Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Evènements culturels

  •   Matin-e1474291390167Edition 2016 du Salon de la Revue à l'espace des Blancs Manteaux 

     

     

    Nous vous communiquons  en avant première des indications concernant un salon spécialisé et une exposition intéressante qui se dérouleront dans le Marais en ce mois de novembre.   

    Pour sa 27ème édition les 10, 11 et 12 novembre le Salon de la Revue aura pour cadre l’espace des Blancs Manteaux (48 rue Vieille du Temple IVe). Il est organisé par l’association Ent’Revues créée en 1986 afin de « proposer à tous les acteurs de la vie des revues (libraires, bibliothécaires, écrivains, éditeurs, chercheurs…) un espace d’information, de rencontre et de réflexion pour la préservation, l’étude et la promotion des revues culturelles et scientifiques, site des revues culturelles, et soutenu par la CNL ».

    30 nouveaux exposants sont prévus parmi les 200 stands qui seront présents. Une manifestation encore mal connue et confidentielle destinée à tous ceux qui se passionnent pour les revues.

    De 20h00 à 22h00 le 10/11 et de 10h00 à 20h00 (le 11/11), 19h30 (le 12/11).

     

    22482 Un petit livre du fonds de la Bibliothèque Forney à découvrir (photo BF)

     

    La Bibliothèque Forney abritée dans le magnifique Hôtel de Sens possède un fonds de 750 livres d’artistes « représentatif de l’art et des techniques du livre contemporain que sont la gravure sur bois, la sérigraphie, la peinture, les collages ».

    A partir du 21 novembre et jusqu’au 15 décembre, elle proposera un échantillon représentatif de petits livres qui témoignent, « par les formes, matières et techniques employées, de la créativité des artistes…. et de l’originalité de ce fonds. »

    1 rue du Figuier (IVe) de 10h00 à 18h00 sauf dimanches et lundis

     

  • Solar-Egg-1-tt-width-620-height-413-lazyload-0-crop-1-bgcolor-000000-except_gif-1Le sauna en forme d’œuf  à facettes (œuvre de Bigert & Bergström) installé dans les jardins de l'Hôtel de Marle IIIe (photo Institut suédois)

     

     

    L’Hôtel de Marle, 11 rue Payenne (IIIe) qui remonte au XVIe siècle, abrite, depuis 1971, l’Institut suédois de Paris. Il a failli fermer ses portes en 2008 du fait de la crise financière qui a frappé toutes les  économies.

    Fermé pendant 7 mois pour travaux d’embellissement, le seul institut de la Suède situé à l’étranger vient de rouvrir le 21 octobre et propose, derrière sa porte cochère d’une belle couleur bleue, des installations revues (nouvelle entrée, aménagement d’accès aux personnes à mobilité réduite, aplanissement des pavés de la  cour…), afin « de plonger le visiteur dans une ambiance plus suédoise » encore, puisque les espaces agrandis ont été pensés de façon à représenter le design suédois. 

    D’importants efforts ont été menés pour faire du Café, agrandi, installé dans une des ailes avec sa terrasse dans la cour, une référence, les plats ayant en effet été retravaillés. Quant aux décor et meubles qui s’y trouvent, ils sont dus au Nationalmuseum de Stockholm.

    Dans un article rédigé le 30 novembre 2011, nous avons relaté l’histoire de ce très bel Hôtel, sa restauration et son acquisition par l’État suédois pour y installer le musée Tessin.

    L’Institut promeut la culture contemporaine suédoise à  travers les arts plastiques, le design, le cinéma, la musique et la littérature … l’Institut. Une exposition permanente retrace les relations franco-suédoises.

    Interrogé par un grand quotidien, le directeur de l’Institut, Mats Widbom , a indiqué que grâce à ces travaux de rénovation, des plafonds peints du XVIe siècle avaient été mis à jour dans une salle du 1er étage.

