Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Actualité

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    Arquebusiers

    Dans la semaine du 12 février 2024, la rive Ouest  du passage (à gauche sur la photo) a été ravalée et débarrassée de ses tags (photos VlM, clic gauche pour agrandir)

     

     

    Les plus anciens du quartier, en remontant aux années 80 et plus, n'ont jamais connu cette ruelle privée propre. Au plus loin qu'on se souvienne, le sol était défoncé, les encorbellements abimés et les murs des rives Est et Ouest recouverts de tags de la pire espèce.

    Albert Mandil, résident-propriétaire au 34 de la rue des Francs-Bourgeois (IIIe) (l'Hôtel Poussepin), à qui nous rendons hommage aujourd'hui car il est décédé en 2016, s'est mobilisé pour que dans un premier temps la rive Est soit traitée. Avec l'aide du Centre Culturel Suisse, qui en est copropriétaire, ils ont agi pour que que l'état de cette rive soit préservé jusqu'à ce jour de l'agression des tagueurs.

    Il restait la rive Ouest dont nos photos témoignent de l'état pitoyable. L'existence de nombreux propriétaires et syndics souvent en désaccord a fait que l'exécution des travaux de restauration a pris des années

    Arbalétriers rive 56-58 vieille du Temple

    Rive Ouest : un décor qu'on ne souhaite plus revoir !

     

    Au moment où cette ruelle retrouve sa dignité, la mairie de Paris annonce que les travaux de démolition du célèbre "hangar Lissac" vont commencer. On nous promet un jardin public et de la place pour l'annexe du collège Barbette. De bonnes nouvelles somme toute mais comment le public pourra-t-il accéder à ce jardin ? Le passage des Arbalétriers pourrait être une réponse mais il est privé et il n'est pas conseillé si on veut le garder propre qu'il soit ouvert de jour et surtout de nuit à tout venant. Dossier à suivre….

    ArgensonImpasse de l'Hôtel d'Argenson (IVe), à hauteur du 20 rue Vieille du Temple

    Au palmarès des passages, il y a eu en vingt années deux réhabilitations qui ont marqué le décor urbain  : celle-ci bien sûr et on s'en réjouit mais aussi Ste Avoye à hauteur du 8 rue Rambuteau (IIIe). Il y eu des tentatives de sauver de la débâcle l'impasse (ou cul de sac) de l'Hôtel d'Argenson (IVe) mais les tentatives à ce jour ont été vaines comme en témoigne notre photo ! Il y a pourtant une grille et une serrure…. ?

    Il y a d'autres passages, tous dans le IIIe : des Gravilliers, Vendôme et de l'Ancre. On en parlera un jour….

    Gérard Simonet

     

  • SauvettePiazza Beaubourg, rue Rambuteau (IVe) le 31 janvier 2024

     

    Une brigade mixte de la Police Nationale et de la Police Municipale d'une douzaine d'agents à vélo, supervisée par le Maire de Paris-centre Ariel Weil et de l'Adjoint à la Maire de Paris en charge de la sécurité et de la police Municipale, Nicolas Nordman, est intervenue ce 31 janvier, comme elle l'a fait en d'autres points de Paris notamment porte de Choisy dans le XIIIe.

    WeilAriel Weil, un Maire de terrain !

    Ils ont verbalisé et expulsé des vendeurs à la sauvette installés là depuis des mois au grand dam des riverains, qui sympathisent souvent avec eux eux mais souffrent de leur comportement et des commerçants qui dénoncent une concurrence déloyale et dangereuse pour la santé quand il s'agit de produits de consommation.

    GS 

     

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    Arbalétriers 26 12 23
    Le passage des Arbalétriers (IIIe), à hauteur du 38 rue des Francs-Bourgeois (Photo VlM)

     

     

    Rappelons en le romançant un peu ce qu'est ce passage : dans les années 1300, au moyen-âge donc, du temps du roi Charles VI (dit le fou), on empruntait cette voie pour aller de l'Hôtel Barbette où résidait la reine Isabeau de Bavière, à la ville, en franchissant la muraille Philippe-Auguste par une poterne. Des arbalétriers étaient coutumiers de ce parcours car ils allaient régulièrement s'entrainer au maniement de leur arme à l'intérieur de la ville.

