Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Evènements culturels

  • Archives 79 garage renault travaux 27 02 17Lancement des travaux au 79 rue des Archives (IIIe)

     

    Nous recevons ce message d'un observateur du quartier : "Lecteur régulier de votre blog depuis quelques mois, je vous envoie la photo de l’affiche du permis de construire du 79, rue des Archives. Cela confirme les informations de votre article du 29 juillet 2016.

    La fondation Henri Cartier-Bresson va déménager pour s’installer à cette nouvelle adresse. Pour plus de précisions nous vous renvoyons à l'article suivant du "Journal des Arts" du 13 décembre 2016

    Les travaux seront réalisés par Demathieu & Bard et devraient durer 17 mois et demi à partir de février 2017".

     

    Permis 79 Archives

    Ce réaménagement du garage Renault est le résultat d'un accord conclu entre les fondations François Sommer, propriétaire du Musée de la Chasse et de la Nature installé chez nous rue des Archives au carrefour Quatre-Fils dans les Hôtel Guénégaud et de Mongelas et la fondation Henri Cartier-Bresson qui assume depuis 2003 la présentation et la conservation de l’œuvre photographique de son créateur.

    La fondation Cartier-Bresson va transférer en totalité son siège actuel qui se trouve dans le XIVe. Le musée de la Chasse déplacera seulement une partie de ses bureaux de façon à dégager plus de place pour l'exposition au musée.

     

  •  Ob_5d74f8_exposition-eveil-paris Speedy Graphito "Paris je t'aime". Acrylique sur toile 2016 créé spécialement pour événement,t 

     

    Situé 11 rue des Gravilliers (IIIe), l'hôtel "Jules et Jim", ouvert en 2012 dans un ancien atelier, frappe un grand coup pour ses 5 ans en organisant une très intéressante exposition dont le titre est "®ÉVEIL". Elle est ouverte au public du 8 février au 8 mai 2017.

    23 œuvres ont été sélectionnées dont le thème est Paris capitale intemporelle "sans autre parti pris que celui de présenter le travail des artistes modernes ou contemporains offrant à notre sensibilité une vision éclectique de la ville. Simplement et librement."

    Les artistes présentés sont Truc-Anh (Galerie Sator), Gail Albert Halaban (Galerie Esther Woerdehoff), Mathieu Baumer (Galerie Pierre-Alain Challier), Laurent Chéhère (Galerie Paris Beijing), Stéphane Couturier (La Galerie Particulière), Robert Doisneau (Galerie Françoise Paviot), Brecht Evens (Galerie Martel), Speedy Graphito (Galerie Polaris), Patrick Gripe, René Jacques et Bogdan Konopka (Galerie Françoise Paviot), Fred Le Chevalier (Galerie Eko Sato), Marc Riboud (Maison Européenne de la Photographie), Kourtney Roy (Galerie Catherine et André Hug) et Julien Taylor.

    Un détour s'impose et vous permettra de découvrir un hôtel de charme discret remarquablement rénové (voir notre article du 10 mars 2013).

     

    Pour rejoindre l'association et apporter votre soutien, cliquez ICI !

     

  • Pietro-Longhi-Il-ridetto-vers-1757La fête à Venise illustrée par Pietro Longhi

     

    Une très importante exposition débute ce 25 février et jusqu'au 25 juin 2017 au musée Cognacq-Jay sur le thème "Sérénissime ! Venise en fête de Tiepolo à Guardi " 

    Au XVIIIe siècle le carnaval, les fêtes, régates et autres attractions rythment la vie de Venise et sont connus dans toute l'Europe. Ces manifestations procèdent d'une véritable "mise en scène" voulues par les autorités civiles et religieuses locales. 

    Cette période aux moments glorieux a été figée et magnifiée par Guardi, Tiepolo, Panini, Longhi et biens d'autres artistes. 

