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Étiquette : vincent roger

  • Île Saint-Louis : Vincent Roger, chef de l’opposition LR/UDI/Modem dans le IVe, répond à la lettre du Maire Christophe Girard

    Roger vincent 24 02 14Vincent Roger campagne 2014 (Photo VlM)

     

    Échange de bons procédés entre le Maire du IVe et le chef de son opposition Vincent Roger à propos de la circulation et du stationnement dans l'Île Saint-Louis (IVe).

    A l'origine, des débats houleux au sein du conseil de quartier de Îles et en mairie où une réunion appelée par Christophe Girard le 28 janvier  attira autour de deux cents personnes (notre article du 16 février).

    Nous avons publié le 16 février la lettre ouverte de M. Girard à l'opposition municipale représentée pas Nathalie Kosciusko-Morizet et Vincent Roger. Nous recevons aujourd'hui, sous forme de "droit de réponse" la lettre que M. Roger nous demande de publier.

    Accéder à la lettre de Vincent Roger

     

  • Rencontre avec la direction de la propreté de Paris-Centre

    P1080623De gauche  à droite : Dominique Feutry et Gérard Simonet (qui prend la photo), Patrick Nieps, Lionel Bourgeois, Gérard Metais et Brigitte Igalens (Photo VlM)

     

    Dans le sillage de notre entretien de novembre à l'Hôtel de Ville avec Mao Péninou, Maire-Adjoint de Paris en charge de la propreté et de l'eau, nous avons été reçus par Patrick Nieps, chef du service technique de la propreté de Paris pour la division regroupant les 1er, 2ème, 3ème et 4ème arrondissements, accompagné de Gérard Metais, responsable de la propreté du IIIe, Lionel Bourgeois, chef d'exploitation et Brigitte Igalens en charge de l'animation.

    Nous avons demandé si des explications pouvaient nous être données quant au récent dysfonctionnement de l'application « DansMaRue » qui permet de faire enlever tags et affiches sauvages. Un problème informatique entre la Mairie et le sous-traitant, touchant plusieurs arrondissements, dont les nôtres, et difficile à résoudre, en a été la cause. Il est aujourd'hui corrigé.  A cette occasion nous avons appris que les tags et affiches prônant la haine raciale ou religieuse, ou obscènes, étaient enlevés très rapidement (sous 4 heures en principe) sauf le week-end où une brigade dédiée appelée « la fonctionnelle » est chargée alors d'intervenir sur tout Paris. Depuis le 1er octobre les amendes à l'égard des tagueurs (ou poseurs d'affiches sauvages) pris en flagrant délit sont passées à 68 € contre 35 €, mais le montant n'est pas encore assez dissuasif.

    En matière d'affichage sauvage, nous nous demandons si le recours au « recouvrement d'office » qui fait partie de l’arsenal répressif est appliqué  à l'encontre des éditeurs d'affiches ? Il nous est répondu qu'au cours des trois  derniers trimestres, 7 « recouvrements d'office » ont été pratiqués sur nos deux arrondissements représentant 7.000 € d'amendes (fixées à partir du coût du déplacement des équipes d'enlèvement et en fonction de la surface a traiter).  Cela reste insuffisant mais nos interlocuteurs semblent assez peu motivés car ils considèrent que les montants de ces amendes sont faibles et intégrés à l'avance par les fournisseurs dans la facturation de leurs clients !

    Francs-bourgeois lamoignon tagué 04 11 15Un des hauts-lieux désormais de l'affichage sauvage : l'Hôtel de Lamoignon, carrefour Francs-Bourgeois/Pavée (IVe) (Photo VlM)

     

    Notre point de vue diffère : les montants peuvent être dissuasifs mais les commanditaires de l'affichage intègrent dans leur provision pour amende la très faible probabilité que la procédure soit déclenchée. Nous insistons pour que les interventions de la mairie à ce titre soient plus nombreuses, voire systématiques. C'est la condition, nous semble-t-il, pour que soit assuré un environnement de qualité.

    Les responsables de la propreté précisent que toute publicité au sol entraîne dorénavant un dépôt de plainte de la Ville. L'abondance de  flyers , la plaie des rues des Francs-Bourgeois, des Archives et Sainte Croix de la Bretonnerie, est difficile à combattre puisque les agents ne peuvent enlever que les flyers à terre ou sur les rebords de fenêtres et non sur les automobiles qui sont des propriétés privées… Il semble toutefois qu'il y en ait moins actuellement, mais n'est-ce pas lié à la saison ? Cependant les flyers auto collants restent légion sur les gouttières, le mobilier urbain et  les armoires électriques dont l'entretien, nous l’apprenons, est dévolu à la Direction de la Voirie. 

