Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Propreté

  • A001Le panneau d’affichage des travaux de "… réfection et féminisation .." du local des agents de la propreté rue du Parc Royal (IIIe) (photoVlM) 

     

    Plusieurs modules "Algeco" ont été installés, empilés  à quelques mètres de l'angle formé par les rues de Sévigné et du Parc Royal (IIIe).

    Ils sont  disposés à cet endroit temporairement car des travaux ont été engagés non loin dans un local en sous sol réservé aux agents de la propreté dont l'entrée borde le mur d'enceinte du square Léopold-Achille.

    Un panneau décrivant les travaux est affiché près de la descente  d'escaliers menant aux locaux cités.

    La lecture des motifs de transformation ne laisse pas indifférent puisque l'on peut lire (voir la photographie ci-dessus) : "Ici nous procédons à la réfection et à la féminisation  de l'atelier des agents de la propreté". Un des motifs de ces travaux est très inhabituel, étonnant et imprécis à la fois !

  •   A000Affichage sauvage sur le mur pignon de l'Hôtel de Coulanges (IVe)

     

    Après MAC dont nous avions dénoncé le comportement éhonté contraire au règlement et à l'éthique en maculant le quartier de ses publicités agressives (nos articles des 22 et 30 avril 2016),  voilà  désormais les marques "Camper, Rodier et Theory" qui lui emboîtent le pas ! 

     

    AOOOOOMur en retrait couvert d'affiches sauvages non loin de l'intersection avec la rue des Hospitalières Saint-Gervais

     

    La rue des Francs-Bourgeois particulièrement visée déborde actuellement  de ces publicités qui vantent les corners des Galeries Lafayette ou du Centre Pompidou …. pour ne citer que les plus significatives. Il s'agit d'un véritable outrage au quartier, à ses monuments et à ses habitants, une honte !

     A02Le mur de l'hôtel de Lamoignon qui fait face au jardin du Musée Carnavalet et qui est toujours aussi massacré (tags, affiches, collages…) (photos VlM)

     

    Quand pourrons-vous compter sur un peu plus de rigueur de la part des pouvoirs publics afin qu'ils fassent cesser ces pratiques de voyous ?

    En attendant nous avons alerté les services de la propreté.

     

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    Ste apollineRue Ste Apolline (IIIe)

     

    Face à la montée grandissante de l'insécurité, de la mono activité, des trafics, de l'insalubrité, de l'alcoolisation, des nuisances sonores de jour comme de nuit et des incivilités quotidiennes dans les rues Sainte-Apolline, Blondel et Impasse de la Planchette, l'association "pour la Renaissance du quartier Arts et Métiers" a demandé au Maire du IIIe arrondissement de tout mettre en œuvre pour redonner à ce secteur la quiétude perdue. C'est dans ce contexte que s'est tenue une réunion avec les riverains présidée par Pierre Aidenbaum et deux de ses adjoints  Benjamin Djiane et Gauthier Caron-Thibault. "Vivre le Marais !", sollicitée depuis 2014 sur cette situation (voir nos articles des 1er décembre 2014 et 19 juillet 2016), était représentée .

    Les riverains n'ont pas caché leur exaspération ainsi que l'illustre le verbatim employé, "inaction des pouvoirs publics", "on est seuls", "on ne veut plus de belles paroles", " des habitants quittent le quartier", "la rue Blondel est devenue un mix décharge publique/urinoir", "la quartier est aux mains de gangs"

    Après avoir écouté toutes les doléances le Maire et ses adjoints reconnaissent que la situation est difficile, qu'il faut continuer à agir dans le respect de la loi tout en sachant que la Maire de Paris n'a pas de pouvoirs de police. Pierre Aidenbaum ajoute qu'il est là avec son équipe pour aider à résoudre toutes ces difficultés "dans un langage de vérité".

    Suite aux multiples conséquences pointées par les participants tels la baisse de chiffre d'affaires pour les commerçants, la chute du prix des biens immobiliers, la mono activité,  le manque de sommeil, les nombreuses altercations, les épanchements d'urine, la vente d'alcool en dehors des horaires autorisés et à des mineurs, la présence de dealers et consommateurs de crack plus des agressions verbales et physiques, plusieurs actions sont proposées nonobstant ce qui a déjà été entrepris (action de police, contrôle travail dissimulé…) et qu’a rappelé  Benjamin Djiane.

    Tout d’abord le Maire du IIIe va solliciter le Préfet afin qu’il prenne un arrêté interdisant la vente et la consommation d’alcool dans ce  le secteur. Anticipant  la présentation prochaine de vœux en conseil de quartier, le Maire va recommander l’installation d’une vidéo surveillance dans le secteur concerné dès 2017. Une injonction sera tout prochainement adressée au propriétaire du parking de l’Impasse de la Planchette afin que soit posée une grille fermant l’entrée où se regroupent notamment consommateurs et dealers de drogue.

