Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Propreté

  • PhotoEtat actuel du mur de l'Espace des Blancs Manteaux, côté rue du Marché des Blancs Manteaux (IVe)

     

    Alors que l’Espace des Blancs Manteaux (IVe) situé en plein centre du Marais historique semblait enfin débarrassé des « dirty birds » qui l’enlaidissaient, voilà que de nouveaux collages de silhouettes et affiches diverses, dont une préconisant le lancer de chaussures sur des fils, recouvrent sa façade,  côté rue du Marché des Blancs Manteaux, en diagonale de l’Hôtel des Ambassadeurs.

    Nous avons beau entendre ici ou là que l’on doit laisser s’exprimer l’art de la rue (le soi-disant « street art »), il est difficile d’admettre que ce genre d’expression puisse apporter le moindre plus ou attrait à un quartier historique qui n’a pas vraiment besoin de cela pour exister ou faire venir à lui les touristes. Bien au contraire, laisser faire entretient cette impression de saleté ambiante que nous dénonçons si souvent.

     

    6a00d8341d8a0f53ef017eeb26f661970dEtat actuel des murs à l'angle des rues Marché des Blancs Manteaux et Hospitalières Saint-Gervais

     

    Les ex candidats devenus pour l’un, la nouvelle Maire de Paris, pour l’autre le Marie du IIIe en ont fait un argument de campagne. Mme Hidalgo déclarait peu de temps après son élection, lors d’une visite sur le terrain, qu’elle allait mettre les moyens dans ce domaine.

    Alors « mettez le paquet » car il y a à faire, plus spécifiquement dans les lieux les plus fréquentés, alors que récemment le classement international des Villes 2014 réalisé par Mercer ne mettait pas Paris en bonne position en ce domaine ! Une ombre indéniable dans l’attrait de la capitale…

    Dominique Feutry

     

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    Deratisation-1
     
    Jusqu’au 13 juin prochain et comme chaque année, la Préfecture de Police lance une grande campagne destinée à combattre rats et souris. Des contrôles sont prévus par les agents de l’Unité de Prévention des Nuisances Animales et pourront être effectués auprès des propriétaires, gérants, locataires et syndics d’immeubles. Ils pourront être amenés à donner des conseils, à imposer des travaux et dresser des PV (450 €) si ceux-ci ne sont pas exécutés.

    Le problème est que Paris est infesté de rats et de souris (voir notre article du 23 janvier 2013). Aucun quartier n’est épargné et encore moins ceux où les chantiers de rénovation sont nombreux, ce qui est le cas du Marais (Musée Picasso, Carreau du Temple, réfection des égouts, aménagements de logements sociaux….). Les travaux et la montée des eaux de la Seine que nous avons connue cet hiver dérangent les rongeurs. Ils changent alors de lieu d’implantation, passant des caves et sous-sols aux appartements… Les lieux publics sont très concernés, les hôpitaux comme les restaurants ou le métro, en passant aussi bien par les ministères.

     

    Document

    Logo du SMASH

    Toute canalisation défectueuse est une source de prolifération, de même que l’humidité. Il faut aussi éviter la saleté qui les attire. Nous ne disons jamais assez, lorsque nous dénonçons l’insuffisante propreté de nos rues, combien cela est propice à la prolifération des rongeurs qui s’attaquent à tout, y compris aux parpaings !

    Selon certaines estimations, Paris intramuros compterait entre 4 et 6 millions de rongeurs ! Soit deux par habitant ! Un chiffre qui donne le tournis et qui doit nous inciter à suivre à la lettre la campagne de la Préfecture.

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     Dessin d'un rat d'égout

    Il est toujours possible de faire appel au Service Municipal d’Actions de Salubrité et d’Hygiène (SMASH) dont les missions sont la lutte contre les insectes et les rongeurs et la collecte des seringues usagées. Le SMASH intervient à la demande et après enquête. Il évalue le niveau d'infestation ou le type de contamination à traiter et réalise des actions tant préventives que curatives (désinsectisation, dératisation, assainissement, désinfection).

    Contact : SMASH 11 rue George Eastman 75013 Paris Tél. : 01 44 97 87 97 – Fax. : 01 44 97 87 75

    Privilégier le contact mail : smash@paris.fr

  • DaliLa place des Vosges et son square très fréquenté 

     

    Quelques jours après le deuxième tour des élections municipales, profitant de la reconduction de Mao Peninou comme Adjoint au Maire de Paris, en charge notamment de la propreté, du traitement des déchets et de l’assainissement, "Vivre le Marais !" lui a adressé un message soulignant l’insuffisante propreté de la place des Vosges. Nous nous sommes appuyés sur des témoignages de nos adhérents qui signalaient que ce constat était encore plus criant le week-end.

