Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Actualité

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    Pieds de table chauffants

     

    Dans un article du 13 février 2013 dernier nous avions évoqué les parasols chauffants extérieurs au gaz que la Mairie de Paris venait d’interdire dans son nouveau règlement des terrasses afin de favoriser le chauffage électrique plus écologique. Ces dispositions ont été annulées comme nous l’avons relaté par le tribunal administratif en date du 24 janvier, faute d’étude suffisamment étayée entreprise par la Mairie.

    Depuis lors Vivre le Marais ! a été contacté par l’entreprise Mobika qui commercialise, comme d’autres établissements d’ailleurs, des tables chauffantes. Le procédé est nouveau et pallie en grande partie les inconvénients du parasol chauffant dans la mesure où une table consomme 24 fois moins qu’un parasol !

    Comment cela fonctionne-t-il ?

    Les pieds de ces tables sont en fait munis d’une lampe qui chauffe la matière et non l’air ce qui provoque moins de déperdition d’énergie. Le pied résiste à l’eau. L’alimentation électrique se fait au moyen d’une simple prise électrique. L’ampoule a une autonomie de 5 à 7 000 heures. Un détecteur permet de déclencher le chauffage ou de le mettre en veille lors de l’arrivée ou du départ du client.

    Certains établissements de notre quartier sont déjà munis de ce nouveau mobilier. Mais comme tout ce qui est nouveau, la bataille fait déjà rage car les annonceurs sont nombreux à proposer ce type de produit…

    Il n’empêche que si ces tables sont aussi prometteuses que veut bien l’affirmer la publicité, il s’agit d’une avancée environnementale qui est loin d’être négligeable.

    Dominique Feutry

     

  • Mairie IV vue générale Mairie IV vue générale
                                                        
    Mme François Berthet, commissaire-enquêteur, a terminé son rapport sur l'enquête publique qui a été ouverte à propos du dossier de révision du PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur) du Marais.

    Le document est disponible à la mairie du IVe arrondissements et sur le site de la Préfecture de Paris Île de France. Vous y trouverez la synthèse des observations qui ont été formulées par les citoyens concernés.

     

  • Musée picasso travaux côté jardin
    Musée Picasso, l'état actuel du chantier (photo VlM)

     

    Un article de notre blog daté du 25 novembre 2012 faisait le point sur le déroulement des importants travaux engagés au Musée Picasso. En réaction à cet article nous avons publié un article intitulé « Halte au feu ! » sous la signature de Jean-François Leguil-Bayart, directeur de recherches au CNRS.

    Monique Saliou, Adjointe au Maire du IIIe, lui avait répondu dans un commentaire qui a été publié également sur le blog à la suite de l'article.

    Nous venons d’être informés que Mme Marie Leclerc, « Chargée de Publics Accessibilité » du Musée, venait d’écrire à M. Bayart, en réponse à des questions qu’il avait posées, ce qui constitue une sorte de suite aux deux précédentes communications que nous avons faites. Nous pensons, en accord avec le destinataire, qu’il est opportun de publier, ci-après, in extenso, les réponses apportées.

    «Cher Monsieur,

    Je me permets de vous écrire pour vous donner quelques éléments de réponses sur les questions que vous m'aviez posées lors de votre visite à l'espace de préfiguration du Musée Picasso Paris samedi dernier.

     - Concernant l'aile technique, qui borde le jardin du musée et celui de la rue Vieille du Temple

    L'emprise au sol du bâtiment ne changera pas, mais il sera surélevé (à peu près à la hauteur des tags "bleus"). Les matériaux employés seront ceux du vocabulaire architectural parisien (ardoise, zinc, pierre). Les travaux ont commencé il y a deux semaines et devraient durer environ 1 an.

    – Les arbres du jardin du musée

    Les arbres étaient plantés sur le toit de l'aile technique, et ont donc dû être enlevés pour permettre la réalisation des travaux. Si l'un était en effet beau, les autres étaient malades. La reconfiguration du jardin du musée va de pair avec un travail paysager et la plantation de nouveaux arbres. L'esthétique générale de cet espace devrait donc être, à terme, tout à fait satisfaisante.