    Flyers ste croix 05 04 14 (2)Le fléau des flyers. Ici, rue Ste Croix (photo VlM)

     

    Le plan de nettoiement est organisé en concertation avec les mairies d'arrondissement et en fonction de remontées du terrain, des constats réalisés et des saisons (en été il y a afflux de visiteurs, en automne les feuilles tombent… Le balayage est effectué  en règle générale 6 jours sur 7 et les trottoirs sont lavés au moins un jour par semaine, sauf dans les endroits où il est nécessaire d'agir plus fréquemment. Bien entendu cela est en relation avec les effectifs présents, ainsi le dimanche seulement la moitié des agents est en fonction.

    Il ne nous a pas été caché que des inspecteurs en civil ou en uniforme intervenaient pour verbaliser en flagrant délit les incivilités comme les dépôts illégaux de sacs de gravats ou d'appareils ménagers dans la rue voire dans des squares. L'amende selon les conditions de réalisation de l'infraction peut atteindre 1.500 €.

    L'état déplorable du jardin de la place Renée Vivien (IIIe), au carrefour Temple/Haudriettes a été abordé. Le comportement inadmissible d'un propriétaire de trois énormes chiens va faire l'objet d'un traitement approprié. Il les amène là tous les jours pour batifoler dans la végétation, en dépit du panneau qui annonce "interdit aux chiens même tenus en laisse". Ils laissent évidemment sur le dallage des excréments proportionnés aux nombre d'animaux et à leur taille, excréments dont chacun constate qu'ils ne sont pas ramassés.

     

    ChiensLes trois  chiens et leur propriétaire

     

    Des essais de peinture anti épanchements d'urine sont en cours prés de l’école  Saint-Merri (IVe) sans constituer toutefois la solution idoine au phénomène qui ne cesse de croître.

     

    UrinoirOn entend plus parler de ces urinoirs "à l'air libre" essayés il y a un an du côté de la gare du nord. Nos concitoyennes ne les ont pas franchement défendues, et on peut les comprendre.

     

    Nos interlocuteurs, conscients de la difficulté de maintenir une propreté appréciable des habitants du quartier ne cachent pas  en conclusion de cet entretien intéressant, franc et direct, qu'il faut arriver à adapter progressivement les moyens dévolus à la propreté à la vie des parisiens d'aujourd'hui.

    Dominique Feutry

     

  • Le Conseil d’Etat confirme le rejet de la demande d’annulation de l’élection municipale dans le IVe, demandée par Vincent Roger

    Girard christophe 28 02 14Girard christophe 28 02 14
    Christophe Girard, à gauche, et Vincent Roger à droite. Naturellement … (Photos VlM)

     

    Battu avec 55 voix d'écart dans le IVe aux élections municipales de mars 2014, Vincent Roger (UMP/UDI/Modem) avait déposé une requête devant le Tribunal Administratif pour l'annulation de l'élection au motif que des affiches diffamatoires avaient été placardées peu avant le scrutin dans une partie de l’arrondissement.

    Le Tribunal avait estimé qu'il n'était pas possible de corréler de façon indiscutable la défaite de M. Roger à cet évènement, considéré comme regrettable en tout état de cause.

    Vincent Roger en a appelé au Conseil d’État qui vient de confirmer le jugement de première instance.

    L'horizon s'éclaircit pour le Maire Christophe Girard. On espère que fort d'une sérénité retrouvée il apportera sans tarder une solution aux dossiers les plus sensibles de l'arrondissement : occupation indue de l'espace public, exploitation marchande de la place Ste Catherine, rue et école/piscine St Merri, affichage sauvage, flyers ….

     

    Note à l'attention des rédacteurs de commentaires :

    Il vous est demandé à la fin de votre message la saisie d'un code de sécurité. Plusieurs d'entre vous se plaignent de ne plus le trouver. En effet, l'hébergeur du site a introduit un raffinement dont nous ne voyons pas très bien l'utilité, mais enfin il est là.

    Voici la marche à suivre : quand apparait le cartouche "saisissez le texte", cliquez gauche dans le petit carré bleu situé en haut et à gauche de "CAPTCHA". Le code apparait. Il suffit alors de le saisir comme précédemment

     

  • Jeux Olympiques de 2024 : les Verts de Paris sont contre et demandent un référendum

     

    ImagesGP15R3M2Pour … ou contre !

