Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

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  • Panneau indicateur marche paris 

    Ils sont apparus il y a quelques jours dans le centre de Paris. L'initiative ne vient pas de la Mairie de Paris. Tant mieux pour elle, du reste, car si l'objectif de cette campagne (faire bouger) est louable, sa réalisation laisse à désirer : l'esthétique est indigente et les flêches se déforment, comme on le voit sur la photo, avant de tomber misérablement sur le sol. La Mairie se serait attiré nos critiques.

    Des panneaux du même genre avaient envahi la ville de Marseille fin décembre 2010. Nos amis provençaux s'étaient gratté la tête comme nous pour exprimer leur perplexité (voir quotidien La Provence) devant l'absence de "revendication". A regarder de plus près, cependant, on peut voir sur la tige centrale l'indication discrète, très discrète : www.mangerbouger.fr

    Il suffisait d'aller sur ce site pour découvrir que cette campagne est organisée par l'INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé). Elle est donc semble-t-il d'intérêt général. Bravo pour la bonne intention mais on sait que l'enfer en est pavé. Le résultat est très médiocre et l'environnement en souffre. Pourquoi avoir opté pour une démarche "sauvage" au lieu de la conduire en concertation avec la Mairie de Paris qui aurait sans doute veillé au respect des canons en la matière et, s'agissant du Marais, au règles spécifiques du secteur sauvegardé ?

     

     

  • Saint andré des arts  Déballage de "souvenirs de Paris", place St André des Arts

     

    Il ne s'agit pas d'une plaisanterie pour agacer les membres du réseau "Vivre Paris !", très mobilisés sur le respect de l'espace public. L'annonce en est faite sérieusement. (à voir sur ce lien vers le site de la Mairie de Paris)

    Les sites proposés pour la vente sur la voie publique sont : parvis de Notre-Dame, Fontaine St  Michel, place St André des Arts, Rond-Point des Champs Elysées, Sacré-Coeur, place de l'Opéra, place du Trocadéro et neuf autres haut-lieux que vous découvrirez par vous-même. On est étonné de ne pas y trouver la place des Vosges et l'espace Beaubourg.

    La mairie nous dit que ces emplacements s'adressent à des gens en situation précaire comme à des commerces très lucratifs. Sûr qu'on va y voir Fauchon, Pétrossian et Hermès déployer leurs parapluies renversés pour présenter leurs marchandises, aux côtés de pauvres hères avec leurs Tours Eiffel miniatures.

    Quelle mouche les pique en Mairie de Paris pour vouloir infliger ce nouveau désagrément aux parisiens et aux amoureux de Paris ?

     

  • Restau des buttes et des cailles
     
            Harmonie des couleurs, très chaudes, au-dehors, harmonie des saveurs en salle, des crèpes qui ont une "humeur" et un caractère, 13 rue de la Butte aux Cailles –

                                                                                                           

    Depuis l'été dernier, "Vivre le Marais !" s'inscrit dans une "fédération" d'associations parisiennes, le réseau "Vivre Paris !". Nous étions dix au départ "mais par un prompt renfort, nous nous vîmes trois mille en arrivant au port" …. N'exagérons rien, nous sommes vingt et un participants aujourd'hui et déjà nous couvrons presque tous les arrondissements de Paris.

    Parmi nous, "Les Riverains de la Butte aux Cailles", qui défendent leur qualité de vie dans ce village à la lisière de Paris. On y parle de cailles, de merles moqueurs et de diamants, mais on n'en trouve naturellement pas trace. "Cailles" vient d'un certain Pierre Caille, propriétaire du terrain au XVIème siècle. Anne, professeur de droit à l'université, a guidé nos pas dans une rue qu'elle habite depuis vingt cinq ans.

