Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Evènements culturels

  • DefenseurLe Défenseur du Temps, 8 rue Bernard de  Clairvaux (IIIe)

     

     

    On a tué le veau gras ce lundi 6 février 2023 au Quartier de l'Horloge, pour célébrer le retour du "Défenseur du Temps", automate de l’artiste français Jacques Monestier,  installé en 1979 et à l'arrêt depuis 2003 pour défaut de financement des opérations de sauvegarde et de maintenance.

    Les artisans de son retour étaient là et se sont exprimés : le Directeur de Lafayette Anticipations Guillaume Houzé, pourvoyeur des fonds nécessaires, l'artiste Cyprien Gaillard, auteur de sa réactivation, l'inventeur de l’œuvre Jacques Monestier au discours entre-coupé par l'émotion, Laurent Bon, Président du Centre Pompidou, en voisin éloquent et le Maire de Paris-centre Ariel Weil qui a relié opportunément la réhabilitation de cette œuvre à l'opération de restauration de la fontaine Stravinsky, et ses automates de Nicki de Saint-Phalle et Jean Tinguely.

    Défenseur maireAu pupitre, le Maire et Jacques Monestier

     

    La croisade de la Présidente de l'ASSACTIVE, Ulla Claude, en faveur de la protection de l’œuvre, a été saluée comme un exemple de combat pour la culture et l'environnement.

    Il est intéressant de se rappeler comment Jacques Monestier dépeint son œuvre et les métaphores sur lesquelles elle est construite :

    "Le Défenseur du Temps lutte victorieusement contre les trois animaux qui l’entourent : le crabe, le dragon et l’oiseau, symbolisant la mer, la terre et le ciel. A chaque heure du jour (entre 9 heures et 22 heures), l’homme est attaqué par l’un des trois animaux, choisi par un programmateur de hasard. A 12 heures, 18 heures et 22 heures, il est attaqué par les trois animaux à la fois. Quelques instants avant l’heure, les trois coups annoncent le spectacle. Un tambour en bronze sonne l’heure. Le déferlement des vagues de la mer, le grondement terrestre ou le souffle du vent accompagne le combat choisi. Le personnage et les animaux, animés par des vérins pneumatiques, sont en laiton martelé et doré à la feuille, les rochers sont en laiton oxydé."

    GS

     

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    Alice marie odeliaAlice Letort et Marie Sans, le duo de guitares romantiques ODELIA

     

     


    Alice Letort et Marie Sans vous feront découvrir la sonorité délicate et chaleureuse des guitares romantiques dans un programme consacré à la musique du XIXème siècle, où la guitare était très en vogue dans les salons à Paris et à Vienne. Tantôt légères, tantôt rêveuses, pétillantes, théâtrales, ces œuvres se mêlent à celles de clavecinistes parisiens du siècle précédent. Les transcriptions pour deux guitares du Duo ODELIA apportent au répertoire pour clavier des couleurs nouvelles. Nos deux artistes ont le plaisir de faire chanter aujourd'hui deux guitares fabriquées vers 1825 par François Roudhloff, luthier de l'école de Mirecourt.

    Vous entendrez des œuvres de Fernando Sor, Jean-Philippe Rameau, Clara Schumann, Élisabeth Jacquet de la Guerre, François Couperin, Frédéric Chopin, Fanny Hensel-Mendelssohn et Mauro Giuliani…. dans des transcriptions du duo ODELIA.

     

    Concert de guitares romantiques duo ODELIA

    Une sélection des "Moments Lyriques du Marais"

    Dans le cadre des soirées "De la culture avant toute chose"

    de la mairie de Paris-centre

    Jeudi 12 janvier 2023 à 19h30

    Auditorium Jean Dame, 17 rue Léopold Bellan – 75002 – PARIS

    Entrée gratuite sans réservation

     

    Venez nombreux partager avec nous un moment de fraicheur avec ces deux jeunes et talentueuses musiciennes !

    Télécharger le programme détaillé

    Contact : vivrelemarais@orange.fr et 06 80 88 87 10

    Site Internet : ODELIA

     

     

     

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    Laurence hugues

    Laurence Hugues, ancienne Adjointe au Maire du IIIe, en charge de l’éco-responsabilité, des espaces verts et de la nature en ville

     

     

    Lecture dédicace par Laurence Hugues

     

    Laurence Hugues lira des extraits de son livre "Pas vu Maurice", publié aux édition Créaphis, et illustré des photos Claude Benoit à la Guillaume. La lecture sera suivie d'un échange avec le public et d'une séance de dédicaces.

