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Étiquette : affiches sauvages

  • La bonne surprise de la rentrée : le mur dépotoir du carrefour Vieille du Temple/Quatre-Fils (IIIe) enfin réhabilité !

    Vieille du temple pignon 23 09 16Mur pignon du 95 rue Vieille du Temple, carrefour Quatre-Fils (IIIe) (Photos VlM)

     

    On ne se lasse pas de le regarder tant il repose la vue de la vision de cauchemar qu'il infligeait aux passants avant les vacances :

    Quatre-fils vieille du temple pignon 03 05 14Le même mur avant les vacances…

     

    Les personnels des services de la propreté de Paris, dont les bureaux de la circonscription "centre" se trouvent précisément là, vont désormais au bureau la tête haute : ils n'ont plus devant eux ce décor qui sonnait comme un aveu d'impuissance et jetait un doute sur leur engagement au service de l'entretien de Paris.

    Que s'est-il passé ?

    Des personnes proches du dossier affirment que nous devons cette réhabilitation au propriétaire de la brasserie "La Perle", juste en face en diagonale ; il aurait traité avec le propriétaire du mur et conclu un accord par lequel il en a obtenu la "jouissance" dans le but d'en faire un lieu permanent d'exposition d’affiches.

    Nous défendons la position, depuis longtemps, que le "street art" ne doit pas s'affranchir de l'obligation de respecter la propriété d'autrui comme l'y invitent notre constitution et nos lois. Que les œuvres plaisent ou non est une autre affaire. En créant les conditions d'un affichage institutionnel, au bénéfice d'un genre qui a du mal à trouver sa place, celui qui en a eu l'idée fait certainement œuvre utile.

    GS

     

     

  • Point d’étape du budget participatif 2016

    Sans-titreParvis de l'église et du cloître des Billettes rue des Archives (IVe) (photo VlM)

     

    Dans le cadre de l’opération « budget participatif 2016 » que nous avions annoncée dans notre blog le 24 janvier dernier, le site de la Mairie de Paris précise que 3.162 projets ont été déposés.  Est en jeu, pour les dossiers qui seront définitivement  retenus, la somme de  500 millions d’€  soit 5% du budget d’investissement annuel  de la Ville.

    Depuis plusieurs mois, les services de la Mairie ont procédé à l’analyse de ces propositions sous l’angle de leur faisabilité et sous celui de leur coût financier.

    Ceux qui ont passé ce premier filtre de faisabilité et de budget ont été étudiés ensuite dans des commissions d’arrondissement (comprenant maire, élus, représentant de la Mairie de Paris, collège dit « citoyen », représentants des conseils de quartier et d’instances de « démocratie locale »).  Les dossiers sélectionnés ont été réexaminés ensuite dans une commission « centrale » ad hoc de la Mairie de Paris composée de plusieurs adjoints, d’élus et d’un collège « vie citoyenne ».

    77972Calendrier du processus budget participatif 2016 (Document Mairie de Paris, clic gauche pour agrandir) 

     

    Il ressort de tous ces examens que 17 dossiers du IIIe arrondissement sont sélectionnés pour le vote final et 15 pour le IVe.

    Nous retiendrons parmi ces 32 projets, le remplacement des jeux d’enfants du Square Léonor Fini (proche du musée Picasso) ou bien l’amélioration de la rue du Grenier Saint-Lazare ou celui du parvis de l’église Saint-Nicolas de Champs ainsi que la végétalisation du Square Renée Vivien (angle rues des Haudriettes et du Temple). Dans le IVe sont proposés la végétalisation de la rue de Sully et le renforcement de celle à l’angle des rues des Archives et des Blancs Manteaux, l’amélioration de l’illumination de l’Hôtel de Sens ou l’embellie de la rue des  Archives  autour  du Cloître des Billettes.

    Le vote des habitants pour départager les projets sera ouvert du 16 septembre au 2 octobre prochains.

    Alors n’hésitez pas à aller sur le site de la Mairie de Paris, https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/  pour plus d’information.

