Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Actualité

  • Photo 1Véhicules de pompiers devant le Crédit Municipal, 55 rue des Francs-Bourgeois (IVe), le 24 février au matin (Photo VlM)

    Branle-bas de combat ce matin rue des Francs-Bourgeois (IVe) devant le Crédit Municipal.

    Des voitures de police barraient la rue, la ligne 29 de bus a été détournée, afin de laisser le champ libre aux véhicules de pompiers. Ces derniers étaient affairés à l’intérieur de l’immense bâtiment de la vénérable institution. Aucune fumée n’était visible, les moyens déployés restaient limités.

    Sans doute était-ce un début d’incendie ou tout bonnement un exercice périodique destiné à prévenir un éventuel sinistre ?

    PS : Nous avons appris ultérieurement par le Commissaire Central du IVe arrondissement qu'il s'agissait d'un incident tout à fait mineur. Plus de peur que de mal donc !

  • 800PX-~1Maquette de la Bastille réalisée dans une pierre de la forteresse (Musée Carnavalet)

     

    La pluie, le vent, le mauvais temps et les vacances scolaires sont une bonne occasion pour aller visiter les 14 salles du Musée Canavalet consacrées à la Révolution qui viennent juste de rouvrir après d’importants travaux.

    Le parcours a été équipé de dispositifs audio visuels et numériques qui mettent cette partie du musée à la pointe des techniques muséales actuelles, notamment la mise en œuvre d’une application mobile gratuite qui permet d’expliciter les pièces les plus célèbres. Quant aux tableaux, céramiques, dessins, journaux, meubles, armes.… ils ont été soumis à une opération de conservation préventive et de nouvelles pièces sont sorties des réserves.

    Les dizaines de milliers d’objets, dont une partie seulement est exposée, proviennent de la donation en 1881 de la collection d’Alfred de Liesville qui fut un des fondateurs du musée et permis ainsi, plus que largement, de remplacer les collections détruites dans les incendies de la Commune.

    L-anglaise-et-le-duc-de-eric-rohmer-2001_630633Pont Saint-Michel – Vue vers l'est – Notre Dame de Paris – Toile peinte de Jean-Baptiste Marot pour le film "l'Anglaise et le duc" d'Eric Rohmer (2001) (Musée Carnavalet)  

     

    A l'occasion de cette réouverture,  le musée a acquis des toiles que l’on peut aller découvrir dont l’auteur est Jean–Baptiste Marot, un artiste contemporain qui les a peintes à partir de documents d’époque pour servir de décors au film d’Éric Rohmer, l’Anglaise et le Duc.

    Autre nouveauté, la mise à disposition, à l’entrée des salles, d’un plan du Paris révolutionnaire reproduisant celui de Verniquet, datant de 1790, aide à comprendre la situation des monuments et des lieux. Le parcours est organisé par thème, chacun étant résumé par de panneaux explicatifs rédigés en plusieurs langues.

    Bien entendu les passionnés retrouveront le fameux tableau du Serment du Jeu de Paume, les portraits des figures majeures de la Révolution et la maquette de la Bastille taillée dans l’une de ses pierres. Il est important de souligner que ces aménagements ont été réalisés en partenariat avec le Crédit Municipal.

    Ainsi donc s’achève une des étapes de la rénovation du musée Carnaval et qui se poursuivra jusqu’en 2020. La fin de la restauration de la cour d’honneur, autre étape importante, est prévue pour cet été.

     

  • Beca 2 Ancien numéro de la Semaine de Suzette avec une aventure de Bécassine

     

    Bécassine vient de fêter ses 110 ans. Pour cet événement, le Musée de la Poupée dévoile "les trésors de Loulotte", un des personnages accompagnant souvent la petite bonne bretonne qui deviendra sa nourrice et qui n'est autre que la fille Claude de Maurice Languereau, l'éditeur du magazine La Semaine de Suzette. C'est dans ce périodique en effet qu'est apparue en 1905 la bande dessinée dont le créateur se prénommait Joseph Pinchon, les textes étant ceux de Jacqueline Rivière, la rédactrice en chef.