     

    Samedi 10 décembre 2022, de 18h00 à 19h30

    Bibliothèque municipale, 10 rue Portefoin – Paris IIIe

    Entrée gratuite

     

  • HalleLa salle de la Halle des Blancs-Manteaux de Paris-centre (IVe)

     

     

    En présence du Père Noël en personne, près de 60 artisans créateurs de France et des idées de cadeaux aussi variées qu'originales pour petits et grands. On y trouvera : artisanat d'art, jouets en bois, bijoux, vêtements pour adultes et enfants, objets insolites, tableaux, décoration et aussi des boissons chaudes et des pâtisseries maison, une ambiance chaleureuse, le tout dans un des lieux les plus emblématiques du Marais….

    C'est le programme de la 17ème édition du Marché de Noël organisé avec le soutien de la mairie de Paris-centre par les bénévoles du Lions Club Île de la Cité, dans la Halle des Blancs Manteaux, 48 rue Vieille du Temple (IVe) du vendredi 9 au dimanche 11 décembre prochains.

    Ce Marché pas comme les autres est organisé au profit des causes défendues par le Lions Club : traitement du cancer infantile, dépistage du diabète, prévention de la cécité, lutte contre la faim et préservation de l'environnement..

    Il bénéficiera également aux actions menées par le Club avec la mairie de Paris-centre en tant que "Partenaire dans la Cité" : jeunesse en difficulté, personnes âgées isolées, sans-abris….

     

    ENTRÉE LIBRE :

    VENDREDI 9 DÉCEMBRE DE 12H00 A 19H00

    SAMEDI 10 DÉCEMBRE DE 10H00 A 19H00

    DIMANCHE 11 DÉCEMBRE DE 11H00 A 19H00

     

  • Raphaël FeuillâtreRaphaël Feuillâtre – 26 ans – et son instrument

     

     

    Nous nous sommes rencontrés brièvement à l'occasion du concert de guitares COPLA du 14 juin 2022 où il était venu entendre cette formation de six guitares classiques en la cathédrale Ste Croix des Arméniens, dans le cadre des Moments Lyriques du Marais.

    Il se produisait ce vendredi 25 novembre dans la salle du théâtre Traversière à Paris XIIe, à l'occasion du "Festival International de Guitare" et du Concours International de Guitare de Paris. Nous y étions car j'ai une passion personnelle pour cet instrument, son timbre, ses couleurs et ses capacités polyphoniques de "petit orchestre" (Berlioz).

    Je m'y suis intéressé dès les années 50/60. Andrès Segovia régnait en maitre sur l'instrument, avec Ida Presti, mais déjà pointait la relève avec John Williams et Julian Bream. On admirait Segovia pour sa maitrise de l'instrument et la qualité de ses transcriptions pour la guitare. Son chef-d’œuvre inégalé en la matière est resté la Chaconne en ré mineur pour violon seul de J.S. Bach. Au point que certains musicologues se sont demandé si l’œuvre originale n'avait pas été écrite pour la guitare….

    Andrès Segovia fascinait mais avec le recul on doit reconnaitre que son exécution n'atteignait pas la perfection. Il privilégiait les effets jusqu’à "tricher" un peu avec le tempo pour se donner le temps de changer de position, abusait du "rubato" et ne parvenait pas à éviter les grincements parasites des doigts sur les cordes. On lui pardonnait tout car c'était Segovia et personne ne faisait mieux.

     

    Feuillâtre

    Les nouvelles générations ont réussi à dépasser ces difficultés et atteindre l'excellence. En écoutant Raphaël Feuillâtre, lové sur son instrument dans une posture qui lui est personnelle, on découvre la perfection dans l'exécution. Il est irréprochable dans l'usage classique de l'instrument et impressionnant dans les effets qu'il sait en tirer : toucher des cordes (ongle vs pulpe), jeu en harmoniques, trémolos, rasgueados, effet tambour sur la table d'harmonie… au point d'apparaitre comme un magicien dont l'instrument est l'esclave consentant.