     - Concernant le stationnement des bus aux abords du musée

    Des discussions sont en cours avec la Ville de Paris à ce sujet, afin de déterminer quelle solution serait la plus satisfaisante.

    Espérant répondre à vos interrogations,

    Bien cordialement »


    De son côté, Jean-François Leguil-Bayart revient à la charge avec un réquisitoire argumenté qu'il nous  demande de publier, ce que nous faisons bien volontiers avec l'illustration qu'il nous a confiée. Lettre M. Bayart du 07 06 13.



    Vieille du temple 95 pizzeria pink flamingos 12 06 13Pizzeria Pink Flamingo, 95 rue Vieille du Temple (IIIe), 18h00. A partir de 19h00 la terrasse s'étale de part et d'autre du magasin. Les piétons sont forcés d'emprunter la chaussée elle-même rétrécie par les tavaux du musée Picasso (Photo et légende JF Leguil-Bayart)

     

    Comme l’atteste la photographie qui illustre cet article, les travaux du musée sont loin d’être terminés. Augurons simplement qu’il pourra rouvrir à la date prévue, c’est –à-dire le 1er octobre prochain, après une bien longue fermeture aux yeux des amoureux du peintre.

    Dominique Feutry

     

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    IMG00570-20130610-2016Potelet du 27, rue des Blancs Manteaux (IVe) "décustomisé", pieds excepté

     

    Alors que nous relations la façon si délicate avec laquelle avaient été "customisés" deux potelets scellés sur le trottoir de la rue des Blancs Manteaux (IVe) au N°27 (notre article du 23 mai 2013), quelle ne fut pas notre surprise de constater récemment que le couple stylisé avait été gommé ! Disparu ! C'est à peine si l'on reconnait encore quelques formes comme le nez.
    Les services zélés de la ville se sont en effet mis en tête de repeindre de leur couleur marron d'origine tous les potelets de la rue y compris ces deux originaux si joliment traités. Seules subsistent toutefois leur chaussures peintes a même le trottoir! Il n'aurait en effet pas été de bon ton de peindre le trottoir en marron pour faire disparaître les souliers. Ils n'ont pas osé.

     

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    Le même potelet avant son effacement à la peinture marron 

     

    Alors que des centaines de boitiers et coffre électriques sont à repeindre comme le mobilier urbain tagué de toutes parts, recouvert d'auto collants et souillé. Alors que les tags pullulent partout dans Paris et surtout dans notre quartier, que les affiches prolifèrent à tous les coins de rue et que l'épidémie d'oiseaux "birdy kids" (notre article du 6 mai 2013) s'étend dans toutes les rues et fait l'objet d'une poussée de fièvre. Alors qu'à quelques mètres des potelets se trouvent deux hideux tags sur la porte du garage des Archives et sur son mur en retour (notre article du 22 avril 2013 ), eh bien oui ! Il fallait éradiquer de notre vue ces deux potelets qui faisaient peut-être tache. Franchement il y avait peut-être d'autres potelets à traiter avant ceux de la rue de Blancs Manteaux.

    Triste fin tout de même pour nos deux personnages.
    Certes le droit est le droit et nous approuvons son application sans réserve mais l'Administration restera toujours pétrie de mystères dans le traitement des priorités, mystères qui nous dépassent…

    Dominique Feutry

     

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    Paris en 2084 imaginé par le jeu vidéo intitulé "Remember Me"

     

    Plusieurs revues spécialisées viennent de commenter dans leurs pages la sortie d’un nouveau jeu vidéo intitulé « Remember Me » qui imagine Paris en 2084.

    Si ce jeu issu du Studio français Dontnod, la vision future de notre capitale est inquiétante lugubre et bien triste. Truffé d’immeubles de grande hauteur dépassant la Tour Eiffel, Paris est aussi victime de la pollution du fait du réchauffement climatique, d’ailleurs un épais brouillard la recouvre. Devenue une île notre cité est victime de crues à répétition, les inondations sont aggravées par des tremblements de terre causés par des « bombes sismiques ». Les émeutes sont monnaie courante, l’insalubrité gagne nombre de quartiers. Seuls quelques monuments emblématiques sont préservés tels le Sacré Chœur ou la Tour Eiffel.