    Enfin en concertation avec la police, les évictions  seront poursuivies et les passages intensifiés en fonction des disponibilités des équipes.  Les services de la propreté seront sollicités pour effectuer davantage de nettoyages. Quant à la vente de murs de commerces,  Pierre Aidenbaum étudie avec la mairie centrale la réactivation de la SEMAEST afin qu’elle puisse disposer d'un budget pour en acheter et introduire d’autres activités que celles existantes (à l’instar des actions réussies rues Notre Dame de Nazareth,  des Gravilliers et  Chapon).  Mais cela s’inscrit sur un périmètre plus large que les rues incriminées et doit aussi couvrir d’autres opérations du  même type dans d’autres arrondissements.

    Rendez-vous a été pris pour un nouveau point de situation dans deux mois, le Maire souhaitant par ailleurs avoir connaissance de tous les incidents et actions touchant ce quartier.

     

  • Vieille du temple pignon 23 09 16Mur pignon du 95 rue Vieille du Temple, carrefour Quatre-Fils (IIIe) (Photos VlM)

     

    On ne se lasse pas de le regarder tant il repose la vue de la vision de cauchemar qu'il infligeait aux passants avant les vacances :

    Quatre-fils vieille du temple pignon 03 05 14Le même mur avant les vacances…

     

    Les personnels des services de la propreté de Paris, dont les bureaux de la circonscription "centre" se trouvent précisément là, vont désormais au bureau la tête haute : ils n'ont plus devant eux ce décor qui sonnait comme un aveu d'impuissance et jetait un doute sur leur engagement au service de l'entretien de Paris.

    Que s'est-il passé ?

    Des personnes proches du dossier affirment que nous devons cette réhabilitation au propriétaire de la brasserie "La Perle", juste en face en diagonale ; il aurait traité avec le propriétaire du mur et conclu un accord par lequel il en a obtenu la "jouissance" dans le but d'en faire un lieu permanent d'exposition d’affiches.

    Nous défendons la position, depuis longtemps, que le "street art" ne doit pas s'affranchir de l'obligation de respecter la propriété d'autrui comme l'y invitent notre constitution et nos lois. Que les œuvres plaisent ou non est une autre affaire. En créant les conditions d'un affichage institutionnel, au bénéfice d'un genre qui a du mal à trouver sa place, celui qui en a eu l'idée fait certainement œuvre utile.

    GS

     

     

  • IMG_2833Vélo en partie démembré, abandonné depuis plus de 6 mois, accroché à un panneau de signalisation rue Beaubourg (IIIe) (photo VlM)

     

    Renforçant l’impression de laisser-aller, comme un écho aux bicyclettes plantées depuis des années dans les murs de monuments historiques sans qu’il soit procédé à leur enlèvement, nos rues  offrent de plus en plus le spectacle de vélos abandonnés souvent depuis des mois.

    Il s'agit de véritables épaves qui, à un poteau de signalisation, qui,  à un  râtelier à bicyclettes, dépecées au fil des semaines. Elles agrémentent les circuits touristiques, encombrent les trottoirs et réduisent les places de stationnement réservées aux deux roues.

     IMG_2831Bicyclette abandonnée et dépecée dans un râtelier près du gymnase de la rue Michel le Comte (IIIe) (photo VlM)

     

    Peu est fait pour apporter à notre quartier tant visité le soin qu’il mériterait. En effet cette situation qui s’ajoute à d’autres négligences et à un entretien qui laisse à désirer contribue à déclasser un ensemble qui devient de moins en moins unique puisqu’il n’a pas de traitement spécifique, malgré une « surfréquentation » que  personne ne conteste.

    Mais dans les faits, normalisation à tout crin oblige, il semble qu’aucune disposition spécifique n’ait été mise en place, malgré l’existence d’un Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur (PSMV) qui entraine pourtant des devoirs qui semblent tout simplement oubliés…

    Quand sera entreprise une campagne d’enlèvement des deux roues abandonnés ?

    Dominique Feutry

     

  • Soubise jardin anglaisUn jardin du IIIe qui a pour le moment échappé à la frénésie d'ouverture des parcs la nuit. La Maire Anne Hidalgo a annoncé en janvier 2016 que 16 parcs parisiens seraient concernés (Photo VlM)

     

    Au lendemain de cette annonce, "Vivre le Marais !" adressait une lettre au Préfet de Police pour lui signifier, en solidarité avec "Vivre Paris !" son opposition à une décision mal inspirée dans le contexte actuel.

    L'entourage de la Maire, animé par l'entêtement dont ses membres font preuve depuis que le "conseil de la nuit" a été créé en 2014, a choisi pourtant de forcer la main aux responsables du maintien de l'ordre et aux services de la propreté en décidant l'ouverture de 9 parcs sur les 16 visés.

