Vivre le Marais, Vivre Paris Centre !

Chronique de la vie au cœur et autour du centre historique de Paris

Catégorie : Société

  • AUne affiche illicite recouverte d’affichettes, ordures illicites et stationnement illicite d'un deux roues le 31 mai au matin à l'angle des rues Portefoin et des Archives (IIIe) (Photo VlM)

     

    Lorsque nous disons que la saleté attire la saleté ou bien que les affiches sauvages attirent d’autres affiches et les tags d’autres tags, la photo publiée dans cet article, prise à l’angle des rues Portefoin et des Archives (IIIe) dimanche 31 mai à 9H50, nous en donne une parfaite illustration !

    Que dire ? 

    Tout d’abord que les marchands de tapis auraient tort de ne pas inonder le quartier pour une vente au 113 de Turennes (avec un « s » ?) puisqu’ils réitèrent sans vergogne, aux mêmes endroits, alors que nous l’avions dénoncée,  leur campagne d’affichage  sauvage  (voir notre article du 6 octobre 2014). Il y a d’ailleurs fort à parier qu’ils n’ont été nullement inquiétés et cela même dans les autres secteurs où ils ont sévi (voir nos articles des 09 avril 2013, 22 mars et 25 mai  2015).

     

    A1Un exemplaire, rue du Temple (IIIe) des affiches qui ont littéralement inondé le Haut Marais les 30 et 31 mai (Photo VlM)

     

    Le paroxysme de cet affichage est résumé sur la photo où l’on voit une nouvelle poubelle publique vide mais entourée de sacs d’ordures qu’une personne indélicate (ou plusieurs) a déposé là voyant une affiche sauvage fixée par des ficelles à un potelet. Affiche sauvage elle-même couverte d’autres affichettes….Enfin pour compléter la liste, on aperçoit une vespa stationnée tout à côté alors que ce n’est pas autorisé ! 

    Voilà un  « joli » concentré d’interdits qui illustre, faut-il le rappeler, la montée des incivilités, de l’égoïsme et du laisser-faire.

    A quoi bon alors s’égosiller dans ces conditions si chacun ignore l’autre et si ceux chargés de faire appliquer le règlement ne font rien pour qu’il soit respecté ?

    Navrant ! 

    Dominique Feutry

     

  • C2323253ce32547c68306a8921a04fb2b8b77b45

     

    Voilà une décision qui ravit ceux qui ont en assez d'être incommodés dans les aires de jeux publiques, là où s'ébattent les enfants. Fumer dans ces lieux devrait être bientôt interdit alors qu'une expérience est en cours dans trois d'entre eux. La publication du décret a été annoncé par la Ministre de la santé pour fin juin. 

    Ainsi les mégots qui souillent le sol  et dont on sait la difficulté d'élimination (voir notre article du 11 mai 2015) devraient avoir totalement disparu dans ces endroits.

     La Maire de Paris lors de lancement de l'expérimentation avait spécifié que des cendriers et des éteignoirs seront mis à disposition des fumeurs, tout en ajoutant que des agents de la Ville seraient  invités à expliquer cette mesure, plutôt que de sanctionner. 

    Parallèlement à cette décision une campagne  sera lancée dès lundi 1er juin avec le slogan "Profitez de l'été pour arrêter de fumer".

    Nous adhérons bien entendu à cette décision et à la prochaine campagne anti tabac, nous demandons  à nos élus, à nos gouvernants et au législateur d'aller plus loin encore  car nous sommes au cœur d'une question de santé publique qui nous concerne tous et pas seulement les enfants.

    Dominique Feutry 

     

  •  

    Las-vegas-casino

     

    Après la trouvaille des bars sur les toits, un cinéma flottant sur la Seine, voilà maintenant que ressurgit l’idée d’ouvrir des casinos à Paris, une manière d’attirer encore plus de noctambules dans la capitale qui n’en compte sans soute pas assez. Une façon aussi de garnir les caisses de la ville qui manque de recettes même si nos édiles se défendent de vouloir « transformer Paris en Las Vegas ».

