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Étiquette : évelyne dress

  • Evelyne Dress dédicace son nouveau roman : « je veux peindre et aimer ! »

    Evelyne couverture

     

    Vendredi 3 mars, de 18h00 à 21h00

    Évelyne Dress attend ses amis de "Vivre le Marais !"

    à la Librairie "Les Nouveautés"

    45 bis, rue du Faubourg du Temple – 75 010 – PARIS

    pour la sortie de son nouveau livre

    "Je veux peindre et aimer"

    Evelyne photoEvelyne Dress

  • Portail de l’Hôtel Raoul : la fin programmée de ses souffrances !

     
     
    Hôtel raoul
    Le portail de l'Hôtel Raoul, 6 rue Beautreillis (IVe) dans l'état lamentable où il se trouvait il y a trois ans (Photo VlM)
     
     
     
     
    Les gens du Marais et d'ailleurs doivent à l’opiniâtreté de Michel Cribier ce que l'on peut aujourd'hui qualifier de "sauvetage d'un élément du patrimoine de Paris".  Membre de "Vivre le Marais !" depuis 2020 et président de la copropriété construite en 1960 sur la parcelle de l'Hôtel Raoul démoli,  il a porté avec une rare énergie le projet de restaurer ce vestige.
     
    Le soutien n'est pas venu paradoxalement de la mairie du IVe mais de l'ABF (architecte des bâtiments de France) Samanta Deruvo et de la Commission du Vieux Paris, que préside aujourd'hui Jean-François Legaret, ex Maire du 1er arrt. De la presse aussi, avec des articles appuyés de Philippe Baverel dans Le Parisien. Il a suffi de ces engagements pour que l'idée même de s'occuper de ce monument déchu efface les sourires narquois de ceux qui affirmaient que ce portail n'intéressait personne…
     
    Il a pourtant fallu que l'Hôtel de Ville, en la personne de Karen Taieb, Maire adjointe de Paris en charge du patrimoine et de l'Histoire de Paris, se saisisse du dossier et en fasse une affaire personnelle voire "politique". Le 23 novembre 2021 elle convoquait à l'Hôtel de Ville une "task-force" pour s'attaquer au dossier. Il était suggéré à Michel Cribier de créer une association ad hoc pour acheter le portail aux propriétaires (1 € symbolique) et agir comme maitre d'ouvrage pour sa restauration.
     
     
    Portail Raoul 1
    Portail Raoul fermé 2
     
     
                        Projet n° 1                                                                         Projet n° 2
     
     
    Michel Cribier fait le point :
     
    "Le portail est maintenant la propriété pleine et entière de l’association suite à l’acte notarié signé le 8 avril 2022.

     
    Nous avons aujourd’hui deux projets qui ont en commun une restauration des vantaux en bois ainsi qu’un petit travail sur la couverture en zinc au-dessus du fronton. La société Bepox a évalué cette partie huisserie à 44 400 € TTC en 2018.
    Je souhaite aussi que le portail restauré joue le rôle de « sémaphore historique » en étant accompagné de moyens d’informations sur la riche histoire de ces pâtés de maison (« pelles Starck » ou leur version plus récentes).
     
    Projet n° 1
     
    Comme expliqué dans le premier message un architecte a accepté de réfléchir à cette restauration. Il n’a pu produire une esquisse que le 14 juillet dernier. Malheureusement aucun chiffrage des coûts n’accompagne à ce jour ce projet.
    Ce projet se caractérise par la disparition des murets d’accotements, mais pour assurer la stabilité du portail, par leur remplacement par des contreforts en béton masqué par un bardage bois à claire-voie.
    Cette disparition des accotements permet de créer de petits espaces verts de part et d’autre fermés par des grilles où le figuier a toute sa place.
     
    Projet n° 2
     
    Le second projet est une restauration plus ou moins à l’identique où l’aspect actuel est conservé. Une vue d’artiste est aussi jointe. Des devis ont déjà été établis dans le passé et réactualisé il y a 3 ans pour un coût total inférieur à 100 000 € (maçonnerie et huisserie comprise).
     
