Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Actualité

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    A12Statue de Louis XIII square de la place des Vosges (IVe) 

     

     

    Depuis le 1er juillet et jusqu’au 3 septembre, 16 parcs et jardins dont le square Louis XIII  place des Vosges, ouvrent 24 heures sur 24 "afin  d’offrir de la fraîcheur aux parisiens" (NDLR : et aux noctambules) est-il expliqué par la mairie  

    La Ville n’hésite pas à affirmer que l'expérience de l'an passé a été satisfaisante et que les parisiens ont été séduits puisque " 141 000 à 210 000 parisiens (on imagine qu'il y avait aussi des touristes …) se sont rendus dans les parcs le soir et la nuit."

    Mais il y a un petit hic, les déchets ! Il est question de l'équivalent de 70 gros containers, la ville va donc devoir renforcer ses équipes de nettoyage et recourir à des sociétés privées. Elle a dû aussi installer des toilettes mobiles.

     

     

    IMG_0873Toilettes mobiles devant l'entrée du parc Louis XIII (photo VlM)

     

    Les nuisances quant à elles seraient marginales, il est juste question de 41 signalements et seulement la moitié dus au bruit… le reste étant des barbecues sauvages ou des détériorations de matériels (arrosage notamment) ou des incursions des 2 roues motorisés, voire plus grave des agressions sexuelles… Aussi pour en tenir compte un des parcs source de problèmes avec les riverains ne sera ouvert que le week-end.

    La mairie assure que cette année des agents de sécurité seront déployés ainsi qu'une brigade cynophile et des dispositifs anti intrusion ont été prévus.

    Quant au coût global de cette opération, s'il était de 381 000 € en 2016, il sera de 360 000 € en 2017…

    A suivre

     

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    A000Costumes espagnols traditionnels exposés au Musée Victor Hugo (IVe) (photo Le Figaro) 

     

     

    C'est une première, près de 80 vêtements, habits et accessoires traditionnels de l'Espagne du XIXe et du début du XXe siècle racontent, au musée Victor Hugo, les provinces espagnoles des Canaries à l'Andalousie en passant par la Catalogne, Majorque, l'Aragon et la Castille…Victor Hugo, rappelons le, a passé une partie de son enfance en Espagne. 

    « Ces costumes d’une extraordinaire richesse d’exécution ont inspiré les plus grands couturiers espagnols, comme Balenciaga. L’exercice de broderie, de plissé, l’éventail des couleurs, la fantaisie des rubans, l’extravagance des chapeaux et des bijoux conduisent à considérer ces costumes aujourd’hui avec les singularités contemporaines. » Ces costumes ne sont pas seulement folkloriques, ils représentent « le travail quotidien que des hommes et des femmes souvent modestes ont réalisé au fil du temps… Cette poésie de l’ordinaire est élevée au rang des métiers d’art. »

    Tous ces costumes sont issus des collections du Museo del Traje de Madrid et font partie de la Saison espagnole du Palis Galliera. Des photographies documentaires de José Ortiz Echague (1886-1980) illustrent cette histoire populaire de l’Espagne du XIXe et du début du XXe siècle. 

     

    Maison de Victor Hugo 6, place des Vosges (IVe) jusqu’au 24 septembre 2017

    Du mardi au dimanche de 10h00 à 18h00. Fermé le lundi et certains jours fériés

     

  • Coutures st g r'golotte 30 06 17Rue des Coutures Saint-Gervais (IIIe), le vendredi 30 juin 2017 (Photo VlM/JFL)

     

    Ambiance de kermesse sinistre rue des Coutures St Gervais (IIIe), des calicots posés par des habitants sur les immeubles qui disent NON à la "Rue'Golotte" (le nom donné à cette initiative facétieuse) et du crêpe noir sur les devantures pour souligner la détresse des galeries d'art dont l'activité est menacée de mort.