    Une quarantaine de peintures, des gravures, des dessins caractéristiques sont réunis dans les salles du musée rythmant le parcours selon 4 thèmes "Grandes et petites réjouissances" (danse, musique…), "De la ville à la scène" ( comedia dell'arte, opéra…), "Le pouvoir en spectacle" (réception des princes, célébrations religieuses…), " Au carnaval" (une institution datant du Moyen-Age).

     

    Notre avis : A ne manquer sous aucun prétexte !

     

    8, rue Elzévir (IIIe)

    Tous les jours de 10h00 à 18h00 sauf le lundi.

     

  •    A0001L'Hôtel de Charost, l'Ambassade de Grande Bretagne, côté jardin, 39 rue du Faubourg Saint-Honoré (VIIIe)

     

    Un adhérent actif de notre association, habitant du Marais, nous signale un concert prestigieux qui se tiendra le jeudi 02 mars prochain à l’ambassade de Grande- Bretagne 39 rue du Faubourg Saint-Honoré (VIIIe) en présence de l’ambassadeur et sous l’égide du Rotary Club  Paris Alliance.

    L’artiste invitée est la pianiste britannique Min-Jung Kym, d’origine sud-coréenne connue pour sa collaboration avec le Philharmonia Orchestra et qui a donné de nombreux concerts dans toute l’Europe mais aussi aux États-Unis pes plus àretigieuses du monde.  Elle vient de terminer l'enregistrement du célèbre Quatuor pour la Fin du Temps de Messiaen.

    Elle interprétera Arabeske de Schumann, des impromptus de Schubert et la Vallée d’Obermann de Liszt.

    Vous pouvez contacter pour toute question, et pour vous inscrire, l’adresse e-mail spécialement dédiée à cet évènementrotaryconcert2017@gmail.com 

    Rappelons que le produit du concert sera versé à des œuvres caritatives.

    L’intérêt de ce concert est aussi celui de pouvoir pénétrer dans le magnifique Hôtel de Charost « conçu par Antoine Mazin pour Armand de Bethune, duc de Charost gouverneur de Louis XV à qui l’on doit les plans de l’Hôtel Matignon », les constructions se faisant alors dans de nouveaux quartiers au détriment du Marais peu à peu abandonné par les riches familles qui en avaient fait un quartier à la mode. Il est intéressant de souligner que l’une des propriétaires fut Pauline, la sœur de Napoléon. Détail peu banal, c’est le Duc de Wellington,  le vainqueur de Waterloo, qui lui a racheté en 1814 pour y installer l'ambassade britannique !

     

  •  3124368-4464212Affiche de l'exposition  "Au lit au Moyen Âge" à la Tour Jean-sans-Peur, 20 rue Étienne Marcel (IIe)  

     

    La Tour Jean Sans Peur, 20 rue Étienne Marcel (IIe), proche du Marais,  convie le public jusqu’au 19 mars à une intéressante exposition qui avait attiré de nombreux visiteurs en 2011 sur le thème assez inattendu, voire surprenant : « Au lit au Moyen Age » !

    Le commentaire de l’exposition explique qu’ « À travers une centaine d’images, sont présentés et expliqués les caractéristiques et usages (tant nocturnes que diurnes) du lit, un des meubles les plus importants dans la demeure médiévale, complétés par les conseils des médecins pour bien dormir et l’évocation des rêves et des cauchemars dans les enluminures. »

    A n’en pas douter cette curieuse visite réservée aux familles et aux jeunes en particulier puisque des groupes de scolaires s’y sont rendus apporte un éclairage intéressant sur le lit et ses usages qui fut à cette époque le symbole du pouvoir et qui n’a, est-il expliqué, rien à envier, pour les familles aisées d’alors, à notre confort moderne.

    Tous les jours de 13h30 à 18h00 sauf lundi et mardi.