    Nous devons réfléchir à ces deux options sachant qu’il faudra vers la mi-septembre déposer des dossiers pour recueillir des subventions et débuter une campagne d’appel aux dons.
     
    À noter que la copropriété du 15 rue du Petit Musc (IVe) étudie la restauration de l’horloge aux dauphins aujourd’hui reposée sur la façade de l’immeuble juste à côté du portail."
     
     
    "Vivre le Marais !" s'est engagé auprès de l'association "Le Portail de l'Hôtel Raoul" sur un soutien financier au projet sachant que la mairie de Paris est prête à subventionner ses débours en tant que de besoin. S'agissant des deux projets, notre préférence va au 2ème car plus fidèle à la construction d'origine.
     
    Gérard Simonet
     
  • Boulevard du Temple (IIIe) : Évelyne Dress nous parle de « l’immeuble aux étais »….

     

    Image 3 jpgLes fenêtres aux étais du 25 boulevard du Temple (IIIe)

     

     

    Il n'est pas nécessaire de lever trop haut les yeux quand on parcourt le boulevard du Temple, pour s'étonner de ces fenêtres barricadées d'immeuble en péril. Evelyne Dress, écrivaine et comédienne vit là et nous en parle comme d'un phénomène assez naturel sur un sol meuble comme celui du Marais (qui signifiait au départ "mérécage") mais dont il convient cependant que la Ville intervienne pour lui éviter le sort des châteaux de cartes. G.S.

     

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    « On est de son enfance comme on est d’un pays ». Je suis du boulevard du Temple !

    C’est sur ce bout de bitume qui sépare le IIIe du XIe que, moi, fille d’émigrés, je me suis fabriqué des racines.

    Depuis avant ma naissance, grâce à mes parents qui s’étaient établis près du Cirque d’Hiver en arrivant de Pologne, j’ai coulé des jours heureux sur « le bord du Marais ». En 2017, je voulus changer de trottoir et je m’installai, non sans une certaine fierté, je l’avoue, dans « le haut Marais », non loin du théâtre Déjazet.

    Mais ce qui devait être le gage d’une ascension sociale s’avère être une véritable descente aux enfers et le boulevard du Temple de vouloir redevenir le "boulevard du Crime" !

     

    Image 1Le théâtre du boulevard du Temple (et du crime)

     

    Ce nom de « Boulevard du Crime » ne provient pas seulement de l'attentat perpétré, devant le n°50, par le tireur corse Fieschi contre le Roi Louis-Philippe qui avait fait du boulevard du Temple son lieu de promenade, pas seulement, non plus, du crime commis par le sous-officier Louis Anastay, qui assassina la baronne Dellard, mais de ce que le boulevard du Temple était depuis le début du XIXe un lieu de divertissements, concentrant tous les théâtres, baraques et tréteaux où, chaque soir, se jouaient des mélodrames terrifiants, des drames ruisselants de sang, pleins de coups de couteaux, d'enfants volés, d'orphelins persécutés, d’où le sobriquet de « Boulevard du Crime ».

    C’est ainsi que par une sorte de malédiction sans doute, le quartier fut maintes fois menacé : petite, j’ai vu mes parents militer pour la sauvegarde du Marais, puis contre la tentative d’abattre le Cirque d’Hiver, qui avait vu le jour sous Louis-Napoléon. En 1955 Hollywood posa ses caméras sur le rebord de nos fenêtres pour filmer « Trapèze » avec Gina Lollobrigida, Tony Curtis et Burt Lancaster. Plus tard, il fallut se battre, encore, pour préserver le mythique « Marché des Enfants Rouges », sauvé en 1989 par le nouveau Maire Pierre Aidenbaum qui en avait fait son arme de campagne.