    Dominique Feutry

     

  • Sottise, vandalisme ou autre raison qui échappe à l’homme de la rue ? Le débat est ouvert

    Plaque rue archives 19 03 12
    Plaque de rue à hauteur du 34 rue des Archives (IVe)

     

    Encore quelques autocollants et la plaque sera totalement oblitérée.

    Outre qu'on ne comprend pas ce que veulent dire ces timbres ésotériques, on aimerait comprendre ce qui pousse (vers le haut, dans le cas présent, car la plaque est bien à 2,50 mètres du sol) ceux qui les collent.

    On appréciera qu'ils veuillent bien éclairer notre lanterne en déposant leurs commentaires, car on a réellement envie de savoir ce qui les motive.

    On appréciera tout autant que la Mairie de Paris, qui fait l'objet de nombreuses attaques en ce moment sur sa façon de traiter la propreté des rues, fasse intervenir ses agents pour que les plaques de rues, qui sont là pour informer les visiteurs et les touristes, retrouvent pleinement leur mission première qui est celle d'informer.

     

  • Rue de Bretagne (IIIe) : la foire aux affiches sauvages !

    

    Bretagne affiches sauvages square 01 02 12Lampadaire rue de Bretagne, angle Eugène Spüller ; sur la droite la mairie, en face le square du Temple

     

    Le Maire du IIIe, Pierre Aidenbaum, a tout lieu d'être fier de sa rue de Bretagne. Dès 2002, il avait formé le projet d'en faire le "quartier vert" du IIIe, un thème qui faisait florès à cette époque où les Verts, sous l'impulsion d'Yves Contassot, affichaient leur désir de chasser les voitures de Paris et de pacifier les quartiers en faisant de la place aux espaces verts.

    Le choix d'élire cette rue n'avait pas fait l'unanimité. Pour ce qui nous concerne, en accord avec les conseils de quartiers, nous avions accueilli le projet avec sympathie. La Ville n'avait pas encore de contraintes financières. Les travaux menés bon train ont conduit à faire de la rue de Bretagne un lieu agréable qui, devenu à la mode, a stimulé le développement d'une activité économique de qualité. Il a suffi que les trottoirs soient élargis, que quelques arbres soient plantés, que la circulation et les chaussées soient revisitées pour que, l'initiative individuelle prenant le relais, de nouveaux commerces apparaissent, notamment une très grande librairie, et que les affaires s'en trouvent stimulées.

    Certains diront que la politique conduite a provoqué une forte hausse de prix du foncier. Il faut le reconnaitre, la revitalisation de la rue a accentué la demande de logements et poussé les prix à la hausse. Mais il faut souligner que le phénomène est général à Paris, très marqué dans le Marais quel que soit le quartier, et puis …. qui jugerait raisonnable de renoncer à améliorer un cadre de vie pour en réduire l'attrait ?

    Bravo, donc, à M. Aidenbaum.

    Comment alors ne voit-il pas, lui dont la mairie borde cette rue, lui qui vraisemblablement passe là tous les jours, que tous les jolis lampadaires "style Marais" qui en sont le mobilier urbain, sont défigurés par des affiches sauvages qui remontent à plusieurs semaines et forment une croute de strates superposées comme dans un mille-feuilles.

    Bretagne affiches sauvages lampadaire 01 02 12
    Si encore il nous était donné d'admirer la plastique de cette charmante personne collée sur tous les lampadaires que compte la rue, beaucoup d'entre nous en seraient ravis, mais l'affiche est généralement en lambeaux et si elle a résisté, une nouvelle affiche arrive aussitôt pour la couvrir.

    Cette situation n'est pas digne de la rue. M. Aidenbaum sait sans doute, et son correspondant "propreté" pous les arrondissements du centre de Paris à coup sûr, qu'il existe dans la structure de François Dagnaud, Maire-Adjoint de Paris chargé de l'environnement et des espaces verts, une cellule spécialisée dans les nettoyages difficiles (dont le désaffichage fait partie), qui s'appelle "Centre d'Action pour la Propreté de Paris". Elle est basée dans le XIVe arrondissement. Ce sont eux qui se sont distingués dans la réhabilitation des coffres des bouquinistes de la Seine et dans la lutte (pas encore achevée) contre les "flyers".