    Sa virtuosité serait vaine si elle ne servait pas la musique. Raphaël met heureusement son talent au service de l'émotion qu'il crée chez l'auditeur. Viendra-t-il un jour dans le Marais pour se produire ? Nous sommes prêts quant à nous à lui réserver un accueil digne d'un grand soliste.

    Gérard Simonet

     

    Écoutez son interprétation du prélude n° 5 de Heitor Villa-Lobos

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    QuatuorLa quatuor vocal : Kaëlig Boché (ténor), Antoine Foulon (baryton), Éléonore Pancrazi (mezzo-soprano) et Pauline Feracci (soprano) et la pianiste Magali Albertini (Photos VlM)

     

     

    Le concert, qui a bénéficié du soutien des spécialistes de l'immobilier de prestige dans le Marais ENGEL & VÖLKERS, a débuté sur des airs des Noces de Figaro de Mozart (dont on rappelle que le récit se passe à Séville chez le comte et la comtesse Almaviva…) avec un duo du baryton et de la soprano, qui s'est poursuivi sur le célèbre "La ci darem la mano" de Don Giovanni où des qualités vocales mais aussi scéniques sont appréciées.

    Le baryton est revenu sur scène avec l'air de "La calomnie" du Barbier de Séville, suivi par la mezzo qui a donné un témoignage convaincant de son talent en interprétant de façon personnelle l'air de Rosine "una voce poco fa" du Barbier de Séville de Rossini.

    Léo Delibes, avec Pauline Feracci dans "Les filles de Cadix", Francis Poulenc, avec Kaëlig Boché dans "Toréador" et Camille Saint-Saëns, dans "El Desdichado" (Le déshérité) chanté par les deux voix féminines, ont fait la transition vers le clou de la soirée : "Carmen" de Georges Bizet.

    L'opéra le plus joué au monde avait évidemment toute sa place dans ce programme. La troupe a débuté par un tutti des chanteurs comme un chœur en réduction, avec ses quatre registres, sur l'air de "écoute compagnon, écoute", puis est intervenu un grand moment, le duo de Micaela et de Don José "Parle moi de ma mère" où Pauline Feracci nous a fait partager les sentiments d'une femme souffrant d'un amour étouffé, qui assume la charge d'un message de tendresse de la mère de celui qu'elle aime et qu'on sait envouté par la sulfureuse Carmen.

     

    Concert spectateursVue des spectateurs dans la nef de l'église ND des Blancs-Manteaux. Magali Albertini, la pianiste, au premier plan. Au premier rang à gauche Benoîte Lardy Maire-adjointe de Paris-centre en charge de la culture.

     

    Le recours au chef-d’œuvre qu'est Carmen s'est achevé avec la déclaration de la flamme de Don José pour Carmen dans l'air "La fleur que tu m'avais jetée"  interprétée avec passion par Kaëlig Boché puis, en matière de final, l'air le plus célèbre de cette fresque espagnole "Votre toast, je peux vous le rendre", "Toréador !" où la réplique des chœurs au baryton a été donnée par les trois voix disponibles dans une remarquable polyphonie qui a donné beaucoup de relief à un air par ailleurs très connu.

    A l'issue des saluts, et des applaudissements nourris, la troupe a donné en bis le quatuor de Rigoletto de Verdi : "Bella figlia dell amore" et contribué ainsi à faire de cette soirée un programme qui a exploité pleinement les différents registres du chant lyrique et les arrangements polyphoniques qui sont l'essence même de l'opéra.

    GS

     

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    Victor hugo olivia voisinAriel Weil, Maire de Paris-centre, entouré d'Olivia Voisin, Commissaire scientifique de l'exposition, Directrice des musées d'Orléans et Gérard Audinet, Commissaire général, Directeur des musées Victor Hugo de Paris-Guernesey  (Photos VlM, clic gauche pour agrandir)

     

     

    Louis Boulanger n'est pas le peintre le plus célèbre de son époque. Quatre ans plus jeune que Victor Hugo (il est né en 1806) ils sont devenus amis comme Montaigne et La Boétie. Cette relation avec une personnalité aussi forte que celle de Victor Hugo a sans doute contribué à faire de l'ombre au peintre.

