Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Cadre de Vie, Environnement

  • Tapis Tapis Tapis

     Quel est le prix à la tonne ?

     

    Un groupe de riverains s'est mobilisé ce 16 novembre pour retirer ces panneaux qui défigurent la rue de Turenne (IIIe et IVe). Nous en avons informé la DPSP (direction de la prévention, de la sécurité et de la protection), la nouvelle unité de 1.900 personnes (*) que la Mairie de Paris vient de créer pour lutter contre toutes les incivilités dans la capitale. 

    Rappelons que cette façon de faire de la publicité est interdite à Paris au titre du règlement de la publicité. Il n'est pas difficile aux forces de l'ordre d'intervenir puisque l'adresse du point de vente est indiquée sur le panneau. Nous serions reconnaissants à la DPSP de faire le nécessaire et d'éradiquer cette pratique qui enlaidit la ville.

    Nous ne croyons pas que l'activité de vente en elle-même soit illicite, dans la mesure où chacun est capable de ne pas croire ce qu'on lui raconte et de faire la part du boniment dans une réclame commerciale à sensation, même trompeuse. C'est évidemment le mode de communication employé que nous condamnons.

     

     (*) L'effectif sera de 3.400 personnes si la réforme du statut de Paris est mise en œuvre et si les agents de sécurité chargés du stationnement (" les pervenches") rejoignent la DPSP comme c'est prévu.

     

     
  •    MaxresdefaultFaçade illuminée lors de la manifestation des 160 ans du BHV Marais

     

    La façade du BHV Marais a pris ses allures de fête et c’est ce soir 16 novembre  que les illuminations seront allumées.

    Fait plutôt rare à Paris, sachant que le thème des décors et des animations est  la montagne,  une descente aux flambeaux  de 60 moniteurs de L’École de Ski Français de Val d’Isère est prévue. Jusqu’au 31 décembre de nombreuses activités destinées aux clients sont annoncées parmi lesquelles  des cours de ski  et des ateliers pour les enfants. 

    Le BHV Marais devient le temps des fêtes de fin d’année  le lieu de convergence des  « montagnards » et  le BHV Marais clôt ainsi  les festivités de ses  160 ans d’existence.

     

  •   Péninou carcel feurty 14 11 16De gauche à droite : Laurence Carcel, Mao Péninou, Dominique Feutry. A la prise de vue Gérard Simonet (Photo VlM)

     

    Comme chaque année "Vivre le Marais !" a été reçu à l'Hôtel de Ville par Mao Péninou, Adjoint à la Maire de Paris chargé des  questions relatives à la propreté, l'assainissement à l'organisation et au fonctionnement du Conseil de Paris. Il était accompagné par Laurence Carcel, conseillère technique en charge de la branche "Propreté".

    Ce tour d'horizon permet de faire un bilans sur l'année écoulée. Mao Péninou nous confirme la sectorisation des services de la Propreté. Dix secteurs sont créés ce qui permet un maillage plus facile de la capitale avec des équipes dédiées. Celle concernant le Marais devrait être installée dans la caserne Napoléon, place Baudoyer (IVe). Il nous annonce que des horaires différenciés devraient s'appliquer durant les périodes d'été (15 juin au 15 septembre) où des équipes interviendraient de 15h30 à 22h30 et d'autres de 16h30 à 23h00 (avec prime de nuit). De la sorte la propreté serait effectuée au fil de l'eau dans les quartiers très fréquentés tel que le Marais avec des équipes pérennes par secteur. Des mesures ont été prises aussi pour réduire l’absentéisme, l'objectif serait à terme de réussir à le faire passer de 13 à 8%.

    Les incivilités sont examinées ensuite (flyers,tags, affichage sauvage, inscriptions sur les trottoirs…) seront davantage verbalisées du fait même de la création de la DPSP (prévention sécurité protection) qui regroupe les agents assermentés y compris ceux du Centre d'Action Propreté Paris qui étaient rattachés jusqu’à présent aux services de la propreté. Pour les affiches publicitaires sauvages de grandes marques, 138.000 € d'amendes ont été perçues mais ce n'est pas assez dissuasif.