    Mao Peninou, dans la réponse qu’il vient de nous faire parvenir, apporte les précisions suivantes :

    « Toute l'année, les trottoirs de la place des Vosges sont balayés quotidiennement et lavés deux fois par semaine. En raison de la présence de soupiraux en pied d'immeuble, je précise que les agents de propreté balaient mais ne peuvent cependant pas laver les trottoirs situés sous les arcades.

    Au centre de la place, l'entretien du square est pour sa part assuré par les services des parcs et jardins de la Ville, qui le nettoient chaque matin le week-end. Néanmoins, afin de s'adapter à la fréquentation accrue de cet espace vert pendant les beaux jours, je vous informe qu'un nettoyage complémentaire a été mis en place depuis le week-end dernier (NDLR : depuis le 19 avril).
    Ainsi, jusqu'à la fin du mois de septembre, le square sera nettoyé matin et après-midi pendant le week-end.

    Vous en conviendrez, ce nettoyage renforcé devrait permettre de maintenir la propreté de la place des Vosges le week-end.»

    Nous remercions vivement Mao Peninou pour ces  explications et les mesures mises en œuvre afin d’améliorer la propreté de la place durant la haute saison touristique. Nous aurons l’occasion d’échanger avec lui sur ces sujets dans les prochaines semaines.

     Dominique Feutry

     

  •  PhotoLa roue de bicyclette de la maison de retraite, 2 rue de la Perle (IIIe)

     

    A l’angle du 2 rue de la Perle et de la rue de Thorigny (IIIe) se trouve la maison de retraite Madeleine Béjart. Ses murs sont de temps à autre la proie de tags et collages d’affiches non autorisés. Nous venons de monter d’un cran dans l’imagination de ceux qui souhaitent à leur façon « décorer » ce bâtiment puisqu’une roue de bicyclette, autant meurtrie que laide, vient d’y être scellée da façon sauvage et de manière à être bien visible pour ceux qui arrivent de la rue du Parc Royal ou de la rue Elzévir.

    Posée à cet endroit, elle est comme une réplique à ce demi petit vélo rose (notre article du 19 novembre 2012) toujours planté telle une enseigne rue de Francs Bourgeois (IVe), face au débouché de la rue Elzévir. Il est curieux de devoir constater que ce type d’installation soit possible et résiste à l’enlèvement. En effet, la demie bicyclette rose est présente sur un mur XVIIe depuis plus de 17 mois déjà ! Sa petite sœur a donc de beaux jours devant elle et constituera sans aucun doute une entrée en matière surprise pour les milliers de touristes qui vont se rendre quotidiennement au Musée Picasso. Espérons qu’elle ne lui fera pas de l’ombre ?

     

    Chaussures-accrochees-Street-art-Beaubourg-4Les chaussures pendues de la rue Rambuteau (photo Palagret Archéologie du quotidien)

      

    Il faudrait que les services compétents de la ville enlèvent rapidement ces objets hétéroclites qui n’ont que faire en ces lieux sinon de choquer, seul but très certainement recherché par leur auteur. Nous pouvons d’ailleurs pousser le raisonnement en s’interrogeant sur l’intérêt de laisser prospérer des chaussures pendues sur des fils dans les rues du quartier (rues Rambuteau du Temple et des Francs Bourgeois notamment). Dans le blog « Archéologie du quotidien », il est dit « qu’il s'agit d'une forme d'art urbain, le "shoefiti" (contraction de shoes et graffiti) ou shoe flinging, une manière de marquer le territoire, aérien celui-là. Des papiers collés, chaussures blanches sur fond rouge, accompagnent ces lancers et montrent bien qu'il s'agit d'une action organisée ». Il est même ajouté « qu’une variante consiste à jeter des chaussures sur un arbre, à les accrocher à une barrière. Les sacs plastiques dans les arbres inspirent aussi certains artistes de rue ». L'accrochage de cadenas d'amour sur les ponts ressort du même principe.

     

      Pont-des-artsLes cadenas du Pont des Arts  

     

    Alors que faut-il faire ? Laisser les choses en l’état et bientôt nous verrons apparaître, pourquoi pas, d’autres formes de créations. Ainsi des guirlandes d’objets insolites (lunettes, chapeaux, chaussettes voire des casserolesqui sonnant au vent) seront tendues au-dessus de nos têtes, comme le linge qui sèche entre les maisons dans les rues des villes italiennes! Ou bien, plus raisonnablement, n’y a-t-il pas lieu de donner un coup de frein à ces exagérations qui ne riment pas à grand-chose sinon d’accentuer et d’accréditer l’idée de mauvais entretien et d’insuffisante propreté du quartier.