    En effet si la Maire de Paris affiche un certaine réserve sur cette idée, elle se trouve néanmoins face à un dilemme, ne pas pouvoir augmenter les impôts des parisiens suite à sa promesse de campagne tout en souhaitant engager de gros chantiers comme la piétonisation de la Rive Droite,  la création de logements sociaux, la construction de grandes tours ou l’édification d’immeubles sur les ponts.

    A la suite de la demande du gouvernement, le préfet Jean-Pierre Duport a été chargé d’un rapport sur la fermeture des derniers cercles de jeux parisiens et leur remplacement éventuel par des casinos. Le résultat de ses travaux sera rendu début juin.

    Si des casinos sont implantés à Paris, les parisiens auront bien du souci à se faire, une mauvaise nouvelle et un  mauvais signe qui leur seraient adressés. Car la conséquence est évidente, ces créations amèneront encore plus de touristes, plus de bruit la nuit avec tous les désagréments associés bien connus que nous avions maintes fois décrits sur notre blog.

    Espérons que les élus de Paris sauront raison garder, nos quartiers n’ont pas besoin de nouveaux afflux de visiteurs attirés par le jeu, la fête et la vie nocturne.

    Soyons au moins une fois davantage écoutés face à des intérêts purement mercantiles car la qualité de vie des habitants n’a pas de prix.  

     

  • AccidentAccident de la circulation à Paris (photo Le Parisien)

     

    Réduire à 30 km/h la vitesse des voitures dans les arrondissements du centre de Paris est une bonne mesure. Il en est de même de l'abaissement à 80 km/h de la vitesse sur les routes nationales et d'une nouvelle baisse sur le périphérique parisien. Pourquoi ?

    Parce que tout simplement le nombre et la gravité des accidents de la route sont une fonction croissante de la vitesse. A l'arrêt, il n'y pas d'accident. A 300 km/h, hors circuits conçus pour cela, l'accident et la mort sont garantis. Le risque croit à l'évidence de zéro à l'infini avec la vitesse. Comme croissent la pollution de l'air et le bruit.

    Certains nous disent, parce qu'ils défendent des intérêts marchands, que les accidents ont d'autres causes. Certes, nous ne le nions pas. Agissons aussi sur ces causes mais n'oublions pas pour autant la vitesse ! On n'a pas le droit, humainement et pour quelque motif que ce soit, de renoncer à sauver des vies et épargner des souffrances. D'autres font remarquer que la vitesse moyenne dans Paris étant de 16 km/h, il n'est pas utile de la limiter. Comble de l'ânerie car c'est la vitesse de pointe qui est visée ; c'est elle qui pollue et qui est dangereuse.

    A Paris, le Maire-Adjoint chargé des déplacements et de la voirie, Christophe Najdovski lançait le un message radical : "On n'a pas besoin de voiture pour se déplacer dans Paris" (Le Parisien du 18 mai 2015). Dans la foulée on lui répondait qu'on est parfaitement d'accord ; tellement d'accord qu'on lui rétorquait par mail le même jour que la Mairie de Paris devrait à ce titre supprimer toutes les voitures de fonction.

     

    NajChristophe Najdovski (photo Huffington Post)

     

    On a plutôt de la sympathie pour M. Najdovski qui a souvent de bonnes idées avec ses amis EELV (Les Verts). On ne lui a pas proposé cette mesure pour lui tendre un piège mais tout simplement parce qu'elle nous parait découler tout naturellement de sa propre analyse frappée au sceau du bon sens.

    A ce jour, nous n'avons pas reçu de réponse, à croire que notre élu en est très embarrassé. A-t-il peur de s'attirer les foudres de ses collègues ?

    S'agissant de la vitesse dans les quatre arrondissements centraux, nous répétons que nous  sommes d'accord et nous ne voulons pas ergoter sur les chiffres pourvu qu'on aille dans le bon sens. On a un doute cependant : qui va s'assurer que la mesure est respectée et sévir si elle ne l'est pas ? Avec quels moyens techniques ? Humains ? Autant que la mesure en elle-même, c'est cette réponse qui compte.

