Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : circulation centre de Paris

  • ParisdepechesLa circulation autos-motos dans Paris est la source essentielle de pollution de l'air (photo parisdepeches)

     

    Anne Hidalgo et son Adjoint aux déplacements Christophe Najdovski ont raison de s'attaquer aux véhicules les plus anciens qui sont aussi les plus polluants, qu'il s'agisse des oxydes d'azote (NOx) ou des particules fines. Les pics de pollution que nous avons connus à Paris ces dernières années sont là pour nous en convaincre. On ne peut pas laisser les parisiens, quand on en a la charge, étouffer dans un air irrespirable.

    La mesure annoncée vise les véhicules mis en circulation avant 1997. A partir du 1er juillet 2016, ils ne seront plus autorisés dans Paris de jour mais pourront rouler à partir de 20h00 jusqu'à 07h00 du matin – une clause pour le moins étrange.

    Les 2,2 millions de parisiens ne pourront que s'en réjouir, eux qui très souvent n'ont pas de voitures ou en ont une mais ne s'en servent pas, et subissent la pollution de véhicules venus très majoritairement d'ailleurs.

     

    France infoDans cette fumée, des oxydes d'azote et de carbone, du benzène et des particules fines (Photo France-Info)

     

    Ceci étant dit, il est à craindre que les effets bénéfiques ne soient que marginaux. En effet, le nombre de véhicules concernés tourne d'après la mairie de Paris autour de 500.000 pour 7 Millions de véhicules au total pour l'Île-de-France grande couronne (ceux qui circulent régulièrement dans Paris). De plus, on  ne connait pas avec certitude le sort réservé aux deux-roues motorisés qui ont proliféré dans Paris. Ils ont eux aussi des moteurs thermiques  et l'absence de contrôle technique ne permet pas de déceler et éliminer ceux mal réglés qu'une combustion imparfaite rend hautement polluants. Sans compter le bruit des autres – nombreux – dont le pot d’échappement est non conforme.

    Il faut donc percevoir ces annonces comme un pas seulement dans la bonne direction, une étape qui appelle de nouvelles dispositions, notamment en direction du diésel. Plus de détails sur l'Internaute Magazine.

    On s'étonne dans ces conditions qu'une association qui annonce pompeusement représenter 40 Millions d'automobilistes lance une action de groupe en justice contre la mairie de Paris, pour faire parler d'elle et tenter de  grappiller une indemnisation en faveur des propriétaires des véhicules incriminés. Elle voudrait en somme que nous parisiens (qui sommes aussi des automobilistes) soyons condamnés à payer des impôts supplémentaires pour n'avoir pas voulu mourir étouffés !

    "40 Millions d'automobilistes" entend plaider la perte de valeur des véhicules à la revente, donc un préjudice économique pour le vendeur, dans le but d'obtenir gain de cause devant la justice. L'argument est fallacieux. La valeur d'un véhicule de 20 ans d'âge est voisine de zéro avec ou sans décote ; ensuite le marché de revente est national, certainement pas réduit à Paris. Il faut rappeler que la mairie de Paris propose des zakouskis à ceux qui se débarrassent de ces véhicules : subvention pour l'achat d'un vélo ou indemnité forfaitaire de 400 €.

    L'initiative qui est prise par la mairie de Paris a aussi le mérite de nous rapprocher de pays européens qui ont créé des "zones à basse émission". On en compte 200 et aucune en France. Il était donc temps de s'y mettre !

     

  • BergesRive droite aménagée, interdite à la circulation automobile (Photo Mairie de Paris – Luxigon)

     

    Le projet d'aménagement de la Rive droite a donné lieu à bien des débats.  A quelques mois de la fermeture à la circulation de la voie sur berge le long de la Seine, les avis restent partagés quant aux conséquences sur le réduction de la pollution au dioxyde d'azote et des émissions de particules. Dans un article que nous avons publié le 6 mai 2015, nous citions à ce propos les chiffres avancés par la mairie qui annonçait que la fermeture à la circulation de la rive gauche aurait réduit ces émissions de  15%.