    A l’occasion de la réouverture, un sauna en forme d’œuf à facettes (œuvre de Bigert & Bergström) a été installé dans le jardin, il est disponible sur réservation.

    Notons enfin que l’institut sert de résidence à des suédois venant à Paris et que sont dispensés des cours de suédois.

    Le jardin est ouvert au public mais peut être fermé en cas d’événement exceptionnel. L’accès à toutes les manifestations est gratuit.

    Dominique Feutry

     

  • A1Statues des 2 architectes Renzo Piano, l'homme assis et Richard Rogers par Xavier Veilhan (photo VlM) 

     

     

    Inaugurées par Christophe Girard, le maire du IVe pour quelques jours encore et par Serge Lasvignes, le président du Centre Pompidou, les statues des 2 architectes Renzo Piano, l'homme assis et Richard Rogers, l'homme debout (debout) qui ont réalisé Beaubourg voilà 40 ans, sont définitivement installées place Edmond Michelet (IVe)

    Cette réalisation très moderne en acier inoxydable peint a été exposée à la galerie Perrotin qui a participé à son financement avec le groupe  Costes propriétaire notamment du Café Beaubourg (IVe). Elle est l’œuvre du sculpteur  Xavier Veilhan. 

    Propriété du Musée national d’art moderne, l'ensemble mesure 2,60 m de haut sur un socle à plus de 5 m de hauteur. La mairie du IVe a profité de cette installation pour réaménager la place qui améliore ainsi son allure. 

    Interrogé, le sculpteur estime que ces statues de couleurs vertes différentes face au Centre Pompidou " viennent s’inscrire dans la perspective de la vue extérieure du musée…"

      

    IMG_0981La placette à l'angle des rues Saint-Martin et du Cloître Saint-Merri (photo P)

     

    Si la Mairie a mis quelque argent pour réaménager a minima cette placette, elle ferait bien de prendre en main, à quelques dizaines de mètres de là,  une autre placette devenue une sorte de terrain vague qui sert à peu près  à tout, dépose fréquente d’ordures, stationnement de 2 roues,de camping-car, installation de SDF, des bancs maculés de tags et autocollants, mur lépreux etc… Le contraste est saisissant. 

    Nous sommes à l’angle des rues Saint-Martin et du Cloître Saint-Merri (IVe)  sur le côté  de l’église Saint-Merri. Il est intolérable que l'on puisse laisser cet endroit dans un tel état de saleté et d'abandon à la vue des habitants et des touristes si nombreux. Il  y a là une question de salubrité publique !

    Dominique Feutry

     

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    IMG_1227"Clearing" de Sébastien Black (photo VlM)

     

     

    Comme toute exposition d'art contemporain, le visiteur trouve ce qui lui plait et ce qui peut le choquer,  ce qui l'interpelle et ce qu'il ne comprend pas. Il admire le travail de recherche fourni par certains artistes ou bien leur créativité et s'étonne de voir exposés telle ou telle construction, tel ou tel symbole qui rappellent un événement, un épisode de vie ou un moment fixé sur la toile.

    A la FIAC  qui se tient une nouvelle fois cette année dans le site grandiose du Grand Palais du 19 au 22 octobre, parmi les milliers d'accrochages, se trouvent des œuvres qui en leur temps ont créé polémique et sont devenues avec les années de grands classiques. C'est ainsi que plusieurs galeries exposent des Picasso, Derain, Delaunay, Léger, Miro et Le Corbusier…

     

    IMG_1287Le déjeuner sur l'herbe de Manet revisité par Yan Pei-Ming  (photo VlM)

     

    Et comme cela est souligné, "fraîcheur, diversité et pertinence" dominent la 44ème édition de cette foire très internationale qui est aussi hors les murs, au Jardin des Tuileries, au Musée national Eugène Delacroix et sur la place Vendôme.