    Gérard Simonet

     

     

  • En-attendant-rosa-c2a9drFête la nuit près du Pont Alexandre III (VIIe)

     

    De récentes informations révélées dans  la presse et relatives à un problème de santé publique dénoncent le rejet par les bateaux et les péniches, directement dans la Seine, « des matières fécales, de l’urine de leurs toilettes ainsi que leurs eaux usées (cuisine, lave-vaisselle…) ? ».

    Saisis par l’association « Accomplir »  du réseau "Vivre Paris !" dont fait partie "Vivre le Marais !" plusieurs maires  d’arrondissement  profiteront du Conseil de Paris de ce 26 mai pour interpeler la Maire et le Préfet de police sur ce sujet.

    Ce que ne disent pas les journalistes, c’est  qu’au-delà du problème de santé publique particulièrement grave qui se pose si ces pratiques de rejet étaient avérées, nous avons là l’illustration des dérives du système tout festif que la municipalité de Paris développe depuis de nombreuses années.  Ainsi les barges installées sur les quais de Seine pour abriter des bars et lieux de fête ne peuvent qu’entrainer ce type de conséquences et d’abus.  Chacun agit à sa guise, consommateurs et exploitants réunis. Au diable si l’on souille la Seine,  si l’on souille nos rues, du moment que le tiroir-caisse se remplit. 

    Ces constats valent aussi pour le tourisme de masse que la mairie n’a de cesse d’encourager, la  dernière nouveauté étant de  faire de Paris la première destination du tourisme de nuit. Toujours plus sans aucune considération pour les habitants qui rappelons le sont juste bons à acquitter les impôts qui financent les conséquences des dérives du tout festif !

    1700981_3_1ded_un-homme-en-maillot-de-bain-prend-le-soleil-sur_f91387bb968324aacbb92bde94a77649La Seine serait polluée par divers rejets provenant de bateaux qui y circulent

     

    Dérives en  matière de propreté,  de santé publique, de bruit, de sécurité, d’alcoolisation massive notamment des jeunes. Nous ne  cesserons jamais de répéter ces constats que la Mairie ignore tout en laissant imaginer qu’elle s’en préoccupe. Le conseil de la nuit, la multiplication des terrasses y compris sur les toits, pour ne citer que ces deux exemples, en sont la parfaite illustration.

    Pourtant des lois et des règlements existent, il suffit de les faire appliquer, mais à l’évidence on ne veut pas freiner un business lucratif.

    Et tant pis pour les parisiens taxés de grincheux  dès qu’ils osent  aller à l’encontre de ce qui est présenté comme un eldorado…On sait hélas ce qu’il en est !

    Dominique Feutry  

     

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    AParapharmacie nouvellement ouverte à l’emplacement d'un grossiste en maroquinerie 81 rue Beaubourg (IIIe) (Photo VlM)

     

    Alors que les agences immobilières avaient fleuri jusqu'à la crise de 2008, l’engouement s'est porté ensuite sur les magasins d'optique  qui se sont ouverts tous azimuts aux cours de ces dernières années. Et le Marais n'y a pas échappé. (Le Marais, quartier de miros, 29/03/12). Aujourd'hui cette vague semble terminée mais nous assistons à la multiplication des parapharmacies. Des grossistes disparaissent à la faveur de ces commerces sans doute lucratifs.

    Ces effets de mode sont curieux et étonnent car pour pouvoir s'installer, il faut des financements ou tout le moins disposer de fonds suffisants et établir un business plan convaincant pour étayer le dossier de l’établissement financier sollicité et emporter sa décision d'accorder un prêt.

    En ce qui concerne les parapharmacies, deux phénomènes président à leur multiplication un peu partout. 

