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Étiquette : impôts locaux paris

  • Gouvernement et Hôtel de Ville nous concoctent une nouvelle hausse des impôts locaux à Paris

    Impots-locaux.netUFC Que Choisir – www.impots-locaux.net – Dessin Sabine Nourrit – http://www.lesdessinsdesabine.com

     

    Quand Bertrand Delanoë se rendit compte en 2008 que ses caisses étaient vides, alors qu'il les avait trouvées bien replètes en 2001, lui qui soignait sa communication et ne voulait pas paraitre assoiffé de prélèvements, décrêta que le taux d'imposition, notamment de la taxe foncière, n'augmenterait que très modérément mais qu'il serait créé une taxe départementale qui n'existait pas jusque là.

    Premier trait de génie : on n'augmente pas les impôts, on répare seulement un "oubli" car Paris a ceci de particulier d'être à la fois ville et département et aucun impôt jusque là n'était levé au nom du département. Il oubliait simplement de dire qu'on avait bien vécu sans lui jusque là !

    Autre manoeuvre qui s'apparente plus à l'astuce qu'au génie : les parisiens guettent les variations d'une année sur l'autre. La taxe créée n'était que de quelques pourcents. Pas de quoi éveiller l'attention de contribuables qui ne vivent pas avec une calculette à la main. La réalité est tout autre : le pourcentage s'applique à une assiette qui est la "valeur locative". Passer de 0% (absence de taxe) à 5 % ou quelque autre valeur que ce soit, c'est augmenter la taxe d'un pourcentage infini, mais personne ne réalise.

    Raffinement suprême : en passant de 8% environ au titre de la Ville à 8+5 = 13%, on augmente de 62.50% la taxe foncière. C'est ce chiffre qui est le véritable indicateur. Le contribuable est ponctionné sévèrement mais la mairie escompte que dupé par ce coup de bonneteau, il ne se rendra pas véritablement compte du subterfuge.

    C'est ainsi qu'en 2009 et 2010 les parisiens ont vécu la plus forte hausse d'impôts locaux de leur histoire récente.

    Les caisses sont vides à nouveau et M. Ian Brossat, Maire-Adjoint en charge du logement, président du groupe communiste à la Mairie de Paris, rêve de faire rendre gorge aux propriétaires de logements à Paris en ciblant les classes moyennes. Que faire pour y parvenir sans trop s'exposer à la critique ?

    Il existe un moyen très simple. Les taux dont il est question plus haut, qu'il s'agisse de la taxe foncière ou de la taxe d'habitation, s'appliquent à la "valeur locative". Cette expression, il faut le préciser, est devenue abstraite. Elle n'a plus rien à voir avec les loyers réels.

     

    Impots

     

    Dernier né des traits de génie, annoncer que : "la valeur locative n'est plus adaptée à la réalité, il faut la réviser". En la corrigeant, on peut évidemment augmenter allègrement les impôts sans modifier les taux, en assurant qu'on répare une injustice. Cette correction laisserait à l'administration fiscale ou à la mairie qui en est bénéficiaire toute latitude pour décider une hausse des recettes avec des modalités qui évidemment n'échapperaient ni à l'arbitraire ni au clientélisme.

    On continuerait de dire à ceux qui se plaignent : "réjouissez vous au contraire, vous payez moins cher qu'à Marseille ou Bordeaux". On oublie insidieusement de préciser que dans ces villes le coût du logement à l'achat et à la location pour les habitants est deux fois moins élevé qu'à Paris.

    On nous annonce une expérimentation pour Paris. Le moment est venu de parler haut et clair : nous en avons assez des hausses d'impôts car nos revenus gelés depuis trois ans sont en baisse après impôt à cause d'une fiscalité débridée. Si le gouvernement et/ou la Mairie de Paris veulent combler leurs déficits, nous sommes prêts à leur suggérer d'agir sur les nombreux postes de dépenses et de charges où la gabegie sévit, à commencer par celles qui sont destinées à l'acquisition d'immeubles entiers ou d'appartements "dans le diffus" ainsi que les centaines de millions d'€ versés sans réel contrôle à des associations dont l'intérêt général ne saute pas aux yeux.

