Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Auteur/autrice : Vivre le Marais

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    UExpressRideaux métalliques tagués : un signe de décrépitude qui ne trompe pas…

     

     

    Ce commerce à double entrée, 4 rue de Montmorency et 109 rue du Temple dans le IIIe ouvrait en 2015 sous l'enseigne U-Express, dans un mode "supérette étoffée". Par comparaison avec les Monop', G20 et Franprix, La Vie Claire…. du voisinage, ce commerce offrait plus de choix, à des prix généralement attractifs. L'accueil en revanche n'était pas des meilleurs…/

    Il semble que son modèle économique n'ait pas eu le succès attendu. Les observateurs soulignent que l'activité commerciale n'a jamais atteint le niveau de rentabilité attendu à cause de coûts fixes trop élevés. Les gérants se sont succédé sans réussir à dépasser le handicap d'une concurrence trop fournie dans un rayon de 500 mètres.

    Les travaux d'aménagement qu'il a fallu entreprendre ont contribué à alourdir les charges et à empoisonner les relations avec la copropriété de l'immeuble. Elles se sont détériorées pour déboucher sur d'interminables et couteuses procédures judiciaires.

    Au bout du compte, l'entreprise a fermé et s'est débarrassée de la totalité de son stock et de ses en-cours. On a affaire aujourd'hui à un local vide qui ne conserve des années passées que son enseigne extérieure…

    Pas pour longtemps ? Les commentaires vont bon train pour dessiner l'activité qui pourrait prendre la suite. Des riverains pensent qu'il s'agira toujours d'une activité de distribution alimentaire mais spécialisée dans la vente par Internet. Ce mode de commercialisation implique la mise en place d'un dispositif d'accueil de camions, de stockage de marchandises à la manière d'Amazon et la livraison à domicile par une armada de vélos, motos ou triporteurs (électriques peut-être…?) comme on commence à le voir en Angleterre et en Allemagne.

    Faut-il s'en inquiéter ? S'en réjouir ? Objectivement, si la livraison est faite par des engins électriques non polluants nous pourrions nous y retrouver. Pour autant qu'ils ne prennent pas les trottoirs pour leur espace légitime de circulation….

     

  • Erdilin

    Magasin en déshérence 14 rue des Haudriettes (IIIe), dimanche 5 juin 2022. Des strates d'affiches sauvages recouvrent sa devanture ! Un colleur d'affiches est en action. pour en remettre une couche !

     

     

    Il s'est garé tranquillement rue des Archives à hauteur du 57 où les trottoirs sont assez larges pour accueillir un véhicule en infraction.

    Sa douzaine d'affiches sous le bras, il se dirige vers le sud pour prendre à droite la rue des Haudriettes avec dans la main un balai-brosse et un récipient de colle à papier.

    Après avoir enduit méthodiquement la devanture de colle, il déplie posément ses affiches l'une après l'autre pour les coller sur l'affichage existant, sans trop se préoccuper de la gène causée à la campagne précédente. Dont il a peut-être été l'auteur en son temps, allez savoir ?

    La façade dument enduite, il tourne le coin vers la rue du Temple pour y coller son solde d'affiches. De retour sur la façade principale rue des Haudriettes, il sort un appareil pour photographier son travail, une manière de montrer à son employeur qu'il a fait le job et doit être payé pour son travail illégal.

    Il reprend sans se presser le chemin inverse vers son véhicule, pour la prochaine étape d'un parcours jalonné de surfaces à couvrir….

    C'est alors qu'Attila a surgi. Il est très attentif à Paris-centre aux atteintes de ce genre au règlement de la publicité de la Ville. Profitant du fait que la colle était encore fraiche et malgré l'état poisseux des affiches, il s'est mis en demeure de décoller toutes celles qui étaient à sa portée.

    Résultat : un panneau d'affiches pantelantes qui sont restées à moitié collées et dont le message publicitaire est devenu illisible.

