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Étiquette : artexture

  • Une exposition originale à la bibliothèque Forney : Artexture

    Artexture

     Nadine Richard, coquillage « marginella »

                                                      

    L’association France Patchwork, veut faire connaître par sa branche Artextures, l’évolution, l’innovation du monde vivant du textile, qu’elle souhaite inclure dans l’histoire de l’art contemporain. Elle organise tous les deux ans un concours ouvert aux artistes plasticiens textiles internationaux.

    Pour ce sixième concours, la sélection est étonnante, variée, parfois dérangeante, toujours surprenante, symbolisant un art textile en pleine évolution. Les 41 artistes de 8 nationalités différentes utilisent des techniques et des supports extrêmement variés : broderies, dentelles, plissés, tissages, coutures en tout genre, collages, perles, raphia, soie, laine, synthétique, plastique, plumes…

    L'invitée d'honneur est Maïté Tanguy, dont les pièces uniques tissées main évoquent les
    vagues, les couleurs et le bruit de la mer. Un hommage est aussi rendu aux invitées
    d’honneur des années précédentes Françoise Hoffmann et Jill Galliéni.

    Du 6 mars au 14 avril 2012

    BIBLIOTHÈQUE FORNEY (Hôtel de Sens)
    1, rue du Figuier Paris 4e
    Tél. : 01 42 78 14 60
    Du mardi au samedi de 13h à 19h
    – Entrée : 6 euros / 4 euros (tarif réduit)
    et 3 euros (demi-tarif)
    – Visite commentée chaque samedi à 15h
    (inclus dans le prix du billet)

  • Freemoôs, « concept store » dédié au vélo électrique, ouvre ses portes rue Pastourelle (IIIe)

    Pastourelle 35 dumas devanture 
    Freemoôs, 35 rue Pastourelle (IIIe), vient d'ouvrir ses portes dans les anciennes arcades de la rue Pastourelle, nouvellement aménagées, au pied d'un immeuble totalement réhabilité. Tél. 01 42 77 01 71 – Internet : www.freemoos.com

     

    Devant l'entrée, Frédéric Dumas qui lance avec Thierry Braun un commerce de vélos à assistance électrique et un ensemble de produits dérivés autour du concept.

    Il y a deux ans seulement, ce site posait de nombreux problèmes sociaux. Propriété de France Telecom, vidé de ses habitants, il a été offert à la vente mais un conflit s'est développé avec la mairie de Paris, désireuse de le préempter sans en payer le  juste prix (revoir l'article du 6 février 2009).

    Très rapidement une forte tension est apparue avec les riverains, exaspérés par l'état sanitaire des trottoirs rue du Temple et rue Pastourelle, où des sans-abri s'étaient installés dans des conditions déplorables. En même temps, un espace potentiellement habitable se trouvait gelé faute d'un accod entre les parties prenantes.

    On sait que la sagesse a prévalu. Elle nous vaut cet évènement que nous saluons à plus d'un titre : Il consacre une diversification de l'économie du quartier, monopole il y a peu de temps encore des grossites en maroquinerie ; Il participe à la promotion d'un mode de transport doux et non polluant ; Il crée quelques emplois et contribue à vivifier un secteur livré trop longtemps à la saleté et aux tags ; Il s'intègre harmonieusement dans le paysage de la rue par l'esthétique de sa devanture et de son enseigne.

    Les vélos proposés à la vente sont d'origine diverse. Généralement européenne, souvent française. Une technologie nous a particulièrement fascinés : il s'agit d'un cycle baptisé "le Cardan". Le moteur électrique se cache dans le moyeu avant (c'est donc une "traction avant"), la liaison entre le pédalier et le moyeu arrière, qui dissimule une boite de vitesses à train épicycloïdal, se fait par un arbre avec pignons d'angle protégés par un carter étanche.

    Freemoos le cardan 

    "Le Cardan", vue de l'arbre de transmission, qui remplace la chaîne

                                              

    Les vélos sont vendus entre 700 et 2.000 €. Vitesse de croisière : 25 km/heure. La Mairie de Paris subventionne actuellement l'achat de vélos électriques en accordant une subvention qui va jusqu'à 400 €.