    D'une part les parapharmacies vendent des produits sans ordonnance. La majorité des substances fournies sont naturelles comme les compléments alimentaires, les cosmétiques ou les vitamines…

    D'autre part, selon UFC Que Choisir, "l'automédication, c'est-à-dire l'ensemble des médicaments vendus sans ordonnance, représente, un tiers des dépenses de médicaments des consommateurs…et 80% de cette dépense est consacrée aux médicaments dont les prix sont libres." Ajoutons que les pouvoirs publics prônent davantage d'automédication, écornant au passage  le monopole des pharmaciens.

    Nous le voyons bien si malgré l’ouverture récentes d'épiceries bio (nos articles des 15 août et 10 septembre 2014), les commerces de proximité et de bouche se raréfient au profit de magasins de prêt à porter, il y a aussi les activités en vogue qui essaient de surfer sur l'engouement du moment.

    Les parapharmacies semblent actuellement être en tête de liste en ce domaine.

    Dominique Feutry

     

  • Location coute durée charles V 05 04 14L'archétype du locataire touristique avec ses attributs : les "valises à roulettes" (Photo VlM, cliquer gauche dans l'image pour agrandir)

     

    "Un coup d'épée dans l'eau" disent certains, "une opération de communication" affirment d'autres. il n’empêche que la Mairie de Paris, à grand renfort de publicité, vient de lancer une opération de contrôle des locations touristiques afin de détecter celles qui ne seraient pas déclarées notamment dans le Marais (IVe arrondissement), qui est visiblement dans le collimateur. Ce secteur est visé en priorité car il détient un nombre élevé de meublés de ce type, comme le montre l'offre figurant sur "Airbnb" dont le Président, rappelons le, a été reçu en grande pompe par le Premier adjoint Bruno Julliard, en février dernier (notre article du 28 février 2015) !

    D’après les  informations communiquées, les contrôleurs dépêchés par la ville se présentent aux adresses figurant sur le site d'annonces mentionné ci-dessus et constatent si la location est dans les règles ou non. Bien entendu leur tâche n'est pas facile, ils doivent détenir les codes d'accès, tomber au moment où des touristes occupent le logement incriminé et prouver qu'il s'agit bien d'une location saisonnière non autorisée. Il faut savoir que s'il existe des gardiens, ils sont dans ce cas peu enclins à donner des renseignements car ils peuvent tirer avantage de cette activité.

    Les agents de  la ville ne verbalisent pas, mais constituent un dossier lorsqu'il y a infraction, la Mairie décidera ensuite si elle entame des poursuites judiciaires ou non.

    Compte tenu du nombre limité de contrôleurs face au nombre élevé de locations saisonnières existant à Paris (le nombre 30 000 figurant sur le site Airbnb est souvent avancé), les 80 contrôles actuellement engagés dans notre quartier sont bien peu. Ils ne sont pas inutiles néanmoins car ils entretiennent une psychose qui rend les fraudeurs mal à l'aise et conforte les résidents dérangés dans leur droits à mener les actions qui s'imposent, notamment à l’intérieur de leur copropriété.

    La Marie nous apprend que 20 propriétaires non en règle ont été condamnés l'an passé, totalisant, outre les frais de justice, presque 600 000 € d'amendes.   

    Certes cela peut coûter cher mais pour l'instant le risque reste contenu et les parisiens doivent continuer à subir toutes les nuisances liées à ces locations qui rapportent "gros" à leurs propriétaires (voir nos articles des 13 février 2012 et 10 septembre 2014), sauf à prendre leur problème en mains pour le gérer de manière active.

    La Mairie de Paris a de son côté encore beaucoup à faire pour récupérer des surfaces d'habitation et refréner la spéculation immobilière ! La vraie solution serait de plaider pour une amélioration de la situation des loueurs traditionnels qui sont totalement découragés de mettre leur bien sur le marché tant le risque d'impayés et d'aliénation de leur capital dans les arcanes de l'action judiciaire est grand.