    La mairie de Paris et les services de la propreté doivent méditer l'événement. S'ils assumaient correctement la surveillance des quartiers, les citoyens n'auraient aucune raison de se faire justice. Il n'en est malheureusement rien et la nonchalance de ceux qui enfreignent les lois sans scrupules ni stress de se faire prendre, incite les habitants à agir. On ne peut pas leur en faire grief….

     

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    Vie rom

     

    CULTURE & PATRIMOINE

    A le plaisir de vous inviter à une grande visite en plein XIXème siècle

    LE MUSÉE DE LA VIE ROMANTIQUE

    Rendez-vous le 21 juin à 15h30

    16 rue Chaptal (métros St Georges ou Pigalle ou Blanche)

     

    Dans ce musée vous entrerez au cœur du XIXème siècle dans une maison caractéristique de la Restauration entourée d’un très beau jardin avec un agréable café.

    Notre guide nous présentera Ary Scheffer peintre hollandais qui s’installe en 1830 dans le quartier à la mode de la Nouvelle Athènes où il deviendra un portraitiste renommé. Sont venus dans cette maison, entre autres, Chopin, Liszt, Rossini, Tourgueniev… Vendue à l’Etat en 1956, elle revient à la Ville de Paris en 1982. Vous y verrez de multiples souvenirs de George Sand dont son mobilier, ses bijoux ainsi que des meubles d’Ernest Renan qui après des études au séminaire a rompu avec l’Eglise catholique et devint agrégé de philosophie et auteur de nombreux ouvrages. Peintures et objets vous feront revivre plus d’un siècle en arrière.

    Nous vous attendons nombreux pour cette visite guidée en vous remerciant de prévoir une contribution de 20 € pour les adhérents de Culture et Patrimoine et de 25 € pour les non adhérents. Merci de prévenir de votre visite et du nombre de personnes qui vous accompagneront Marie-Françoise Masféty-Klein par mail mfmk@free.fr

    ou par téléphone 06 50 96 05 12. Nous vous adressons nos fidèles amitiés.

     

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    Police

     

    L'information a été publiée hier dimanche 29 mai par l'AFP, Radio Bleue, Le Parisien et RTL : un homme a été retrouvé mort à 4h00 du matin dans la nuit de samedi  à dimanche par deux passants, appuyé contre un mur, victime de coups de couteau dans le thorax. Les pompiers appelés n'ont pu que constater le décès. On ne sait rien de plus que son âge, 33 ans. L'enquête a été confiée à la police et une autopsie aura lieu ce lundi 30 mai.

    Le site PARISMARAIS publie également l'information et situe de drame autour de la rue Charlot. Son animateur regrette que les "écolos" de la mairie de Paris aient "refusé depuis des années l'installation dans nos quartiers de caméras de surveillance dans les petites rues. Elles n’empêchent pas les crimes mais permettent à la police d’être prévenue plus tôt".

    GS

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    Temple 67Un tag tenace qui résiste aux services de nettoiement de la mairie depuis à peu près un mois ! Pourquoi ? 67 rue du Temple (IIIe)

     

     

    En général c'est le matin qu'on découvre les saccages de la nuit par les tagueurs. La mairie a raison de dire qu'il est difficile de poursuivre les auteurs tant qu'ils ne sont pas interpelés en flagrant délit de débilité mentale nuisible. Le Procureur de la République lui fait malheureusement écho en classant les plaintes sans suite.

    Cette fois pourtant, l'association des utilisateurs de DansMaRue (AUDMR) publie sur Twitter une prise de vue en plein jour de deux tagueurs qui s'en prennent à l'école de la rue Béranger (IIIe), à visages découverts. La mairie doit déposer plainte car l'école dépend d'elle et le Procureur doit déférer les délinquants devant la justice. Nous appuyons avec vigueur la protestation de l'AUDMR. qui demande à nouveau "plus de patrouilles des polices municipale et nationale et des poursuites du Parquet de Paris"

    La Vidéo qui nous fait découvrir à quoi ressemblent ces voyous en action

     

  • Clément beaune rédClément Beaune et Clara Chassaniol avec Philippe Lanta et Gérard Simonet. Yvon Le Gall est derrière l'objectif…

     

     

    Notre ami Pascal Fonquernie, directeur du site PARISMARAIS.COM, le mieux informé et documenté de Paris-centre, nous avait précédé. Il publie le contenu de son entretien avec le candidat député pour la 7ème circonscription : le IVe, une partie du XIe et une partie du XIIe. On sait depuis hier qu'il fait partie du gouvernement d’Élisabeth Borne en tant que Ministre Délégué aux affaires européennes.