    Le succès fut immédiat et le personnage a réussi à traverser le siècle et à parvenir jusqu'à nous.

    Les amateurs et les nostalgiques de ces personnages pourront admirer dans les salles du musée l'occasion de cette exposition Près de mille objets dont la collection personnelle de Claude Canlorbe-Languereau. Des éditions anciennes des albums de Bécassine mais aussi des objets, des poupées, des numéros de la Semaine de Suzette et  des photographies, rien n'a été oublié pour évoquer cette aventure.

     

    Impasse Berthaud 75003 Paris

    Du mardi au samedi de 13h à 18h sauf les jours fériés jusqu'au 26 septembre 2015.

     

  • BallonsMarchands de ballons rue Rambuteau (IIIe)

     

    Il est très inhabituel de croiser des marchands de ballons gonflés à l'hélium rue Rambuteau. S'agissait-il pour ces vendeurs de rejoindre la place des Vosges et les nombreux touristes qu s'y rendent ou bien un autre endroit fréquenté par les enfants ? Nous pensons tout simplement que le bruyant nouvel an chinois provoque la venue de camelots attirés par la perspective de réaliser de bonnes affaires.

    En ce samedi pluvieux et triste, ces nombreux ballons aux couleurs chatoyantes donnaient un air de fête à la rue dont certains commerces sont fermés en raison des vacances scolaires.

     

  • P1080488Bar-Tabac "Le Fontenoy", 7 rue Rambuteau (IVe), en rénovation. Les barbouilleurs en tout genre sont passés par là (Photo VlM)

     

    Autour du 15 mai, "Le Fontenoy" cèdera la place à "L'Amuse-Gueule", un bar-brasserie du groupe Pascal RANGER, qui détient 39 établissements à Paris, dont "Les Phares" place de la Bastille et "La Terrasse des Archives", devant la Fontaine des Haudriettes (IIIe).

    Le débit de tabac va disparaitre. On ne va pas s'en plaindre au nom de la santé publique. En revanche, il serait agréable aux riverains que la boite aux lettres installée rue Pecquay y reste.

    Au vu de la façon dont "La Terrasse des Archives" est tenue et de son respect de l'espace public, le quartier n'a qu'à se réjouir du changement de propriétaire et de concept. Bon vent à Pascal RANGER pour son nouvel investissement.

    Gérard Simonet

     

     

  • Église_Saint-Gervais-Saint-Protais_from_Notre-Dame_de_Paris_02Le quartier Saint-Gervais Paris (IVe). (cliquer une fois pour agrandir)

     

    Le sujet de la propreté a nourri une partie des débats des récents conseils de quartier Saint-Gervais et Saint-Merri. Maintes fois évoqué ce sujet a fait l'objet d'un état  des lieux de la part de la Direction de la Voirie et des Eaux que les habitants pouvaient enrichir. Ces derniers ont relevé les lieux les plus problématiques tant en ce qui concerne les épanchements d'urine que les dépôts sauvages et les concentrations de mégots. Ils suggèrent de développer le nombre de cendriers (bars et mobilier urbain), de sensibiliser les cafetiers et restaurateurs aux problèmes de propreté, d'intensifier le nettoyage, de réimplanter des toilettes dans le métro.

    La Mairie du IVe répond que cet été les ramassages seront doubles comme l'an passé.  A l'identique du IIIe arrondissement, il est précisé que des équipes ont la charge de nettoyer les rues par domaine (flyers/affiches, grilles d'arbres…) et selon des fréquences variables. 

    Autre dossier, l'aménagement  du Square du Bataillon de l'ONU, dorénavant achevé et goudronné, est jugé triste, pauvre en arbres et manquant de bancs. L'animation (manège et commerce alimentaire) devra prendre un bon rythme avec les beaux jours pour compenser ce constat.

