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Étiquette : terrasses de bars

  • Miracle aux Arts & Métiers : une terrasse qui régresse !

    Terrasse arts & métiers

    Terrasse arts & métiers dégagée 17 10 11
    Carrefour des Arts & Métiers (IIIe), en juin 2011 photo du haut, en octobre (de la même année), photo du bas

     

    Est-ce l'effet du nouveau règlement des terrasses ? d'une intervention du Maire du IIIe ? du froid ? d'une prise de conscience de l'exploitant de l'établissement qu'il était allé un peu loin ?

    Vraisemblablement rien de tout cela, à moins qu'on ne nous confirme l'une de ces hypothèses. Il y a eu des travaux de voirie pour le réaménagement du carrefour. Il a fallu dégager le trottoir. Va-t-on en rester là ou assistera-t-on, dès la fin des travaux, au retour inexorable de la rangée supplémentaire et illicite de tables et de chaises ?

     

  • Appel aux amis des bêtes pour adopter les « chats des Halles »

    Chat des halles

     

     

    SOS pour les 60 CHATS du Jardin des Halles de Paris, en voie de démolition :

       appel à tous les amis des animaux

     

    Janvier 2011 : Des palissades sont érigées en vue de la destruction imminente du jardin Lalanne et d'une grande partie du jardin des Halles de Paris.

    L'association CHADHAL recherche donc d'urgence des lieux d'hébergement publics ou des familles d'accueil patientes, disposant d'un grand appartement ou d'un jardin, dans toute la France, afin d'accueillir des chats libres du jardin, adultes, tatoués et stérilisés.

     Ces chats libres, nourris par l'homme, sont magnifiques, pacifiques mais non domestiqués. Certains acceptent néanmoins les caresses et pourront être domestiqués à moyen terme.

    Ils sont menacés par l'ampleur des travaux à venir qui les privera d'un territoire stable.

    Plusieurs années de chantier sont prévues.                                               

     

    MERCI D'AVANCE

     

    Pour en savoir plus : Cliquez ICI

     

    Renseignements: chadhal@free.fr

     

    Tél. si vous avez une solution : 06 08 62 44 36

  • Interview sur les terrasses de Paris pour National Public Radio (USA)

    Interview national public radioLe président de "Vivre le Marais !" répondant pour "Vivre Paris !" aux questions d'Anita Elash, micro à la main, correspondante de "The World", pour le compte de National Public Radio.

     

    Nos amis d'outre Atlantique ont souvent du mal à nous comprendre. Il arrive, comme c'est le cas aujourd'hui pour les terrasses, qu'ils dépêchent un journaliste pour démêler sur place un sujet qui, dans leur logique, leur semble surréaliste.

    Le dossier des terrasses en fait partie. Nous sommes les spécialistes en France des mesures antagonistes : on interdit de fumer dans les salles mais on prie les fumeurs d'aller en terrasse et on ouvre la boite de Pandore. On interdit de consommer debout sur le trottoir mais les attroupements autour de certains bars jouissent d'une impunité surprenante. Aux USA, en Californie et à New-York maintenant, au moins c'est clair : il est interdit de fumer où que ce soit.

    On y viendra …. dans dix ans. Avec ce décalage qu'on retrouve systématiquement sur toutes les décisions de bon sens ou de santé publique qui ont été prises dans les pays civilisés et qui sont inévitablement décriées chez nous à leur annonce. Exemple : la limitation de vitesse sur routes, la ceinture de sécurité, les phares blancs et plus récemment l'interdiction (encore partielle) de fumer.

    Anita Elash  attendait essentiellement deux réponses : d'abord la confirmation que "Vivre Paris !" ne veut pas la mort de Paris. Le nom même de notre réseau est un clin d'oeil à "Vive Paris !" Qui a bien pu lui souffler une pareille ineptie ? Il n'est pas très difficile de deviner : ceux qui font des affaires mirobolantes avec la vente de boissons la nuit et qui en veulent davantage. Rappelons que le nombre de visiteurs à Paris cet été a battu tous les records. Il n'a pas été non plus très difficile de lui montrer que nous oeuvrons pour le rayonnement et la réussite économique de Paris, qui reposent sur d'autres critères bien plus valorisants que la fruste consommation nocturne d'alcool.

