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Étiquette : manu boucher

  • « Jules & Jim », le futur hôtel (de tourisme) de la rue des Gravilliers (IIIe), s’étend en occupant une partie de l’immeuble voisin.

    Gravilliers 7

    Derrière cet immeuble du XVIIIe siècle, remarquable par la majesté de sa façade (qui souffre cependant du mauvais goût des devantures), son portail à consoles cannelées et ses ferronneries, au fond de la cour, se cache un bâtiment de quatre étages avec combles et sous-sol qui abritait des activités d'artisanat. Il a été acquis par le promoteur de l'hôtel en construction au n° 11 de la rue, à l'emplacement des ateliers POCHAT, dont l'enseigne trône encore au sommet d'un pan de façade.

    C'est maintenant un secret de Polichinelle : la création d'un hôtel (de tourisme) dont nous parlions dans notre article du 16 février se confirme. Sur un site encore très confidentiel et inachevé, ses propriétaires en font une publicité discrète mais alléchante (site Jules & Jim).

    Quand nous évoquions, avec le Maire du IIIe, Pierre Aidenbaum, le devenir de la rue des Gravilliers le jour où le monopole du commerce de gros cèderait la place à une véritable diversité, nous pensions aux commerces de bouche (à propos, le boucher "Manu" se déclare très satisfait de ses affaires et parle de s'agrandir), aux professions libérales, aux galeries d'art, aux activités tertiaires en général mais certainement pas à la création d'un hôtel. D'autres l'ont osé et c'est tant mieux. Leur réussite signera indiscutablement le renouveau de la rue et, par contagion, du quartier.

       

  • Il est grand temps de supprimer les cabines téléphoniques ….

    Cabine téléphonique

    Une cabine téléphonique France Telecom parmi d'autres, dans le Marais.                                 

                                                           

    Victime des vandales, des artistes tagueurs, des afficheurs sauvages et tout simplement de leur âge, ces cabines, vestiges d'un autre temps, d'une technologie révolue, se dégradent et défigurent le paysage des rues.

    Elles n'ont plus de justification. Il y a en France, peu ou prou, autant de téléphones mobiles que d'habitants. Qui a encore besoin de ces équipements ? En cas d'urgence, il y aura toujours quelqu'un pour proposer son portable.

    On peut, à la rigueur, si le besoin est démontré, maintenir ici ou là un téléphone mural. Il sera lui aussi saccagé, mais il nous sera épargné les tags et les affiches.

                                   

    Mots-clés : cabines téléphoniques mobilier urbain