     

    Notre article du 13 février a trouvé un écho, sans doute fortuit, auprès des Vert (EELV) de Paris. Dans une lettre ouverte à la Maire de Paris Anne Hidalgo, divulguée par le Journal du Dimanche du 22 février, ils se prononcent pour un référendum sur le sujet.

    Voir la lettre de Anne Souyris et David Belliard, les deux coprésidents du groupe EELV à l'Hôtel de Ville

    Les partisans d'un dépôt de la candidature de Paris (qui coutera à lui seul plus de 60 Millions d'€), avant qu'on change d'unité pour que les Milliards remplacent les Millions, se targuent d'une majorité d'opinions favorables. Le sondage auquel nous nous sommes livrés auprès de nos adhérents et lecteurs nous donne exactement l'inverse : 80 % d'opinions défavorables.

    Au fond d'elle même la Maire n'y est pas favorable mais les pressions sont fortes. Voilà une occasion pour elle de faire la preuve de sa stamina, que certains mettent en doute !

     

  • « Vivre le Marais ! » reçoit Vincent Roger, tête de liste UMP/UDI/Modem à la mairie du IVe arrondissement

     Roger vincent 24 02 14Vincent Roger, au siège de l'association (Photo VlM)

     

    Poursuivant ses rencontres avec les candidats aux élections municipales, "Vivre le Marais !" a accueilli Vincent Roger tête de liste UMP/UDI/Modem à la Mairie du IVe arrondissement.

    Convaincu d’être dans un arrondissement exceptionnel par son histoire et ses habitants Vincent Roger veut améliorer la qualité de vie de ces derniers tout en soulignant qu’il souhaitait mettre en œuvre des mesures pour enrayer la baisse du nombre d’habitants de l’arrondissement, alors que dans d’autres proches le mouvement est inverse.

    Pour inverser cette tendance Vincent Roger fait plusieurs propositions : 

    -      Développer les possibilités de gardes d’enfants (crèches d’entreprises ouvertes aux enfants des habitants, augmenter le nombre  d’assistantes maternelles, ouverture d’une nouvelle halte-garderie, création d’aires de jeux pour les tout petits…).

    -      Lancer un projet fédérateur autour du sport car il n’existe qu’un gymnase pour 28 000 habitants. Le candidat estime que rien n’a été fait en ce domaine depuis 2001 et préconise la rénovation de  Saint-Merri « qui est dans une situation indigne et n’est plus aux normes ». Parallèlement serait créée une cité des sports dans la cité Morland qui ne sera plus occupée à partir de 2016.  D’autres chantiers seraient envisagés comme la rénovation du terrain de tennis de la rue Neuve Saint-Pierre ou la création d’un parcours de santé « culturel » autour de Beaubourg.

    -      Mener à bien des actions culturelles telles que la création attendue d’un conservatoire en partage avec le IIIe, place des Vosges. Ceci en lien avec le Conservatoire du Centre et le musée Victor Hugo qui pourrait être étendu en musée pédagogique à l’instar de la maison de C. Dickens à Londres.

    -      Réimplanter de commerces de proximité (Cité Morland, rue Saint-Louis en l’Ile…).

    -      Maintenir une offre de soins de proximité au sein de l’Hôtel Dieu.

    -      Redynamiser le quartier Morland en profitant des locaux qui seront laissés vacants par le départ de la Direction de l’Urbanisme dans le XIIIe arrondissement. Travaillé pendant plusieurs mois avec des professionnels (architectes, notaires urbanistes..) et des habitants soucieux de ne pas voir périr ce lieu, ce dossier serait emblématique d’une revitalisation de ce secteur du IVe arrondissement. Ainsi pourraient être installés différents équipements déjà évoqués auxquels seraient adjoints des logements et un établissement de santé pour étudiants, des logements en accession sociale à la propriété,  un jardin public et des parkings. Le coût ne serait pas à la charge des parisiens, mais à la charge de l’opérateur qui interviendrait et se paierait en aménageant et en commercialisant une partie des 180 logements envisagés.   

    Sur le  plan des incivilités (lutte contre le bruit, la mendicité agressive, épanchements d’urine, affichage sauvage flyers …), Vincent Roger prône la création d’une  police de proximité et des brigades vertes sous l’autorité de Maire d'arrondissement qui ciblerait les actions sur les quartiers les plus sensibles en favorisant d’abord le dialogue et un partenariat renforcé avec le commissaire de l'arrondissement. Pour lui, « appliquer la loi n’est qu'une affaire de volonté politique ». 