    Faudra-t-il, aujourd’hui, reprendre les armes pour redonner ses lettres de noblesse au bout de trottoir qui m’a vu naître ?

    Image 2 jpg

    En végétalisant trois pieds d’arbres, j’espérais que la beauté de mes trois bacs attirerait tous les regards… et que les passants cesseraient de s’attarder sur les étais qui soutiennent notre immeuble, rappelant que nous sommes bien dans le Marais, un terrain meuble, sans craindre de défigurer ce quartier pour lequel nous nous sommes tant battus, ni de menacer la sécurité de ses habitants et des promeneurs.

    J’interrogeais, récemment, un jeune couple s’extasiant sur les pièces de charpente :

    – Que regardez-vous ?

    – On dirait un origami de l’architecte Kengo Kuma.

    On peut interpréter les choses comme ça ! Toutefois, voilà ce que, moi, je vois de ma fenêtre !

    Image 6

    Un expert judiciaire, diligenté par le Tribunal de Grande Instance de Paris, a conclu au terme de trois ans d’enquête que les désordres constatés étaient imputables aux fuites d’eau importantes et persistantes du réseau d’égout défectueux de la ville de Paris et a préconisé l’injection de micro-pieux en sous-œuvre des fondations de l’ensemble du 25 boulevard du Temple.

    Il serait complètement injuste que notre bâtiment, pris en tenaille entre l'immeuble mitoyen du 76 rue Charlot, frappé de trois arrêtés de péril, qui a causé nos dégâts, et le 23 boulevard du Temple, préempté par la Mairie de Paris pour faire des logements sociaux, ne soit pas aidé, au moins, pour l’injection de ces micro-pieux.

    Je veux croire qu’Ariel Weil, notre tout nouveau maire, usera de son pouvoir auprès de la mairie de Paris pour qu'elle prenne en charge l'injection de ces micro-pieux, intervention que nous n'aurions jamais dû subir si les égouts de la Ville avaient été entretenus !

    Évelyne Dress

     

     

  • Circulation dans Paris-centre : il faut oublier le terme de « piétonisation » !

     

    Rivoli 13 05 20

    Rue de Rivoli (IVe) le 13/05/20

     

    La fermeture le 13 mai 2020 de l'axe Saint-Antoine/Rivoli à la circulation est le premier pas de mesures qui vont restreindre la circulation automobile dans le centre de Paris. Le moment est venu de se déterminer sur l'attitude qu'il convient d'adopter à l'égard des décideurs quels qu'ils soient sachant que Paris comme toutes les grandes villes doit prendre des dispositions pour réduire la pollution de l'air et la pollution sonore, pour des motifs de santé publique.

    Il est un point sur lequel tous les avis des habitants convergent : le concept de piétonisation doit être rejeté pour les nuisances qu'il crée. Chacun a en tête les rues de la Huchette (Ve) ou St André des Arts (VIe) qui font figure de repoussoirs. Ce qui est en cause : une fréquentation accrue, des désordres et le bruit qui en découle et le développement d'une mono-activité de commerces de restauration légère. 

    En revanche, les habitants de Paris-centre et des arrondissements voisins qui pourraient être aussi visés, ne peuvent que se réjouir d'une politique de déplacements qui repousserait la circulation de transit. Il faut alors que tous les types de véhicules soient concernés, notamment les deux-roues motorisés, particulièrement dangereux et polluants et que la "circulation utile" soit préservée : bus, taxis, commerçants, artisans, travailleurs, personnel de santé, véhicules de service et de secours, personnes handicapées et riverains.

    Le dispositif de contrôle doit être simple, crédible, et l'accès aux parkings publics sauvegardé. Les VTC (Uber et autres) doivent êtes assimilés aux taxis. La population jeune en fait très largement usage et on ne doit pas la discriminer. Le stationnement des deux-roues motorisés doit devenir payant.

    Il nous semble nécessaire également que les Maires d'arrondissements disposent d'un droit de délivrer des laissez-passer temporaires sur dossier à des personnes qui ne répondent pas aux critères généraux mais dont l'activité, notamment sociale ou familiale, justifie leur entrée sur le territoire visé.