    Des copies réalisées à l'aune des courants actuels donnent une touche bien sympathique,  comme le "Déjeuner sur l'herbe de Manet" revisité en noir, gris et blanc par Yan Pei-Ming et présenté par la galerie Thaddaeus Ropac.  Des bottes en bois sculptées dans la masse et en relief dont l'auteur n'était pas indiqué attirent l'attention par leur côté décalé mais d'une belle qualité d'exécution.

    Au détour des différentes galeries, un foisonnement de couleurs chatoyantes animent les pièces présentées.

    Le design est aussi mis à l'honneur grâce à 5 galeries reconnues internationalement. 

    Un exposition à visiter

    Dominique Feutry

  • Pauline feracci portraitPauline feracci portrait

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Pauline Feracci (soprano) et Magali Albertini (pianiste et chef de chant), lauréates du concours international de chant lyrique de Canari

     

     

    Dans le cadre des "Moments Lyriques du Marais®",

    un concept et une marque que nous venons de créer, et en partenariat

    avec Culture & Patrimoine, venez nous retrouver pour affirmer

    avec nous votre attachement et votre soutien

    à la musique instrumentale et au chant lyrique,

    autour de deux lauréates de prix et concours internationaux.

      

     

    Récital piano et chant

    jeudi 16 novembre 2017 à 20h00

    en la cathédrale Sainte Croix des Arméniens,

    6 ter rue Charlot (angle rue du Perche) Paris 3ème

     

     

    Au programme un duo chant/piano (opéra et opéra-comique) :

    • Giacomo Meyerbeer
    • Giacomo Puccini
    • Léo Delibes
    • Jacques Offenbach
    • Gaetano Donizetti
    • Georges Bizet
    • Ambroise Thomas
    • Johan Strauss
    • Victor Massé
    • Daniel François Esprit Auber

    Présentation : René Andréani

     

    Biographies : Pauline FeracciMagali Albertini

      

    Participation aux frais : 20,00 € par personne, à régler à l'entrée

    Réservation des places dans l'ordre d'arrivée des règlements, qui sont reçus dès à présent :

    . par chèque à l'ordre de "Vivre le Marais !" – 6 rue des Haudriettes – 75 003 – Paris

    . ou par Paypal, paiement sécurisé, cliquez dans "faire un don" et laissez vous guider :

               

     

    Venez nombreux. Nous ferons de cette rencontre un hymne à la musique et à la joie partagée !

    Gérard Simonet

     

    Renseignements : 06 80 88 87 10 ou vivrelemarais@orange.fr

     

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      Louvre-palais-louvre-cour-napoleon_0Le Louvre (photo musée du Louvre)

     

     

     

     

    A l’occasion de la seconde édition des Journées nationales de l’architecture des 13, 14 et 15 octobre organisées par la Ministère de la culture, de nombreuses manifestations, expositions, visites et conférences ont lieu dans toute la France et en particulier en Ile de France.

    A Paris nous avons retenu deux évènements intéressants.

    Des Cours d'histoire au Louvre

    «  À travers la visite, plus de 800 ans d'architecture seront retracés. Au programme également: atelier «Dessin d'archi» animé par des enseignants-architectes de l'Ecole nationale supérieure d'architecture Paris-Malaquais. 

    Le Louvre 99, rue de Rivoli (Ier). Entrée Porte des Lions. Les 14 et 15 octobre. Visite commentée sur inscription de 11h30 à 13h et de 15h à 16h30. Atelier sur inscription de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à 16h30. 

    Journees-nationales-de-l-architecture-2017Affiche officielle des journées nationales de l'architectire 2017

     

     

    La visite de l’atelier d'entretien des égouts de Paris.

    « L'atelier d'entretien du matériel de curage des égouts de la capitale ouvre ses portes au public. Reconstruit dans les années 1960, ce bâtiment est un des derniers sites industriels en activité de Paris. Dans un premier temps, un intervenant patrimonial animera une visite guidée des lieux puis des ouvriers métalliers et mécaniciens expliqueront leur activité. « 

    Atelier d'entretiens des égouts de Paris. 17, rue Delesseux (XIXe). Visite commentée. Le 14 octobre de 11h à 17h. 