    Un soir de novembre 1407, le duc d'Orléans, frère du roi et accessoirement amant de la reine ("de sorte que les faveurs de la Reine ne sortent point de la famille" disaient les chroniqueurs….) est attaqué et assassiné par des sbires de son cousin le duc de Bourgogne, Jean sans Peur. Il n'est pas prouvé que l'événement ait eu lieu dans cette voie mais rien n'interdit de le penser. Comme cette précision renforce le caractère historique du passage et l'attachement qu'on a pour lui on va considérer que c'est vrai. L'actualité nous montre tous les jours qu'il n'y a pas de vérité de l'information. Est vrai finalement ce qui fait plaisir à un auditoire et tant pis si les puristes me vouent aux gémonies !

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    La nouvelle, qui ne souffre elle aucune approximation, c'est que la totalité du passage, atrocement défiguré pendant des années par des tags immondes, va être ravalée pendant la première semaine de 2024 ! Les quatre copropriétés et les quatre syndics qui en ont la charge se sont enfin mis d'accord sur les modalités de la rénovation. 

    Ce site va devenir le bijou qu'il aurait toujours dû être. Il faudra évidemment que ses propriétaires en assurent la surveillance. Ils en sont conscients. Un des propriétaires est le Centre Culturel Suisse. Nous ne doutons pas de sa motivation.

     

    LissacHangar Lissac en rouge, Centre Culturel Suisse en vert (Photo VlM)

    Quant à ses partenaires, on peut penser qu'ils auront à cœur de mettre à profit la démolition du "Hangar Lissac" dont les tonnes de béton ont encombré le site et alimenté la chronique pendant des décennies. La Ville s'y est engagée, poussée par la DRAC et les Bâtiments de France. Au lieu de cette construction disgracieuse qui dénature le site et qu'on décrivait ainsi il y a dix ans, nous aurons bientôt un jardin ouvert au public et aux élèves du collège Barbette, annexe du lycée Victor Hugo.

    Nous sommes heureux d'annoncer et commenter ces événements. Nous y avons largement pris part sans en être véritablement des acteurs, plutôt des "mouches du coche", mais il fallait que quelqu'un en parle et allume les projecteurs car le danger autour des problèmes c'est que personne n'en ait conscience. Nous avons heureusement les moyens et le goût de le faire !

    Gérard Simonet

     

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    Campement avantLogements de fortune pour des gens qui n'en ont pas… (Photos VlM/FS)

     

     

    Un groupe de SDF a vécu là pendant des semaines, à même le sol, devant l'entrée de la poste du 67 rue des Archives dans le IIIe. La police et la mairie ont assisté impuissants à leur installation qui a fini par prendre la forme d'un bidonville bâti de bric et de broc.

    Les riverains ont été patients mais ce S.O.S nous est parvenu en fin de semaine : "Je vous écris pour vous signaler un problème qui nous rend la vie très difficile. Face au 67 rue des Archives, il y a des sans-abris qui se sont installés sur une bouche d’air chaud près de l’entrée de la poste à côté des Vélibs. Ils entassent des vieux meubles (canapés, commodes jetés dans la rue) pour en faire une cabane".

    "C’est un réel problème non seulement en terme d’hygiène (meubles infestés de punaises de lit et saleté de l’endroit) mais aussi au niveau sonore : ces gens sous l’effet de l’alcool et des drogues poussent des cris dans la nuit ; c’est invivable pour les habitants. J’ai appelé la police il y a 10 jours à 2h00 du matin lorsqu’ils se battaient avec des barres de métal. Ma famille et moi ne nous sentons plus en sécurité lorsque nous rentrons tard dans la nuit. J’ai vu plusieurs fois un sans abris déféquer sur le trottoir face aux passants. Je suis récemment allée deux fois signaler le problème à l’accueil de la mairie et ils ont été incapables de m’aider en me disant qu’on ne pouvait rien faire"

    Campement

     

    Nous avons constaté ce samedi matin que l'espace a été dégagé et que des restes calcinés du bidonville ont été poussés dans un coin du trottoir. Nous avons, sans succès à ce stade, essayé d'en savoir plus de la part du Maire de Paris-centre et de la Police nationale. Nous diffuserons l'information en temps réel dès qu'elle nous parviendra.