    Nous avons attiré son attention sur l'intérêt de retirer ces affiches sans tarder car les prestataires du service de collage des affiches intègrent dans leurs prix le montant de l'amende, pondéré par la probabilité qu'elle soit appliquée. Cette probabilité est très faible actuellement. En l'augmentant on rendrait le coût plus élevé au point de devenir dissuasif. M. Péninou en est convenu.

    Dans l'immédiat, 15 procédures avec dépôt de plainte auprès du procureur ont été lancées contre les annonceurs fautifs. Quant aux panneaux installés certains week-end sur les potelets annonçant le plus souvent des ventes de tapis, notre interlocuteur est formel,  le règlement de la ville sur la publicité l'interdit ! Nous sommes donc dans notre droit quand nous les retirons.

    En ce qui concerne les nouvelles corbeilles installées dans toutes les rues, elles seront bientôt équipées de sacs verts afin de les rendre plus visibles. Les cendriers diot elles sont munies sont très utilisés et seraient un indice que la campagne contre les mégots a pu porter ses fruits bien que la baisse du tonnage de mégots jetés sur la voie publique soit difficile à mesurer. Des appels à la vigilance ont été adressés par voie postale aux bars. 1 000 amendes ont d’ailleurs été délivrées sur l'année. Nous découvrons aussi avec leur couvercle orange les nouvelles poubelles "bio déchets".

    Contre les épanchements d'urine il est spécifié que 50 sanisettes supplémentaires sont prévues, que la moité du parc existant ouvre désormais 24h sur 24 et qu'un budget participatif de 1 millions € a été sélectioné pour rechercher et l’installer de nouveaux modèles qui compléteront le mobilier ad hoc existant.

    Mao Péninou nous annonce aussi son souhait de remplacer tous les engins de nettoyage fonctionnant au diesel par des véhicules propres. Le budget est alloué il faut désormais trouver  les matériels appropriés sur le marché.

    Nous concluons que le sentiment de malpropreté est perçu souvent à cause du mobilier urbain souillé, tagué, notamment les armoires métalliques, et sur lequel sont apposés des autocollants disgracieux. Mao Peninou en convient et nous dit qu’une conférence de sensibilisation réunissant la Mairie de Paris, la Poste, EDF, les bailleurs sociaux … est prévue dans les tout prochains mois afin d'aboutir, outre la sensibilisation inhérente à ce sujet, à des protocoles d'entretien.

    A propos des flyers qui reste un fléau sur certains secteurs, notamment la rue Ste Croix de la Bretonnerie et le bas de la rue des Archives (IVe), M. Péninou retient notre suggestion d'intervenir les jours sensibles pour en débarrasser les lieux où ils s'accumulent.

    Nous remercions Mao Péninou et Laurence Carcel pour la qualité de leur accueil et ces échanges directs.

    Dominique Feutry

     

  • IMG_3029Bientôt un nouvel espace de coworking, "Le 10H10",  210 rue Saint-Martin (IIIe) (Photo VlM)

     

    Il y avait déjà, tous dans le IIIe arrondissmeent,  "l'Anticafé" 79 rue Quincampoix, "Remix Coworking" 57 rue de Turbigo et un autre 24 rue Béranger,  "Dojo République" puis depuis peu l'espace à l'angle, côté impair, des rues de Montmorency et Beaubourg (IIIe) et bientôt une autre enseigne "le 10H10" qui verra le jour 210 rue Saint-Martin (IIIe).  Cette multiplication des lieux de coworkings mérite que l'on s'y attarde pour expliquer leur raison d'être.  

    Wikipédia donne la définition suivante:  "Le coworking, cotravail ou parfois bureaux partagés est un type d'organisation du travail qui regroupe deux notions : un espace de travail partagé, mais aussi un réseau de travailleurs encourageant l'échange et l'ouverture. Il est un des domaines de l'économie collaborative." Nés à San Francisco en 2005, ces espaces "… permettre aux travailleurs indépendants de ne pas rester isolés chez eux et de pouvoir trouver, dans ce lieu et à travers ce réseau, un espace de  socialisation comparable à une entreprise."