    Néanmoins un point reste flou, celui de l'impact sur la circulation de la fermeture de cette seconde voie sur berge. A ce propos dans le même article de notre blog nous écrivions : "Bien sûr on nous annonce le lancement d’études de circulation (Préfecture de Police et services ad hoc de l’État). La dimension Métropole (Communes limitrophes, STIF, voies navigables..) sera prise en compte car les parisiens  ne seront pas les seuls impactés par ces évolutions."  ll est difficile de savoir en lisant cette phrase en effet quelle proportion du trafic habituel du bord de Seine va se reporter sur les voies proches et quelles seront les conséquences sur les temps de transports du fait certainement de davantage d’embouteillages (et de pollution) et  sur les transports en commun par exemple … en un mot sur la vie des parisiens et des franciliens ?

    Cette problématique est pourtant cruciale et se présente avec davantage d'acuité depuis les événements de janvier et de novembre  2015. Ceux-ci ont montré combien le temps d'arrivée des forces de police et des secours était primordial dans de telles situations.  Or un  fort trafic dû à la réduction du nombre d'axes de circulation rendra plus difficile ces interventions dans les  délais les plus courts possibles. Les enquêtes menées par les administrations concernées et des parlementaires qui se sont penchés sur le dossier ont montré que les secondes et le minutes gagnées permettaient de sauver des vies.

    Des avis autorisés affirment que, dans le cas présent, la concentration de la circulation automobile accentuée par la fermeture de l'axe rive droite aura pour conséquence d'augmenter les délais d’intervention et non de les réduire. Et si jamais par exemple, il fallait accéder dans l'urgence à  l'Hôtel de Ville, au BHV-Marais ou au Centre Beaubourg tout proches, qui regroupent  personnels et visiteurs en nombre, les conditions sont loin d'être optimum malgré les recommandations  données.

    Densité de population ne fait pas dans ce cas bon ménage avec intensité du trafic automobile …

    La question des difficultés probables d’accès rapide aux policiers, aux pompiers et aux équipes de secours  dans des lieux très fréquentés, au travers  du prisme des derniers attentats, mérite donc d'être posée et doit être revue quitte à différer la décision d'aménagement arrêtée pour la Rive droite .

    Dominique Feutry

     

  • MotardsPhoto "Le Parisien"

     

    Une fois de plus, l'association des "Motards en Colère" (ils sont statutairement en colère) affiche sa capacité de nuire. On voudrait les rassurer : il n'est point besoin de nous en faire régulièrement la démonstration, nous leur reconnaissons cette capacité.

    La raison de leur nouvelle colère : le contrôle technique. Cette mesure s'applique depuis 1992 aux voitures de plus de deux ans. Elle a comme objectif la sécurité. Elle devait s'appliquer aux deux-roues motorisés (2RM) qui comptent pour 2% du trafic et 22 % des accidents de la route, mais les "Motards en colère" s'y sont toujours opposés et les pouvoirs publics ont cédé quand ils montraient les dents.

    Le contrôle technique est d'autant plus nécessaire pour les 2RM qu'on voit bien le nombre de véhicules vétustes qui ne sont plus aux normes anti pollution ou ceux qui ont trafiqué leur pot d'échappement pour faire plus de bruit. Il est grand temps maintenant que leurs propriétaires reconnaissent qu'ils doivent être traités à égalité avec les autre modes de transport. C'est leur vie qui est en jeu, la qualité de vie des autres en milieu urbain  et leur contribution à un air moins pollué.

    La Maire de Paris est concernée par les manifestations spectaculaires auxquelles nous assistons mais en l'espèce c'est le gouvernement qui est en première ligne puisque la mesure est nationale. Il ne doit pas céder. L'argument du prix qui prendrait les propriétaires à la gorge fait sourire quand on sait la valeur des engins sur lesquels les motards manifestent. D'autant plus que contrairement aux voitures il ne s'agit pas ici d'un contrôle tous les deux ans mais d'un seul contrôle à la revente. Une disposition qui a l'avantage de mieux informer celui qui achète de ce qui l'attend !