    Elle a voulu aussi savoir pourquoi nous acceptons chez nous de chauffer les terrasses, c'est à dire l'atmosphère, et pourquoi ce serait un moindre mal d'imposer l'électricité. Nos explications sur la transmission de chaleur par rayonnement dans l'infrarouge, propre à l'électricité, et la transmission par convexion, plus caractéristique du chauffage au gaz, le fait que cette source de chaleur implique une combustion, génératrice de dioxyde et de monoxyde de carbone, et pas l'autre car notre électricité est d'origine nucléaire, l'ont amenée à nous faire répéter deux fois les explications. La vraie question, sous-jacente, est restée sans réponse, car il n'y en pas : "comment est-il concevable, en période d'économie d'énergie, qu'on en vienne à chauffer les rues ?"

    Il n'est pas sûr que ses auditeurs comprendront les finesses du raisonnement parisien. National Public Radio diffuse sur tout le territoire américain, sur le modèle de la BBC anglaise. Nous sommes honorés que notre message aille aussi loin et bien que conscients que nul n'est prophète en son pays nous aimerions que ceux qui prennent pour nous des décisions regardent bien en face nos contradictions et s'appliquent à les résoudre.

     

     

  • « Vivre Paris ! » : une délégation reçue par le cabinet de Bertrand Delanoë

    Hôtel de ville entrée lobau

    Hôtel de Ville, entrée 5 rue de Lobau (IVe)

                                                                                   

    En réaction aux exigences irrecevables formulées par les participants à "l'observatoire des lieux de vie et de diffusion musicale", qui se sont fait l'écho de la campagne de communication lancée par les professionnels de la nuit et de la boisson sur le thème de "Paris se meurt, Paris s'endort", nous avons adressé  cette lettre à Bertrand Delanoë le 10 février 2010.

    Renaud Helfer-Aubrac, membre de son cabinet, nous a reçus hier en nous assurant que le Maire était "très sensible aux problèmes que nous évoquions". Nous en avons pris acte.

    Nous étions trois pour représenter le réseau "Vivre Paris !". Nous pensons avoir été entendus. Nous avons désormais l'assurance de participer de façon active (pas seulement dans la salle, mais à la tribune) aux "états généraux de la nuit" lorsqu'ils se tiendront, à l'initiative de Ian Brossat, président du groupe communiste à la Mairie de Paris.

    Pour "Vivre le Marais !", et pour toutes les composantes du réseau "Vivre Paris !", la qualité de vie des parisiens passe par la maîtrise du bruit la nuit et l'utilisation équitable de l'espace public.

    A ce propos, "Vivre Paris !" a remis un texte qui est notre contribution à une évolution de la réglementation des terrasses que la Mairie de Paris étudie actuellement. Cette démarche nous préoccupe, compte tenu de l'explosion des terrasses constatée depuis que la loi anti-tabac interdit de fumer dans les lieux publics.

    Loin d'admettre qu'il faut élargir l'emprise des bars, nous considérons comme une limite à ne pas dépasser celle qui résulte de l'application de la règle actuelle à savoir "un tiers pour la terrasse et deux-tiers pour les piétons", avec un minimum de 1,60 mètre, que nous aimerions voir passer à 1,80 mètre, avant le premier obstacle.

                                                                                                                                        

  • Plan de prévention contre le bruit : dernier sursis pour la Mairie de Paris

    Bruit sommeil troublé 

    Comment dormir la nuit quand c'est la fête autour de vous ?