    "En France, plus de 100.000 personnes travaillent ou ont déjà travaillé en espace de coworking. Le pays se classe au 6e rang mondial pour ce qui est du nombre d'espaces de coworking (on en comptait plus de 250 en 2016 dont 30 à Paris)."

    Bien entendu toutes les personnes munies de leur ordinateur portable et travaillant dans ces espaces paient à l'heure ou à la journée la place qu'elles occupent. Elles peuvent bénéficier de prestations annexes (boissons, cafés, sandwichs…). La convivialité, l'ambiance de travail, les échanges possibles avec les autres figurent parmi les points positifs de cette façon de travailler.

    On retrouve d'ailleurs en extrapolant un peu les soirées studieuses de nos aïeux entre parents, amis et voisins occupés au coin du feu à des travaux d'aiguille, des travaux manuels ou autres…

    Dominique Feutry

     

  • IMG_3030Prochainement un magasin "La Vie Claire" s'installera 16 rue du Grenier Saint-Lazare (IIIe) (photo VlM)  

     

    La rue du Grenier Saint-Lazare (IIIe), comme nous l'écrivions, évolue. Après un fromager (notre article du 11 novembre 2016), c’est un magasin « La Vie Claire » qui va remplacer au n° 16, le supermarché Franprix auquel avait succédé pendant quelques mois l’enseigne du groupe Auchan « A 2 Pas » qui a fermé cet été.

    Fondée en 1946 « La Vie Claire » était à l’origine une coopérative qui permettait à ses abonnés de disposer d’une « alimentation saine ». Transformée ensuite en société, elle devient en 1965 la Société Française d'Alimentation Saine.

    Reprise dans les années 80 par le Groupe Bernard Tapie qui n'a pas réussi à lui donner le dynamique attendue malgré la rénovation du réseau, "La Vie Claire" est cédée plusieurs fois et appartient aujourd’hui au chef d’entreprise Régis Pelen via la holding Investissement et Développement. Régis Pelen a lancé les marques diététiques Bjorg et Bonneterre. 

    Depuis la croissance exponentielle des produits bio, la Vie Claire, avec 180 millions d'euros de chiffre d’affaires et avec 267 magasins en 2015, est devenue une affaire rentable qui se trouve à la 2ème place des réseaux en franchise de vente d'alimentation biologique.

     

  • Square-du-templeLe square du Temple (IIIe) (photo Histoire de Paris)

     

    Le souhait du Maire du IIIe arrondissement Pierre Aidenbaum de faire évoluer la dénomination du Square du Temple (voir notre article du 11 octobre 2016) ne laisse pas indifférent. Face aux réactions, l'objectif ne serait plus de le "débaptiser" en Square Elie Wiesel  mais en Square du Temple-Elie Wiesel.

    Nombre de parisiens et de non parisiens estiment que le nom actuel du square est le reflet de centaines d'années de notre histoire et qu'à ce titre le devoir de mémoire est nôtre.

    Une pétition lancée sur le site "change.org"  ( https://www.change.org/p/non-au-changement-de-nom-du-square-du-temple-en-square-elie-wiesel)  pour maintenir l'intégrité du nom du square a déjà recueilli à ce jour plus de 3.100 signatures. Elle compte des historiens, des habitants, des amoureux du Paris historique qui aiment le Marais qui  ne veulent pas que ce changement voit le jour.

    Un courrier vient d'être adressé au Maire afin qu'il reconsidère sa positon. Les signataires de ce courrier proposent une autre solution, celle d'apposer le nom d'Elie Wiesel  place de Thorigny. Ils pensent que ce lieu au cœur du Matais est plus neutre,  proche de surcroit du musée Picasso où se pressent chaque année des centaines de milliers de visiteurs.

    Ils espèrent  que Pierre Aidenbaum sera sensible à leur requête et qu’une solution d’apaisement sera retenue.