    En raison des exceptions, on doit s'attendre à une réduction du trafic somme toute modeste,  20 à 25 % par exemple. La mécanique des fluides, dont les théories s'appliquent assez bien à la circulation, nous enseigne qu'un écoulement turbulent donc anarchique et perturbé, devient laminaire (fluide) brutalement si le débit baisse même légèrement pour se situer au-dessous d'un seuil critique. 

    A l'intérieur d'un tel dispositif, les pouvoirs publics doivent privilégier les véhicules non polluants et silencieux. L'électricité est la source d'énergie la moins polluante localement (il faut néanmoins la fabriquer dans nos centrales nucléaires…). Egoïstement elle est sans aucun doute pour nous, citadins, la meilleure. Nos concitoyens des milieux ruraux peuvent avoir une opinion différente.

     

  • Evelyne, comédienne et écrivaine du IIIe, se dévoue pour végétaliser trois arbres près de chez elle…

     

    Evelyne dressÉvelyne Dress, écrivaine et comédienne

     

     

    C'est la première fois qu'une personne nous contacte pour nous expliquer qu'elle cherche à apporter sa contribution à la construction d'une environnement meilleur. Voici ce qu'elle nous écrit dans un style qui dévoile à lui seul son talent de narratrice :

     

    Ma demande risque d’être inhabituelle, néanmoins, je vous la soumets en espérant que vous accepterez de m’aider.

    J’ai déposé auprès de la mairie de Paris une demande de permis de végétaliser trois pieds d’arbre situés 25 boulevard du Temple (IIIe) et j’ai obtenu un permis  à titre personnel. Maintenant, tout reste à faire. En effet, je découvre que la mairie ne donne que deux petits sachets de graines et trois sacs de terre de 50 litres, alors qu’il en faudrait 3 mètres cubes
       
    Je suis comédienne (“Et la tendresse ? Bordel !”), réalisatrice (“Pas d’amour sans amour”), écrivain voyageur (“Les tournesols de Jérusalem”, “Le rendez-vous de Rangoon”, “Les chemins de Garwolin”, “La maison de Petichet” et bientôt “Un océan de blanc”), mais pas jardinière !

    Et bien que terriblement motivée, je n’y arriverai pas seule !

     

    Temple bd 25 arbres 27 02 18Les trois arbres du boulevard du Temple


    Si je me permets de venir vers vous, c’est que mes arbres ne sont pas plantés n’importe où : au 19ème siècle, le boulevard du Temple était un des hauts lieux de la capitale. Le Tout-Paris s’y promenait sous ses arbres centenaires. Bordé de dizaines de théâtres, son surnom était "le boulevard du Crime", car chaque soir d’illustres comédiens y mourraient dans de violents mélodrames.

    Le 25 boulevard du Temple s’insérait entre “Le Jardin Turc” et “Le Cadran Bleu”, fameux restaurant de l’époque et en face du théâtre “Les Funambules”. Aujourd’hui, il reste de ce glorieux passé le Théâtre “Déjazet” et le “Cirque d’Hiver” et la plaque rappelant que Gustave Flaubert habita au 42 boulevard du Temple de 1856 à 1869.

    J’aimerais que sur le boulevard du Temple, le végétal prenne le pas sur les voitures ! Ma conviction est que la végétalisation de ces trois pieds d’arbres sera un premier pas. Cela demande du matériel, de la terre, des plantes, des bras pour planter et construire un petit entourage de façon à protéger les arbres et les plantations… Des idées, un paysagiste, peut-être ?

    Toute réponse de votre part me fera du bien.

    Répondez à Évelyne, qui y sera sensible. Tout comme devrait l'être l'Adjointe au Maire du IIIe Laurence Hugues, chargée de l'emploi, de l'insertion, de l'économie sociale et solidaire, de l'éco-responsabilité, des espaces verts, de la nature en ville, à qui nous demandons  de s'intéresser à la démarche d’Évelyne.