    Piscine

     La piscine de la Butte aux Cailles. On la doit à l'initiative de François Arago, célèbre physicien, astronome, homme politique aussi, qui lance un premier forage en 1866. Ses travaux, repris en 1893 jusqu'à près de 600 mètres de profondeur, permettent de capter une eau thermale à 28°C. C'est elle qui alimente aujourd'hui la piscine.

     

    C'était avant le XXème siècle un village de tradition ouvrière qui surplombait la Bièvre. Un urbanisme de petites maisons s'est perpétué. Les tours existent dans le XIIIe, autour de la place d'Italie, mais elles n'affectent pas cet îlot de tranquillité.

    Les tours, non. Mais le caractère attachant de ce quartier délimité par les rues Bobillot, Cinq diamants et Butte aux Cailles en a fait un endroit à la mode où les lieux de vie ont fleuri.

    Carrefour buttes aux cailles cinq diamants

     Carrefour rues Cinq diamants et Butte aux Cailles. Un air de Contrescarpe.

     

    La plupart sont respectueux des riverains et de leurs nuits. Mais la foule des grands soirs est difficile à canaliser. Les exploitants doivent s'impliquer dans la médiation pour que le respect du voisinage soit assuré. Certains rechignent à le faire, ou s'y refusent par bravade. Il arrive que les riverains n'aient plus d'autre issue que la procédure.

    Restau chez les filles

     "Chez les filles", 25 rue des Cinq diamants (XIIIe). Restaurant sans contraintes : pas trop cher, de la place sans réserver même si vous êtes nombreux, des tapas variées, un personnel (féminin) sans chichis.

                                                                                                                                          

       Restau coop ouvrière

    Société coopérative ouvrière de production : "Le temps des Cerises". Un restaurant adepte de l'autogestion. Accueil désinvolte mais amical, tutoiement de rigueur. On n'est pas loin de fixer soi-même le montant de l'addition, qui est sage en toute rigueur. Cuisine syndicaliste bourgeoise. Plait surement aux bobos. 18 rue de la Butte aux Cailles

                                                                                                                                                      

    Atelier mireille bailly coulanges
     
    Les artistes sont présents : Atelier de Mireille Bailly-Coulanges, 26 rue Bobillot (XIIIe). Elle se définit comme un "sculpteur de lumière". Son matériau préféré est le plexiglass. Autour d'elle, sur les murs de la rue, des collages et des pochoirs de Miss'Tic.

                 

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    Pour agrandir les photos, et profiter de leur haute définition, cliquer dans l'image 

     

  • Verrerie 50-52
     

    50-52 rue de la Verrerie (IVe), magasins KINJI et Megasun (IVe)

     

    Le commerce de droite est appelé à disparaître. A sa place, c'est "l'espace IGN (institut géographique national)" qui va le remplacer. KINJI "From Séoul" est un commerce de vêtements. Il conserve sa boutique. Mégasun était un institut de bronzage "Sun & Beauty" dont le rideau métallique est tiré depuis un certain temps. Un graffiti sournois ou vengeur sur la tôle ondulée prévient : "Il faut payer ses impôts et ses charges".

    La boutique IGN s'installe donc dans le Marais. Spécialisée dans la vente de cartes "randonnées" et "découverte", de guides randonnées et de GPS (global positionning systems), elle apportera au quartier un goût "nature" qui nous changera des sempiternelles boutiques de prêt à porter ou des débits de boissons en tout genre.

    Elle semble devoir occuper le rez-de-chaussée mais aussi le premier étage. C'est au minimum ce qu'il lui faut pour disposer d'un espace comparable à celui qu'elle occupe à ce jour rue La Boétie dans le VIIIe.

      La boétie 107 espace IGN

    L"espace IGN, 107 rue La Boétie (VIIIe)

     

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  • Pierre au lard incidents du 25 09 10

    La rue Pierre au Lard, côté rue St Merri, et les traces visibles de l'incident

     

    Dans les bâtiments pressentis par le COX pour abriter la boite de nuit géante qu'il ambitionnait de créer, envers et contre tous, pouvoirs publics et riverains, des incidents sérieux se sont produits samedi 25 dans la nuit entre 23h15 et 01h00. Selon des témoins interrogés sur place, deux camions de pompiers sont intervenus, ainsi qu'une voiture de police. 