  • Venise paquebotDes paquebots qui sont des îles flottante déversent sur Venise 150.000 visiteurs chaque jour

     

    Nous nous faisons l'écho du réseau "Vivre la Ville !" auquel nous sommes liés qui nous signale dans "Le Monde" des 13 et 14 novembre un article intitulé « Venise cherche à canaliser le tourisme ».

    Le centre historique de Venise se vide de ses habitants à une cadence accélérée : plus de 1.000 départs par an soit trois départs par jour ! Lors d’un simple week-end comme celui de la Toussaint, la ville voit déferler en un jour 150.000 touristes, soit trois fois le nombre de ses résidents.

    Les Vénitiens perdent patience en l’absence de solutions significatives. Le Maire, que les nations étrangères exhortent de prendre des mesures, rétorque que ce flux de visiteurs permet d'assurer 5.000 emplois. Si on l'interrompt dit-il, "est-ce l'UNESCO qui nous les rendra ?"


    Venise foule 2

    De 160.000 en 1930, le nombre des habitants du centre-ville est descendu à 55.000, à raison des 1.000 départs par an. Les vénitiens sont exaspérés. A ce rythme, le tourisme de masse est en passe de tuer le tourisme tout court qui est la ressource principale de la ville.

    A première vue, on se demande tout de même pourquoi la municipalité ou l’État n'interdisent pas dans les eaux de la ville la présence de ces paquebots monstrueux dont le tirant d'eau, les remous et les vagues causent des dommages irréparables à "la sérénissime" aux 118 îlots reliés par 400 ponts. Ils sont indiscutablement un danger grave pour les constructions prestigieuses et délicates qui bordent les canaux. Quant à la foule, il doit être possible de définir un nombre maximum de visiteurs et jouer sur le curseur de taxes applicables aux activités économiques et à la visite des monuments et lieux célèbres. Pourquoi ne le font-ils pas ?

    Les partisans du statu quo ont le même argument que ceux qui, à Paris et ailleurs en province, prônent un relâchement des règlements  qui protègent la ville et la qualité de vie de ses habitants traditionnels : privilégier l'emploi ! En oubliant qu'en agissant sans discernement on va tout simplement tuer la poule aux œufs d'or !

     

    L'OBS aujourd'hui 14 novembre se saisit du thème en associant le devenir de Venise à celui de Pompéi. Voir son article.

     

     

  • Tapis persans affiche 12 11 16

     

    Une fois de plus, on découvre dans les arrondissements du Marais, une forêt d'affiches de ce type sur les potelets qui protègent les trottoirs de l'invasion des voitures. Elles sont disgracieuses et gênent la visibilité des piétons. Autre grief, elles participent d'une volonté de "matraquer" les passants car elles se suivent au rythme d'une paire d'affiches tous les dix mètres.

    Pour éviter de leur faire une réclame que les organisateurs ne méritent en aucune manière, nous avons flouté l'adresse. il faut savoir que le message ne dit pas toute la vérité. Il laisse insidieusement penser que les prix sont intéressants parce qu'il s'agit de "saisies". Dans la réalité, "l'entrepôt des douanes " dont il est question n'est que le nom d'un entrepôt ordinaire dont on exploite opportunément le nom, et les rabais s'appliquent à des prix majorés bien supérieurs aux prix de marché.

    Ce type d'affichage n'est naturellement pas autorisé. La police d'arrondissement est intervenue quelques fois mais considère que sa mission n'est pas de se consacrer à ce genre d'incivilités. Quand les riverains retirent ces affiches, dans un geste citoyen, elle les soutient et effectue un contrôle sur les autorisations de vente mais son engagement va guère au-delà. Il est vraisemblable que la création de la DPSP (direction  de la prévention, de la sécurité et de la protection) au sein de la Mairie de Paris, dont la mission est la lutte contre les incivilités, sera mieux à même de prévenir le déferlement de cette pratique. Qu'on imagine ce que serait Paris et son environnement si tous ceux qui ont quelque chose à vendre utilisait ce qui ressemble à un poteau pour faire la promotion de leur marchandise !