    Clément Beaune : entretiens avec PARISMARAIS

    En fin politique, Clément Beaune n'a pas répondu à toutes les questions et en a aussi éludé quelques unes. Il en est ainsi de la propreté ("Anne Hidalgo n'en a pas fait sa priorité….") et du sort de la place de la République maintes fois dénoncé par nos amis de "Vivre République !".

    Nous avons insisté auprès de lui sur la nécessité de déjudiciariser au maximum les infractions car la justice est saturée et pas nécessairement motivée. Il en est d'accord.

    Son jugement n'est pas systématiquement négatif envers la Maire de Paris, mais il regrette que trop de mesures soient inspirées par une idéologie qui fait des dégâts. C'est le cas des déplacements et de la circulation : elle n'a pas suffisamment pris en compte la nécessité d'adapter et d'améliorer les alternatives à la voiture notamment les transports en commun.

    Sur les terrasses, Clément Beaune avance une vision qui a sa logique : revenir à la situation antérieure avec des terrasses de plein droit étendues pour occuper une partie de la place laissée par les voitures, mais attribuées avec rigueur. La finalité étant de supprimer le double régime qui oblige les exploitants à intervenir à deux horaires différents : une heure pour les terrasses estivales, une autre différente pour les terrasses permanentes. Nous l'avons prévenu que cette approche ne serait pas du goût des riverains, notamment nos amis du XIe qui dénoncent une anarchie en la matière…

    Dans un autre domaine, Clément Beaune souhaite modifier la loi sur la fin de vie. Sur ce sujet un consensus est possible et son aboutissement pourrait marquer la prochaine mandature.

     

  • Beaune clément et chassaniol claraClément Beaune et Clara Chassaniol

     

     

    Vendredi 20 mai 2022 vers 10h00 le matin. Clément Beaune a souhaité s'entretenir avec nous dans la perspective des élections législatives des 12 et 19 juin. Il est candidat LREM (macroniste) au poste de Député de la 7ème circonscription (IVe, partie du XIe et partie du XIIe). Il était secrétaire d’État aux affaires européennes du gouvernement Castex. Il nous présente son projet, sa vision des choses et répond à nos sollicitations. Nous y reviendrons dans un prochain article.

    A côté de lui Clara Chassaniol, ancienne élève de l'ENA et collaboratrice parlementaire de Pacôme Rupin, le Député LREM actuel, qui a souhaité changer d'orientation pour raisons personnelles et ne se représente donc pas. Elle s'affiche comme suppléante de Clément Beaune.

    Le même jour 16h15 : Clément Beaune revient au gouvernement et monte d'un cran dans la hiérarchie. Il est promu Ministre Délégué aux affaires européennes et entre donc au gouvernement d’Élisabeth Borne. En toute logique, Clara Chassaniol le remplacera s'il est élu. S'il ne l'est pas, son sort au gouvernement, à l'instar de la Première Ministre si elle n'est pas élue à Vire, sera problématique.

    Gérard Simonet

     

  • Copla
    La formation de guitares classiques COPLA et ses six solistes, retardés par le Covid, vont enfin se produire chez nous : Clarisse Sans, Martin Vieilly, Giorgio Albiani, Léonard Chantepy, Hugo Brogniard et Arnaud Sans.

     

     

    "La guitare est un petit orchestre. Chacune de ses six cordes est une couleur, une voix différente" (Andrès Segovia). On sait qu'Hector Berlioz et Niccolo Paganini l'affectionnaient et en jouaient. Berlioz l'aurait utilisée pour rechercher les harmonies de sa célèbre Symphonie Fantastique.