    Il faut qu'ils interviennent et reviennent s'il le faut. Pas uniquement sur les lampadaires, hélas ! Il y a bien des endroits où leur ministère serait apprécié. Voyez par exemple les deux affiches ci-dessous. La rue de Bretagne mérite mieux et son succès en terme de fréquentation ne doit pas en faire l'exutoire des barbouilleurs, des gribouilleurs et des colleurs d'affiches en tout genre.

    Bretagne portraits 01 02 12

    Rue de  Bretagne, pôt (très) pourri d'affiches sauvages

     

    Réponse de M. François Dagnaud, Maire-Adjoint auprès du Maire de Paris Bertrand Delanoë, chargé de l'environnement et des espaces verts


    Cher Monsieur Simonet,

     Vous m’avez alerté sur la résurgence de l’affichage sauvage sur le mobilier urbain dans la rue de Bretagne.

     Comme vous le signalez justement sur votre blog, l’affichage sauvage est interdit et passible d’une amende pour les bénéficiaires de ces publicités. La Ville est particulièrement attentive à ces agissements polluants.

     Pour votre information, j’ai transmis immédiatement votre courriel au service local de propreté afin que ces affiches soient retirées au plus vite : compte-tenu des températures très basses des derniers jours, la colle a gelé et ne permet pas d’intervention efficace dans l’immédiat. Cependant, dès que les températures seront de nouveau positives, nos agents pourront intervenir efficacement et enlever ces affiches sans dégrader le mobilier urbain.

    Néanmoins, les inspecteurs de propreté ont été saisis afin qu’une attention particulière soit apportée dans les jours prochains à ce secteur et que des procès-verbaux soient dressés à l’encontre des contrevenants.

     N’hésitez pas  à contacter directement le service local de propreté. La responsable de la communication, Brigitte Igalens, est joignable au 01 55 34 77 17.

    Bien cordialement

    François Dagnaud

     

     

    Intéressé par l'association : cliquez ICI

     

                                                                                                     


  • Fête de la musique 2011 : nos recommandations au Préfet de Police de Paris

    Temple fête musique 2010 
    Fête de la musique 2010, rue du Temple (IVe)

     

    Nous avons cette année adressé un courrier au Préfet de Police de Paris, M. Michel Gaudin, pour tirer les leçons de l'organisation de cet évènement en 2010 et éviter pour cette année les débordements qu'on a déplorés.

    On se rappellera que deux bars de la rue des Archives avaient demandé l'autorisation de placer une sono sur le trottoir. Elle leur a été exceptionnellement accordée, tardivement, le jour même de la fête de la musique, et refusée à d'autres. Ils s'étaient engagés à en limiter le volume sonore. Dans la réalité, toute possiblité de se faire entendre dans un large périmètre à la ronde était exclue. Ceux qui, se référant à la vocation de la fête de la musique, pensaient s'installer dans la rue avec leur organe vocal ou leur instrument en ont été pour leurs illusions.

    De leur côté, certains bars de la rue du Temple voisine, qui n'avaient pas reçu d'autorisation, furieux de constater la différence de traitement, se sont livrés à une surenchère en forme de provocation en installant aussi leurs enceintes sur le trottoir, mais en poussant le son au maximum de sa puissance.

    Les riverains de la rue ont cru leur dernier jour arrivé. Leurs immeubles, tous anciens, certains à pans de bois, se sont mis à trembler. Ceux qui ont vécu l'évènement disent qu'ils ont cru que les murs allaient s'effondrer, à l'image des murailles de Jéricho.

    Une conclusion s'impose selon les riverains qui ne veulent plus revivre cette épreuve : l'installation de matériels de sonorisation sur les trottoirs ne doit être autorisée désormais  pour personne. Il faut sortir de la logique de surenchère au bruit, dans le seul et unique but est de ravir des clients à ses rivaux afin de maximiser le chiffre d'affaires de cette soirée exceptionnelle.

    Que chaque établissement diffuse sa musique favorite, dans le respect des normes en vigueur et il ne sera pas nécessaire, comme des groupuscules jusqu'au-boutistes le suggèrent, que les habitants partent à la campagne du 15 au 30 juin.