    Un constat s'impose néanmoins dès à présent : la compassion des parisiens et des français en général à l'égard de ceux qui ont quitté leur pays pour trouver refuge chez nous est en train de s'émousser face au nombre des arrivants et à notre incapacité matérielle à les accueillir. C'est la cohésion de notre société qui est en jeu. Il est urgent que les politiques en prennent conscience et mettent leurs calculs de tactique électorale sous le boisseau pour s'accorder sur une politique nationale et européenne à la mesure de l'enjeu.

    GS

     

    Postscriptum du 16 décembre – 19h00 –

    La Police Nationale nous informe que c'est "un des SDF ivre qui a mis le feu à son matelas avec une cigarette. Le feu s'est propagé à une voiture. Les personnes concernées sont en garde à vue. La Justice décidera de la suite…"

     

    A 24h00 ce 16 décembre 2023, cet article a été vu par 152.227 lecteurs !

     

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    St merriEntassement des tentes sous le parvis de l'école St Merri (Photo Le Monde)

     

    Dans une lettre ouverte où la compassion est palpable, le Maire de Paris-centre Ariel Weil s'exprime sur l'occupation de l'espace public par des migrants sans-abri vraisemblablement sans-papiers installés dans nos arrondissements. Nous la reproduisons ci-dessous intégralement.

    Avec un commentaire : le Maire fait appel à l’État qu'il rend responsable de la situation. C'est vrai en première instance mais rappelons que l’État c'est nous avec un Président Emmanuel Macron et ces femmes et ces hommes qui constituent l'Exécutif et exercent le pouvoir à l'Assemblée Nationale. Le lien vers nous est le Député que nous avons élu, Clara Chassaniol (suppléante du Ministre Clément Beaune) pour le secteur concerné.

    C'est vers elle qu'il faut se tourner pour que nos lois soient telles que ces situations de débordement au caractère indigne ne se produisent pas. S'ils n'y parviennent pas, nous citoyens en tirerons les conséquences démocratiques.

    En attendant il n'y a pas d'autre choix que de faire confiance à l'autorité municipale qui fait ce qu'elle peut mais qui elle aussi a le devoir de peser sur l’État et d'agir sur l'Exécutif.

    Voici le texte de la lettre du Maire :

    (suite…)

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    Notre dame sudNotre-Dame de Paris vue du quai de Montebello (Ve), charpente et flèche en fin de restauration (Photo VlM, 02/12/23 – clic gauche dans l'image pour plus de détails)

     

     

    Anne Souyris, précédemment Adjointe à la Maire de Paris en charge de la santé, sénatrice EELV depuis septembre 2023, lance un pavé dans la mare : elle demande rien de moins que "la suspension du chantier de restauration de Notre-Dame de Paris, en raison de l'utilisation de plomb pour la reconstruction de la toiture et de la flèche" !

    Elle déclare que l’État n'a pas réalisé d'étude pour l'évaluation des risques sanitaires liés à l'utilisation de tonnes de ce métal pour le chantier.

    A-t-elle tort ou raison d'évoquer des risques de contamination ?

    Nous n'entrerons pas dans ce débat mais nous ne pouvons nous empêcher de nous rappeler qu'il n'y a pas si longtemps les canalisations d'eau domestique étaient en plomb au point qu'on a créé le mot "plombier" pour désigner les professionnels de la branche. Nos dents cariées étaient "plombées" par un amalgame composé d'argent, cuivre, nickel et mercure mais son nom commun indique qu'il a été probablement composé de plomb lui aussi à une époque….

    Nous nous demandons comment nous avons fait pour survivre en améliorant même à chaque décennie notre espérance de vie !

    Annoncer aujourd'hui que l'utilisation du plomb dans la reconstruction de Notre-Dame pourrait présenter des risques pour la santé (de qui ?) et demander l'arrêt des travaux nous rend une fois de plus perplexes devant le radicalisme de mouvements politiques qui font de la peur leur quotidien.