    Dominique Feutry

     

  • PhotoPseudo masseurs installés place de Thorigny (IIIe) le 17 mai (Photo VlM) 

     

    Nombre de communes ont dénoncé cette « activité » de pseudo masseur des rues qui a pris racine à l'origine sur les plages du littoral  notamment. Certaines enquêtes de journalistes n’hésitent pas à avancer qu’il s’agirait de « réseaux mafieux asiatiques ». Il n’empêche qu’il y a en l'espèce, comme le précise un arrêté de 1962, exercice illégal de la médecine, en l’occurrence du métier de kinésithérapeute, d’autant que ces soi-disant soins sont payés et en espèces. Il suffit d’observer…

    Les forces de l’ordre interviennent de temps à autre et dispersent les contrevenants y compris d'autres types de vendeurs à la sauvette  (voir notre article du 9 juin 2014) qui partent souvent avant d’être délogés, mais ils ont vite fait de revenir lorsque la maréchaussée n’est plus en vue.

    Alors que faire ?

    L’arsenal contre ces pratiques semble assez aléatoire et peu efficace. Le législateur prompt à produire des réglementations multiples ferait bien de s’intéresser davantage à ce trafic qui est exercé dans l’illégalité la plus totale, échappe aux taxes et à l'impôt et vient concurrencer les professionnels établis légalement…

    Dominique Feutry

     

  • Bruit

     

    "Vivre le Marais !" vous a tenus régulièrement informés des problèmes liés aux nuisances nocturnes, aux difficultés qui s’en suivent pour les riverains des zones de bruit et disons-le au peu d’empressement des autorités à prendre des mesures pour les contenir.

    Une des rares actions lancées par la Mairie de Paris porte sur les "Pierrots de la Nuit" (voir nos articles des 1er, 27 et 29 novembre 2014), des intermittents du spectacle qui sont censés faire taire ceux qui font du bruit la nuit devant les bars. Nous avions dénoncé leur inefficacité notamment lors de notre réunion publique de février dernier qui avait pour thème  « Nuisances nocturnes : une fatalité ? » et lors des réunions du Conseil de la Nuit (articles des 4 et 26 mars 2015).

    Le réseau "Vivre Paris !" dont nous faisons partie estime qu’il faut dorénavant une mesure objective des nuisances sonores, ne serait-ce qu’en raison du montant de l’argent public alloué à l’association qui a créé les  "Pierrots de la Nuit". Il représente en effet la bagatelle d’un demi-million d’€ depuis la mise en œuvre de cette médiation !

    Voir l'article de "Vivre Paris !"

     

  • ViewmultimediadocumentAffiche de la nouvelle campagne  de la Mairie de Paris contre les mégots

     

    Le 1er volet de la campagne officielle anti mégots fait suite à la fin imminente de l’installation des 30 0000 poubelles publiques dites « bagatelles » munies d’un éteignoir. Il s’inscrit dans une volonté de sensibiliser les fumeurs à adopter un comportement responsable. Des affiches incitatives, nous reproduisons l'une d'entre elles, sont placardées sur des panneaux ad hoc, ainsi que sur 500 bennes à ordures.

    Dès l'automne, l'incitiation passera au stade de la répression avec un nouvel affichage et l'annonce d'une amende augmentée. En effet, un décret du gouvernement, conséquence de l'action des élus parisiens, a récemment porté le montant des contraventions à 68 € au lieu de 35 €, ce qui est plus dissuasif (les ordures laissées sur le trottoir ou les déjections canines seront soumises elles aussi à ce nouveau tarif). Le seul souci est que les fautifs devront être pris en flagrant délit par l'un des 500 agents qui seront habilités à verbaliser dans la capitale et cela ne sera pas possible en dehors de leurs horaires de travail.

     Viewmultimediadocument 2Nouvelle corbeille publique "bagatelle" avec son éteignoir 

     

    Nous en appelons donc à la conscience  des fumeurs, chacun doit savoir qu'un mégot met 12 ans à disparaitre, son traitement dégage des métaux lourds, comme le plomb, particulièrement nocifs.

    Dominique Feutry