    A contrario, la fête s'est bien passée dans le IIIe. Devant l'une de ses boites de nuit, une formation celtique est venue s'installer, comme les années précédentes, et au son de leur musique folklorique, la foule bon enfant s'est mise à danser.

    Fête musique 2010 jardin haudriettes Fête de la musique 2010, devant "l'Echelle du Temple" (IIIe)

                                                                

     Notre message a été reçu. Le Préfet de Police nous a informés que les installations sonorisées amplifiées ne seraient pas acceptées sur les trottoirs et que chaque demande d'autorisation sera traitée dans un souci d'égalité.

     On espère dans ces conditions que les dérives inouïes de l'an dernier seront évitées. Les représentants des commerçants au sein du conseil de rue des Archives, nous l'assurent.

     

  • Big is beautifull ! Une enseigne démesurée rue Michel le Comte

    Michel le comte 16 vectrix 
    16 rue Michel le Comte (IIIe) : vente de scooters électriques

     

    Ils se sont inspirés d'Astérix. C'est Obélix qu'ils nous offrent avec cette enseigne démesurément en infraction. Espérons que la Direction du Paysage de la Rue et la mairie du IIIe ne tarderont pas à leur expliquer qu'on ne fait pas ce qu'on veut en secteur sauvegardé.

    Surtout lorsqu'on est aussi mal inspiré !

                                                                                                                                              

                                                                                                     

  • Rue des Archives : accord de paix paraphé en mairie du IVe

    Siad et gérard

    Gérard Siad (à gauche), président du SNEG, et Gérard Simonet. (Photo "d'Archives")

     

    En décidant de ne pas modifier radicalement le paysage de la rue des Archives, la Maire du IVe Dominique Bertinotti a ouvert la voie à une entente qui s'est concrétisée le 11 février, en mairie du IVe, en présence du Maire-Adjoint Richard Jean-Baptiste et de sa collaboratrice Alexandra Crisan.

    Les présidents des associations représentatives des commerçants et des habitants, le SNEG (syndicat national des entreprises gay) et "Vivre le Marais !" ont accepté les termes d'une "charte des bons usages", qui rappelle la loi et les règlements et fait appel à la bonne volonté des uns et des autres pour que ce qui échappe à la règle commune soit pris en charge par la collectivité.

    Par exemple, les habitants et les exploitants de commerces sont invités à intervenir de plein gré,  directement, contre l'invasion des affiches sauvages et des flyers. Il ne s'agit pas de se substituer à la mairie dans ses obligations d'assurer la propreté mais de montrer, notamment, à ses agents qui assument la tâche ingrate de nettoyer, que les riverains sont solidaires de leurs missions.

    Il reste à finaliser un document qui a pour l'instant valeur d'accord paraphé.

    Peu de jours après la création du "Réseau Vivre Paris !" qui a pour but de faire entendre la voix des habitants dans le débat sur "les nuits parisiennes", cet évènement montre qu'il n'y a pas forcément incompatibilité entre les intérêts des commerces et la tranquillité des parisiens.

    Pour adhérer à notre association de défense des habitants du Marais, apolitique et culturelle, cliquer ICI

                                                                                                                            

  • Trottoir du COX : réunion de consolidation en mairie du IVe et polémique autour des blogs

    Habitantes priées de repartir 

    Prévenues qu'une réunion se tenait sur le sujet, ces habitantes du quartier, comme une quinzaine d'autres personnes, se sont présentées en mairie. Sur la photo, on leur explique qu'elles ne sont pas invitées. Elles n'insisteront, car la bronca n'est pas leur tasse de thé, et repartiront déçues. La réunion s'est tenue dans une configuration réduite de représentants des commerçants et des habitants. Paradoxe troublant que nous fournit l'actualité : on va demander à des citoyens de se prononcer le 7 juin sur l'Europe de l'Atlantique à (presque) l'Oural mais on leur refuse de prendre part à un débat qui conditionne leurs nuits et leurs jours.