    GS

     

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    Font stravFontaine Stravinsky : les sculptures (en couleurs) de Niki de Saint Phalle et (en noir) de Jean Tinguely (Photo mairie de Paris)

     

     

    L'information de la mairie de Paris emboite le pas à notre article du 27 octobre 2023 qui présentait ce monument et ses mécanismes "fil de fer" comme le "rocher de Sisyphe" de l'Hôtel de Ville.

    Sa description de l’événement est, sans surprise, dans une tout autre tonalité : "Pour la première fois en quarante ans, l’œuvre de Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle a bénéficié d’une rénovation complète. L'inauguration est prévue mardi 7 novembre. Controversée à l’époque, elle est aujourd’hui emblématique du quartier de Beaubourg et continue de fasciner badauds et passants. Mais que représentent ses sculptures ? Quels secrets se cachent derrière cette collaboration fructueuse, et quel rôle a joué Claude Pompidou lors de la création de la fontaine ?"

    La mairie reconnait que c'est la première fois en quarante ans que cette fontaine est en état de fonctionner. On est légitimement en droit de se demander combien de temps durera l'état de grâce et, s'il est prochainement rompu, de qualifier ses défenseurs de masochiste s'ils acceptent sans rechigner une nouvelle période de gel pour réparations !

    Nos réserves à l'égard de cette œuvre, cependant, ne nous interdisent pas de respecter celles et ceux qui l'apprécient. Nous les engageons à prendre connaissance du dossier très détaillé que la mairie de Paris lui consacre ce jour.

    Gérard Simonet

     

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    Salut

    Salut final de la troupe des Moments Lyrique du Marais, longuement applaudie et rappelée par un public conquis. De gauche à droite : Nicolas Poli, le récitant ; Benjamin Mayenobe, le Dancaïre, Antoine Foulon, Escamillo ; Etienne Duhil de Bénazé, le Remendado ; Brenda Poupard, Mercedes ; Magali Albertini, pianiste chef de chant ; Pauline Feracci, Frasquita ; Erminie Blondel, Micaëla ; Kaëlig Boché, Don José et Eléonore Pancrazi, Carmen (Photo VlM. Clic gauche jusqu'à deux fois pour agrandir)

     

     

    Monter et jouer CARMEN avec dix artistes seulement : c'est le défi que s'était donné hier la troupe des Moments Lyriques du Marais. Avec de tels moyens on ne peut pas rivaliser avec l'opéra, son orchestre et ses chœurs, mais on peut faire mieux qu'une version de concert, où les airs s'enchainent sans lien avec l'action dramatique.

    La direction artistique des MLM a opté pour une version "théâtrale" du chef-d’œuvre de Bizet, avec un récitant qui développe l'argument et assure le lien entre les principaux événements de la pièce. L'absence de chœurs permet paradoxalement de mettre en valeur des scènes à plusieurs voix. Le quintette associant les contrebandiers, les bohémiennes et Carmen à la taverne de Lillas Pastia a eu pour sa part un fort succès.

    Troupe 2La joie dans les coulisses après le concert….

    Près de deux cents spectateurs se sont pressés dans la cathédrale Ste Croix des Arméniens dans le Marais pour découvrir cette version sur mesure de CARMEN. Le Maire de Paris-centre Ariel Weil nous a fait l'honneur de sa présence en confirmant ainsi l'intérêt qu'il porte à nos activités culturelles notamment dans le lyrique. Une façon aussi de se déconnecter des tracas journaliers d'une municipalité et de ses soucis de terrain….

     

    PublicLe public, pendant le court entracte de la fin de l'acte II

     

    L'intérêt du public pour nos spectacles lyriques nous incite à continuer dans cette voie. Le 22 janvier 2024, dans cette même église, nous le retrouverons avec "La Colombe" un petit opéra-comique de Charles Gounod, et une troupe de musiciens et de chanteurs animée par l'association-amie du Ve "Parole et Musique". L'annonce détaillée en sera faite en temps utile.