    L'ensemble de guitares COPLA réunit six artistes premiers prix de conservatoires nationaux, professeurs de guitare dans des conservatoires du sud de la France. Il nous propose des adaptations et transcriptions d’œuvres classiques célèbres pour la guitare ou pour orchestre.

    Au programme : ALBENIZ (Asturias), BOCCHERINI (Fandango), SAINT-SAËNS (Danse macabre), RODRIGO (adagio du concerto d'Aranjuez), BERNSTEIN (trois pièces de West Side Story), VERDI/TARREGA (deux airs de la Traviata), ROSSINI (Ouverture du Barbier de Séville).

     

         Le mardi 14 juin 2022, à 20h00

    en la cathédrale Ste Croix des Arméniens de Paris

    13 rue du Perche – 75003 Paris (Marais)

     

    Port du masque facultatif.

    Réservez vos places au 06 80 88 87 10 ou par mail vivrelemarais@orange.fr  ERA Immobilier (2016) - en reserve - Couleur (5)

    Affectation des places dans l'ordre des réservations

    Participation aux frais : 20,00 € par personne

    Paiement par chèque à Vivre le Marais -  6 rue des Haudriettes – 75003 – Paris,

    ou par virement compte IBAN : FR05 2004 1000 0127 8174 2N02 013 

    identifiant : PSSTFRPPPAR

    ou par PAYPAL, de manière sécurisée ou par carte bancaire, en cliquant dans le lien suivant :

     

     

  • Beaubourg 73 perspectiveLa rue Beaubourg (IIIe), au niveau du n° 73, avec ce tag monumental dans la perspective des tours de Notre-Dame

     

     

    Dans la foulée de la campagne #saccageparis dont l'animateur est membre de notre association, Didier Rykner, fondateur et directeur de la rédaction de La Tribune de l'Art, une revue qui fait autorité à Paris, publiait en janvier un brûlot intitulé "La disparition de Paris" (éditions Les Belles Lettres), très critique sur la gestion de la Ville par la Maire de Paris.

    Dans ses 236 pages, il y du vrai et il n'y a peut-être que du vrai. Nous partageons l'analyse. Qu'il s'agisse de la propreté, des tags et des affiches sauvages, du mobilier urbain, des travaux de voirie, des arbres et des espaces verts, de la circulation, des terrasses estivales, du réaménagement des places, des constructions, des soins portés aux monuments historiques et de quelques autres dossiers, nous consacrons nous-mêmes notre temps et notre énergie à dénoncer sur ce blog et dans les instances municipales ce qui de notre point de vue appelle des critiques.

    Un caractère nous différencie cependant de M. Rykner : nous ne disons pas que tout est mauvais, que tout empire et que la nef parisienne est en train de couler en dépit de sa devise, car cette posture est contre-performante. Nous disons au contraire que des erreurs sont en voie de correction (bancs publics, pieds d'arbres, mobilier urbain…), que les bars-restaurants abusent de l'autorisation qui leur a été donnée d'occuper l'espace public ce qui leur vaut d'être quelques fois redressés, et que des progrès ont été accomplis en matière de propreté mais qu'ils sont insuffisants et doivent être renforcés.

     

    Beaubourg 67 façadeLe 67 !

     

    Cette portion de la rue Beaubourg illustre notre propos. Que chacun se souvienne de ce qu'était cette rue au début des années 2000. Circulation anarchique, façades saccagées, camions tagués garés un peu partout, plusieurs immeubles en déshérence à l'image des 67-69-71….

    Les progrès sont évidents aujourd'hui. Il reste néanmoins des motifs de se plaindre : tous les rideaux métalliques des commerces sont horriblement tagués et créent de ce fait une ambiance zonarde. Quant à l'immeuble du 69-71, qui a été remarquablement restauré pour les besoins de Skello, il porte la marque du vandalisme des tagueurs sur toute la hauteur du pignon du 67. Il faut enlever cette souillure. Mais comment procéder ? peut-on y parvenir en faisant appel aux "alpinistes"… La Ville se distinguerait en réglant ce problème manifestement difficile.