    ConseilLes 4 conseils de quartier du IVe arrondissement

     

    D'autres lieux emblématiques sont traités. Il est annoncé que la Place  du Marché Sainte-Catherine pourrait être  réaménagé au travers du budget participatif voulu par la Mairie de Paris. 

    La Place Edmond Michelet bénéficierait, sous réserve de l'obtention des dernières autorisations, de la végétalisation des pieds des arbres, du ravalement du mur du Cloitre Saint-Merri. En relation avec le Centre Pompidou des statues ont de fortes chances d'y être construites. Le conseil de quartier s'étonne qu'il puisse être imaginé par la Mairie du IVe de faire entrer ces aménagements dans le Budget Participatif 2015 !

    Les travaux de la rue Saint-Merri sont en voie de finalisation. Il reste à installer la signalisation. Seul le feu tricolore demandé par le Conseil de quartier n'a pas encore obtenu l'agrément de la Direction de la Voirie.

    Le douloureux sujet du "sans-abrisme" (Sic) est exposé par l'Adjointe de la Mairie en charge notamment de la lutte contre les exclusions. Sans papiers, personnes d'Europe de l'Est, personnes en mauvaise santé,  toute une kyrielle de situations qui ne peuvent trouver des solutions facilement. Il existe bien des structures dans l'arrondissement, des maraudes mais ce qui manque le plus ce sont des bagageries et des bains douches. Le bénévolat est plus que jamais requis.

     

  •   Bretagne devanture café ancien ret 07 10 122010

     

    On a tous le souvenir un peu ému de cette devanture qui était un trompe-l’œil en forme de café ancien à l'angle nord des rues de Bretagne et Debelleyme (IIIe).

    Elle a disparu un jour, autour de 2010, pour laisser la place à un décor de fast food à l’enseigne de "Subway".

     

    Bretagne subway déco 20 06 122012

     

    Les plus bienveillants d'entre nous ont estimé que cet ouvrage n'était pas du meilleur goût et qu'il nous faisait sincèrement regretter la fausse devanture du café-bar ancien. On a eu droit successivement à des variantes, toutes plus indigentes les unes que les autres.

    Jusqu'à ce jour tout récent où, ô miracle, le mur coté Bretagne a cessé d'être aveugle et ouvre désormais sur une devanture qui n'est plus factice. L'exploitant en a obtenu l'autorisation de la Direction de l'Urbanisme et des Bâtiments de France.

     

    P10804782015

     

    "Subway" laisse la place à un établissement de restauration. Nos informations font état d'une succursale du "Pain Quotidien", un concept de table d'hôte venu de Belgique où on sert des tartines garnies et des boissons, comme on peut le voir à hauteur du 12 rue des Archives dans le IVe.

    L'établissement n'est pas encore ouvert mais il a déjà sa terrasse. Un peu envahissante si on se réfère au règlement de la Ville de Paris. On espère que tout rentrera dans l'ordre le jour de l'inauguration. On espère aussi que son gérant ait le bon goût d'effacer les inscriptions qui défigurent ce qui reste encore du trompe-l’œil au-dessus du store.

    (Photos VlM)

     

  • 92906816La foule des visiteurs à l'intérieur du Louvre sous la pyramide

     

    La statistique impressionnante est tombée. 2014 a vu le nombre de touristes parcourant la planète passer la barre des 1,100 milliard c'est-à-dire  51 millions de plus que l’année précédente et semble–t-il le mouvement est loin de devoir s’arrêter lorsque l’on sait que les voyages, souvent à bas coût, se développent de façon exponentielle.

    Mais voilà, l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), comme l’Unesco, commencent à tirer la sonnette d’alarme notamment à l’égard des sites les plus visités, souvent appelés les « must see ». Outre les dégradations, il y a aussi les salissures et déchets induits, l’usure accélérée des monuments, les vols (une statue volée ou abîmée chaque jour à Angkor Vat…), la pollution provoquée par les cars qui déversent les cohortes de visiteurs, la gêne pour la circulation et le bruit pour les autochtones.