                                                                                                                                           

    Cette photographie onirique décrit les tourments d'un brave garçon qui cherche à dormir quand tout s'agite autour de lui. En vérité, elle le rend plutôt antipathique avec son air grincheux et ses accessoires du dormeur : T-shirt démodé, pantoufles, lampe de chevet et réveille-matin.

    Ne rions pas trop de nous-mêmes. On a tendance de nos jours à considérer que l'agressé n'a que ce qu'il mérite. Le bruit, quand il empêche les gens de se reposer la nuit est une vraie torture. En particulier lorsqu'il prend la forme d'un motif rythmé de musique amplifiée, avec des basses qui se transmettent par la maçonnerie des immeubles. Même faible, un son répétitif agit sur l'organisme comme un supplice chinois.

    Selon Bruitparif, dont nous avons rencontré la Directrice Fanny Mietlicki, les franciliens considèrent le bruit comme la nuisance environnementale numéro 1. Pour les uns, il s'agit des avions. Pour les autres, de bruits de circulation autoroutière ou ferroviaire. Pour nous, à Paris, le bruit est lié à la circulation automobile et au voisinage.

    Une directive de la Commission des Communautés Européennes émise en 2002 imposait aux Etats membres de publier une carte du bruit pour les grandes villes et, au plus tard en 2006, un plan de mesures visant à éliminer le bruit. La Ville de Paris, dès 2003, publiait une carte du bruit disponible sur Internet. Considérant, ce qui est vrai, que le bruit est fortement corrélé au trafic automobile, la Ville s'était bornée à faire un changement de la variable trafic en variable bruit, en introduisant tout de même quelques modulations intelligentes telles que la nature du revêtement, l'éloignement des façades, etc …

    Cette "carte du bruit" ignorait complètement les émergences locales telles que concerts de klaxons dus aux encombrements ou diffusion de musique amplifiée. Des campagnes de mesures ont eu lieu depuis pour réconcilier la théorie avec la réalité mais l'échantillonnage est resté trop faible pour que le résultat reflète la réalité telle qu'on la perçoit.

    En tout état de cause, le diagnostic est intéressant mais l'important est le plan d'action qui en découle. La Commission fixait 2006 comme date limite aux grandes villes pour annoncer leur plan. La Mairie de Paris s'en est provisoirement acquittée en annonçant effectivement un plan PLAN 2006, qui n'a pas reçu le commencement d'une exécution 4 ans après.

    On y trouvait pourtant des propositions intéressantes, notamment l'éradication du bruit des klaxons, particulièrement désagréable et stupide, ou la création de médiateurs dans les mairies pour régler les conflits provenant des "lieux de vie" (bars, discothèques ….). Mais pour cela, il faut des mesures, et pour le moment nous sommes forcés de constater qu'il n'y en pas. Dans les milieux proches du sujet, on estime cependant que la Mairie de Paris ne peut pas différer ces mesures au-delà de la fin de cette année.

    Cette obligation heurte de front la démarche des professionnels de la nuit et de ceux qui les soutiennent. Comment lutter contre le bruit si on autorise les bars à diffuser de la musique et à faire danser toute la nuit ? Si on renonce aux fermetures administratives de ceux qui enfreignent les règlements de façon répétitive ?

    L'idéal serait bien sûr que les intéressés agissent avec responsabilité et modération. Un lieu de diffusion de musique correctement insonorisé, un niveau de son maitrisé, des consommateurs respectueux du voisinage peuvent parfaitement cohabiter avec les riverains. Bruitparif teste actuellement un appareil mis au point en Scandinavie, qui ressemble à une grande oreille, dont la couleur varie en fonction du niveau de bruit. Les seuils sont ajustables. Le gérant de l'établissement peut ainsi montrer à ses clients si le bruit qu'ils génèrent se situe en zone verte, orange ou rouge. Un appareil de ce type est en cours de test en ce moment dans un pub du XVIe.