    Gérard Simonet

     

  • Pac nettRue du Pont aux Choux (IIIe), propre comme un sou neuf après "l'intervention d'envergure" la veille des équipes de Propreté de Paris. Pour en savoir plus sur cette voie au nom insolite, lire ou relire cet article ancien…

     

     

    Le Maire de Paris-centre, Ariel Weil, nous informe que les services de Propreté de Paris sont intervenus rue du Pont aux Choux dans le IIIe pour nettoyer tous les rideaux métalliques.

    Nous insistons depuis des semaines sur la nécessité pour Paris et ses représentants de soigner l'esthétique de la Ville, dans l'absolu car nous avons tous une exigence de beauté pour notre lieu de résidence, a fortiori quand on sait que les projecteurs vont se braquer sur nous avant et pendant les Jeux Olympiques de 2024.

    On le reconnait, l'affichage sauvage et les tags ont régressé et on s'en réjouit. Il reste en revanche la problématique des rideaux métalliques. Ils offrent une surface considérable aux vandales et il n'est pas possible aux services de la mairie d'intervenir sans l'accord et la coopération des gérants des boutiques.

    Nous comprenons des informations qui nous parviennent que la mairie aurait décidé de mettre ce problème en attente, en procédant malgré tout, rue par rue, à une intervention annuelle avec la volonté d'en tirer les enseignements et adapter sa politique en conséquence.

    Pac atOn est toujours rue du Pont aux Choux. Ce magasin et ses rideaux métalliques sont restés "dans leur jus", comme pour témoigner de ce que c'était avant, et plus probablement en raison de difficultés administratives dans la relation avec le gérant…

     

    Il est probable que la rue du Pont aux Choux ait bénéficié de ce régime mais on en conclut qu'il n'y aura peut-être plus de nettoyage avant un an, une garantie que les tagueurs exposeront leurs œuvres pendant tout ce temps…. C'est loin de la politique que nous défendons, qui est elle basée sur une intervention immédiate apte à décourager ces vocations nuisibles….

    Nous espérons que la Ville se rende à cette évidence et dégage les moyens de la mettre en application.

    Gérard Simonet

     

    Attention !!! Ne ratez pas notre spectacle exceptionnel du 19 octobre : CARMEN, opéra-comique de Georges Bizet en version de concert avec 10 artistes. Voyez l'affiche et retenez vos places en cliquant  ici….

     

    Postscriptum du 2 octobre

    Le Maire de Paris-centre réagit à notre article. On vient de recevoir en substance le message suivant de son conseiller Alexandre Bondoux : "Nous avons mis en place des actions renforcées pour le traitement des tags et graffitis. Depuis 2020, plus de 79.000 opérations ont été effectuées à Paris-centre. Le propriétaire du commerce « TARTAIX » a refusé l’intervention de traitement de ses rideaux métalliques. La procédure en vigueur nous oblige à obtenir l’accord du commerçant avant de procéder au nettoyage. Nous maintenons nos efforts pour le convaincre de s'y conformer."

     

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    Haudriettes chevaux gendarmerie 25 04 20Rêve pour les uns, cette photo, cauchemar pour les autres….Que sera la circulation demain dans Paris-centre ?

     

     

    Deux des conseils de quartiers de Paris-centre, "le CQ Marais-Archives" et "le CQ Vosges" lancent un questionnaire qui vise à mieux connaitre la typologie du mode de déplacement des résidents du Marais et des Îles.

    Le but est de disposer de données objectives sur le comportement de nos concitoyens et sur leur ressenti des premières mesures qui ont été prises, en vue des corrections que la mairie de Paris-centre pourrait apporter vers la fin de l'année.

    Nous soutenons cette initiative en rappelant que notre revendication se limite à obtenir pour les résidents les mêmes droits que les bus et taxis, sur un tronçon de 200 mètres rue des Archives, de 100 mètres rue des Quatre-Fils et (on me prie de l'ajouter) une dizaine de mètres rue de Turenne !

    Il faut dix minutes pour remplir ce questionnaire (cliquez ici) et son ergonomie est bonne.

    Gérard Simonet