    Des ouvrages raisonnés sur ce sujet du tourisme de masse font état de l’inquiétude de leur auteur pour l’avenir. Ils en viennent à préconiser des mesures drastiques allant de la limitation quotidienne du nombre de visiteurs, à la visite sur réservation, voire à la fermeture définitive comme pour la grotte de Lascaux.

    Lorsque l’on sait que Notre Dame reçoit chaque année 14 millions de visiteurs, le Sacré Cœur et le Louvre autour de 10 millions, la Tour Eiffel près de 7 millions et que le Centre Pompidou approche les 4 millions, on comprend que ces lieux puissent être victimes de leur succès. Si l’activité économique induite qui s’y attache est florissante, les monuments souffrent et les réparations dues à l’usure et aux dégradations deviennent fréquentes et coûteuses. Le tableau de Corot volé en 1998 au Louvre en pleine affluence n’a jamais été retrouvé, ni le carnet de dessins de Picasso dans le musée du même nom.

     

    0RRBXvMmRUZNSKE4CpKurOFGVt4@500x378La foule de touristes devant Notre Dame

     

    Les déclarations de l’OMT et de l’UNESCO arrivent donc à point nommé à un moment où le tourisme a pris une ampleur telle que nous sommes parfois proches de la rupture. Il est donc temps de réfléchir à une autre façon de faire connaître ces merveilles. Les touristes doivent être mieux éduqués, plus respectueux et sensibilisés en amont de leurs périples. Les responsables doivent être davantage à l’écoute de ceux qui vivent les conséquences négatives du tourisme devenu trop industriel et à l’écoute des habitants qui subissent ces flots continus de visiteurs. Un sujet qui n’est pas simple, qui concerne de nombreux pays et se concentre essentiellement à Paris pour la France.

    Si le nombre de touristes continue à croître au rythme actuel, il faudra bien en passer par de sérieuses évolutions des pratiques existantes tant de la part des visiteurs que des pays d’accueil les plus visités.

    Dominique Feutry

     

  •  

    ImagesGP15R3M2Le pour … et le contre

     

    "Fluctuat … sed mergitur" (elle est ballotée ET elle sombre) va-t-elle devenir la devise actualisée de la Ville de Paris ? La Maire Anne Hidalgo s'opposait en novembre au Président de la République sur la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024. C'était faire preuve de cran et nous l'avions salué.

    Car rien ne démontre l'intérêt pour les parisiens que cet évènement ait lieu chez eux. On apprend pourtant qu'Anne Hidalgo change d'attitude et pourrait, si le conseil de Paris l'approuve, présenter un dossier de candidature auprès du Comité Olympique.

    On sait depuis Edgar Faure que "ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent". Ce revirement nous désoriente quelque peu car rien à notre connaissance n'a changé dans la façon dont le problème se pose. On en connait le cadre : Paris est saturée par sa densité de population, la plus élevée d'Europe, par le tourisme qui enregistre un record mondial, Paris subit une pollution qu'aucune mesure ne parait devoir endiguer (*), Paris concentre sur 100 km² la plus forte activité économique du territoire, la circulation y est impossible, les moyens de transports n'y suffisent plus ….

    La France en dehors de Paris et de sa communauté urbaine est un semi désert. Mais c'est à Paris pourtant qu'on envisage de consacrer des dépenses colossales qui accentueront le sort inéquitable des collectivités territoriales. Dans les années 70/80 nous avions la DATAR (délégation interministérielle à l'aménagement du territoire) qui intervenait de façon directive sur le choix des sites d'implantation d'activités.

    Au fil des années et de ses changements de dénomination, il semble qu'elle ait perdu de sa raison d'être. Sinon comment comprendre qu'elle ne tape pas sur la table dans le débat qui nous intéresse en disant : c'est ailleurs qu'à Paris que les Jeux Olympiques doivent se tenir car d'autres métropoles ont à la fois la capacité de le faire et le besoin impérieux d’accroitre leur attractivité pour appuyer leur développement.