    Il est peu de dire qu'on manque de recul pour photographier les dégâts. La rue Pierre au Lard est si étroite que les véhicules des pompiers n'ont pas pu pénétrer. Pour pallier cette difficulté et atteindre le foyer, ils ont dû déployer leur grande échelle à l'horizontale !

      Pierre au  lard photo mc weil

     

       





    On voit ici la rue Pierre au lard côté rue St Merri. La largeur de la chaussée fait à peine 2 mètres. Il en faut 3,50 aux pompiers.

    Photo MCW

     

    Nous avions largement commenté l'impossibilité d'accueillir 500 à 800 personnes dans un cadre aussi confiné sans que tout le quartier en soit affecté. Nous n'avions pas parlé de sécurité. Il fallait ajouter cette réalité pour écarter définitivement toute tentative de la part du COX de revenir à la charge comme il a essayé de le faire depuis la première vague de refus.

    Note précédente sur le sujet.

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  • Turenne 39 cour et gloriette

    Cours intérieures très encombrées entre les 37 et 39 de la rue de Turenne (IIIe). Le "lanterneau" au centre est surnommé "la Gloriette" par les riverains.

                                                                                                

      

    Le 1er juin sur ce site
    en réponse à une lettre de riverains copropriétaires
    aux décisionnaires en matière d'urbanisme dans le Marais, le Maire Pierre Aidenbaum
    était là, en compagnie de son Adjointe à l'urbanisme Christine Frey,

    mais aussi Sophie Hyafil, Architecte en chef des Bâtiments de France, Elisabeth
    Blanc et Daniel Duché, architectes en charge du dossier de révision du PSMV
    (plan de sauvegarde et de mise en valeur) du Marais.

    De quoi s'agissait-il ?

    On l'aura remarqué sur
    la photo, les cours de ces immeubles sont occupées par une imbrication d’ateliers,
    jardin et terrasses que domine un lanterneau aux allures romantiques de la fin
    du 19ème ou début du 20ème siècle. Le PSMV dans son 
    état actuel, toujours en vigueur, prévoit que  toutes ces constructions bien présentes sont amenées à disparaître.

    Les
    propriétaires des immeubles qui entourent la cour s’en émeuvent car ils souhaitent
    le maintien des ateliers. Dura lex, sed
    lex
    pourrait-on dire, mais le règlement du Marais prévoit la possibilité pour les Bâtiments de
    France de décider la démolition
    mais pas l'obligation.
    Ils sont donc juges de la situation.

    Ces ateliers ont
    accueilli pendant de nombreuses années l’entreprise IMEX spécialiste en gros de
    fausse fourrure. Trop à l’étroit dans un quartier en mutation,  IMEX a quitté le quartier à la fin des années
    90. Les ateliers, rachetés par des promoteurs, ont un avenir incertain quant à leur utilisation. Après avoir hébergé les archives du mémorial
    juif, ils accueillent aujourd’hui de façon provisoire une partie des Archives Nationales dans l’attente de la livraison du nouveau bâtiment que
    construit le Ministère de la Culture et de la Communication à Pierrefitte.

    Il y a désormais parmi
    les habitants des immeubles riverains de la cour une prise de conscience qu'il
    faut préserver les ateliers et en particulier le lanterneau, témoin de l’époque
    artisanale du Marais. Les habitants sont attachés au cadre de la cour, à son
    calme et apprécient le mélange d’habitations et d’activités, quand elles sont
    silencieuses …

    Les réactions de
    architectes ont laissé penser que la construction et sa gloriette auraient
    droit de cité dans le PSMV révisé, comme d'autres qui seront réhabilitées au nom
    de la sauvegarde de la mémoire industrielle du
    19ème siècle mais aussi, dans
    le cas présent, pour la qualité esthétique intrinsèque qui lui est reconnue. La
    photo permet d'en juger.