     

  • 3ad62b1749a353db04c80377ef54bb46   Bateau et barques : huile sur toile de Michel Jouenne

     

    L’association "Les Peintres du Marais, Les Journées de la Peinture" dont le siège est 72 rue François Miron (IVe) qui promeut les arts et les artistes, organise son 19ème salon à la Halle des Blancs Manteaux 48 rue Vieille du Temple (IVe). L’entrée est gratuite pour ceux qui iront admirer les peintures et les sculptures exposées à l’occasion de cette manifestation. L’intérêt est de pouvoir échanger avec les artistes, d’en découvrir certains et de faire d’éventuelles acquisitions à des prix raisonnables.

    L’invité d’honneur est cette année Michel Jouenne.

    Peintre, sculpteur, ancien professeur de dessin de la Ville de Paris, ancien peintre de la Marine qui a illustré des écrits d’Hervé Bazin et de Jean Giono, l’artiste possède son propre musée à Saint- Rémy de Provence.

    Du 09 au 19 février 

     

    D’un autre style et d’installation récente, il est conseillé de se rendre aussi dans l’espace culturel créé par la MAIF et situé au 37 rue de Turenne (IIIe). Installé sous une verrière à la fois centre d’exposition et d’ateliers numériques comportant une bibliothèque et une salle de conférence. Ouvert à tous et pour tous les âges, l’exposition « Iconomania » a pour thème l’image et le numérique. Elle présente d’intéressantes singularités comme celle de ces plantes qui émettent des chants d’oiseaux dès qu’on les touche.

    Du lundi au samedi de 10 heures à 20 h 30, le jeudi jusqu’à 22 heures

     

    A ne pas manquer les nouvelles expositions de La Maison européenne de la photographie dont une « importante rétrospective du travail de Gao Bo. Des premières photographies tibétaines (en 1985) aux installations les plus récentes (la plupart présentées pour la première fois en Europe), le parcours s'intéresse aux thèmes chers à l’artiste. L'œuvre de ce dernier mêle cheminement conceptuel et recherche plastique… l'artiste reprend notamment ses tirages et les recouvre d’encre, de peinture et même de son propre sang..»

    Du 08 février au 09 avril sauf lundis, mardis et jours fériés de 11h00 à 19h45

     

  • Colonne_le_pari_dhaussmann_fa06a  L'affiche de l'exposition "Paris-Haussmann, le pari d'Haussmann" au Pavillon de l'Arsenal

     

     

    Il y a 125 ans disparaissait le baron Haussmann (1809-1891). Préfet de la Seine de 1853 à 1870, il a profondément modifié Paris et nous a laissé un héritage immense.

    A cette occasion, le Pavillon de l’Arsenal consacre une importante exposition intitulée "Paris-Haussmann, le pari d'Haussmann". Les documents nombreux (maquettes, plans, dessins, gravures, tableaux, photographies..) donnent une idée du gigantisme des transformations opérées sur une période finalement assez courte de 17 ans seulement, ils nous éclairent sur les collaborateurs (Belgrand notamment) de ce bâtisseur sans qui tous les projets n’auraient pas pu voir le jour.

    L’exposition ne se limite pas à l’aspect général de la ville mais nous fait découvrir tous les réseaux impactés ou créés (eau, égouts : 600 km), les espaces (bois, parcs, jardins), les 175 km de voirie, les mairies et les écoles …

    L'exposition montrait également comment le travail de forme fut accompagné d'un important travail de fond sur les réseaux, dotant Paris de réserves d'eau et d'un système d'égouts qui lui faisaient jusqu'alors cruellement défaut.

    Même si nous n’en avons pas toujours conscience, nous vivons toujours sur cet héritage fondé sur une organisation urbaine spécifique d’une ville déjà dense à l'époque.

    Sont annoncées des conférences-débats, des visites guidées, des promenades « urbaines », des nocturnes, et des rencontres en partenariat avec le musée Carnavalet. Un atelier spectacle est prévu. Intitulé « Dans le bureau du Baron », il est destiné aux plus jeunes.