    Contre vents et marées, le projet démarre. Il en coûte 75.000 € au contribuable parisien, pour la joie d'enfants de l'école voisine des Quatre-Fils dont les parents ont eu la délicatesse d'envoyer leur progéniture se divertir dans une rue qui n'est pas la leur. Une rue dont les habitants et les commerçants (une dizaine de galeries d'art) n'ont pas été consultés et s'y sont opposés avec force quand ils l'ont appris.

    Le contexte a été longuement décrit pas Jean-François Leguil-Bayart dans son article du 26 juin  2017. La mairie du IIIe a manqué de discernement en laissant l'affaire se développer. Son Maire et ses Adjoints ont pourtant veillé jusque là à juguler les initiatives fantaisistes et nuisibles aux habitants, qui germent ici ou là, notamment, comme c'est le cas ici, au sein des conseils de quartiers. Il faut dire que lorsqu'on annonce à un groupe non représentatif : vous avez tant de dizaines de milliers d'€ à dépenser et vous devez vous dépêcher sinon ils seront perdus, il se trouve en général un "rigolo" qui vous sort un projet farfelu qui a dès lors toutes les chances de passer !

    L'association en charge du projet nous a contactés et voudrait discuter avec nous. Nous sommes là pour nous exprimer et agir pour le compte des habitants du Marais. Encore faut-il qu'on soit saisis en amont. Dans cette affaire, nous constatons qu'elle s'est déroulée en catimini et dans une intention qui manque d'élégance. On ne dispose pas  d'une rue entière pour y installer des nuisances sans en parler aux riverains !

    Nous craignons que cette affaire ne puisse se régler que par un profond remaniement du projet. Nous faisons confiance au Maire Pierre Aidenbaum qui en a vu bien d'autres, pour sortir la rue de l'impasse !

    Gérard Simonet

     

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    A000Façade du 13 square Sainte-Croix de la Bretonnerie (IVe)  (photo H. Abbadie)

     

    Au 13 Square Sainte-Croix de la Bretonnerie (IVe) se trouve un immeuble inscrit au PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur) du Marais dans lequel ont été aménagés 11 logements sociaux (3 logements dits PLA-I et 8 logements dits PLUS) en 2011. A cette occasion la structure du bâtiment a été renforcée, la couverture et la charpente ont été révisées, les menuiseries remplacées et le bâtiment a été ravalé. Les 11 logements comme les parties communes et l'ensemble des réseaux (eau, électricité, etc.) ont été remis aux normes. La courette intérieure refaite a été végétalisée. Une opération de rénovation lourde en somme devenue courante !

    Or à peine 6 ans après ces transformations, parmi les demandes de permis de construire du BMO (bulletin municipal officiel de la Ville de Paris) du 27 juin 2017 figure à nouveau une demande pour des travaux non négligeables précisément sur ce même immeuble. Cette demande est ainsi libellée «  Recul partiel de la façade et de l’escalier sur passage pour alignement sur l’héberge du N° 39 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, changement de locaux à usage d’habitation en locaux sociaux pour les commerces, au 2ème étage du bâtiment d’angle avec le Square, et au 1er étage du bâtiment entre le passage et la cour N°3, déplacement de 2 gaines d’ascenseur, intégration de grilles de ventilation au local transformateur, dépose de 2 allèges au rez-de-chaussée en façade côté square, implantation d’un compteur EDF en façade principale…»

    Voilà qui montre combien l’entretien, l’évolution de la réglementation, les transformations induites par les usages réels des bâtiments ou la difficulté parfois de louer (cet immeuble est en effet située dans une rue très bruyante le soir et jusqu’à tard dans la nuit …) sont une charge pesante pour le propriétaire, à savoir la ville de Paris, donc les contribuables parisiens. Charge financière qui alourdit les déficits d'exploitation due à la modicité des loyers et aux impayés (17 % selon nos informations) et qui s’ajoute au service de la dette afin de rembourser les emprunts contractés pour réaliser ces opérations, souvent sur des durées très longues !