    Si toutefois, par perfectionnisme ou souci d'équité, l'administration souhaitait rendre son sens à la notion de "base locative", il faudrait qu'elle ajuste les taux à la baisse de façon que le produit de la base multiplié par le taux n'augmente en aucun cas.

    On le voit, compte tenu des situations individuelles très diverses à Paris, donner satisfaction à tout le monde apparait comme une mission impossible. Des tentatives dans cette direction ont toutes avorté dans le passé. Mais si l'objectif inavoué est de faire payer plus d'impôts à une catégorie de contribuables, il faut s'attendre que les citoyens visés réagissent avec les moyens à leur disposition, notamment leur réprobation et leurs bulletins de vote aux prochaines échéances électorales.

     

  • Les contre-terrasses de la place du Bourg Tibourg (IVe)

      Mms_img-935346783Vue des contre-terrasses, le long de l'immeuble et plus loin au milieu de la place Baudoyer (IVe) (Photo Marais-Quatre)

     

    Des camionnettes, des estafettes, des fourgonnettes….

    Des artisans munis de force matériels et matériaux qui s’affairaient sur la place du Bourg Tibourg prolongeant la place Baudoyer côté rue du Roi de Sicile ont intrigué les riverains et les badauds qui se trouvaient là ces dernières semaines.

    En vérité il s’agissait de l’installation en remplacement d’une terrasse double d’un des établissements installés sur la place. Ces contre-terrasses sont disposées parallélement à celles déjà existantes le long des immeubles. Les passants doivent circuler soit entre les deux terrasses qui créent de la sorte un étroit couloir artificiel, soit ils empruntent l’espace laissé libre au-delà de la seconde terrasse.

    Mais à y regarder de près et sans être ingénieur, nous remarquons à l’œil nu que ces contre-terrasses laissent une emprise réduite aux piétons pour circuler, alors que la place est large. Le constat est frappant si on compare ce lieu très occupé à sa deuxième moitié entièrement vide (sauf les jours de marché) de l’autre côté de la rue de Rivoli devant la Mairie du IVe !

    DSC_0099 2Des pots ajoutent encore à l'importante emprise de la contre-terrasse sur la place (Photo Marais-Quatre)

     

    Si nous ajoutons « l’encombrement » des arbres, des bancs, des corbeilles, des pots de plantes disposés en sus et  les nombreuses motos qui stationnent en plein milieu et sur les côtés,  que reste-t-il de cette partie de la place pour y vaquer ? Elle est en fait totalement dénaturée, toute dédiée quasi exclusivement aux limonadiers (c’est à peine si on aperçoit la présence d’une pharmacie), au grand dam des riverains et des piétons. Et que dire du bruit permanent généré par les clients, par les motos auquel s'ajoute celui de la radio d'une personne qui a pris ses quartiers sur un banc  à cet endroit ?

    PhotoAutres contre-terrasses place du Bourg Tibourg et emprise des motos stationnées (Photo VlM) 

     

    Comment se fait-il que l’on ait pu laisser s’installer de telles structures, sortes de tentes « en dur », la place en est toute couverte et sans doute pour longtemps. Qui a pu laisser passer de telles autorisations ? La Direction de l’Urbanisme interrogée a parlé de changement d’un transformateur défectueux sous la précedente contre-terrasse… ce qui explique le changement récent d'une des installations ! Il est vrai que la nature a horreur du vide.

    La Mairie devrait reconsidérer ces autorisations tant elles apparaissent démesurées ! Elles risquent de donner des envies à d’autres de s'étaler au détriment de l’espace public déjà limité et qui se réduit au fil du temps comme une peau de chagrin dans le Marais.

