panneaux de signalisation étaient la proie de publicités. Entre des spectacles de guignol, la vente de tapis devenue malheureusement un classique (voir nos articles des  9 avril 2013, 6 octobre 2014 et 23 mars 2015) et  la promotion de la vente de fleurs pour la fête des mères, il y avait l'embarras du choix pour tous et pour tous les goûts.

     

    Nouvelle image 3Autres affiches "logotées" Mairie de Paris sur un pied de panneau de signalisation rue Beaubourg (IVe) (Photo VlM)

     

    Ce qui devient inconcevable, voire incompréhensible, est l'attitude de la Mairie dont le laisser faire est patent alors que ce phénomène est connu depuis longtemps et qu'il prospère en toute illégalité.

    Pire encore, certaines de ces affiches placardées sont "logotées" Mairie de Paris. Ce tampon doit être assimilé à une véritable imprimatur car il donne toute liberté semble t-il à ceux qui en bénéficient !

     

    Nouvelle imageAffiche annonçant un spectacle de guignol (déjà donné depuis une semaine) sur une poteau de signalisation devant le square rue des Blancs Manteaux ('IVe) (Photo VlM)

     

    A quoi bon alors lancer une journée propreté dans nos quartiers (notre article du 20 mai 2015) si par ailleurs ces nombreuses affiches sont laissées un peu partout (avec ficelle, fil de fer et ruban adhésif pour bien les fixer et rendre leur éradication  plus difficile) alors qu'elles enlaidissent nos rues.

    Cette passivité de la mairie et de la police est condamnable et nous laisse pantois. Pourquoi ne pas agir? Pourquoi la mairie cautionne-t-elle ces affichages, les laisse se multiplier?

     Panneau de configurationAffiche "fête des mères" sur un potelet et la porte d'entrée du garage du Crédit Municipal face au fleuriste installé à l'angle des rues Aubriot et des Blancs Manteaux (IVe) (Photo VlM!)

     

    Si la propreté est l'affaire de tous, elle est aussi l'affaire de ceux qui ont autorité sur la Ville et qui doivent tout faire pour que ces pratiques cessent.

    Dominique Feutry

     

  • B2Trémie végétalisée et aménagée de la rue Saint-Merri (IV') (Photo VlM!)

     

    Il aura fallu du temps pour parvenir à aménager cette trémie à l'angle des rues du Renard et Saint-Merri tout en inversant le sens de circulation (voir nos nombreux articles: 12 et 28 septembre, 2 et 28 octobre, 12 décembre 2014, 12 et 16 janvier 2015).

    Excepté encore une dernière barricade à enlever, la pointe recouverte de pavés dont les joints sont engazonnés, est agrémentée de plantes descendant le long du mur situé au fond, l'ensemble étant fermé par quelques grilles en forme de croix de Saint-André. Si cet aménagement est respecté il faut reconnaitre qu'il a une certaine allure.

    Les enfants se rendant à l'école devraient être plus en sécurité.

    Reste néanmoins le devenir du passage  le long de cet immeuble, toujours aussi sale, voire sordide et peu engageant notamment le soir.

    La ville et le Maire du IVe en particulier ne peuvent pas laisser cet endroit dans cet état,  car l'aménagement de la trémie, comparé à tout cet ensemble, n'est finalement qu'un cache misère.

    Dominique Feutry