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Étiquette : incendies 3ème rue du perche

  • Avalanche d’opérations de rénovation pour Noël dans le IIIe

    Archives 45 agence immo peinture 19 12 11

    L'agence immobilière "LAMY", 45 rue des Archives, refait sa devanture. D'ici une semaine, elle sera devenue gris clair.

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    Archives 49 edf 19 12 11

    49 rue des Archives (IIIe)

    Immeuble polyvalent EDF. Des logements, sur la rue de Braque, et ce grand postiche au 49 rue des Archives. Il fait face au mur de l'Hôtel de Soubise, qui abrite (encore) les Archives Nationales. C'est un pur habillage : les fenêtres ne sont pas fausses mais elles ne donnent sur rien. A l'intérieur, un grand transformateur haute tension qui alimente tout le quartier. Il fallait le cacher. EDF a construit ce bâtiment qui n'a pas vraiment de style mais qui s'intègre finalement assez bien dans le cadre prestigieux des monuments historiques que sont les Hôtels de Soubise et de Clisson et l'ancien couvent de la Merci.

    Une déclaration de ravalement a été déposée auprès de la direction de l'urbanisme de la Ville de Paris. Ce sera sans doute pour cet été.

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    Perche 16 incendie (1) 09 10 10Perche 16 après réparation 19 12 11

    16 rue du Perche, angle Charlot (IIIe)

    C'était en octobre 2010. Le 16 rue du Perche était dévasté par un incendie criminel que nous avons amplement relaté à l'époque. La façade a retrouvé son visage d'antan, rajeuni même. Une demande d'autorisation a été déposée pour les devantures. Même les motos et scooters, qui avaient servi de carburant pour l'incendie, sont de retour au pied de l'immeuble.

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    Charlot 35-37 immeuble 19 12 11

    Cet immeuble du 35-37 rue Charlot est un monument historique, inscrit à l'inventaire supplémentaire. Il va subir un ravalement. Nous verrons ce qu'il adviendra des photos que le photographe du Marché des Enfants Rouges placarde systématiquement sur le mur de la rue Charlot. Sans trop se soucier en apparence de savoir si le propriétaire est d'accord. Il est vrai que ce dernier est un des bailleurs-sociaux de la Ville (SGIM). Sachant que le bureau du maire du IIIe est à une portée de fusil, il ne se permettrait surement pas d'être en infraction ostentatoire. Pour le bonheur des passants, il faut bien le dire, car son exposition permanente ne manque pas d'intérêt.

     

     

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    Sourdis ruelle 19 12 11

    La ruelle Sourdis (relie Charlot à Pastourelle) (IIIe)

                    

    Qui n'a pas été surpris en passant par là de constater que l'échauguette qu'on aperçoit sur le côté de la ruelle est inachevée. Ses ouvertures sont "brutes de décoffrage", façon quasimodo. Elles méritent la vague de réprobation qu'elles soulèvent depuis 10 ANS !

    L'immeuble est au 17 rue Pastourelle (IIIe). La façade sur rue, le portail et le mur d'enceinte sont dans le même état d'inachèvement.

    Pastourelle 17 portail 19 12 11Derrière cette confusion, c'est un véritable psychodrame qui se déroule depuis 2001. A cette date, un promoteur réhabilite une parcelle et vend son programme par lots en restant toutefois majoritaire. Un des acheteurs et lui-même effectuent des travaux que les minoritaires n'approuvent pas. De là nait un conflit entre deux camps qui perdure. Les travaux sont gelés, les charges de copropriété ne sont pas réglées et les procédures judicaires s'enchaînent. Peut-être sommes-nous en vue d'un règlement : pour autant que le promoteur-propriétaire conclue prochainement la vente de deux lots, l'argent frais ainsi obtenu sera affecté à la finition des travaux et au paiement des arriérés de charges. Une demande d'autorisation de travaux, qui a été déposée dans cette perspective, fait espérer une issue prochaine à la crise.

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    Un commerce de gros, 26 rue Beaubourg, rivalise depuis longtemps avec le "Madarin Rambuteau", 11 rue Rambuteau (IVe) pour le titre d'enseigne la plus choquante du Marais, quand on sait à quel point les règles sont strictes dans ce secteur sauvegardé. Ils se retranchent derrière la prescription de 3 ans qui vise ce type d'irrégularité.

    Beaubourg 26 best foulards 19 12 1126 rue Beaubourg (IIIe), "Best Foulards"

                                                                                    

    Le règlement interdit les couleurs "criardes" et les enseignes agressives. Ici, on a les deux à la fois. On apprend heureusement que ce commerce de grossiste sera remplacé par un "Surgelés PICARD". Date prévisible : printemps 2012.

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    Voici le très pittoresque "passage Molière", qui abrite entre autres la "Maison de la Poésie" (IIIe)

    Passage molière 19 12 11

    C'est tout un bloc d'immeubles, de la rue St Martin (157 à 161) à la rue Quincampoix (82) qui s'apprête à subir un ravalement des façades sur rues et sur cours. On a affaire ici aussi à des immeubles inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.

     

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  • Des mystérieux panneaux indicateurs pour la marche à pieds dans Paris

    Panneau indicateur marche paris 

    Ils sont apparus il y a quelques jours dans le centre de Paris. L'initiative ne vient pas de la Mairie de Paris. Tant mieux pour elle, du reste, car si l'objectif de cette campagne (faire bouger) est louable, sa réalisation laisse à désirer : l'esthétique est indigente et les flêches se déforment, comme on le voit sur la photo, avant de tomber misérablement sur le sol. La Mairie se serait attiré nos critiques.

    Des panneaux du même genre avaient envahi la ville de Marseille fin décembre 2010. Nos amis provençaux s'étaient gratté la tête comme nous pour exprimer leur perplexité (voir quotidien La Provence) devant l'absence de "revendication". A regarder de plus près, cependant, on peut voir sur la tige centrale l'indication discrète, très discrète : www.mangerbouger.fr

    Il suffisait d'aller sur ce site pour découvrir que cette campagne est organisée par l'INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé). Elle est donc semble-t-il d'intérêt général. Bravo pour la bonne intention mais on sait que l'enfer en est pavé. Le résultat est très médiocre et l'environnement en souffre. Pourquoi avoir opté pour une démarche "sauvage" au lieu de la conduire en concertation avec la Mairie de Paris qui aurait sans doute veillé au respect des canons en la matière et, s'agissant du Marais, au règles spécifiques du secteur sauvegardé ?