    GS

     

    Rencontrez Evelyne Dress sur YouTube

     

  • Le conseil de quartier Saint-Gervais (IVe) évoque l’augmentation des tarifs de stationnement

      St gervais st protais façade 27 02 12Église Saint-Gervais Saint-Protais, façade classique pour un édifice gothique flamboyant (Photo VlM)

     

     

    Le dernier conseil de quartier Saint-Gervais de l’année a accueilli une nouvelle référente, Corinne Faugeron, en remplacement de Julien Landel, 1er adjoint de la mairie du IVe,  qui a quitté le quartier.  

    Corinne Faugeron a rappelé les récentes évolutions au sein de l’équipe municipale du IVe arrondissement.

     
    Sur les tarifs de stationnement, cette dernière a souligné que les augmentations prévues au 1er janvier 2018 ne toucheraient pas le stationnement résidentiel. Elle ajoute qu’en fait le paiement d’une place de stationnement est « une redevance d’occupation du domaine public ». Si le tarif pour 2h de stationnement ne changera pas (4€) il deviendra ensuite très dissuasif (8€, 10€ et 12€ à partir de 3, 4 et 5 heures respectivement de stationnement) rendant plus économique de stationner dans un parking concédé que dans la rue. Quant aux amendes, elles passeront de 17 à 50 € (ramenés à 35 € si payés dans les 4 jours). Les contrevenants sont donc prévenus.
     
    L’évolution de la place prolongeant la rue du Bourg-Tibourg a été une nouvelle fois évoquée. Curieusement, contre l’avis des autres participants, Corinne Faugeron a indiqué qu’un procès initié par la mairie du IVe était en cours avec le bar l’Étincelle. En fait  ce procès est clos et n’a abouti à aucune mesure positive… Il appartient à la DU (urbanisme) et à la DVD (voirie et déplacements) d’agir pour que cette place retrouve son état originel. Mais  le problème est posé depuis des années déjà !
     
    Différents sujets sont ensuite abordés telles les lenteurs de l’administration municipale. Ainsi pour changer un panneau de sens interdit il aura fallu 6 mois. De même il semble complexe de modifier certains horaires d’intervention des engins municipaux qui dès 6h du matin interviennent dans des rues sonores pour notamment  ramasser les cartons et autres dépôts de supermarchés causant beaucoup de bruit pour le voisinage.
     
    Sur la malpropreté à nouveau évoquée, chacun s’accorde à penser qu’il s’agit à l’origine d’un problème d’éducation mais que nombre de commerçants pourraient aussi faire preuve de davantage d’esprit citoyen. Des mesures sont à trouver avec les services de la propreté.
     
     
     
    Nous profitons de la publication de ce compte rendu pour indiquer qu’une concertation/réflexion a été engagée autour de 4 conseils de quartier jointifs (Les Halles, Montorgueuil-Saint-Denis, Saint-Avoye et Saint-Merri) situés au centre du futur grand arrondissement dans la cadre de la fusion des quatre premiers arrondissements qui disposent aujourd'hui de 15 conseils de quartiers. Une grande conférence des conseils de quartiers est d'ailleurs prévue au printemps prochain.
     
    La première réunion de ces quatre conseils de quartiers a eu lieu début décembre et a sélectionné 4 dossiers prioritaires :
     
    • Constats et propositions relatives aux services rendus par la mairie
    •  Constats et propositions sur deux thèmes particuliers, zone centrale piétonne et les nouveaux usages du    plateau piétonnier.
    •  Contenu d’une charte idéale (principes et modalités) à partir de l’analyse comparative des 4 chartes de fonctionnement des conseils de quartier qui sont toutes différentes.
    • Contour du Conseil de quartier associant des parties des 4 Conseils de quartiers ayant des raisons de fusionner.
     
    Dominique Feutry