     

    Victor hugo fillesHuiles sur toiles de Louis Boulanger : Léopoldine (à gauche) et Adèle, filles de Victor Hugo

     

    Sur un parcours en quatre étapes, la maison de Victor Hugo, 6 place des Vosges (IVe) expose du 10 novembre au 5 mars 2023 pas moins de 190 œuvres de l'artiste. Parmi elles, deux portraits des filles de Victor Hugo, Léopoldine qui a eu la fin tragique que l'on sait à 19 ans et Adèle dont on connait la vie de misère par l'interprétation d'Isabelle Adjani dans le film de François Truffaut "La vie d'Adèle H". La préparation du projet a été aussi l’occasion de restaurer certaines œuvres maitresses comme "Le Martyre de Saint-Laurent" et le "Le Triomphe de Pétrarque".

    MazeppaLe supplice de Mazeppa

     

    On reste en arrêt devant le réalisme de la représentation du supplice de Mazeppa, personnage semi-mythique d'Europe centrale condamné à périr emporté dans la steppe par un cheval fougueux. Victor Hugo, dans "Les Orientales", en a fait un poème dédié à Louis Boulanger et Franz Liszt une œuvre symphonique de la veine des "Préludes".

    Toujours dans le sillage de Victor Hugo et de Notre-Dame de Paris, on peut admirer "L'enlèvement d'Esméralda par Quasimodo et Claude Frollo". Honoré de Balzac est présent lui aussi comme l'un des amis intimes du groupe de romantiques qui comprend d'autres peintres et le grand Alexandre Dumas.

    GS

     

    PS : en marge de l'exposition, Ariel Weil nous a indiqué que "près de l’opéra, un commerçant se moquait depuis des mois des piétons, des autorités, et de sa profession, en bloquant le passage sur le trottoir et près du métro, malgré de nombreuses amendes. Aujourd’hui, la police municipale de Paris a retiré et confisqué son mobilier manu militari". 

     

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    Conques abassialeL'abbatiale Ste Foix de Conques, classée monument historique depuis 1840 (Photos VlM, clic gauche pour agrandir)

     

     

    Pierre Soulages est mort le 26 octobre 2022 à Nimes, âgé de 102 ans. Natif de Rodez il a témoigné tout au long de sa vie un grand attachement à cette ville où il a ouvert son musée. Son œuvre la plus célèbre est la réalisation des 104 vitraux de l'abbatiale Ste Foix de Conques, la perle du Rouergue dans l'Aveyron.

    Conques est un "site patrimonial remarquable (SPR)", au même titre que le Marais, inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, comme le sont les berges de la Seine qui bordent le Marais et Paris-centre.

    Cette parenté a incité sans doute le Maire de Paris-centre Ariel Weil à rendre hommage au peintre sur Twitter en ces termes : "Le Centre Pompidou et le Musée du Louvre lui avaient rendu hommage pour ses cent ans, il y a deux ans. Le Musée Soulages de Rodez continuera à dévoiler son immense talent. L’outrenoir (*) est une éternité. À bientôt Pierre Soulages." (*) [outrenoir : au-delà du noir une lumière reflétée, transmutée par le noir.]

    Nous avons nous-mêmes décidé d'accompagner cet hommage en nous rendant à Conques pour admirer le joyau que constitue cette commune rurale et son abbatiale, et en ramener des photos à la gloire de Soulages et de son esthétique.
     
    Conques 2
     
    Vue de fenêtres et de leurs vitraux signés Soulages
     
     
    Conques 3
     
    Conques, rue principale
     
     
    Gérard Simonet
     
     
     
  • Concert 23 mars 2022 l'assistanceVue de l'église N.D. des Blancs-Manteaux et des spectateurs de la Xème édition des Moments Lyriques en mars 2022 (Photos VlM)

     

    La troupe des Moments Lyriques du Marais retrouve son public pour la XIème édition de l'événement musical phare de Paris-centre. Une distribution modifiée, avec l'arrivée d'Éléonore Pancrazi mezzo-soprano et d'Antoine Foulon baryton.

    Éléonore Pancrazi, ancienne élève de l’École Normale de Musique de Paris, est une étoile montante de l’Art Lyrique, sacrée "Révélation Artiste Lyrique" aux "Victoires de la Musique Classique" en 2019. Elle a toutes les références et le talent pour enchanter le public averti de Paris-centre.