    Nos élus du Marais seraient bien inspirés de se saisir du sujet avant qu’ils ne soient débordés comme le sont leurs collègues en charge du pont des Arts qui est devenu dangereux car trop alourdi par les cadenas accrochés en nombre ! Le "street art" a  ses limites !

    Dominique Feutry

     

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    Photo

     Une des deux oreilles en résine de la rue Pierre au Lard (IVe)

     

    "Grand-mère, que vous avez de grandes oreilles". "C'est pour mieux t'entendre mon enfant". Cette phrase du célébre conte de Perrault pourrait s'appliquer à la rue Pierre au Lard (IVe) où viennent d'être disposées deux grandes oreilles en résine. Elles sont juste à l'entrée lorsque l'on arrive de la rue Saint-Merri. Les passants peuvent  avoir l''impression qu'ils vont être écoutés s'ils parlent dans la rue …les murs ont des oreilles dit l'adage!

     

      PhotoLa seconde oreille de la rue Pierre au Lard (IVe)
     

    L'installateur de ces réalisations qui n'ont rien à faire à cet endroit a pris soin d'écrire, à côté de ses créations,  "zone sur écoute". Sans doute a-t-il cru bon, de faire une pâle réplique d'un élément de la fontaine toute voisine de Niki de Saint Phalle.

    Ce nouveau type de création décalée et franchement sans interêt n'a rien à faire dans nos rues. Les services compétents de la Ville doivent les retirer au plus vite.

     

    Dominique Feutry

  •  Banc public tagué 27 02 12Banc public tagué 27 02 12

     

     

     

     

     

     

     Coffres bouquinistes rive gauche tagués sept 11Coffres bouquinistes rive gauche tagués sept 11

     

     

     

     

     

                                                                              Coffret tagué pastourelle 15 le 02 04 14 (2)Coffret tagué pastourelle 15 le 02 04 14 (2)

     

     

     

     

     

     

     

     

    Parcmètre tagué 27 02 12Parcmètre tagué 27 02 12

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    De haut en bas : bancs publics, armoires électriques, coffres des bouquinistes, boites aux lettres repoussantes, coffrets électriques , parcmètres, cabines téléphoniques, tagués, souillés, défigurés … (Photos VlM)

     

    Cet échantillon de vues prises dans nos rues démontre que l'addition de ces agressions visuelles peut  légitimement susciter un sentiment de révolte contre cette forme de pollution du paysage urbain.

    Lors de notre rencontre à l'Hôtel de Ville avec le Maire-Adjoint de l'époque, François Dagnaud, le 1er avril 2011 nous avions attiré son attention sur cette réflexion. Il avait acquiescé et décidé d'une première intervention en direction des coffres des bouquinistes. C'est à lui que nous devons la prise de conscience que ces coffres sont un "monument" des bords de Seine qu'il convient d'entretenir avec soin car ils véhiculent à travers le monde une certaine image de Paris.

    Dans la foulée, nous avions plaidé pour l'entretien de l'ensemble du mobilier urbain. Il n'a sans doute pas eu le temps d'y répondre mais nous constatons que son successeur, Mao Péninou, a pris la relève et nous l'en remercions.

    En effet, sous couvert de lutte contre les graffiti, la Mairie de Paris a modifié récemment le site qui accueille les signalisations déposées via Internet. On note, à travers l'interface utilisateur, qu'il est devenu possible de demander l'enlèvement de tout type de souillure sur tout type de supports (jusqu'à et y compris des animaux morts sur la chaussée !). On n'est donc plus limité aux murs, portes d'immeubles et volets roulants de magasins, pas plus qu'au produit utilisé (bombes de peinture ou marqueurs). Tous les supports sont concernés et même le retrait d'affiches sauvages peut être demandé.

    Le mieux pour s'en convaincre est d'aller sur le site et de saisir une signalisation. L'interface est "user friendly" (convivial) et nous constatons que les délais d'intervention sont bien meilleurs que ce à quoi la mairie s'engage (couramment deux/trois jours au lieu de dix).

    De ce point de vue, le mandat de notre nouvelle Maire s'inscrit sous de bons auspices. Nous serons naturellement attentifs aux autres engagements qu'elle a pris, notamment à l'égard de la pollution de l'air qui est devenue un souci majeur pour les parisiens.

     Gérard Simonet

     

  • Affiches 40 archivesSérie d'affiches sauvages 40 rue des Archives (IVe) – 04/04/14

     

    Archives 57 bis tags 05 04 14Autre série à hauteur du 57 bis rue des Archives (IIIe)

     

    "Cheap Monday Store" ne pouvait pas faire plus maladroitement son entrée dans le Marais en annonçant l'ouverture d'un magasion au 121 rue Vielle du Temple (IIIe). Son affiche, apposée sauvagement sur plusieurs sites des IIIe et IVe arrondissements, n'est pas artistique au point qu'il faille nous matraquer à chaque détour de rue en multipliant les exemplaires. Cinq, six, ci-dessus. A peu près une douzaine au carrefour Quatre-Fils/Vieille du Temple. Comme si nous étions obtus au point qu'il faille asséner plusieurs fois le même message pour qu'on réussisse enfin à comprendre !