    Parmi eux le parc Montsouris, dont on nous a dit qu'il servirait de test. Un collectif d'habitants s'est formé dans le XIVe pour assurer le suivi de "l'expérience", dont toute personne de bon sens pouvait prédire les conséquences : bruit, insécurité, dégradations, saleté et alcoolisation des jeunes.

    Le collectif vient de rendre son verdict : il ne veut plus d'ouverture "by night".

    Les riverains ont savouré leur premier week-end sans bruit ! Le collectif Montsouris, qui regroupe les riverains demeurant autour de cet écrin de verdure à l’anglaise qui s’étend sur 15 ha entre le boulevard Jourdan et la rue Gazan (XIVe) est ravi que l’ouverture nocturne de leur parc soit terminée. « Nous ne voulons pas que la Ville renouvelle l’expérience l’année prochaine ! », prévient d’emblée Philippe Guillaud, porte-parole du collectif.

    Une réunion entre l’Hôtel de Ville, les mairies d’arrondissements, les riverains est prévue dans les semaines à venir. Et le collectif, très remonté, prépare un bilan et compte interpeller la ville avec photos à l’appui… Philippe Guillaud n’hésite pas à planter le décor du parc en juillet et août : « nuisances sonores, jeunes avec de la musique toute la nuit, à fond, poubelles qui débordent dont une jetée dans le lac, gardiens qui n’en peuvent plus, massifs saccagés, personnes ivres qui urinent et beaucoup d’alcoolisme des jeunes ».

    C'est mot pour mot ce que nous avions prévu.

    L’ouverture tout l’été du parc Montsouris, 24 heures/24, 7 jours/7, a été décidée par la Ville au printemps dernier, sous l’impulsion d’Anne Hidalgo. Des parisiens, nous a-t-on dit, le souhaitaient "pour trouver la fraîcheur et  déballer sur l’herbe le pique-nique".

    Reste que le sort des neuf parcs pour l’été 2017 n’est pas scellé. "Une décision va être prise", assure le cabinet de Colombe Brossel, Adjointe à la Maire de Paris chargée de la sécurité. "On va tenir compte des plaintes, des signalements, de la fréquentation. On va ajuster". Même son de cloche au cabinet de Pénélope Komitès, Adjointe chargée des espaces verts : "Il y a forcément des points à améliorer".

     

     

  • IMG_2828Vu du pourtour des arbres de la rue Beaubourg (IIIe) recouverts d'un enduit spécial  (Photo VlM)

     

    La surprise est grande pour les habitués et habitants de la rue Beaubourg (IIIe) qui viennent de découvrir depuis peu qu’une attention toute particulière avait été enfin portée à l’appropriation  des pieds des arbres disposés le long des trottoirs.

    Alors que la terre se transformait en boue  dès qu’il pleuvait et après un essai manqué de fleurissement l’an passé  en raison des incivilités de ceux qui se garaient en mordant sur le pourtour des arbres (voir nos articles des 15 février 2013 et 06 avril 2015), un enduit a finalement été choisi (en lieu et place d'une grille plus fragile) et posé, rendant la surface autour des arbres bien plane (l'eau ne pourra plus stagner), tout en laissant de l’espace pour que l’arbre puisse être arrosé.

    Sans-titreLe pourtour des arbres de la rue Beaubourg (IIIe) avant aménagement  (Photo VlM)

     

    Bravo au service de la ville qui a effectué cet aménagement qui donne meilleur aspect aux trottoirs et améliore la propreté des lieux.

    Dominique Feutry

     

  • Photo 1Vue du panneau recouvert d'affiches et devenu dangereux 51, rue de Turenne (IIIe) (photo ES)

     

    Dans un article du  9 février 2016, nous avions attiré l'attention sur l'anarchie qui régnait en matière d'affichage sauvage au rez de chaussée de l'immeuble situé  51 rue de Turenne (IIIe) et formant angle avec la rue du Parc Royal, les vitrines ayant totalement disparu sous l'effet des différentes couches de papier. 

    Nous indiquions que le bâtiment "était à l’abandon et que les propriétaires n’avaient sans doute que faire de mettre les vitrines en ordre. Il faudrait pourtant que l’Administration ait les moyens de mettre en demeure ces « contrevenants » ou agisse de concert avec eux afin de gommer ces collages, car aujourd’hui les services de la propreté ne peuvent pas intervenir seuls sur les vitrines (même s’il n’y a plus d’activité dans les magasins), ce n’est pas de leur compétence."

      Photo 3Autre vue du panneau dangereux pour les piétons 51, rue de Turenne (IIIe) (photo ES)

     

    Cet enlaidissement du secteur et son aspect de malpropreté en plein quartier du Marais ne semblent pas avoir ému nos élus, ni leur administration.