    Dominique Feutry

     

  • Ciel chargé de gros nuages lourds sur Paris pour cette rentrée : nouvelle hausse des impôts, occupation débridée de l’espace public et nuits blanches en perspective

    Nuages et ciel

    La nouvelle est rude pour le pouvoir d'achat des parisiens. Après la hausse vertigineuse des impôts locaux en 2009, la mairie récidive en 2010 avec des niveaux de taxes foncière et d'habitation en progression de près de 10%. On connaît l'argument : "les impôts ne sont pas élevés à Paris". On oublie de dire que se loger chez nous coûte beaucoup plus cher qu'ailleurs et que la modération fiscale apportait une légère atténuation. Qui disparaît maintenant. 

    On aimerait en compensation que se dessine la perspective d'une amélioration de notre cadre de vie. Deux initiatives de la Mairie de Paris nous en font douter : la révision du règlement des étalages et terrasses, en croissance explosive cette années, et l'organisation "d'Etats Généraux de la Nuit", sous la pression des professionnels de la boisson et de la nuit, qui réclament plus de "tolérance" dans l'exercice de leurs activités.

    Leur exigence va jusqu'à demander que des quartiers soient déclarés "festifs" avec, à la clé, l'interdiction pour les riverains de se plaindre. Le Marais est leur cible. Ceux qui l'habitent seraient citoyens de seconde zone puisqu'ils ne bénéficieraient plus de la protection de la loi commune. Inutile de dire que nous nous opposerons avec la plus extrême vigueur à cette tentative.

    Nous avons tous remarqué l'expansion cette année des terrasses de bars dans Paris, au détriment de l'espace laissé au public, de son confort et de sa sécurité. La Mairie de Paris nous propose un "avant-projet" pour un nouveau règlement, qui  fait la part trop belle aux commerces. Notre ami Laurent Jeannin-Naltet, Vice-Président de l'association nationale "Droits du Piéton" et membre du réseau "Vivre Paris !" auquel nous appartenons, nous livre une illustration sans complaisance du dossier (Télécharger ICI).

    Les "Etats Généraux de la Nuit" se tiendront les 12 et 13 novembre. "Vivre le Marais !" et d'autres composantes de "Vivre Paris !" font partie du "Comité de Pilotage". Nous refuserons toute disposition qui attenterait à la tranquillité des parisiens et au calme de leurs nuits. Mais nous aurons fort à faire. Le lobby du milieu de la nuit s'efforce d'influencer ceux qui nous gouvernent. En dernier recours s'il le faut, avec le soutien des Maires des arrondissements du centre, Pierre Aidenbaum (IIIe), Dominique Bertinotti (IVe), Jean-François Legaret (Ier) et Jacques Boutault (IIe), nous en appellerons au Maire de Paris Bertrand Delanoë et au Préfet de Police de Paris Michel Gaudin, dont nous sommes convaincus qu'ils sont attentifs au bien-être des parisiens.

    Nous espérons que vous serez nombreux à la réunion du 15 09 10  concernant le règlement des terrasses.

    Et si vous ne l'avez pas encore fait, il est temps d'adhérer à notre association pour l'aider dans sa démarche bulletin d'adhésion ICI.

                                                                                                                                                      

     

     

     

  • Immeuble aux arcades Temple-Pastourelle : les travaux vont enfin commencer !

    Pastourelle 35 angle temple fev 10
     Immeuble 35 rue Pastourelle (IIIe), aux arcades barricadées depuis un an par la mairie du IIIe pour éviter une occupation indésirable.

                                                                                                                                                                                                                                                       

    Le bâtiment fait partie de l'empire immobilier que France Telecom s'est constitué dans les années 50 sur le quadrilatère Temple, Pastourelle, Archives et (en partie) Haudriettes (IIIe). Nous en faisions la description en 2007en parlant des projets de l'opérateur, avec un point en 2009 sur l'avancement des opérations.