    Il ont pris un risque par la même occasion. Celui de laisser sur les riverains que nous sommes une mauvaise impression qui nous tiendra éloignés de leur commerce. Celui aussi de payer une forte amende pour affichage sauvage. Le tarif est de 250 € par site, avec recouvrement d'office. Au vu du nombre délirant d'affiches collées ces jours-ci, il devront s'ils sont verbalisés, ce que nous demandons, casser leur tire-lire.

     

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  • Flyers sur voiture 29 03 14Phase 1 : ces prospectus de papier glacé recouvrent les voitures et sont déposés en piles sur les rebords de fenêtres (Photo VlM)

     

    Flyers ste croix 05 04 14 (2)Phase 2 : le lendemain, ils jonchent le sol des rues visées (Photo VlM)

     

      Agent nettoiement 27 02 12Phase 3 : les agents de nettoiement de "Propreté de Paris" sont contraints à l'obligation indigne de décoler à quatre pattes les morceaux de carton du sol et de les enlever  (Photo VlM)

     

    Les solutions existent. Mao Péninou, confirmé dans sa fonction de Maire-Adjoint en charge de la propreté, les connait mais ne s'y est pas encore sérieusement attaqué. Pas plus que Christophe Girard, lui aussi réélu à la mairie du IVe, l'arrondissement où ce fléau sévit avec acuité.

    Si on s'en tient au règlement, il ne serait pas interdit de recouvrir les voitures car c'est un "bien meuble" qui n'est pas visé par le code de l'environnement. Il suffirait toutefois de l'ajouter dans l'article concerné. M. Péninou a suffisamment d'amis à l'assemblée nationale pour faire voter le texte.

    Sinon, soyons pratiques : une brigade de deux personnes de la mairie d'arrondissement n'aurait qu'à parcourir les rues concernées (essentiellement des portions d'Archives, Temple et Ste Croix) les soirs de fin de semaine pour enlever et détruire ces flyers (ce que font de nombreux riverains mais de façon aléatoire). Les commanditaires de ce mode de communication auraient vite réalisé qu'ils gaspillent leur argent et compris qu'ils doivent changer de méthode pour promouvoir leurs spectacles.

     

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  • Turbigo 83 commerces 23 03 1483 rue de Turbigo (IIIe) : avant

     

    L'adresse du site (URL) a changé. Nous avons modifié en conséquence le "lien utile" dans la colonne de gauche de notre blog. Le principe reste le même ; on renseigne la souillure (adresse, type, nom du déposant) en fournissant si possible une photo. La nouveauté : on vous donne une référence ; elle vous permet à tout moment de savoir à quel stade en est le traitement.

    Turbigo 83 commerces nettoyé 23 03 1483 rue de Turbigo, après (anticipation)

     

     Nous insistons pour que chacun se mobilise contre le fléau des tags qui défigurent, qui saccagent notre environnement. On ne peut pas s'en plaindre et ne rien faire alors que l'outil est là pour y remédier. Bien sûr, nous l'avons toujours dit aux responsables de la mairie, c'est à la base qu'il faudrait agir et pour commencer renforcer les sanctions. C'est ce que la Ville de New York a entrepris avec succès. Aujourd'hui, quand la police prend les auteurs en flagrant délit, elle les conduit au commissariat où un simple rappel à la loi leur est administré. Ils rentrent alors chez eux et présentent cette péripétie comme un trophée sur leur site Internet ! Mais en attendant que les choses changent dans ce pays, utilisons les moyens à notre disposition.

    Cliquez ICI : le nouveau site anti-graffiti de la Mairie de Paris

     

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  • Affiches sauvages npa 05 03 14

     

    Ils détiennent le record des affiches sauvages dans l'arrondissement.

    Résulat du premier et dernier tour (pour eux) : 0,54 %

    Les plus sobres ont été Pierre Aidenbaum (*), Marie-Laure Harel et Laurence Hugues : ils obtiennent respectivement la première, la deuxième et la troisième position.

    CQFD

     

    PS : (*) Il y a eu cependant un dérapage du côté de l'équipe de campagne d'Anne Hidalgo, dont se prévaut Pierre Aidenbaum : de nombreuses affiches sauvages de la première adjointe au Maire actuel de Paris ont été placardées à travers la ville. Il y a fort à parier que cette initiative anti-républicaine ne compte que pour des prunes dans le résultat obtenu au premier tour. Qui sait même si elle n'a pas été contre-productive ?

     

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