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Étiquette : Cafés Araku

  • Le café succède aux produits d’entretien rue de Bretagne (IIIe)

      IMG_0634"Araku coffee" 14 rue de Bretagne (IIIe) (photo VlM)

     

     "Araku coffee " tel est le nom de la nouvelle enseigne qui a remplacé, face au Marché des Enfants Rouges, 14 rue de Bretagne (IIIe), la droguerie "Bazar 14" dont nous avions relaté la fermeture le 17 juillet 2016. 

    Ce commerce ne vend que du café, explique la publicité, issu "d'un terroir ancestral situé sur les hauts plateaux de la vallée d'Araku dans les Eastern Ghats en Inde. Exclusivement issu de nos plantations en agriculture biodynamique, le café est certifié bio cultivé en petites parcelles et récolté à la main … Depuis la création de la plantation en 2001, Araku réunit des passionnés de café qui accompagnent les fermiers de notre coopérative.".

    Le choix est vaste, les conseils sont prodigués par des vendeurs extrêmement accueillants. La qualité des produits aux noms variés (signature, sélection, première récolte, microclimat ou haute altitude…) est très typée et il vous est possible de le goûter sur place.

    Le magasin est épuré, moderne et classique à la fois, le bois clair domine avec beaucoup de verre laissant filtrer la lumière et quelques couleurs vives sont employées.  

    Un lieu de rendez-vous pour les passionnés de café exotique, les achats en ligne étant néanmoins possibles. 

     
  • Une régulation des sirènes trop bruyantes s’impose

    8e578e58a1Exemple de gyrophare combinée à une sirène

     

    Dans un article du 23 novembre 2014 intitulé « les parisiens en ont assez des hurlements de sirènes » qui faisait suite à deux précédents articles des 19 juillet 2012 et 18 février 2014, nous écrivions «  la recrudescence des sirènes hurlantes sur des voitures banalisées fonçant à vive allure, de jour comme de nuit, aussi bien dans les grandes artères que dans les petites, devient de plus en plus problématique. »

    Les années passant le phénomène revêt la même acuité et nous nous demandons si ceux qui mettent en branle ces bruits stridents quasi insupportables ont conscience qu’ils agressent leurs concitoyens qui pour bon nombre d’ailleurs n’ont aucun problème de surdité.

    Il est normal que les véhicules de pompiers ou du SAMU équipés de gyrophares et de sirènes puissent se rendre rapidement sur les lieux d’intervention. Nous en convenons, surtout aux feux tricolores, aux carrefours ou lorsque la voie est encombrée car alors la sirène vient en appui du gyrophare. Mais en pleine nuit lorsque la circulation est facile, y-a-t-il lieu d’actionner la sirène tout le long du parcours en sus du gyrophare déjà bien voyant ?

    Nos tympans agressés, nous sommes réveillés en sursaut alors que dans de nombreux quartiers la nuit est déjà bien perturbée par les fêtards bruyants. Dans ce contexte notre santé est bien mise à mal !  

    Que dire enfin de la multiplication des véhicules banalisés munis de sirènes hurlantes filant à vive allure à l'heure justement où nombre d'entre nous se rendent au travail. Sont-ce tous des officiels, des hauts fonctionnaires qui ne veulent pas perdre de temps pour rejoindre leur bureau ? Beaucoup se posent la question alors que de tels privilèges ne devraient plus avoir cours. Ou bien sont-ce tout simplement des personnes qui n’en ont pas le droit mais qui se l’arrosent afin de pouvoir circuler plus facilement ?

    Nous comprenons que la vigilance accrue depuis les attentats  occasionne davantage de circulation de véhicules de police pour notre sécurité. Il est en effet difficile de faire abstraction du risque latent qui nous guette. Mais faut-il, malgré cela et à toute heure de la journée, actionner les sirènes dont le bruit s’ajoute à celui des sirènes du SAMU, des ambulances, des pompiers… aux klaxons pourtant interdits, aux alarmes des commerces ou de certains véhicules en stationnement qui se déclenchent souvent de façon anormale.

    Soulignons enfin l’effet caisse de résonance qui amplifie le bruit lorsqu’il se produit dans des rues étroites comme celles du Marais.

    Indéniablement ni la Préfecture de Police, ni nos élus ne se sont saisis de ce dossier de pollution par le bruit qui empoisonne jour et nuit les parisiens et les habitants des grandes villes.

    Dominique Feutry