    Pour ce qui est des rideaux métalliques, la mairie a commencé à s'en occuper, en traitant des rues entières quelques fois, mais le processus semble marquer le pas. Ce serait une erreur qu'elle s'arrête en chemin. A notre connaissance, elle n'a pas réussi encore à convaincre les propriétaires/gérants des commerces à contribuer. Il est vrai que les dégâts ne sont plus visibles quand le magasin est ouvert mais l'image de l'établissement ne peut que souffrir d'une devanture qui se cache en fin de journée derrière une protection hideuse.

     

    Beaubourg  75 rideau metUne raison d'espérer : ce commerce de la rue Beaubourg (n° 73) est en train de faire peau neuve pour son rideau métallique. Le coin en bas à droite témoigne de l'état primitif…. Une deuxième couche sera nécessaire. Il faudra ensuite conserver ce rideau en l'état !

     

    Gérard Simonet

     

     

     

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    C'était un petit jardin, qui sentait bon le métropolitain….

     

     

    Nous avons reçu un dossier très documenté d'un collectif qui s'intitule "Association de Défense du Parvis Vert". Son propos : conserver l'usage d'un jardin attenant à l'église St Denys du St Sacrement de la rue de Turenne (IIIe). La Ville de Paris, dans le cadre d'un projet de construction d'immeubles d'habitation sur le site de l'implantation industrielle de Weber-métaux qu'elle a rachetée, prévoit d'user de son droit de propriété pour en faire un accès aux bâtiments nouveaux.

    Elle met en avant la  loi de 1905 de séparation de l'église et de l’État qui la fait propriétaire du terrain. Les paroissiens et leur Curé le Père François Lainé s'appuient sur la même loi pour conserver l'usage du jardin. Ils s'expriment ainsi :



    L’Association de défense du Parvis vert de SaintDenysduSaintSacrement a été créée en 2022 pour sauvegarder l’intégrité de l’espace paroissial de SaintDenys, constitué autour d’un jardin : notre « Parvis vert », ainsi appelé pour bien montrer le prolongement de cet espace avec l’église, et son affectation cultuelle.

    C’est un endroit clos, en partie pavé et en partie fleuri, accessible par l’église via la sacristie, les salles paroissiales et le presbytère adjacent. La bibliothèque et la chapelle du presbytère sont des lieux ouverts aux paroissiens. C’est aussi le bâtiment du presbytère qui abrite le secrétariat et les bureaux paroissiaux. Le Parvis vert est donc géographiquement situé au cœur de la vie cultuelle et paroissiale.

    St denys cour

    C’est là que se rassemblent les paroissiens pour prier, célébrer des évènements paroissiaux ou simplement pour profiter ensemble, en toute quiétude, du jardin. En dehors de ces évènements particuliers, il y a toujours du passage : prêtres, catéchistes et autres bénévoles dévoués à leur église, personnes extérieures appelées pour l’entretien des bâtiments.

     

    Il s'ensuit un  argumentaire accompagné de photos et une invitation à adhérer à l'association pour rejoindre les 450 personnes déjà inscrites.

    Un article a été publié le 10 mai sur le sujet par Le Parisien sous la signature de Philippe Baverel.

    Chacun se fera sa propre idée du sujet et nous espérons qu'il ne débouche pas sur une dispute à la manière des empoignades entre Gino Cervi et Fernandel dans "Le petit monde de Don Camillo". Nous relevons en ce qui nous concerne une forme d'incohérence dans la politique conduite par les politiques de la Ville. On sait que Paris est la ville la plus dense d'Europe et que les habitants aspirent à disposer d'espaces verts. Pourquoi ne pas détruire cette friche industrielle pour en faire un jardin et en donner l'accès à tous ? En lieu et place d'une densification supplémentaire !

    GS