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Étiquette : théâtre tour vagabonde

  • « Tour Vagabonde », « Mille Chandelles » et « Pinte à Fondue »…

     

    La-Tour-Vagabonde
    Le théâtre "La Tour Vagabonde"

    Une construction bizarre a fait son apparition depuis peu dans le jardin de la Cité des Arts, 18 Quai de l’Hôtel de Ville (IVe).  Il s’agit d’un théâtre en bois, le pendant non prévu de la salle éphémère de la Comédie Française dans les jardins du Palais Royal. Elle étonne tant par sa forme circulaire que par l’emplacement où elle a été autorisée à s’installer face à l’Ile Saint-Louis.

    Ce bâtiment de 12 m de diamètre et près de 11 m de haut est en tous points dans l’esprit des théâtres anglais des XVIe et XVIIe siècles. Les spectateurs disposés en cercle au sol et dans les gradins sont au plus près des acteurs et de la scène. Le "Théâtre des Muses" qui a fait l’objet d’un article (31 janvier 2013) de "Vivre le Marais !" avait adopté cette disposition des spectateurs, mais ceux-ci étaient debout alors que dans le cas présent ils seront assis sur des chaises ou des bancs.

    Certains poussent la comparaison jusqu’à dire que ce théâtre installé temporairement est analogue au fameux "Globe Theater" de Londres sous l’ère élisabéthaine. Appelée la « Tour Vagabonde », cette salle de spectacle est née en suisse avec la vocation d’être nomade. Il faut 4 jours pour la monter tel un meccano. L’accès aux gradins se fait par un escalier intérieur.

     
    Tour Vagabonde intérieur 28 03 13
     Intérieur du Théâtre

    La "Compagnie des Milles Chandelles" qui va s’y produire est constituée de comédiens issus pour nombre d’entre eux du cours de Jean-Laurent Cochet. Ils déclament mais chantent aussi sur la musique élaborée à partir de partitions classiques connues. Les représentations programmées sont celles de Shakespeare : En soirée, « Roméo et Juliette » jusqu’au 19 juin et en après- midi, du 21 mai au 07 juin, « Comme il vous plaira ». Il est aussi prévu d’intéresser le jeune public avec un spectacle en matinée inspiré du célèbre auteur anglais.

    Enfin pour être complet, signalons qu'il est aussi possible de suivre des stages de théâtre et une master class. Outre les remorques que l’on aperçoit et qui constituent les loges, une seconde construction, plus petite, jouxte le bâtiment principal. Il s’agit de la « Pinte à Fondue » c’est-à-dire la « Win stub » du théâtre où les passionnés de beaux vers pourront échanger autour d’une raclette ou d’une soupe. Si certains ont pu dire que cette salle était un véritable bijou, nous comprenons mieux pourquoi elle a pu s’installer dans un endroit aussi prestigieux que le Marais. Augurons d’un beau succès pour les représentations prévues comme cela fut le cas à Metz, Nancy, Dijon ou Fribourg.

    Dominique Feutry

     

     

  • Le COX maintient son dépôt de plainte au pénal contre « Vivre le Marais ! » et son président

    Palais justice 03 02 12

    Palais de justice de Paris (Ie) : Tribunal de Grande Instance, Cour d'Appel, Cour de Cassation, Cour d'Assises

         

    L'histoire commence le 3 décembre 2010.  Au moment où une pétition de 50 noms était remise à la Maire du IVe de l'époque, Dominique Bertinotti, contre le projet de boîte de nuit de la rue Pierre au Lard (IVe), (dont le permis de construire vient d'être annulé par le Tribunal Administratif), nous recevions une assignation à comparaitre devant le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris, pour diffamation et injures publiques sur ce blog, suite à une plainte de la "société BRV" et de M. Frédéric Hervé, gérant du COX – 15 rue des Archives (IVe).

    Le 28 janvier 2011, deux mois après, une ordonnance du juge des référés prononçait la nullité de l'assignation et condamnait les plaignants, la "société BRV" et M. Frédéric Hervé "in solidum", à nous verser 2.000 €.

    Ces derniers ont choisi de nous poursuivre "au fond". Nous avons alors rencontré par deux fois un juge d'instruction, en compagnie de notre avocat, puis nous avons été "cités à comparaitre" le 8 janvier devant la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris qui nous a signifié, ainsi qu'à nos adversaires, que l'affaire sera jugée à l'audience du 26 novembre 2013.