                                                                                                                                          

    Bruitparif indicateur

     

           

                                                                                                                                                                                         

  • Aménagement de la rue des Archives-sud : la Maire Dominique Bertinotti nous invite à clore le débat

    Archives 43 comptoir archives bas

     Une terrasse qui défie la réglementation et les lois du fil à plomb (carrefour Archives-Rambuteau – IVe)

     

    La Maire du IVe avait réuni le 13 janvier l'instance de la rue chargée de délibérer sur les aménagements des trottoirs, dont il question depuis deux ans maintenant. On trouvait rassemblés autour de Gérard Siad, président du SNEG (syndicat national des entreprises gay), un groupe de commerçants de la rue, gérants de bars essentiellement, et un nombre à peu près identique de riverains, membres de notre association pour la plupart.

    Il convient, avant de développer le point qui a fait débat, à savoir la terrasse du COX, de souligner que de nombreuses améliorations, parfois cosmétiques mais certainement pas inutiles, ont été adoptées : déplacement de containers, suppression d'une cabine téléphonique, modification de feux rouges etc ….

    Sur la question des terrasses, Mme Bertinotti avait tranché il y a trois mois (voir article du 9 octobre 2009) en faveur du statu quo en matière de voirie assorti d'une obligation pour les commerces de délimiter leur emprise sur les trottoirs par des parois fixes, jardinières ou cloisons rigides.

    Après réflexion, et examen d'une protestation écrite des commerçants, elle lâche du lest sur les cloisons et décrète un statu quo sans conditions. Et elle reprend son idée de charte de bonne conduite, que les commerçants et les habitants doivent conclure ensemble.

    Sa marche arrière aurait pu nous choquer. En notre âme et conscience, nous avons estimé que la généralisation de terrasses fermées, alors même que le problème se pose principalement pour un bar de la rue, aurait alourdi inutilement le paysage ambiant en créant des ajouts inesthétiques le long des immeubles.

    Nous nous sommes donc rangés au statu quo intégral, sous réserve naturellement qu'il ne soit en aucun cas interprété comme une amnistie des irrégularités existantes. Des terrasses "rideaux de douche" à l'image de la photo ci-dessus, qui inversent à leur profit la règle "un tiers/deux tiers (*)", sans oublier les attroupements du COX le soir, dont le cordon en début de soirée est bien au-delà de la limite sachant qu'il subit au fil des heures un tropisme irrésistible vers le bord du trottoir.

    Nous nous retrouverons prochainement avec le président du SNEG et les autres participants pour établir la charte dont nous veillerons qu'elle ne contredise en aucun point les lois et règlements en vigueur. Cela va de soi, nous a dit Dominique Bertinotti ; sans doute mais nous lui avons rappelé que la Mairie de Paris n'a pas hésité en 2007, à signer une charte avec  l'association "Les motards en colère", qui est en opposition avec le code de la route.

                                                                                                                    

    (*) un tiers pour la terrasse, deux tiers pour les piétons, mesurés avant obstacles tels que lampadaires, poteaux, arbres etc …

    Pour rejoindre notre association agréée,
    loi de 1901, apolitique et culturelle,
    Cliquer
    ICI

      

  • Une association se crée pour lutter contre les nuisances nocturnes d’un bar

    Archives 51 haudriettes 3 Haudriettes 2 connétable bis

    Face à face, l'immeuble du 51 rue des Archives et le restaurant bar de nuit "Le Connétable" (IIIe)

                                                                                                                                          

    Les immeubles du 51 rue des Archives (IIIe) font partie du parc de logements locatifs de la Ville de Paris.  Précédemment gérés par la SAGI, la Mairie de Paris en a transféré le mandat récemment à  PARIS  HABITAT, un autre bailleur social de la Ville. La résidence comporte 57 logements qui donnent sur les rues des Archives et des  Haudriettes.

    Les locataires viennent de décider la constitution d'une association pour lutter contre le bruit généré par les usagers du bar de nuit "Le Connétable" situé juste en face dans l'immeuble du 2 rue des Haudriettes, dont les habitants se battent depuis plusieurs années pour avoir la faveur de dormir la nuit.