                                                                                                                                         

    La Maire, Dominique Bertinotti, nous avait prévenus d'entrée de jeu : cette réunion est un compte rendu d'étape à destination du conseil d'arrondissement (la Maire et son adjoint Jean-Baptiste Richard). Les blogs du quartier ne doivent pas s'en faire l'écho.

    Il n'était pas question, naturellement, que nous cédions à cette injonction, au nom de la sacro sainte transparence que le monde politique revendique lorsqu'il s'agit des autres. A plus forte raison, lorsqu'on traite d'un évènement qui s'est somme toute bien déroulé.

    Commençons par en dire deux mots : le rapporteur architecte-urbaniste Jean-Didier Laforgue a présenté l'état des discussions avec les uns et les autres. Il s'est un peu empêtré dans sa proposition de régler le problème du COX avec une démonstration qui s'apparentait à la résolution de la quadrature du cercle (Mme Bertinotti elle-même n'a pas compris). Notre association a enchaîné en rappelant qu'il existe un cadre légal dont on n'avait pas l'air de se soucier : le  règlement de la Ville de Paris sur les terrasses (page 6 sur 28), l'arrêté du 22/12/2006 du Préfet de Police de Paris sur la consommation en réunion sur l'espace public (texte de l'arrêté) et, last but not least (*), le droit pénal qui réprime tout abus ou recel de bien social (public dans notre cas). 

    Un consensus tout à fait prometteur s'est dégagé sur ce point.

    Une réunion publique aura lieu ultérieurement, suivie d'une décision du conseil d'arrondissement. On a aussi parlé d'une charte "de bonne conduite". Les habitants sont sceptiques sur l'intérêt d'un tel arrangement. Il existe des lois, commençons par les appliquer. Ensuite, et alors seulement, on peut imaginer une charte sur les points où la loi est silencieuse.

    Revenons sur ce qui peut apparaitre comme un différend avec Dominique Bertinotti. Elle nous a menacés de renoncer à la démocratie participative si nous laissions parler notre blog. Nous tenons à la démocratie participative (ou à toute autre forme d'association des citoyens à la vie de la cité) mais il faut bien se rendre à l'évidence, les temps ont changé et Internet est devenu un moyen d'expression que personne ne peut ignorer. Il doit faire partie intégrante du processus démocratique. Mme Bertinotti doit faire son chemin de Damas là-dessus et s'en réjouir au lieu de le blâmer.

    En vérité, nous avons un aveu à lui faire. Elle sait que notre association ne poursuit aucun combat politique. Cette attitude nous vaut d'être libre de nos jugements. Ainsi, nous n'éprouvons aucun déchirement à reconnaitre le bien-fondé de telle ou telle décision. Nous avons soutenu bien des projets de la Maire (rue des Rosiers, espace St Paul, rue du Trésor …). Mieux encore, nous sommes friands de bonnes nouvelles à publier. Si on nous écoute et si des gestes sont faits dans notre direction, nous serons prompts à les saluer.

    On peut attendre le meilleur de Dominique Bertinotti, qui a eu la délicatesse au moment des obsèques de notre ami le docteur Claude Dorgeuille, Président de l'association Aubriot-Guillemites, de se rendre en personne à la cérémonie religieuse et d'apporter le réconfort à son épouse. Nous savons qu'elle y a été très sensible.

    Il y a d'autres dossiers devant nous sur lesquels nous devons coopérer. Il faut conclure sur le COX, il faudra décider d'une attitude face au projet inquiétant de super boite de nuit rue Pierre au Lard et , d'une façon générale, faire en sorte que cet arrondissement s'épanouisse sans faire fuir ses habitants et finir en parc d'attractions. La démocratie participative ne doit pas être perçue par la Maire comme une faveur faite aux habitants mais comme un moyen pour elle de mieux sonder ses administrés. Ce dont elle doit se sentir redevable.

    C'est la meilleure façon de traiter les électeurs en adultes et donc de les respecter.

    (*) "le dernier mais non le moindre"

                                                                                                                         

    Mots-clés : tottoir du COX, Marais, règlement terrasses, arrêté préfectoral 22/12/2006, Dominique Bertinotti