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Étiquette : hold up manqué rue du temple paris marais

  • Un holdup à la kalachnikov avorte rue du Temple (IIIe)

     

    Temple 137 façade magasin 24 04 14L'entrée que n'ont pas réussi à franchir les braqueurs se trouve à gauche du magasin 

     

    Nous relations dans un article du 04 décembre 2013 de l’attaque à la hache d’une  bijouterie 17 rue Réaumur qui s’ajoutait au braquage d’une fonderie d’or située 3, rue des Haudriettes (IIIe). Ce dernier avait entraîné le terrible meurtre d’un employé (notre article du 6 décembre 2012).

    La trêve aura été de courte durée puisqu’à nouveau, le mardi 22 avril, un vendeur de métaux précieux installé 137 rue du Temple (III°) a été l’objet d’une tentative de holdup qui n’a pu aboutir car les individus munis pourtant d’une kalachnikov et d’un bélier n’ont pas réussi à enfoncer la seconde porte du sas de sécurité. Se trouvant bloqués ils ont donc pris la fuite.

    L’insécurité est grandissante dans notre le quartier même si ces actions sont d’ampleur nationale. Il n’empêche que les citoyens que nous sommes ne sont pas rassurés lorsqu’ils vaquent dans les rues. Agressés par des pickpockets, ils peuvent aussi être témoin et pourquoi pas victimes sans le vouloir de hold-ups spectaculaires,  sans compter sur les incivilités qui sont devenus un quasi phénomène de société. Ils attendent donc des pouvoirs publics des mesures et des sanctions à la hauteur de l’enjeu face à cette vague continue de holdups organisés dont on sait pertinemment comment ils sont perpétrés.

    La police doit disposer de gros moyens et l’autorité judiciaire d’un arsenal suffisamment répressif si l’on veut arriver à éradiquer ces évolutions inquiétantes et dangereuses.

    Dominique Feutry

     

  • Etonnante vitrine vivante rue des Quatre-Fils (IIIe)

     Photo (17)

     

    Dans la soirée du 7 mars, les passants qui s'aventuraient devant le 18 rue des Quatre Fils (IIIe) étaient attirés par un petit attroupement, face à une vitrine dans laquelle une personne vêtue d'une toge rouge s'affairait à maquiller de noir son visage.

    Etonnant, inattendu, curieux à la fois à cet endroit, un soir de mars, devant des admirateurs acquiesçant la scène.

    En fait, il s'agissait de faire découvrir une  forme d'art "vivant " dans cette galerie nomée GB Agency qui soutient et défend le "travail d’artistes contemporains de tous horizons… aux parcours et propositions savamment hétéroclites des années 1960 à nos jours".

    Certains précisent que cet endroit est aussi celui "des créations dérangeantes". Rien de tout cela ne transparaissait hier si ce n'est la surprise du non averti.

    Dominique Feutry