    Vincent Roger estime que son équipe est très représentative des différentes sensibilités du IVe et que son projet est vraiment à l’échelle de l’arrondissement. En 2008, le climat général lui a été défavorable. Il considère qu'en 2014, les conditions sont réunies pour qu'il devienne Maire du IVe.

    Dominique Feutry

     

  • Prochaine conférence : introduction à la peinture contemporaine. La comprendre et l’apprécier

                Peinture contempTarek Benjabria – "Le Blog d'Elisa"

     

    "Culture et Patrimoine Paris-Marais"

    et "Vivre le Marais !",

    vous invitent à une exceptionnelle conférence avec projections :

     

    "1914 – 2014 : un siècle de peinture"

     

    Samedi 8 février 2014 (durée 2 heures)

    Rendez-vous à 13h45 à la Maison des Associations

    5, rue Perrée  (IIIe)

    (M° Temple, République, Filles du Calvaire)

     

    Barbara Boehm, diplômée de l’Ecole du Louvre, spécialiste de l’art contemporain, nous fera découvrir un siècle d’Histoire qui a profondément fait évoluer la peinture. Au tournant du XXème siècle, s'ouvre la modernité marquée par le caractère polémique et subversif des œuvres : cubisme, expressionnisme, abstractions géométrique et lyrique, surréalisme. On assiste alors à une remise en cause de la représentation du réel et des fondements du langage pictural classique.

    Kasimir Malevich, Pietr Mondrian radicalisent leur peinture pour aller « au-delà du zéro de la forme ». Salvador Dali, Joan Miro, René Magritte partent à la conquête de l'irrationnel. Les "Improvisations" de Vassili Kandinsky ouvrent la voie à l'abstraction lyrique marquée par l'expression pure et libre de la couleur.

    Depuis les années 1950 jusqu'à aujourd'hui, dans le sillage des Modernes, contre vents conceptuels et marées minimalistes, la peinture résiste bel et bien. C'est cette histoire de la peinture que nous parcourrons avec les œuvres de Francis Bacon, Jackson Pollock, Mark Rothko, Jean Dubuffet, Anselm Kiefer (qui habite dans le IIIe), Pierre Soulages, Jean-Michel Basquiat, Albert Oehlen, Marc Desgrandchamps et bien d'autres peintres…

    Merci de prévenir de votre visite et du nombre de personnes qui vous accompagneront Marie-Françoise Masféty-Klein par mail mfmk@free.fr ou par téléphone 01 42 72 61 41 et de prévoir une contribution de 10 € par personne.

    Marie-Françoise Masfety-Klein

    Présidente

    01.42.72.61.41

    Blog Culture et Patrimoine Paris Marais

     

     

  • « Vivre Paris ! » rencontre Jean-François Lamour, président du goupe UMP-PA et Député de Paris

    Lamour réunion hdv 26 09 11

    A gauche, la délégation de "Vivre Paris !". A droite, on reconnait Jean-François Lamour, ancien ministre, conseiller de Paris et député du XIIIe avec deux de ses collaborateurs, et Vincent Roger, conseiller de Paris, conseiller régional, élu UMP du IVe. Derrière l'appareil photos : Philippe Jacquinot ("Quartier Latin Passionnément")

     

    "Vivre Paris !" a tenu à se faire connaitre des instances dirigeantes de l'opposition à l'Hôtel de Ville. Nous avons décrit la genèse du réseau : au printemps 2010, des parisiens excédés par l'explosion des terrasses, l'occupation anarchique de l'espace public, les propos provocants des professionnels de la boisson et de la nuit qui exigent encore plus de tolérance à l'égard des nuisances qu'ils imposent aux riverains, une pétition annonçant la mort des nuits parisiennes …. et pour finir l'annonce par la Mairie de Paris de la tenue "d'états généraux de la nuit" en novembre 2010. Des parisiens qui décident de se regrouper au sein d'un "réseau" d'associations qui prend le nom de "Vivre Paris !".

    "Vivre Paris !" arrive juste à temps pour interférer dans le processus de révision du règlement des terrasses et étalages et éviter que les textes nouveaux ne fassent la part trop belle à des commerçants insatiables.

    Puis viennent les fameux "états généraux de la nuit", en novembre. Dans la salle, des manifestants arborent des tee-shirts qui implorent "laissez nous danser !". Dans les groupes de travail, on entend la réponse en écho "laissez nous dormir !". L'exposé introductif le disait clairement : à minuit, à Paris, 98% des parisiens dorment ou veulent dormir. Parce qu'ils se lèvent le matin pour travailler et qu'ils ont besoin de la nuit pour récupérer. Le message était clair.