    Nous laissons aux joueurs le soin de découvrir le sort qui est réservé au Marais. Il n’empêche que ce jeu, fruit du travail d’une centaine de « développeurs » donne, il est vrai dans le cadre du climat morose et désabusé ambiant que nous connaissons, une vision bien pessimiste de notre ville. Encore une occasion manquée de donner à nos concitoyens, et plus spécialement aux accrocs des jeux vidéo, une perspective plutôt enthousiaste et confiante.

    « Rien ne se fait sans un peu d’enthousiasme » écrivait Voltaire !

    Dominique Feutry

     

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    Le Pont Alexandre III illuminé pour l'Exposition internationale de 1937

     

    L’histoire de la nuit parisienne s’expose. « Paris la nuit-Chronique nocturne » est le thème d’une très intéressante rétrospective qui se tient jusqu’au 6 octobre prochain au premier étage de l’Arsenal. Le but est de décrypter l’incidence des habitudes nocturnes et des usages du temps sur la ville au cours des siècles derniers (depuis la Révolution).

    Certes il y a les fêtes organisées au gré des générations que certains voudraient d’ailleurs voir plus nombreuses et plus répandues encore. Le Marais n'a pas échappé à ces évolutions. Mais heureusement la nuit ce n’est pas que cela, le parcours se consacre aussi à ceux qui travaillent (services publics, éclairage des rues jusqu’à l’arrivée de l’électricité…) ou aux SDF. Sont évoqués des épisodes peu connus de notre histoire, telle la « révolte des ivrognes » du 11 juillet 1789 à la suite du projet visant à détruire tous les établissements des Portes de Paris dans lesquels les boissons étaient détaxées. Certains y ont vu les prémisses des événements du 14 juillet.

    L’arrivée de l’électricité ouvre les perspectives nouvelles, ne serait-ce par exemple que l’éclairage des rues et modifient ou remettent en cause certains métiers comme celui d’allumeur de réverbère. Des photographies illustrent alors la vision nouvelle ainsi donnée de nuit. Des éclairages conçus exprès pour l’Exposition Internationale de 1937 est magnifique. L’arrivée des néons a permis de montrer autrement tout en en alliant le côté publicitaire des façades des grands magasins, le BHV n’y a pas échappé.

    L’influence des habitudes, les progrès quant à l’éclairage par exemple ont interféré sur l’architecture et l’urbanisme. Souvent il s’agit d’embellir afin de montrer un aspect différent de ce que nous voyons le jour.

    Tous ces impacts sont très bien expliqués et décrits tout au long de cette exposition qu’il ne faut pas manquer.

    Un livre a été édité à cette occasion, certains connaisseurs le qualifient déjà de « référence ».

    Dominique Feutry

     

  • Haudriettes 2 connétable musée 10 06 13"Le Connétable", restaurant et bar de nuit, 2 rue des Haudriettes (IIIe). A droite, le Musée de la Chasse et de la Nature, angle Archives/Quatre-Fils.

     

    Le week-end des 8 et 9 juin 2013 a été agité autour de cet établissement qui fait restaurant avec animation musicale le soir et bar du nuit ensuite. Déjà, dans la nuit de vendredi à samedi, vers 3h00 du matin, les habitants de l'immeuble appelaient la police pour tapage de clients consommant sur le trottoir le long de la rue des Archives, devant le Musée de la Chasse et de la Nature. Nous n'avons pas de certitude que les fonctionnaires de police soient intervenus.

    Dans la nuit de samedi, des évènements encore plus grâves se sont produits. Il était entre 1h00 et 2h00 quand une altercation violente s'est produite entre consommateurs du bar. Un riverain raconte : "Un homme a reçu un coup de poing dans la face. Tombé à terre, il a été roué de coups de pieds par son agresseur. Des personnes ont tenté de s'interposer. L'une d'elle, une femme, a reçu des coups collatéraux. Pour finir, le blessé a été ramené à l'intérieur du bar".