    L'association se nomme "AL du 51 Archives". Elle est présidée par Marie Cazaux. Ses griefs : les consommateurs du bar se répandent la nuit sous les fenêtres des résidents et, l'alcool aidant, parlent bruyamment quand ils ne hurlent pas, laissent des détritus partout, urinent, vomissent, taguent et laissent la place immonde à six ou sept heures du matin.

    L'association s'est rapprochée de nous. Dans un souci de conciliation nous en avons reçu la présidente ainsi que la gérante du bar et la représentante de l'immeuble qui l'héberge. Un consensus se dégage sur le diagnostic : les consommateurs viennent dans ce bar pour finir leur nuit en bacchanale. Quand les restaurants et les bars comme "La Perle", qui attire chaque soir des centaines de personnes, ferment, entre minuit et deux heures du matin, leur clientèle se dirige vers les établissements qui ont l'autorisation de nuit, dont on regrette qu'elle ait été distribuée avec une largesse excessive par la préfecture de police de Paris.

    La gérante reconnaît son incapacité à gérer les débordements de ceux qui ont trop bu  (mais qu'elle a accepté de servir).  Elle s'engage à mieux faire la police et à nettoyer les lieux après la bataille mais elle envisage des mesures plus radicales : rendre à l'établissement sa vocation première de restaurant de qualité et limiter l'ouverture de nuit à deux ou trois jours par semaine.

    Nous lisions aujourd'hui avec étonnement un article du "Parisien" qui rapporte la complainte des gérants de bars de nuit parisiens, qui se plaignent de la réaction des habitants :  "Paris est à la traine par rapport aux autres capitales européennes", disent-ils. Nous sommes surpris que "Le Parisien" se fasse l'écho de pareilles sornettes. Paris est la ville la plus visitée du monde.  Villes les plus visitées, Wikipédia             

    Le IVe arrondissement, avec 15 millions de touristes par an, tient à lui seul un record. Il n'est pas étonnant que les bénéficiaires du business nocturne en veuillent encore plus, mais par pitié, qu'ils ne cherchent pas à nous faire passer des vessies pour des lanternes.

                                                                                                                                            

  • Valse des galeries d’art rue Michel le Comte (IIIe) : Art Twist disparaît, BBV Galerie s’installe à côté

    Michel le comte galeries 

    A gauche "Art Twist", au 32 de la rue Michel le Comte (IIIe), à droite "BBV Galerie", dans l'immeuble voisin. Elles ont coexisté "ce que vivent les roses, l'espace d'un matin".

     

    C'est bien triste : la galerie "Art Twist" jette l'éponge. Nous l'avions adoptée car elle était source de jouvence dans cette rue un peu austère, avec ses peintures rafraîchissantes d'artistes contemporains, talentueux mais généralement peu connus, qui vendaient leurs oeuvres à des prix que des bourses modestes pouvaient s'offrir. Le local est désormais "à louer".

    En manière de consolation, Aram Berbérian inaugure sa galerie au 30, dans cet immeuble en pierre de taille, époque Louis XIV, qui possède une porte cochère "dont les deux vantaux sont ajourés à la partie supérieure d'impostes en fer forgé" (A. Gady, Le Marais).

    A l'issue d'une rénovation réussie, on ne reconnaît plus le local crasseux qui faisait se détourner le regard des passants. La galerie est grande et lumineuse. Aux murs en ce moment et jusqu'au 6 juin, une exposition de peintures récentes de Jens Ferm, un suédois ancien élève des Beaux-Arts de Paris (dont on peut voir d'autres oeuvres au Centre Culturel Suédois, 11 rue Payenne – IIIe).

    Nous souhaitons longue vie à BBV Galerie et du succès à Aram, habitant du IIIe, qui a décidé d'investir dans l'art.

                                                                                                                            

    Mots-clés : rue Michel le Comte, galeries d'art, Jens Ferm, Aram Berbérian