    Pourtant, on assiste depuis à la mise en coupe réglée, par le Maire de Paris et son Adjoint Mao Péninou, d'une politique qui veut faire de Paris une ville plus festive, sans considération pour la santé des parisiens. L'attribution récente, contre tous les avis, d'un permis de construire "tacite" pour une boite de nuit de grande capacité, en plein coeur du Marais, confirme cette orientation. Il existe pourtant d'autres atouts à notre capitale qui est, rappelons le, la ville la plus visitée du monde : sa créativité, dynamisée par un environnement historique, architectural et culturel unique au monde. C'est ce potentiel qu'il faut valoriser plutôt que promouvoir les beuveries et les excès qu'on reproche de plus en plus à certaines villes comme Berlin et Barcelone. A chacun son modèle …

    Nous l'avons dit à M. Lamour, nous aimerions que l'opposition municipale soit plus audible sur ces enjeux. Il en a pris note.

    Nous en sommes venus enfin au projet de loi de Sandrine Mazetier, députée PS de Paris, qui va venir prochainement en commission des lois à l'Assemblée Nationale, en lui rappelant notre position, confirmée par notre juriste Anne Penneau à l'occasion d'une audition par Mme Mazetier : OUI au renforcement des sanctions pour non-respect de la réglementation sur les terrasses, OUI à l'attribution de pouvoirs aux maires, à la condition qu'il existe une sanction plancher dissuasive, valable sur l'ensemble du territoire, NON, NON et NON à toute forme de pénalisation des plaignants exposées aux nuisances des commerçants. M. Lamour en est convenu et nous assure qu'il introduira une modification du texte dans ce sens. Nous sommes sollicités pour proposer les amendements que nous jugeons souhaitables.

    Nous espérons vivement que majorité et opposition se mettront d'accord pour voter rapidement ce texte pour que nous passions enfin de l'anarchie à l'ordre dans la gestion de l'espace public.

     

     

     

  • Le juge des référés prononce la nullité de l’assignation de BRV (exploitant du COX-BAR) et de Frédéric HERVE contre Gérard Simonet

    Pierre au lard vue du ciel

    Vue du ciel de la rue Pierre au Lard et de la verrière

                                                                           

    Nous annoncions le 3 décembre 2010 notre assignation en référé pour une série d'articles sur le blog qui s'élevaient contre un projet de création d'un bar-club sous la verrière (voir photo) du 3 rue Pierre au Lard (IVe).

    L' ordonnance vient d'être rendue. Le Président du tribunal prononce la nullité de l'assignation introductive d'instance du 15 décembre 2010 ; faute pour les demandeurs "d'avoir respecté les dispositions de l'article 53, alinéa 1er, de la loi sur la liberté de la presse" (Ordonnance de Référé rendue le 28 janvier 2011)

    Il condamne in solidum Frédéric HERVE et la société BRV aux entiers dépens de l'instance, ainsi qu'au paiement à Gérard SIMONET de la somme de 2.000 euros, par application de l'article 700 du code de procédure civile.

     

    Pour soutenir l'association : cliquez ICI

     

    Post Scriptum du 3 mars 2011

    M. Frédéric Hervé et la société BRV (exploitante du COX) nous demandent d'insérer un Droit de Réponse. C'est bien volontiers que nous nous y prêtons.

    Voici le texte intégral de leur Droit de Réponse :


    DROIT DE RÉPONSE DE MONSIEUR FREDERIC HERVE ET DE LA SOCIETE B.R.V.

     

    Nous tenons à apporter à vos lecteurs quelques précisions concernant l’Ordonnance de référé rendue le 28 janvier 2011 par le Président du Tribunal de Grande Instance de Paris, dans le cadre de l’action en diffamation que nous avons engagée à l’encontre de Gérard Simonet.

    Il apparaît, à la lecture des commentaires postés par des internautes à la suite de la publication de l’article intitulé « Le juge des référés prononce la nullité de l'assignation de BRV (exploitant du COX-BAR) et de Frédéric HERVE contre Gérard Simonet», que vos lecteurs se méprennent sur la portée de cette Ordonnance.

    Il convient de souligner que c’est pour un motif d’ordre procédural uniquement que le Juge des Référés n’a pas statué sur le fond du litige.

    Les demandes que nous avons formulées à l’encontre de Gérard Simonet dans le cadre de cette action en diffamation restent, par conséquent, à trancher par les juridictions qui seraient saisies, le cas échéant.

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