    21 boulevard Morland (IVe) du mardi au dimanche de 11h à 19h

     

     

     

     

  • 1pcvosgc3La place des Vosges photographiée du ciel

     

      

    En fin connaisseur de la place des Vosges où il vécut plus jeune, l’écrivain Michel Braudeau qui fut rédacteur en chef de la Nouvelle Revue Littéraire (NRF) a fait le « buzz » ces derniers jours, avec des avis partagés (le Parisien, Causeur, Babelio…), en publiant aux éditions du Seuil, dans la collection « Fiction et compagnie », un livre intitulé « Place des Vosges ». Un écrit fort différent de « Naissance d’une passion » qui en 1985 valut à l’auteur le prix Médicis.

    Rédigé sous forme de récit autobiographique empreint de tristesse, la nostalgie d’une époque révolue transparait au fil des pages, celle des années 60-70. On suit dans ce livre les péripéties de jeunes gens qui vivaient simplement leur liberté mais avaient la chance d’habiter dans ce secteur historique.

    Selon l’écrivain, la disparition d’intellectuels qui habitaient le quartier – certains se souviennent encore de Simenon qui avait là ses habitudes – la disparition des petits artisans, de libraires, de commerçants de bouche tel le boucher ou le boulanger (respectivement aux 7 et 23 de la rue des Francs Bourgeois IVe) dont seule les vitrines ont été préservées …ont sonné la glas du quartier qu’il a quitté depuis longtemps déjà. « …Ce n’était pas encore un quartier mort et embaumé, un mausolée touristique. On y comptait peu d’antiquaires. Aucun ogre politique déchu n’y rôdait, plutôt de vieilles marquises ruinées que le fisc et les agents immobiliers persécutaient. » écrit-il.

     

    Braudeau

    La première de couverture très sobre du livre "Place des Vosges" écrit par Michel Braudeau aux éditions du Seuil 

     

    Cette époque est passée et la gentrification sur laquelle nous nous exprimons de temps à autre est un fait qui suit aussi l’évolution de la société. Nous pourrions regretter les temps où les grandes familles nobles habitaient les hôtels particuliers où se tenaient des salons littéraires alors que les rues longées d’échoppes d’artisans et de marchands étaient sales, sans aucune hygiène, encombrées de charrettes, où s’activait aussi une foule de domestiques et de pauvres hères dont la vie était souvent harassante…

    Mais voilà, ainsi va le monde, y compris dans nos arrondissements et nos rues. Rien ne permet de s’interposer, les choses évoluent, que cela plaise ou non.

    La citation d’André Gide dans « Les nouvelles nourritures », « …ne cherchez pas dans l’avenir à retrouver le passé » montre que rien ne peut plus être comme avant et que rien ne peut empêcher le changement.

    Dominique Feutry

     

  • A4o5L'orgue Kern de l'église des Blancs Manteaux (IVe) (photo Michel Calmettes)

     

     

    Malgré le froid tenace, plusieurs manifestations et spectacles émailleront le Marais ce week-end

    Outre les fêtes attachées au traditionnel nouvel an chinois avec ses défilés colorés et le bruit des pétards dans nos rues les 28 et 29 janvier,  trois sorties possibles  retiennent notre attention.

    Un concert exceptionnel sera donné samedi 28 janvier à 16h00, en  l’église des Blancs Manteaux (12 rue des Blancs Manteaux IVe), par l’ensemble vocal et instrumental Camerata Saint-Louis–De-Paris sous la direction de Georges Guillard. Au programme la « cantate Actus tragicus » de Jean-Sébastien Bach et  la « cantate Du aber Daniel » de Teleman,  ainsi que le « Petit concert spirituel » de Heinrich Schütz.