    La police est arrivée. Puis les pompiers. Au bout d'une heure le calme était revenu dans un bar déserté. Triste fin pour ce qui devait être un soir de fête.

    Cette affaire tombe mal pour l'établissement. Il y a deux ans, le Tribunal de Police le condamnait, pour tapage nocturne, à une amende de classe 3 de 450 € et à 1.100 € de dommages-intérêts aux riverains-plaignants et à notre association, qui s'était portée partie civile. Le Président du Tribunal avait clairement signifié à la gérante que toute récidive l'exposerait à des sanctions de fermeture administrative.

    Il faudrait pour cela qu'un procès-verbal ait été établi par la police, ce que nous ignorons à cette heure. Il conviendrait, pour le moins, que constatant l'incapacité du personnel de nuit à faire régner le calme, la Préfecture de Police ait la sagesse de retirer au bar son autorisation de nuit.

    Dominique Feutry

     

     

  • PierrotLes pierrots en action

     
    Le cinquième comité de suivi des états généraux de la nuit lancés il y a deux ans et demi s’est tenu le 6 juin à l’Hôtel de Ville en présence des acteurs concernés (associations de riverains, commerçants, préfecture de police et la Mairie de Paris) . Menée avec une certaine fermeté par le nouveau Maire Adjoint en charge de la qualité des services publics municipaux, de l’accueil des usagers et du bureau des temps, Philippe Ducloux, les échanges ont été courtois, chacun ayant pu s’exprimer.

    Une présentation sur l’évolution des usages des espaces publics nocturnes par un cabinet spécialisé a permis de lancer la réunion. Nous avons appris que la nuit à Paris comportait trois grands temps, les soirées qui se terminent par la fermeture du Métro, le cœur de la nuit jusqu’à 3h du matin et ensuite la nuit dite de « fête intensive »…Les attentes relevées par l’étude débouchent sur des réflexions qui préconisent de nouvelles formes d’aménagement de l’espace public et la révision de l’offre de déplacement. La Mairie de Paris réfléchit sur ces questions en relation avec le STIFF de façon à faciliter les déplacements au-delà des heures limites habituelles et intègre désormais, dans les projets d’aménagement, la composante nuit.

    Le thème principal des échanges a porté sur les Pierrots de la Nuit. Ils sont pour la plupart des intermittents du spectacle formés afin d'agir pour la "préservation de la vie nocturne, la sensibilisation et la prévention dans la gestion des nuisances sonores".

     

    Bar nuit

    Le scepticisme passé sur cette expérience qui coûte 120 K€ aux contribuables a fait place à un avis davantage positif sur l’action de ces personnes, même si les réserves sont encore de mise. La préfecture de police notamment reconnait le rôle de prévention mené grâce à un travail collaboratif entre ces intervenants et la police. L'action menée privilégie le dialogue permanent et la prévention avec les professionnels des établissements de nuit. Elle considère d'ailleurs que ces derniers sont davantage engagés sur ces problématiques. Bien entendu elle reste attentive aux endroits "fragiles", en particulier le XIe arrondissement. Des progrès sont enregistrés. D’autres pensent que ces pierrots n’ont guère d’utilité voire même créent des tensions dans les zones où l’abus d’alcool est très fréquent.

    Un constat qui reste donc mitigé et des avancées à confirmer.

    Certains ont insisté sur le rôle complémentaire que jouaient les médiateurs dont l’action devrait être développée selon la Mairie. L’alcoolisme des jeunes a donné lieu à des avis partagés, les uns spécifiant que la municipalité ne faisait pas assez pour le prévenir et le combattre. Cette dernière insistant au contraire sur son engagement au travers d‘un récent colloque organisé avec la préfecture de police et sur la mise en place plutôt encourageante d’un test dans 6 espaces d’accueil et de prévention dits «Chill out».