     

  • Temple 60 pastelli devanture 12 11 16Mary, devant sa boutique "Pastelli", 60 rue du Temple (IIIe) – Tél 06 62 52 51 03 (Photo VlM)

     

    Contrariée de voir le mur pignon de l'immeuble d'à-côté recouvert en permanence d'affiches sauvages qui enlaidissaient le décor de son local commercial, Mary une jeune italienne et son associé Christian Mitouillard ont eu l'idée de le recouvrir d'un tapis de verdure.

    Il n'est pas tout à fait écologique puisqu'il s'agit de faux lierre acheté chez Leroy-Merlin mais le résultat est radical et le coût des quelque cinq mètres carrés de fausse verdure n'a pas dépassé 100 €. Autre avantage, aucun entretien ! Quant à la pose, tout bricoleur du dimanche est capable de l'effectuer en peu de temps.

    Quand on sait les dégâts que peuvent faire les afficheurs sauvages, on se dit que d'autres que Mary pourraient s'inspirer de son inventivité.

    Beaubourg 52 affiches sauvages 10 11 16Dégâts de l'affichage sauvage au 52 rue Beaubourg (IIIe)

     

    Mary n'est pas seulement disciple de Christophe Colomb, elle est une spécialiste des glaces italiennes. Elle a obtenu en 2008 le "cône d'or" d'un concours de glaces italiennes artisanales.

    Temple 60 pastelli trophée 12 11 16

    Plus de cent parfums sont proposés. On peut les déguster autour d'une table comme dans un  salon de thé, accompagnées de fruits coupés du matin. Elle s'est installée pour commencer rue François-Charles Dupuis dans le IIIe puis s'est déplacée vers la charnière des IIIe et IVe, tout près de la rue Rambuteau, au 60 rue du Temple, où elle prend la place d'un grossiste.

     

     

  •   A4La bibliothèque Forney (Hôtel de Sens ) dans le quartier Saint-Gervais (IVe) 

     

    Le conseil de quartier Saint-Gervais a tenu une séance le 10 novembre. Nous retenons des différents sujets traités les points ci-après.

    En attendant le démarrage des travaux d'aménagement de l'Hôtel Dieu (dans deux ans), le maire du IVe souhaite y accueillir des migrants. Il a été annoncé par la même occasion qu'une salle de la mairie serait ouverte aux sans abris de Janvier jusqu'à mi Mars. Un appel a été lancé aux bonnes volontés pour aider avec la Croix Rouge, et Emmaüs, à servir les repas entre 18 h et 21h00.

    A été annoncée l’organisation le 5 décembre à 18h00 d’une réunion publique à la mairie du IVe avec la Fondation Galeries Lafayette. Cette dernière a lancé d'importants travaux dans un immeuble de la rue au Plâtre pour s'y installer et propose de participer au financement de la réfection de la rue 

    La mairie annonce qu'elle va dresser la liste des établissements de l'arrondissement ne respectant pas le règlement de terrasses afin de la communiquer à la nouvelle Direction Prévention Sécurité et Protection (voir notre article du 26 octobre 2016 ) qui verra son rôle de régulation de l'espace public renforcée.dès le 1er janvier prochain. A ce propos le 1er adjoint Julien Landel n'a pas souhaité répondre à une question relative au procès en cours avec un exploitant de la place du Bourg Tibourg. Il signale cependant le cas d'un bar de la rue Quincampoix dont l'autorisation de terrasse de 6 mois n'a pas été renouvelée et ajoute « tous ceux qui ont signé le contrat citoyen et ne l'on pas respecté seront privés de terrasse ! » Il se félicite en revanche des bars à terrasse du terre plein Saint-Paul qui eux ont respecté la charte. Il semble selon Julien Landel que tous ces abus doivent cesser… ! Nous ne pouvons que nous féliciter de cette évolution alors que nous dénonçons ces abus depuis des années, ce qui ne nous empêchera pas de demeurer vigilants.

    Une proposition est faite en séance par un participant d'installer de grands panneaux amovible destinés aux tagueurs afin de protéger les murs des renfoncements d’immeubles en angle. Il ne semble pas que cette idée ait provoqué l'enthousiasme du conseil…