    Il reste à voir comment,
    à l'intérieur et autour de ce symbole remis à neuf, des logements, des
    activités économiques ou des équipements trouveront leur place. 

                                                                                                             

    Avec la contribution de Anne de Gromard, architecte, et Daniel Sée

                                                                                                                                                    

     

                                                                                                                                             

  • Bruit chuuut BD

                                                                                                                                                              

    Dans un article daté du 25 mars 2010 sur le sujet, nous annoncions que la Mairie de Paris abordait la dernière ligne droite avant l'échéance fin 2010, accordée par la Commission des Communautés Européennes aux grandes villes pour dévoiler un plan concret de lutte contre le bruit sous toutes ses formes.

    Denis Baupin, Maire-Adjoint en charge de l'environnement auprès de Bertrand Delanoë, vient de rendre publique une lettre adressée à Daniel Canepa, Préfet de Paris-Île de France, garant auprès de Bruxelles de l'exécution des obligations de Paris. La lettre annonce un colloque qui se tiendra le 14 juin à l'Hôtel de Ville avec tout ce que Paris et l'Île de France comptent d'autorités concernées.

    Ce colloque a pour but d'installer le processus qui doit conduire à un PPBE (plan de prévention du bruit dans l'environnement) comportant des mesures concrètes. Celles qui ont été annoncées en 2006 sont restées pour l'essentiel purement incantatoires. On passe désormais, nous semble-t-il, aux choses sérieuses.

    Il est étrange de constater que pendant que Denis Baupin construira son plan anti-bruit, d'autres élus organiseront les "états généraux de la nuit", que les instigateurs perçoivent comme une manière de lâcher la bride aux lieux de diffusion de musique tels que bars, discothèques et boites de nuit. Nous sommes engagés avec "Vivre Paris !" dans une démarche qui vise à protéger les riverains de tous excès. A ce titre, l'élaboration du PPBE et sa mise en oeuvre prochaine, sont une garantie que les conclusions qui découleront des "états généraux de la nuit", auxquels nous entendons participer, ne peuvent contredire les dispositions que nous sollicitons tous des pouvoirs publics, pour une meilleure qualité de vie, exempte de cette agression insupportable qu'est le bruit.

                                                                                                                                           

  •  

    Ninon_de_Lenclos bis

    Ninon de Lenclos, la célèbre courtisane du XVIIème siècle, surnommée "Notre-Dame des Amours"

                                                       

    Vous êtes cordialement invité(e)s à une conférence :

    Le mercredi 16 juin 2010

    Par Jacky Morelle et Jean-Marie Durand

    sur "Les amours de NINON de LENCLOS"

    à la Maison des Associations du IIIe, 5 rue Pérée

                                                                                             

    Attention : la conférence commence à 19h00 précises et se termine à 21h00

    Avant la conférence, on vous expliquera les règles du jeu-concours, "les personnages célèbres du Marais", Il y a des prix à gagner.

    Au terme d'un accord passé avec l'association "Histoire des IIIe et IVe arrondissements"(découverte et promotion du patrimoine historique), dont la présidente est Jacky Morelle, membre de notre association, nous avons souscrit un abonnement à son cycle de conférences sur l'histoire (une par mois environ), qui ouvre un accès gratuit à tous les membres de "Vivre le Marais !".

    Il n'est pas nécessaire de réserver. L'accueil a lieu sur place. 