     

    P1050686Une tropézienne

     

    Dans un autre style, le BHV/Marais propose dans son magasin une balade gourmande dans l’univers de la pâtisserie jusqu’au 22 février. Il sera possible de déguster différents produits et d‘échanger  avec les artisans présents. Au menu des découvertes, le chou à la pomme ou la Tropézienne, (brioche garnie lancée dans la célèbre station balnéaire dans les années 60)  des éclairs et des crêpes … Une façon d’anticiper la Chandeleur qui a lieu le 2 février.

     

    Ancienne-Poupee-De-Chiffon-De-Salon-Tahiti-_1Poupée de chiffon des années 20 provenant de Tahiti

     

    Autre possibilité, découvrir la nouvelle exposition du Musée de la Poupée, 7 Impasse Berthaud (IIIe), face à l’entrée du Square Anne Franck. Elle débute le 27 janvier et se tiendra jusqu’au 25 mars 2017. Elle est consacrée aux peluches et poupées de chiffon des années 20. Deux cents pièces ont été réunies, certaines sont même à vendre. Le parcours est intéressant. Il  procurera un peu de nostalgie mais plaira certainement aux inconditionnels des souvenirs d’enfance. Ouvert du mardi au samedi de 13h00 à 18h00.

     

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    Rue du Temple (IIIe), devant l'Hôtel St Aignan, Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme (Photos VlM)

     

    Il y a une dizaine d'années, nous avions interpelé le Maire du IIIe à propos de l'autorisation qui est donnée chaque année à une association qui défend les traditions chinoises, d'installer des lanternes sur les façades des immeubles de certaines rues du Marais.

    Nous avons de la sympathie pour les cultures asiatiques et nous apprécions qu'elles s'expriment. En même temps,  nous sommes soucieux du respect de l'architecture et du paysage de la rue dans le Marais qui est le centre historique de Paris, protégé par un plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV) que nous avons vocation à défendre.

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    Lanterne en cours d'installation sur la façade du 72 rue du Temple (IIIe)

     

    A ce titre, l'accrochage sur des façades privées, pendant deux semaines, de décorations qui ne sont pas compatibles avec l'urbanisme et l'architecture XVIIème – XVIIIème du Marais nous a conduit à exprimer nos réserves. On ne peut pas simultanément défendre le patrimoine collectif dont nous sommes dépositaires et accepter qu'il soit traité à la légère par des initiatives qui en sont éloignées.

    Cette pratique a pris naissance dans un quartier où sévissait un monopole de grossistes-importateurs asiatiques en maroquinerie. La plupart d'entre eux sont partis depuis pour laisser la place à une économie diversifiée dont nous nous réjouissons. La célébration voyante d'une fête qui n'est plus celle des nouveaux occupants, est bien accueillie mais le tracé d'un parcours ou d'un territoire à l'aide de lanternes sur les immeubles soulève des interrogations. De même que le choix de certaines rues du Marais et pas d'autres, et de certains immeubles dans ces rues, pour leur attacher une étiquette dans laquelle des habitants ne se reconnaissent pas.

    Le moment nous parait venu, avec les nouvelles générations nées et éduquées en France, de convaincre les commerces comme "Euro Yu Bag's" dont on voit l'enseigne ci-dessus, d'accepter de revoir leurs devantures pour les mettre aux normes du Marais (ils s'en sont dispensés par le biais de la prescription de trois ans) et d'entrer dans le jeu de la mise en valeur du secteur pour bénéficier pleinement de son prestige. A ce titre, le maintien d'une tradition déphasée comme l’accrochage des lanternes est contre productif.

    On peut attendre de leur aggiornamento une démarche d'intégration et d'adhésion aux valeurs qui font de Paris, avec son histoire, sa culture, son architecture et son romantisme, une partie du patrimoine de l'humanité. Les fêtes, événements, célébrations, des communautés étrangères font partie de la vie parisienne mais se doivent de rester en harmonie avec les codes et traditions qui font le caractère de notre ville.