    S'agissant de l'immeuble "aux arcades", que des sans-abri avait investies avec du mobilier de fortune et dans des conditions sanitaires qui avaient été un souci journalier pour la mairie et la police, il avait été barricadé en attendant la solution à un conflit entre le propriétaire, France Telecom, et la Mairie de Paris. Celle-ci était intervenue pour exercer son droit de préemption sur une "déclaration d'intention d'aliéner" au bénéfice d'un rénovateur privé.

    Sans toutefois y mettre le prix. L'offre de la mairie, alignée sur l'évaluation des domaines, était 40% en retrait sur le montant prévu dans la transaction conclue. La justice, saisie par France Telecom, lui donna raison. La Mairie de Paris interjeta appel ….. On était parti pour une longue période d'immobilisme.

    Il fallut le pragmatisme du Maire Pierre Aidenbaum pour que l'affaire sorte de l'impasse. L'acheteur accepta de réserver un étage entier à un bailleur social. Cette concession lui valut d'obtenir son permis de construire en décembre 2009. Les travaux sont aujourd'hui sur le point de commencer.

    Cet immeuble a quelques particularités. Tout d'abord, il inclut l'espace sous les "arcades". Le domaine public disposait d'un droit de passage mais la municipalité y a renoncé. Les arcades vont donc être fermées dans la nouvelle configuration et l'espace récupéré sera affecté à des commerces qui occuperont tout le rez-de-chaussée, avec leur devanture à l'aplomb de la façade.

    Cette façade justement, qui est d'époque. C'est même tout ce qui reste du bâtiment originel du XVIIIème siècle. Elle a été conservée pour faire ce qu'on a appelé du "façadisme", avec une pointe de mépris. Il est vrai que cette démarche prive les architectes de toute occasion de briller mais quand on voit ce qu'ils ont fait de l'espace Beaubourg, du carrefour Temple-Michel le Comte (avec le gymnase et les constructions annexes), du centre scolaire et sportif Saint Merri, on se réjouit que le cadre architectural de l'espace Temple-Pastourelle n'ait pas été gâché par un ouvrage de la même veine.

    Dans un an, si tout se passe bien, le chantier sera terminé et les palissades retirées. On sera attentif aux activités économiques qui s'installeront au pied de l'immeuble. Les commerces de bouche, on n'y croit pas. Sont-ils d'ailleurs nécessaires en ce lieu précis ? des grossistes ? Ils renforceraient leur quasi monopole dans le quartier, sur un marché qu'ils qualifient eux-mêmes de morose. La tendance est plutôt à leur déplacement vers Aubervilliers. Des activités du tertiaire ? C'est dans la vocation du IIIe, au même titre que les métiers d'art. C'est ce que nous espérons.

                                                             

                                                                                                                                                      

                                                                                                                                           

  • Justice ou inquisition ? Cinq arrêtés du Maire de Paris pour traquer les fraudeurs au logement

    Orwell 1984 big brother

    C'est ce que penseront certains à la lecture de ces 5 arrêtés destinés "au traitement automatique des données à caractère personnel" pour lutter contre la fraude à la taxe foncière, ou son injustice, à la taxe d'habitation, à la taxe professionnelle (on croyait qu'elle n'existait plus), pour une meilleure connaissance des locaux vacants, avec un cinquième arrêté qui concerne l'analyse du fichier "liste 41" (fichier fiscal relatif au bâti et au non bâti, récemment dématérialisé).

     

    Ces arrêtés du Maire de Paris, Bertrand Delanoë, en date du 12 février 2010, pourraient être un mauvais calcul à la veille des élections régionales. Après une hausse massive des impôts locaux à Paris, l'annonce d'une nouvelle hausse en 2010, voici poindre la modification des "assiettes".