    Police-nuit

    "Vivre le Marais !" avec d’autres participants est resté néanmoins sur sa faim à l’issue de cette réunion. Les progrès ne sont pas si patents pour les riverains lorsque l’on considère l’occupation extensive de l’espace public, le bruit dans certains quartiers et la saleté qui en découle (urine, verre brisé, cannettes vides etc..). La Ville nous annonce le lancement d’une grande campagne de sensibilisation visant les épanchements d’urine. nous ne pouvons que nous en réjouir. Une campagne contre le bruit la nuit serait tout autant nécessaire.

    Les récents aléas climatiques avaient mis un peu à l‘abri de ces nuisances les habitants qui, à vrai dire sont peu consultés sur ces  questions. L’été qui approche à grands pas risque fort d’accentuer l’acuité de ces incivilités.

    Dominique Feutry

     

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    Verra-t-on bientôt ce genre de paquebot sur la Seine à Paris ?

    Des informations diverses concernant Paris et plus spécifiquement le Marais ou des lieux très proches ont émaillé récemment la une des médias.

    Ainsi la Mairie de Paris vient d'annoncer que la vitesse de circulation des véhicules dans de nombreuses artères de la capitale (1/3 d'entre elles) allait être ramenée à 30 voire 20 km/h. Plusieurs voies du Marais sont visées. Il s'agit d'une bonne décision notamment près des écoles ou dans les rues très commerçantes ou passagères. Mais ces nouvelles limites seront-elles bien respectées ? Dans la même veine, les 11 radars installés en janvier aux feux rouges, à certains endroits classés "stratégiques" auraient flashé 79 000 fois des contrevenants en 5 mois. Deux sont dans notre secteur. L’un est au carrefour quai de Gesvres-rue Saint Martin et l’autre au carrefour rue de Rivoli-boulevard de Sébastopol. Une excellente affaire pour l'Etat (10 millions € de recettes perçues) qui montre malheureusement combien la multiplication de ce type d'infraction est inquiétant alors que tous les feux ne sont pas équipés d'un radar…

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    Radar situé à un feu rouge 

    Côté circulation, mais cette fois sur la Seine, des paquebots de croisière, jusqu'à 135 m de long, pourraient voguer sur le fleuve dès 2015, à l'instar de ce qui existe dans d'autres capitales. Le Ministre des Transports y serait favorable…Gare aux ponts, gare à l'envahissement des quais et surtout gare aux accidents sur un fleuve qui reste étroit avec un trafic déjà significatif!

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    Fouilles en cours sur l'Ile de la Cité

    Dans le cadre de travaux entrepris dans l'Ile de la Cité sur un site de la Préfecture de Police, des fouilles archéologiques ont été engagées, elles se révèlent fructueuses. De nombreux témoignages datant pour certains de 2 500 ans ont été exhumés ainsi que les fondations de l'église Saint Eloi datant du XVIIe siècle détruite lors des grands travaux haussmanniens. Le site sera ouvert à la visite durant le prochain week-end, à l’occasion des Journées Nationales de l’Archéologie.

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    Un bar à chats au Japon

    Enfin, sujet mineur et plutôt amusant, l'ouverture prochaine annoncée (sans doute en août) d'un bar pour chat inspiré d’un concept japonais au travers d’un site de participation financière collective. Les amateurs de chats qui n’en disposent pas à leur domicile pourront ainsi les côtoyer. L’établissement sera installé en plein cœur du Marais. C'est plutôt sympathique et original pour les chats qui, avec leurs maîtres, en profiteront mais chacun peut aussi rester songeur alors que la pauvreté grandit de jour en jour dans notre société …

    Dominique Feutry

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    Le Chœur de Chambre de la Cité propose, sous la direction de Lucie DEROÏAN, un programme original et particulièrement varié où se côtoieront des œuvres de :

    DURUFLE (Requiem), de POULENC (Salve Regina) et des motets de CHARPENTIER, DUFY et DUMONT.

    La Mezzo-Soprano Delphine FISCHER sera accompagnée par Mathias LECOMTE à l’orgue et Cécile BOY-RIVA au violoncelle.

    Le concert a lieu le samedi 15 juin 2013 à 20h30 et le dimanche 16 juin à 20h00 Cathédrale Sainte-Croix des Arméniens 18, rue du Perche (IIIe)


    La vente des billets aura lieu sur place avant le concert