    Lille et sa métropole, Lyon et sa région, Marseille-Provence, Bordeaux et tout le Bordelais peuvent y prétendre. Il y aurait ainsi quelque chance de provoquer un rééquilibrage au moins partiel du territoire national. Avec un coût présumé de 6 Milliards d'€, on sait que le comité olympique contribue pour 1,8 Milliards alors que les entreprises peuvent être sollicitées à hauteur de 2 Milliards d'€. Si l’État apporte un concours pour boucler le dossier financier, il est préférable qu'il le consacre au développement régional plutôt qu'à accentuer un déséquilibre entre la France et sa capitale.

    Rappelons que Paris est déjà retenue pour l'organisation des Jeux Olympiques Gay (Gay Games) en 2018 et qu'une exposition universelle se profile pour 2025.

    Les sondages sur Internet montrent que plus des trois-quarts de la population parisienne est opposée à la candidature de Paris. Anne Hidalgo déclarait à BFM-TV le 10 février : "il n'y a pas une ville engagée pour les jeux qui s'y soit retrouvée financièrement". On le sait. Il convient d'ajouter qu'à cette triste perspective qui conduirait les parisiens à mettre une fois de plus la main à la poche, c'est leur qualité de vie qui serait mise à rude épreuve avant, pendant et après les jeux. C'est donc tout autant l'intérêt que la générosité qui les pousse à souhaiter que les bienfaits d'une candidature profitent à une autre métropole.

    Gérard Simonet

     

    (*)     Dioxyde d'azote (NO2) :       46 % au-dessus de la limite admise par l'OMS

                Particules fines PM 10 :         79 %                     idem

    Source : associations agréées de surveillance de la qualifié de l'air (AASQA)

     

  • BHVLe mur du BHV Marais Homme rue de La Verrerie (IVe) (Photo VlM)

     

     

    La presse s’est fait l’écho des chiffres communiqués par la Mairie de Paris concernant les projets de végétalisation  retenus par nos édiles à la suite de l’appel à proposition dénommé « Du vert près de chez nous ».

    209 projets qui seront réalisés en 2015 ont été sélectionnés sur les 1 500 présentés. L’adjointe chargée des espaces verts a précisé se pencher sur le création d’un « permis de végétaliser » dont le but serait d’alléger les démarches administratives des habitants qui porteront une installation végétale  pour la Ville.

    Parmi les arrondissements « favorisés » se trouve le XXe  arrondissement qui a eu le plus grand nombre de dossiers retenus, 20 au total. Les Ve, VIIe, et VIIIe étant les parents pauvres.

    Nos deux arrondissements du Marais font pâle figure alors que les espaces verts manquent. Seuls quelques projets sont retenus pour le IIIe. Le Passage Pont au Biche et la rue du Vertbois  bénéficieront d’un mur végétalisé, alors que la rue Dupetit-Thouars recevra des bacs à fleurs. Quant au IVe, deux murs végétalisés sont prévus rue Simon Le Franc et rue Saint Martin. Des bacs à fleurs seront installés rue Saint-Merri (voir notre article du 16 janvier 2015) et place Teilhard de Chardin.

     

    Rue trsorLa rue du Trésor (IVe) un bel exemple de végétalisation

     

    La carte des implantations peut être consultée sur le site de la Mairie « paris.fr ».  Site qui précise d’ailleurs que « pour sélectionner ces projets, la ville de Paris s’est fondée sur l’avis des mairies d’arrondissements et une série de critères objectifs, tels que la répartition par type de projets, la superficie des arrondissements et leur nombre d'habitants, la présence d'espaces verts ou les possibilités d’entretien participatif ».

    Alors que la densité du bâti est très élevée dans nos quartiers du centre de Paris, nous disons à nos élus d’arrondissements, en paraphrasant la phrase célèbre d'un pape contemporain, « N’ayez pas peur »… de végétaliser, cela fait partie des souhaits de vos administrés.

    Dominique Feutry