                                                                                                                                                

  • Charte archives signature 25 05 10

    Signature le 25 mai 2010 à 19h30, au cloître des Billettes, 26 rue des Archives (IVe) de la "charte des bons usages de la rue des Archives". Autour de la table, Dominique Bertinotti, Gérard Grigaut, Gérard Simonet, Bernard Bousset, Gérard Siad, Claude Tartour …

                                                                                                                    

    Voici trois ans au moins, la Maire du IVe, Dominique Bertinotti, décidait de s'intéresser au sort de cette rue dont les attroupements de consommateurs devant certains bars défiaient la loi et faisaient polémique.

    Elle fit travailler des experts, pour commencer, sur de possibles réaménagements. C'était carrément s'attaquer à la quadrature du cercle. Une des agences consultées eut le courage (ou la candeur) de dire "le roi est nu !". Une phrase célèbre d'un conte d'Andersen qui pourrait être traduite ici par cette conclusion : je constate qu'il n'y a rien de spécial à faire pour que tout rentre dans l'ordre, il suffit d'imposer aux exploitants des bars de respecter la réglementation des terrasses et les décrets sur l'interdiction de consommer sur la voie publique. L'arsenal des sanctions ne manquait pas non plus.

    Les contes anciens ont quelques fois la vertu de coller parfaitement à la réalité d'aujourd'hui. Ainsi, refusant l'évidence, des conseillers se lancèrent dans des propositions qui réussirent à cumuler toutes les calamités : coût exorbitant pour la collectivité, inégalité de traitement des établissements, infraction aux règlement de la Ville de Paris et ignorance des aspirations de la population à jouir pleinement d'un espace public qui n'appartient qu'au public.

    Dominique Bertinotti en eut surement de l'amertume car son désir initial, tel que nous le percevons, avait été de concilier le bien-être des habitants avec une forme de réalisme face à l'évolution des comportements. Elle eut la sagesse de la surmonter et de rebondir en proposant plutôt l'élaboration d'une "charte des bons usages de la rue des Archives", en collaboration avec les riverains et les commerçants. 

    C'est cette charte que nous avons signée le 25 mai 2010, avec Mme Bertinotti. Les signataires, autour de la Maire, sont des commerçants comme Bernard Bousset, propriétaire de l'Open Café et fondateur historique du SNEG (syndicat national des entreprises gay), Claude Tartour, propriétaire du garage Mobil Archives, Gérard Siad, président du SNEG, Gérard Simonet, président de "Vivre le Marais !", représentant les habitants, ainsi que des  riverains qui ont participé activement à l'élaboration du document.

    On peut consulter la charte en la téléchargeant  à partir de ce lien, ou en allant sur le site de la mairie du IVe. Son grand mérite, à nos yeux, est de préciser dans ses attendus, les lois et règlement qui régissent les obligations des commerces (terrasses et étalages, bruit, propreté, végétalisation, affichage, exigences du PSMV – plan de sauvegarde et de mise en valeur – du Marais).

    La gestion de la charte est assurée par un "conseil de la charte", composé des signataires, et dont la présidence a été confiée à Claude Tartour.

                                                                                                                                                                                                                      

  • Halles jardin lalanne

    Le jardin Lalanne et l'église Saint-Eustache, aux Halles

     

    '"ACCOMPLIR", membre du réseau "Vivre Paris !" a GAGNÉ son procès en référé contre la Ville de Paris.

    Le chantier de démolition du jardin est donc en l'état arrêté. Ce jardin "découverte", les 343 arbres du parc, la place René Cassin, la grosse tête et la main bénéficient d'un répit dont on espère qu'il deviendra pérenne.

    Pour tout savoir du dossier des Halles, version 2010, nous vous renvoyons au dossier que la Plateforme parsienne des associations, à laquelle nous adhérons, a mis à notre disposition et à la vôtre. Allez-y, il est tout à fait remarquable !

    Sur le devenir du chantier, nous vous donnerons d'autres précisions le moment venu.

    Les associations, au nombre de douze désormais, qui composent "Vivre Paris !" se réjouissent de cette décision de bon sens !