     


  • Rohan

    La façade restaurée de l'Hôtel de Rohan (Photo VlM)

     

     

    L'ensemble des édifices qui bordent le parc des Archives Nationales peut s’enorgueillir aujourd'hui de la présence de l'Hôtel de Rohan débarrassé de ses barrières de chantier. Ce bâtiment qu'on doit à l'architecte Pierre Alexis Delamair date de la première moitié du XVIIIème siècle. De facture classique, il est constitué d'un avant-corps central qui repose sur des colonnes doriques au RdC, ioniques au premier étage avec un fronton et des pilastres corinthiens au niveau de l'attique.

    Cette restauration  est le prélude à un évènement exceptionnel : la renaissance des "décors de la Chancellerie d'Orléans" (voir notre article du 02 avril 2014), et leur exposition dès 2018 au RdC de l'Hôtel de Rohan.

     

    Tresor 1Tresor-2

     Parmi les trésors de cette collection, "La terre et l'eau" (à gauche) et un couple de putti, éléments du décor de la chambre à coucher, signés Augustin Pajou

     

     L'Hôtel dit "de la Chancellerie d'Orléans", élevé en 1705 à la demande de Philippe d'Orléans, reçut une décoration extrêmement raffinée que l'on doit à Charles de Wailly. Depuis le début des années 1900, ces décors qui comportent peintures, reliefs de plâtre, lambris, chapiteaux et consoles, on peut le dire, croupissaient dans les caves de la Banque de France. Il a été heureusement décidé par le Ministère de la Culture qu'ils seront abrités et exposés dès 2018 par l'Hôtel de Rohan, où il sera possible de les voir.

    Gérard Simonet

     

     
  • Un chrétien et un musulman jouant aux échecs [ Livre des échecs, dés et tables, vers 1283, Bibliothèque du monastère roayl de Saint-Laurent-de-l'Escurial ]

    Un chrétien et un musulman jouant aux échecs (Livre des échecs, dés et tables, vers 1283, Bibliothèque du monastère royal de Saint-Laurent-de-l'Escurial)

     

        

    En partenariat avec "Vivre le Marais !",  

    "Culture et Patrimoine" organise une passionnante conférence audiovisuelle

    à ne surtout pas manquer

     

     
    La Fabuleuse histoire des Échecs
     
     
     
    Vendredi 17 novembre à 18h30
     
    Maison des Associations 75 003, 5 rue Pérée
    (métro Arts et Métiers ou Temple)
    Longer le côté gauche de la Mairie du IIIe pour accéder à l’entrée
    de la Maison des Associations
     
     
     
    Jean-Michel Péchiné est journaliste au magazine Europe Échecs, Auteur Gallimard Découvertes "Les Échecs, Roi des Jeux Jeu des Rois". Grand spécialiste des échecs, ce conférencier nous parlera de l’histoire et de la symbolique des Échecs. Les seigneurs d'Occident aimaient ce jeu de guerre, sans effusion de sang. Ils l'avaient hérité des Arabes, qui l'avaient eux-mêmes reçu des Perses. Un Brahmane l’aurait inventé en Inde, il y a 15 siècles.
     
    Jeu de sagesse millénaire. Les philosophes des Lumières s’en sont inspirés, quoi de plus naturel ? Déjà, il était dit dans les textes anciens que le plus puissant peut être perdu (le Raja/le Roi), si le plus humble n’est pas protégé (le pion/le fantassin symbolisant le peuple) ». Jeu des artistes et des poètes, jeu de l’amour courtois. De la "Dame enragée" de la Renaissance, métamorphosée sur l'échiquier en la pièce la plus puissante, aux Suffragettes organisant symboliquement le 1er tournoi international d’échecs féminin, en 1897.
     