    En effet, il faut se rappeler que l'impôt acquitté est le fruit d'un calcul. Un pourcentage appliqué à une assiette (la base de calcul). Pour augmenter l'impôt, on peut augmenter le taux. On peut aussi augmenter seulement l'assiette et dire qu'on "ne touche pas à l'impôt" (astuce que beaucoup affectionnent et que le Maire de Paris a aussi pratiquée depuis son élection en 2001).

    On peut aussi, et c'est le sommet de l'art, augmenter les deux simultanément. Avec un petit truc auquel personne ne résiste : augmentez l'assiette de 25% et le taux de 25% par exemple. Le citoyen bon enfant va penser que la hausse est de 25+25=50 %. Eh bien non, les taux se multiplient, au lieu de s'ajouter, et la hausse résultante sera en réalité de 56,25%. Faites le calcul si vous doutez.

    La Mairie de Paris avait épuisé son capital d'acceptabilité de la hausse sur les taux. Opportunément ou fortuitement, elle nous prépare une nouvelle bonne surprise. Evidemment, elle nous dira, et ce n'est pas faux, que les impôts restent bas à Paris. Mais à trop les augmenter, cette argumentation finira par épuiser son crédit.

    La Commission Informatique et Libertés a approuvé ces dispositions, semble-t-il. Il ne nous reste plus qu'à être mangés tout cru.

    N.B. L'astuce qui détrône toutes les autres par sa subtilité, que la Mairie de Paris a utilisée en 2009, consiste à créer un nouveau taux, par exemple de 3%. Le citoyen bon enfant, le même que celui nommé plus haut, se dit qu'il s'agit d'un petit chiffre dont il ne percevra même pas les effets. En réalité, ces 3% s'ajoutent au taux ancien qui était de 7%. La hausse de l'impôt n'est plus symbolique, elle est de 3 rapporté à 7 soit 0,43 ou 43%.

                                                            

    Pour adhérer à notre association de défense des habitants du Marais, apolitique et culturelle cliquer ICI.                                                                              

      

  • Les jardins des hôtels de Soubise et de Rohan réunis seront-ils un jour accessibles au public ?

    Archives jardins google earth bis

    "Google Earth" nous offre cette belle photo satellite des jardins des hôtels de Soubise et de Rohan (IIIe)

                                                                                                                              
    On reconnait en bas à gauche l'entrée monumentale de l'hôtel de Soubise (60 rue des Francs-Bourgeois, IIIe) qui abrite le Musée des Archives nationales, au centre et à droite les jardins de l'hôtel de Rohan. Des habitants du IIIe, qui se sont exprimés récemment sur le sujet dans le conseil de quartier "Archives", se sont donnés comme objectif la réouverture au public de ces jardins.

    Il s'agit bien d'une "réouverture" car au début des années 90, après la construction du CARAN (centre d'accueil et de recherche des Archives nationales), Jack Lang qui s'était fait élire député de la circonscription, avait décidé de les rendre accessibles au public. 

    Les attentats de 1995 et les mesures de sécurité qui ont suivi ont eu raison de cette initiative.

    C'est un euphémisme de dire que les responsables actuels ne sont pas enclins à revenir sur une ouverture qu'ils considèrent incompatible avec la mission de conservation des archives de la nation. En clair, ils craignent l'intrusion de personnes malveillantes dans les bâtiments où sont conservés ces documents précieux et fragiles qui sont la mémoire de notre histoire.

    L'application du plan "vigipirate", en vigueur actuellement, et la perspective du déménagement en 2012 d'une partie des archives vers le nouveau centre de Pierrefitte, avec les rondes de camions qu'elle implique, ne plaident évidemment pas pour un assouplissement de cette attitude.

    A partir de 2012, si les tensions terroristes s'apaisent, le transfert vers Pierrefitte étant effectué, on pourra tenter une nouvelle fois sa chance ….

                                                                                                                                    

    Mots-clés : hôtels de Soubise, de Rohan, jardins, musée archives nationales, CARAN, ouverture jardins au public