    En sur-réagissant à une mesure de bon sens, les motards qui n'ont pas toujours bonne presse mènent un  combat qui dessert leur image.

     

  • A2Grue sur un camion, le 10 avril 2016, 64 rue Beaubourg (IIIe) (Photo VlM)

     

    Une immense grue installée sur un camion stationné sur la chaussée pointait sa flèche aux couleurs vives dans le ciel bleu de ce matin de printemps 10 avril à hauteur du 64 rue Beaubourg,  le long de l'école publique maternelle dont le bâtiment forme angle avec la rue Chapon  (IIIe).

    Sans doute, en ce dimanche où la circulation est moins dense a t-il été jugé opportun de manutentionner  ponctuellement des  charges lourdes.  De nombreux sacs de gravats et de matériaux ont ainsi pu "voltiger" au-dessus des toits.et l'espace de quelques heures, la grue avait déjà disparu. .

    Impressionnant tout de même…

     

  •  

    Temple 10 motos 10 02 14Motos entassées rue du Temple (IVe) (Photo VlM)

     

    On les trouve partout dans le Marais et dans Paris en général car la lutte – salutaire – contre la présence des voitures a précipité les usagers de la voie publique vers les deux-roues motorisés, motos et scooters, dans des proportions que personne n'attendait, à l'instar du Vert Denis Baupin, aujourd'hui député, qui déclarait, au milieu de la première mandature de Bertrand Delanoë, qu'on "n'avait pas vu venir le phénomène".

    On a eu le temps d'y réfléchir depuis mais Anne Hidalgo, sollicitée par ses alliés EELV, n'a pas eu le courage de prendre à son arrivée à la tête de la mairie de Paris les décisions qui s'imposaient pour que les passe-droits dont bénéficie ce mode de transport soient supprimés. C'est de notre point de vue la condition pour un rééquilibrage en faveur de la marche à pieds, du vélo, des taxis, des VTT et des transports en commun, bus métro RER.

    Aujourd'hui, le quotidien "Le Parisien" consacre une page à la "chasse aux tacots" au nom du combat vertueux contre la pollution. La Maire de Paris réaffirme son hostilité aux véhicules anciens et diésel. On l'approuve. Mais rien sur les motos !

    La distorsion en faveur des motards a trois composantes : (1) ils ne paient pas le stationnement (2) ne sont pas sanctionnés quand ils stationnent sur les trottoirs et en profitent pour les envahir au détriment des piétons et (3) ils ne sont toujours pas soumis au contrôle technique qui permettrait de vérifier s'ils respectent les normes de pollution et de bruit (pots d'échappement trafiqués, le sport favoris de beaucoup d'utilisateurs).

    On assiste encore trop souvent au passage d'engins, et pas seulement des Harley Davidson, qui délivrent un bruit à réveiller un mort. On s'étonne d'ailleurs qu'ils puissent ainsi continuer leur chemin dans Paris sans que les forces de l'ordre interviennent.

    Jean-yves & gérard sur harley-davidson bis 17 05 14Prêts pour une balade en Harley (photo VlM)

     

    On connait trop les raisons de ces anomalies. La Maire de Paris, alors en campagne en 2014, s'était avancée en disant qu'elle ne voyait pas de raison pour que les motards ne paient pas leur stationnement comme tout le monde. Le lendemain, les propriétaires de deux-roues motorisés se rassemblaient et défilaient dans Paris dans un vacarme d'enfer en ajoutant au bruit de leurs moteurs celui suraigu de leurs klaxons. Charivari orchestré par l'association des "Motards en colère" dont c'est la vocation statutaire d'être "en colère" quoi qu'il se passe.

    Otage de ces manifestants, Anne Hidalgo fit alors piteusement marche arrière et prit l'engagement de ne rien changer. Voilà pourquoi nous continuons à subir des nuisances que nous sommes nombreux à dénoncer. Elles sont le fait d'une inégalité de traitement contraire aux principes de notre République.

    Il y a des motards parmi nous. Quand nous en parlons, ils affirment qu'ils regrettent que trop de leurs congénères adoptent sur leur engin des comportements inciviques. Il est possible en effet d'utiliser une moto sans créer de préjudice à autrui. Nous le reconnaissons volontiers et saluons amicalement ceux qui répondent à ce critère.