    Antoine Foulon a étudié le chant lyrique au Conservatoire Régional de Paris où il a obtenu son prix de chant. Il est passé par l'opéra du Rhin et l'opéra de Stuttgart. Il s'est illustré dans des rôles divers en Allemagne et en France, dont celui de Leporello de Don Giovanni, Figaro des Noces de Figaro et de Papageno de la Flûte Enchantée, de Mozart.

    Antoine foulon photo  Pancrazi éléonore

     

     

     

     

     

     

     

     

    Antoine Foulon et Éléonore Pancrazi

    On retrouvera pour notre grand bonheur les autres membres de la troupe : Magali Albertini au piano, Pauline Feracci soprano et Kaëlig Boché ténor.

     

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    Pauline Feracci, Magali Albertini et Kaëlig Boché

     

    Le concert est placé sous le signe de l'Espagne. Elle n'est pas le sanctuaire de l'opéra comme le sont l’Allemagne, l'Italie et la France, malgré les zarzuelas et le Tricorne de Manuel de Falla, mais des œuvres nombreuses s'y rattachent. Il en est ainsi du Barbier (de Séville) de Rossini, des noces de Figaro (à Séville) de Mozart, Don Carlos (infant d'Espagne) de Verdi… de Carmen de Bizet bien sûr, et d'autres comme Massenet auteur d'un opéra sur Le Cid.

    Le spectacle bénéficie du soutien apprécié de l'agence immobilière du Marais ENGEL & VÖLKERS, 27 rue du Roi de Sicile (IVe) tél. 06 98 15 64 27 . Interlocuteur : Macire DIALLO conseiller

    Nous vous attendons nombreux le :

     

    JEUDI 17 NOVEMBRE 2022 à 20h00

    Église N.D. des Blancs-Manteaux

    12 rue des Blancs Manteaux – Paris IVe

     

    Participation aux frais : 20,00 €

    Réservation : vivrelemarais@orange.fr  ou  06 80 88 87 10 

    Placement dans l'ordre des réservations

    Paiement par chèque à Vivre le Marais !-  6 rue des Haudriettes – 75003 – Paris,

    ou par virement compte IBAN : FR05 2004 1000 0127 8174 2N02 013 identifiant : PSSTFRPPPAR

    ou par PAYPAL, de manière sécurisée par carte bancaire, en cliquant dans le lien :

     

     

     

  • Pauline arnaud 18 10 22La soprano des Moments Lyriques du Marais, Pauline Feracci et son accompagnateur au piano Arnaud Tibère-Inglesse, salle des fêtes de la mairie de Paris-centre

     

     

    Ce récital s'est tenu dans le cadre du programme "De la culture avant toute chose" de la mairie de Paris-centre, par accord entre son Maire Ariel Weil, son Adjointe à la culture Benoîte Lardy et les "Moments Lyriques du Marais", créés en 2017 par l'association "Vivre le Marais !" Une rencontre que le Maire a saluée dans son message d'accueil ; une convergence de vues que nous constatons par dessus les frictions naturelles que nous avons au fil des jours à propos de la qualité de vie dans nos quartiers et de l'environnement.

    Le programme avait pour thème le mariage dans tous ses états et ses déclinaisons dans l'art lyrique, avec des airs et mélodies qui s'y réfèrent à des degrés divers. Les artistes ont puisé dans des styles et des époques différents mariant sans hésitation l'opérette de Rénaldo Hahn, l'opéra de Mozart ou de Gounod et le bel canto de Puccini et Bellini. Des compositions pour tous les goûts qui ont toutes bénéficié de la suavité de la voix de Pauline Feracci et de la délicatesse du clavier d'Arnaud Tibère-Inglesse.

    Nous adressons nos remerciements au public qui s'est déplacé malgré les grèves et au Maire Ariel Weil et à son Adjointe Benoîte Lardy. A travers eux c'est à tout le personnel et à l'organisation logistique de la mairie que nous exprimons notre gratitude pour avoir hébergé l'événement avec un grand professionnalisme.

     

    Récital 18 oct groupe mairieLe Maire Ariel Weil et son Adjointe à la culture Benoîte-Martine Lardy, avec Pauline Feracci, Arnaud Tibère-Inglesse et Gérard Simonet

     

    Le prochain concert des Moments Lyriques du Marais, avec le quatuor vocal au complet et sa pianiste aura lieu en novembre 2022 en l'église Notre-Dame des Blancs-Manteaux. L'annonce en sera faite prochainement.

    Gérard Simonet