    La Ville n'a pas les moyens de multiplier à l’envi le nombre de logements sociaux, notamment dans les quartiers où l’immobilier est très cher, avec ses conséquences tant en matières de dépenses que d’endettement qui en découlent ? Ne serait-il pas temps de faire une pause alors qu’il semble, comme l‘illustre le cas repris ci-dessus, qu’il y ait fort à faire pour entretenir et maintenir à niveau le parc existant ?

    Dominique Feutry

     

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    XXDes barrières en forme de croix de Saint André ont été installées par la mairie du IVe pour délimiter l'emprise des terrasses (Photos VlM/SB)

     

     

    Combien de fois nous sommes-nous exprimés sur la situation désespérée de la place du Marché Sainte-Catherine (IVe) !

    Lundi 26 juin, un petit miracle s'est produit, la voirie a installé sur la place des croix de Saint-André afin de délimiter les terrasses des restaurants, rendant extrêmement lisible le dépassement éventuel des restaurateurs. 

    La place et la rue Caron respirent à ce jour la tranquillité. L’action des riverains n’a pas été vaine, même si certains auraient préféré le plan de végétalisation proposé et approuvé par la mairie du IVe dans le cadre du budget participatif. Mais ce dernier s’est heurté à des obstacles à la mairie centrale et au fait que l’architecte des Bâtiments de France préférait garder son caractère minéral à la place. 

    XXX

    Cette nouvelle installation devrait contenir l’expansion indéfinie des terrasses et avec elle le niveau de bruit insupportable de nuit comme de jour et permettre à nouveau l’accès des véhicules de secours sur la place et la rue Caron, elle avait été rendue impossible par l’occupation incontrôlée des terrasses.  

     

    Ste cathLa situation antérieure

     

    De fait le matériel des restaurateurs (plantes en pots, vitres en verre des restaurants et autres ardoises de menus…) ne devrait plus empiéter sur la voie publique. Il faut espérer que les inspecteurs de la DPSP seront vigilants et interviendront pour verbaliser tout rang de table dressé hors des barrières ou le stationnement sauvage des scooters et véhicules qui ont pris possession de la Place et de la rue Caron de façon complètement irrespectueuse. 

    L’espoir renait pour les habitants qui n’en pouvaient plus et avaient l’impression de se battre contre des murs. Ils attendent avec impatience la pose annoncée des capteurs Bruitparif.

     

  • MadridMadrid. Calicot sur le trajet de la manifestation : "Fierté oui, mais pas comme ça" – "Nos droits ne sont pas un business !"

     

    La gay-pride à Madrid : les associations de défense des riverains considèrent qu'il s'agit, sur le thème de la défense des droits d'une communauté, de créer une attraction supplémentaire dans le dysneyworld de ceux qui cherchent à faire beaucoup d'argent sous n'importe quel prétexte….

     

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    Sans-titreVue de l'impasse Guéménée (IVe) (photo VlM)

     

     

    Sous le tire « Le cul de sac du Ha !Ha ! Un havre de quiétude menacé » nous avons publié le 02 avril 2014 un article  rappelant l’histoire de cette voie pittoresque en indiquant que « malheureusement un projet risquait de venir perturber la quiétude des lieux. En effet le Parc Saint Antoine, le garage de 350 places situé 16 rue Saint-Antoine (IVe) qui s’étend jusqu’à la Cour Bérard, pourrait ouvrir la sortie dont il dispose donnant dans l’impasse, ce qui permettrait aux clients d’accéder et de sortir du garage. Or depuis 50 ans, seul l’accès par la rue Saint-Antoine est utilisé. On imagine les conséquences en matière de bruit notamment que subiraient les riverains confrontés au va et vient des nombreux véhicules qui ne  manqueront pas de passer à cet endroit étroit de 6h30 jusqu’à 2H00 du matin !