    Gérard Simonet

     

  • Sans-titreEspace public envahi et difficulté de déplacement des piétons (Photo VlM)

     

    L'association " Les droits du piéton" qui, comme "Vivre le Marais !" est membre du réseau "Vivre Paris !" nous informe de l'organisation, sous l’égide de « Paris Piéton » par la Direction de la Voirie et des déplacements de la Mairie de Paris, d’une réflexion intitulée « Vers un plan piéton –  stratégie marche et hospitalité des espaces publics ». Celle-ci sera menée au travers d’ateliers qui se réuniront durant la première quinzaine d’avril. Une restitution est prévue en juin prochain.

    Voilà qui met du baume au cœur de ceux nombreux qui se plaignent de l’encombrement des trottoirs et de la difficulté de tout un chacun de pouvoir y marcher paisiblement. 

    Dans un article récent intitulé « Paris galère, pour les personnes à mobilité réduite »  daté du 27 janvier, article qui été abondamment commenté par nos lecteurs, nous avons souligné quel était le parcours du combattant pour les piétons, notamment ceux qui avaient du mal à se déplacer.

    Nous avons souvent rappelé aussi que les piétons accompagnés d'enfants par exemple devaient pouvoir se mouvoir sur l’espace public sans être gênés ou mis en danger par l'encombrement des trottoirs dû à l'extension des terrasses, la circulation et le stationnement des motos, bicyclettes et autres planches à roulettes…

    Ces ateliers sont donc les bienvenus et les thèmes qui seront abordés sont nombreux ("Trottoir et confort de la marche…", "Rues apaisées…", " Les piétons au cœur de la vie économique et sociale des quartiers …") et devraient à terme proposer des mesures qui, en luttant contre les incivilités, amélioreront la vie quotidienne des piétons (*).

    Alors si vous vous sentez concerné, n’hésitez pas à participer à la réunion d’information et de lancement prévue le vendredi 1er avril 2016 de 9h00 à 15h30 à la Maison des acteurs du Paris Durable 21, rue des Blancs Manteaux (IVe).

    Dominique Feutry

     

    (*) Les inscriptions aux ateliers qui se tiendront de 9h00 à 12h30 les 5, 7, 8, 12, 14 et 15 avril sont ouvertes à tous et à demander à l'adresse          mail suivante:  jules.manrique@paris.fr

     

     

     

  • Info_travaux

     

    Le Bulletin Municipal Officiel de la Ville de Paris publie dans son numéro daté du 8 mars un ensemble d’arrêtés relatifs au stationnement et à la circulation dans plusieurs rues du IVe arrondissement afin de permettre la réalisation de travaux. Il est rare que le nombre de voies couvertes par ces dispositions soit si élevé dans un même secteur ou presque. Aussi, il nous a paru opportun de faire connaitre les voies concernées avec pour chacune d’elles la date d’expiration de la mesure.

    Le stationnement est ainsi suspendu provisoirement dans les rues du Marché des Blancs Manteaux (29 avril), Ferdinand Duval (15 avril), du Roi de Sicile (29 avril) et boulevard Bourdon (à la suite de la décision d’implantation d’une piste cyclable jusqu’au 20 mai).  

    Par ailleurs la circulation sera réglementée suite à des travaux de GDF c'est-à-dire interdite pendant plusieurs semaines dans les rues des Écouffes (15 avril), Pavée (18 mars), Ferdinand Duval (15 avril), Vieille du Temple (entre les rues Sainte Croix de la Bretonnerie et Vieille du Temple jusqu’au 29 avril), du Roi de Sicile (29 avril) et Cloche Perce (entre les rues de Rivoli et du Roi de Sicile jusqu’au 29 avril).

    Voilà qui risque de ne pas faciliter la vie des riverains même si la situation est provisoire et nécessaire pour permettre la réalisation des travaux dans de bonnes conditions. Il faut noter bien entendu que l’accès des véhicules de secours, des riverains et des transporteurs de fonds restera autorisé et possible.