    Jean-Michel Péchiné vous invite à un voyage sur l'échiquier allégorique du monde, du jeu des Rajas à IBM et Deep Blue défiant Kasparov, en 1997. Au 21e siècle, les échecs sont devenus un langage universel. Ils se diffusent telle « une fièvre bienfaisante » dans les écoles d’Europe et de tant de pays du monde. 
     
    Merci de prévenir de votre venue et du nombre de personnes qui vous accompagneront Marie-Françoise Masféty-Klein par mail masfety-klein ou par téléphone au 01 42 72 61 41 et de prévoir une participation aux frais de 15 € pour les adhérents de Culture et Patrimoine et de 20 euros pour les non adhérents à remettre au début de la séance. Nous vous attendons nombreux à cette conférence mais réservez vite car le nombre de places est limité.
     
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    A1Bateaux dans le  port de  Collioure. Auguste Derain 1905 (Merzbacher Kuntstiftung)

      

     

    Dans le cadre de son quarantième anniversaire, le Centre Pompidou consacre une grande et « éblouissante » exposition au peintre  André Derain avec l'ambition de porter un regard neuf sur l’œuvre de cet artiste majeur du XXe siècle qui a participé « aux mouvements d’avant-garde les plus radicaux. »  

    Ce sont 70 peintures, un ensemble d’œuvres sur papier (aquarelles, dessins, carnets de croquis), des gravures et des sculptures ainsi qu'une cinquantaine de photographies qui sont ainsi proposées au public.

    Au début de sa carrière, Derain « copie les maîtres au Louvre dessine abondamment et réalise des tableaux de facture réaliste, » .

    « Avec Matisse, à Collioure, il ­découvre Gauguin et se libère d'un style encore néo-impressionniste. Ensemble, ils inventent le fauvisme, un nom donné en 1905 par un critique d'art à un mouvement jugé scandaleux, dont les couleurs vous mordent toujours l'âme. » Des œuvres de cette époque sont présentées dont la fameuse et grande toile « La Danse », une scène représentant un paradis perdu.

    L'artiste s'est intéressé aux arts primitifs, au cubisme avec la série des « Baigneuses ». Quant à ses portraits présents dans l'exposition, certains n'ont pas hésité à parler de « réalisme magique » .

    A voir absolument

    Jusqu'au 29 janvier 2018

     

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    1280x300Photographie de Mathias Depardon illustrant l'affiche de l'exposition "Transanatolia" aux Archives Nationales

     

     

     Une exposition originale est à l’affiche des Archives nationales jusqu’au 6 novembre 2017. Intitulée « Transanatolia », elle est consacrée aux photographies de Mathias Depardon qui s’est intéressé à la « nouvelle Turquie jusqu'aux confins du Caucase. Des zones urbaines récemment installées dans l'ouest d'Istanbul, au Kurdistan turc où couve la révolution civile et sévit une véritable guerre de l'eau : il questionne la notion de périphérie et de frontières. Ces lieux reculés aident à comprendre les grandes mutations qui agitent la région. »

    La présentation de l’exposition insiste sur le fait qu’ « à travers des portraits, des paysages, Mathias Depardon sonde un pays tiraillé entre modernisation à tout crin et réminiscence des valeurs ottomanes », le photographe « prend le temps de l'observation, il s'attache aux scènes de l'ordinaire pour offrir une autre lecture du territoire… Les scènes de vie qu'il capture révèlent avec humanité et véracité un pays aux contours complexes. »

    On doit aussi à Mathias Depardon la réalisation réussie d’un projet autour de la mer Noire. Il a été exposé à New York, à la BNF et à l’Institut français d’Istanbul et a travaillé pour les plus grands magazines.

    Sa biographie ne serait pas complète si nous ne mentionnions pas que le photographe, alors qu’il effectuait un reportage pour National Geographic, a été arrêté en mai dernier puis libéré un mois plus tard.

     

    Du lundi au vendredi de 10h à 17h30, samedi et dimanche de 14h à 17h30 Fermé le mardi et les jours fériés.

    60, rue des Archives (IIIe)