    Une pétition circule, elle a été adressée aux autorités, attirant l'attention sur les risques d'accidents, la pollution supplémentaire occasionnée par la configuration en cuvette de l'impasse, le bruit et l'accès encore plus difficile qui en découlera pour les pompiers, les services de nettoyage, les camions poubelles et les véhicules de livraison. »  

    Nous avions conclu cet article en pensant que « le bon sens et la sagesse l’emporteraient. »

    Il n’en est rien hélas puisque ce projet redevient d’actualité et le collectif qui s’est constitué vient de lancer une pétition dans le but d'empêcher cet aménagement,  de rendre la voie piétonne et de la végétaliser. Nous vous communiquons l’adresse mail de la pétition:

     http://impasse.guemenee.free.fr

    Ce projet qui serait justifié pour des questions de sécurité incendie est d’ailleurs tout aussi aberrant lorsque l’on sait que ce parking de 500 places abrite dans son sous-sol une cuve qui alimente les pompes à essence qui se trouvent côté rue Saint-Antoine avec tous les dangers (notamment d’explosion) que cela peut générer en particulier lors de la livraison de carburant par d’énormes camions qui sont obligés de pénétrer à l’intérieur des locaux (voir notre article du 04 octobre 2013).

    Ces camions citernes sortiront-ils aussi par l’impasse Guéménée ?

    Il faut que le bon sens l’emporte sur les intérêts particuliers…

     

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     Résultat de recherche d'images pour "foison panneaux signalisation  paris"
     Paris souffre d'un trop plein de signalisation
     
     
     
     
    L' accident récent du bus à impériale qui s'est encastré dans un passage souterrain qui a fait quatre blessés, dont un grave, pose le problème d'une politique municipale de la circulation qui privilégie le "ludique" au détriment de la sécurité.
     
    Il semble que l'accident intervenu vendredi 23 juin à hauteur du pont Alexandre III soit dû à une déviation mise en place pour permettre la "journée olympique". Sans préjuger des responsabilités civiles ou pénales, cela démontre cependant qu'à force de compliquer la circulation à Paris, ce genre de problèmes risque de se multiplier. Même si la déviation ou un panneau avant le tunnel mentionnait une hauteur limite de 3,95 m, il n'en demeure pas moins qu'il aurait dû être mis en place une déviation spécifique pour les véhicules hauts. 
     
    Au surplus cette accumulation de mesures empilées de circulation compliquée (vélos à contresens, rues à sens unique variable, couloirs divers, circulations "douces", véhicules à une ou deux roues sur les trottoirs ou autorisés à passer aux feux rouges…) sature l'information aux conducteurs, propre à distraire son attention. 
     
    La Mairie de Paris devrait en tenir compte pour revenir à une circulation simple et non idéologique. Là serait enfin justifié le terme de "circulation apaisée".
     
    Ce sujet concerne au premier chef le Marais, où la circulation "ludique" ou "partagée" est privilégiée, même si le premier terme ressemble à un oxymore.  Pour ne prendre qu'un seul exemple il est à craindre qu'un jour proche un accident ait lieu au croisement Haudriettes/Temple, les vélos à contresens n'ayant pas de feu rouge leur indiquant s'ils risquent de couper une rue où le bus 29 passe au feu vert, d'autant que les cyclistes sont déroutés à cet endroit, puisque la portion suivante de la rue du Temple leur est interdite à contresens selon la signalisation verticale, mais leur est autorisée selon la signalisation horizontale.
     
    Trop de signalisation tue la signalisation. Il ne faudrait pas qu'à force elle tue, simplement.
     
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    AB1Des musiciens se préparant à jouer rue Pecquay (IVe) (photo VlM) 

     

     

    Beaucoup, beaucoup de monde (bas de la rue des Archives, une partie de la rue du Temple, devant les mairies d'arrondissement…  

    Beaucoup de bruit (énormes baffles aux fenêtres avec un niveau de décibels élevé souvent insoutenable …).

    Beaucoup d'alcool accentué par la canicule … Le lien entre ce dernier et la musique n'est pas évident ?