     

  • Montmorency 4 loft du marais façade 07 03 16 (1)Façade du "Loft du Marais", 4 rue de Montmorency (IIIe)

     

    Il n'y a pas d'enseigne encore sur le bandeau sombre mais déjà le magasin est approvisionné. On peut apercevoir sur la photo les bouteilles de boissons alignées au fond sur les étagères.

    La Mairie a pourtant demandé l'arrêt des travaux et dressé un procès-verbal d'infraction pour travaux non conformes à l'autorisation d'urbanisme. On assiste manifestement à une course de vitesse entre le commerçant et l'administration, arbitrée par le pouvoir judiciaire. On sait, à ce jeu du lièvre et de la tortue, qui a le plus de chance de gagner, au moins provisoirement, n'en déplaise à Jean de la Fontaine.

    Nous suivons attentivement cette affaire car elle illustre de façon exemplaire la difficulté de lutter contre la  frénésie mercantile qui s'empare du Marais, et qu'on retrouve jusque dans le nom des enseignes ("Le Loft du Marais", dans le cas présent). Les règles d'urbanisme, a fortiori celles du PSMV (plan de sauvegarde et de mise en valeur), sont vues comme des empêcheurs de prospérer en rond. On n'hésite pas à les enfreindre en adoptant la stratégie du "fait accompli".

    Montmorency 4 loft du marais façade 07 03 16 (2)L'unique espace de livraisons, 6 rue de Montmorency (Photos VlM)

     

    On verra s'ils ont eu raison de forcer la main aux autorités comme ils le font. En attendant, on peut se demander comment ils ont prévu de traiter le problème des livraisons. Il n'y a qu'un espace disponible, rue de Montmorency, mais le virage est serré pour rejoindre la rue du Temple pour des camions de bon gabarit. Il y a fort à craindre qu'on va vers des bouchons, le matin notamment, dont l'effet de thrombose sera dramatique pour le quartier en aval s'ils se produisent rue du Temple.

     

  • Seabubble

    ALes "seabubbles "qui évolueront peut-être bientôt sur la Seine

     

    La Mairie de Paris s'intéresserait aux « SeaBubbles », des véhicules de 4 personnes qui sont équipées de dérives sous l'habitacle, se lèvent sur des patins appelés "foils" au-dessus de l'eau, dés qu'elles avancent, un peu à la façon des hydroglisseurs.

    Ces machines fonctionnent en partie à l'électricité et à ce titre elles séduisent la Maire de Paris qui a fait savoir qu'elle ne serait pas mécontente que la capitale soit la première ville à en disposer.

    Il est question d'essais avec un prototype dès le mois de juin prochain? Imaginé par un français, Alain Thébault, pour les entreprises de transports comme les VTC, le coût unitaire du "SeaBubble"estimé est de 12 000 €.

    Aller au théâtre, se rendre à un rendez-vous ou visiter ses amis en « roulant » sur la Seine ne serait donc plus une fiction. Mais attention au trafic et à ne pas transposer les embouteillages de nos rues sur la Seine. Car entre les péniches, les bateaux mouche, les hôtels et piscines flottants, les barges amarrées au bord des quais devenus piétions et autres vedettes ….il n'y aura bientôt plus de place sur la Seine !

    Dominique Feutry

     

  • Roger vincent 24 02 14Vincent Roger campagne 2014 (Photo VlM)

     

    Échange de bons procédés entre le Maire du IVe et le chef de son opposition Vincent Roger à propos de la circulation et du stationnement dans l'Île Saint-Louis (IVe).

    A l'origine, des débats houleux au sein du conseil de quartier de Îles et en mairie où une réunion appelée par Christophe Girard le 28 janvier  attira autour de deux cents personnes (notre article du 16 février).

    Nous avons publié le 16 février la lettre ouverte de M. Girard à l'opposition municipale représentée pas Nathalie Kosciusko-Morizet et Vincent Roger. Nous recevons aujourd'hui, sous forme de "droit de réponse" la lettre que M. Roger nous demande de publier.

    Accéder à la lettre de Vincent Roger