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Étiquette : pâtisserie « Bontemps

  • « Bontemps », une pâtisserie fine rue de Bretagne (IIIe)

    A7Façade de la pâtisserie "Bontemps" 57 rue de Bretagne (IIIe) (Photo VlM)

     

    Une ancienne de la haute finance qui s'est lancée dans les gâteaux pour créer la Maison Bontemps 57 rue de Bretagne (IIIe). L'évolution n'est pas peu banale.

    Le magasin est discret et fait face au Square du Temple. Mais lorsque l'on pénètre dans la pâtisserie le décor est soigné avec sa jolie vitrine bleue remplie de présentoirs à gâteaux anciens, cette belle vaisselle d'autrefois qui rappelle le « bon temps ». Le laboratoire est au sous-sol.

    A7Intérieur de la pâtisserie "Bontemps" (Photo VlM)

     

    Quant aux gâteaux il sont aussi agréables à l’œil que délicieux. Fiona, la responsable passionnée, vous explique chaque fabrication et vous oriente plutôt vers le cœur Framboises de Corrèze et Fruits de la Passion, le Bontemps Pistache Bio de Sicile ou l'exceptionnel cake au citron, le sablé restant la base des productions.

     

    A7La vitrine bleue et la collection de ses présentoirs à gâteaux en porcelaine (Photo VlM)

     

    Un spécialiste de la pâtisserie a écrit sur cette maison … "La pâte et les préparations sont réalisées chaque jour avec les meilleurs produits. Les ganaches sont légères, les accords de saison (fruits), les chocolats et le pralinés reçoivent de notre part une médaille d’or. L’ acidulé des fruits de la passion semble avoir trouvé sa moitié avec le sel de Guérande discret de la pâte sablée".

    Alors avis aux gourmets et aux gourmands.

     

  • Et si, comme l’envisage Berlin, les gobelets jetables et autres canettes étaient taxés

    Pollution-et-course-a-piedDes gobelets à la volée jetés à terre

     

    Face à la montée de la consommation de cafés à emporter, des sénateurs berlinois proposent d’appliquer une taxe "de 10 à 20 centimes" sur chaque café vendu afin de pallier la problématique des gobelets qui jonchent les rues et qui sont devenus avec les cartons à pizzas (qui seraient taxés eux aussi) une réelle plaie pour la ville.  

    Les estimations portent à 280 millions le nombre de gobelets et tasses jetables vendues chaque année dont une part importante ne finit pas dans les poubelles…

    Les pollueurs, c’est-à-dire les commerçants, supporteraient cette taxe qui risque fort d’être répercutée sur les consommateurs qui ne changeraient sûrement pas leurs habitudes. En revanche la ville aurait ainsi une rentrée fiscale non négligeable de 56 millions € par an, ce qui donnerait des moyens accrus pour améliorer la propreté, mener des campagnes de sensibilisation  et disposer de davantage d’agents pour verbaliser … 

     

    Crédits photo : Mairie de Paris

    Affiche de la dernière campagne de prévention de la Mairie de Paris en faveur de la propreté   

     

    On peut même se demander si cette initiative ne risque pas d'agir comme un catalyseur du comportement incivique. On a affaire ici, c'est vrai, à des allemands …. Avec des français, dont l'esprit frondeur est connu, sachant que le traitement des déchets est frappé d'une taxe ad-hoc nos compatriotes se sentiraient autorisés à se débarrasser de l'objet encombrant en le jetant sur la chaussée sans aucune vergogne.

    L’idée n’est pas nouvelle, toutefois, puisque le "Grenelle de l’Environnement" avait imaginé une "taxe pique-nique", vite enterrée, de 0,90 € par kilo de vaisselle jetable (4 milliards de gobelets sont utilisés en France chaque année).

    Celle-ci mériterait d’être ressortie des cartons car Paris, et d’autres villes, rencontrent  les mêmes problèmes  qu’à Berlin (canettes, verres  et tasses jetables, mégots, bouteilles et verre cassée …). Ce n'est pas en effet, même si elle est louable, la campagne annonçant une amende de 35 € à tout contrevenant  en train de jeter à terre une canette ou une boîte de pizza et de surcroît pris sur le fait qui va enrayer ce type d'incivilité, sachant qu'il n'y aura comme d'habitude personne pour les constater.

    Il ne pourrait plus nous être opposé, comme souvent, que les moyens manquent pour améliorer la propreté, sa prévention et celle de l’alcoolisme. Sauf que, on peut prendre les paris, cette manne aurait tôt fait de combler d'autres déficits sans aucun rapport avec le sujet qui nous occupe.

    Car chacun le sait, la Ville de Paris cherche des recettes supplémentaires. Alors, pourquoi pas, qu’elle ose comme Berlin  taxer les pollueurs ! Et que l’on ne nous dise pas qu’une telle décision risquerait de désavantager Paris dans cette soi-disant course-compétition entre grandes villes de vouloir figurer au  premier rang des destinations pour les fêtes nocturnes…

    Dominique Feutry