    Beaucoup de projecteurs  et de lumières, de matériels comme cette très grosse boule recouverte de petits miroirs pendue à un élévateur entre le Cox  et l'Open Café (établissement qui venait de rouvrir après des travaux suite à un incendie), des fumées type feux de Bengale, des brumisateurs attiraient le chaland  en sus des concerts organisés ou improvisés de tous styles avec des musiciens de tous niveaux.

    La police de son côté avait pris des mesures alignées sur l'enjeu sécuritaire actuel. Les secteurs "les plus chauds" étaient interdits à la circulation automobile comme l'an passé. Quelques débordements ont été constatés à certains endroits,  conséquence de forte alcoolisation.

     

    AB0Grosse boule recouverte de petits miroirs pendue à un élévateur entre le Cox et l'Open Café (photo VlM) 

     

    Les services de la propreté ont eu fort à faire eux aussi les déchets habituels abondaient de même que les épanchements d'urine et autres laisser-allers. De toutes façons les toilettes mobiles étaient en nombre trop limité.

    Curieux aussi pour ceux qui se rendaient au travail ce jeudi 22 juin de croiser encore des fêtards très avinés qui n'avaient d'autre solution que d'aller dormir.

    Il est dommage et navrant de constater que les fondements à l'origine de la fête de la musique aient été dévoyés au fil du temps. La fête de la musique était au début une musique essentiellement jouée par des amateurs, mais surtout de la musique vivante et pas enregistrée comme trop souvent aujourd'hui. 

    La musique n'est plus l'essence de cette manifestation mais le prétexte aux excès de décibels, aux excès éthyliques qui provoquent malpropreté,  bagarres, débordements qui vont bien au-delà des horaires limitant la manifestation. Ainsi en est-il du bruit infligé aux riverains !

    Si la musique est là pour nous élever, nous transcender, il est regrettable en revanche que la fête de la musique puisse justifier tant d'incivilités. 
     

    Dominique Feutry

     

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    Commissariat_03Le commissariat central du IIIe arrondissement (photo Préfecture de police)

     

     

    "Vivre le Marais !" a rencontré les représentants du commissariat du IIIe arrondissement. Différents sujets ont été  abordés.  

    La fête de la musique d’abord pour laquelle des mesures de sécurité avaient  été prises et dont le bilan  est plutôt correct sans remontée d’incident inquiétant si ce n'est de la musique assourdissante ici et là. 

    Il nous a été confirmé que des passages quotidiens étaient effectués rue Sainte- Apolline (IIIe) et que les doléances des habitants étaient moins nombreuses. A l’approche de l’été l’unité de police administrative a de son côté sensibilisé les exploitants sur les nuisances (bruit …) que pouvaient provoquer leurs établissements comme par exemple la partie de la rue Saint-Martin (ente la rue aux Ours et la rue Rambuteau).  A ce titre il est rappelé qu’en cas d’abus caractérisé il faut appeler le 17. Numéro qu’il faut aussi composer quant à l’observation de faits pouvant être liés à des activités terroristes.  

    Le rôle de la DPSP  (Direction de la Prévention, de la Sécurité et de la Protection) rattachée à la mairie de Paris et que nous avons déjà détaillé (voir article du 23 mai 2017), sera complémentaire de celui des équipes de police.

    Notre  attention a été attirée par nos interlocuteurs  sur l’existence de « l’Opération Tranquillité vacances » promue par la préfecture de police et qui existe depuis plusieurs années. Elle  permet aux habitants de partir en vacances l’esprit rassuré face au risque de vol dans leur domicile. Le site ci-dessous  donne les explications nécessaires notamment des conseils pour éviter les cambriolages et le formulaire  qu’il convient de  remplir pour que des patrouilles surveillent les lieux. En cas d’effraction ou tentative,  les occupants du bien sont prévenus et des actions peuvent être menées rapidement (remplacement des serrures, contacts assurances,  etc…). 

    https://www.interieur.gouv.fr/A-votre-service/Ma-securite/Conseils-pratiques/Mon-domicile/Zen-en-vacances

    Dominique Feutry