    Or depuis quelques semaines, plusieurs riverains et adhérents de notre association nous alertent sur le danger de ces vitrines pour les passants. En effet les panneaux sur lesquels sont collées les affiches ont atteint une telle épaisseur qu'ils se recroquevillent par la base, se soulèvent, empiètent sur le trottoir et peuvent ainsi provoquer blessures et accidents ou chutes aux piétons inattentifs ou mal voyants ou circulant de nuit  Il y a mise en danger d'autrui et ceux qui veillent sur notre sécurité doivent réagir rapidement afin de remédier à cette situation. Nous avons informé le commissariat du IIIe arrondissement.

    Dominique Feutry

     

  • 42fe1578e9820854a8ffa6bb00b47Touristes au  pied de la Tour Eiffel (photo Journal du Textile )

     

    Comme nous nous en doutions, les touristes ont boudé la France ces derniers mois, alors que les autres pays d'Europe résistent. Ainsi pour Paris et l’Île-de-France le Secrétaire d’État au tourisme a récemment indiqué que cette chute sans précédent était de  6,4%… Le Comité régional du tourisme évalue la perte de chiffre d’affaires à près de 750 millions € malgré la tenue de l’EURO de football… En juillet la fréquentation hôtelière aurait baissé de 9,8% !

    Les raisons invoquées sont en premier lieu les attentats, mais aussi la mauvaise météo (inondations de juin) et les mouvements sociaux notamment dans le transport aérien.

    Les Américains, les Japonais, les Italiens et les Russes figurent parmi les étrangers qui ont le plus boudé la capitale mais il faut citer les touristes français, moins nombreux eux aussi.

    Parmi les raisons ayant entrainé la baisse de nuitées hôtelières, il est très rarement fait allusion aux locations saisonnières, pourtant leur progression exponentielle réduit mécaniquement l’activité du secteur hôtelier.

    Si le tourisme d’affaire s’est plutôt mieux comporté au 1er semestre (+ 14,4%), les annulations de congrès ou celles émanant de comités d’entreprises pour les prochains mois réduisent l’optimisme de certains. Serait cette fois en cause l’annulation de certains événements et manifestations pour question de sécurité …

    Si des efforts de promotion de Paris, de l’Ile de France sont faits par les autorités et les professionnels pour reconquérir les touristes perdus, nous maintenons que nous devons aussi corriger nos points de faiblesse soulignés à maintes reprises sur notre blog. La qualité de l’accueil, la propreté et les vols à la tire étant parmi les points négatifs les plus souvent cités par les touristes qui sont venus visiter notre capitale.

    Quant au tourisme nocturne que nos élus s'échinent à développer en s’appuyant sur certains professionnels particulièrement intéressés, voire sur le ministère des affaires étrangères, il n’est plus de mise. L’heure est à la reconquête des touristes traditionnels qui forment le gros du bataillon.

    Malgré des prévisions des plus optimistes, ne sommes-nous pas non plus finalement arrivés, dans la course à la première place des villes les plus fréquentées de la planète, à un coefficient de saturation extrême ? Il suffit de parcourir le Marais pour s'en convaincre !

    Dominique Feutry

     

  • IMG_2752L'affiche de l'exposition de la Galerie Joseph (place de Thorigny ) posée ici sur une boîte électrique qui inonde le Marais (photo VlM) 

     

    Une nouvelle fois une  galerie ayant pignon sur rue dans le Marais inonde le quartier d’affiches. Celles-ci sont collées partout, sur le mobilier urbain (boites électriques, conteneurs à vêtements …), sur les murs des immeubles comme par exemple celui de l'Institut supérieur  européen de gestion, 28 rue des Francs Bourgeois  (IIIe) ou celui de l’Hôtel de Coulanges formant angle avec Uniqlo (ancienne usine des cendres) au 39 de la même rue …. Des barrières entourant des travaux de voirie ou autres en sont, elles aussi, couvertes …

    Décidément la rue des Francs Bourgeois en raison de sa notoriété est bien mal traitée et devient peu à peu  source de toutes sortes d’excès mercantiles. Souvenons-nous il y a quelques mois de la campagne publicitaire éhontée du magasin MAC Cosmetics (groupe  Estée Lauder) ) qui a massacré avec ses affiches et inscriptions sur le trottoir  l’ensemble de l’artère au prétexte que l'enseigne s’était déplacée de quelques numéros (voir nos articles des 23 et 30 avril, ainsi que du 13 mai 2016).

    "Vivre le Marais !" a alerté le service de la propreté du secteur afin qu’il lance une campagne d’enlèvement de ces affiches et verbalise le donneur d'ordre. La mairie de Paris doit absolument faire preuve de fermeté concernant ce type de pratique qui renforce cette impression prégnante de malpropreté du quartier.

    Dominique Feutry